CHAZ, la nouvelle “zone autonome de Capitol Hill” de Seattle, défendue par des milices armées, sous les applaudissements d’une maire totalement à la masse.
Le groupe terroriste et fasciste Antifa, et les racistes de Black Lives Matter ont dressé des barricades pour délimiter certaines zones de Seattle. Les milices ont pris le contrôle et créé une “zone autonome” à l’intérieur de la ville, avec leurs propres lois, leur terrorisme et leur intolérance. Comme l’Etat islamique.
Une nouvelle société, violente et totalitaire, a été créée – centrée sur quelques pâtés de maisons dans le quartier du Capitole de Seattle. Parce que la maire, Jenny Durkan, a poussé le département de police de Seattle à quitter son bâtiment situé en plein milieu (la cheftaine de la police, Carmen Best, est furieuse).
Mardi, les manifestants ont accroché une banderole sur le fronton du commissariat de la police : “Cet espace est maintenant la propriété des gens de Seattle”.
Des posts-adolescents boutonneux qui vivent chez leurs parents jusqu’à l’âge où d’autres ont des familles, ont profité de la faiblesse de la maire pour squatter le quartier. Alors qu’ils militent contre le port d’arme, on pouvait voir des miliciens avec des longs fusils sur les trottoirs, malgré l’interdiction des armes dans la ville, qui n’est plus imposée par la maire.
“Quitter le commissariat n’était pas ma décision”
Dimanche, le département de la police de Seattle (SPD) a évacué à la hâte son commissariat, un bâtiment de 6 000 mètres carrés rempli d’équipements, de paperasserie et d’objets personnels, et a annoncé que les policiers se retiraient autour des quartiers entre la 12e et Pine.
Ce qui a suivi a été la formation de CHAZ ou Capitol Hill Autonomous Zone, un camp de quelques pâtés de maisons, une zone de protestation qui sert maintenant de centre pour les rassemblements, les marches et les actions de Seattle pour Black Lives Matter et Antifa.
Dans un message vidéo posté jeudi, Carmen Best, le commissaire de police, a exprimé sa colère face à la décision d’abandonner le quartier général de la police de la circonscription Est.
“La décision de fermer le commissariat – notre commissariat, notre maison, le premier commissariat dans lequel j’ai travaillé – était quelque chose que je voulais empêcher”, a dit Best, s’adressant aux policiers.
“Vous devez savoir que quitter le commissariat n’était pas ma décision.
“Vous vous êtes battus pendant des jours pour protéger [la ville]. Je vous ai demandé de rester jour après jour, d’être bombardés de projectiles, d’être insultés, menacés, et dans certains cas blessés. Puis de changer de cap près de deux semaines plus tard – cela semble être une insulte à notre communauté.
En fin de compte, la ville avait d’autres plans pour le bâtiment et a cédé à une forte pression publique. Je suis en colère à cause de la façon dont tout cela est arrivé”, dit M. Best.
Sa déclaration contredit les propos de la maire de la ville. Durkan avait affirmé que le retrait du commissariat a été fait “dans le cadre de l’effort proactif pour se protéger contre les dommages potentiels ou le feu”, sur décision du SPD sur la base “d’informations spécifiques du FBI”.
Racket organisé
“Nous avons entendu des témoignages de citoyens et d’entreprises à qui on a demandé de payer une redevance pour opérer dans cette zone ; c’est un crime d’extorsion”, a déclaré mercredi la chef adjointe Deanna Nollette lors d’un bref point de presse, en référence à un commentaire posté par un prétendu propriétaire d’entreprise du quartier.
https://www.capitolhillseattle.com/2020/06/welcome-to-free-capitol-hill-capitol-hill-autonomous-zone-forms-around-emptied-east-precinct/#comment-744514
Postes de contrôle
Le SPD a déclaré :
“Des membres de la communauté ont dit qu’ils ont été soumis à des barricades mises en place par les manifestants, certains individus armés les gérant comme des points de contrôle du quartier”.
https://www.capitolhillseattle.com/2020/06/seattle-police-chief-speaks-out-on-chaz-leaving-the-precinct-was-not-my-decision/
Les résidents ont également déclaré qu’un petit nombre de personnes armées de fusils ont été vues en train de servir de gardiens près des parkings et des zones où circulent des véhicules à proximité de leur “camp”. Dans sa vidéo, Mme Best a également indiqué que le SPD “a entendu parler” des patrouilles armées.
La maire, totalement déconnectée des réalités
Seattle est l’un des trois villes les plus à gauche d’Amérique. La maire, en bonne gauchiste, vit dans un nuage loin des réalités. Elle a déclaré, au sujet du quartier pris en otage par les terroristes :
“Nous pourrions avoir l’été de l’amour !” ajoutant qu’elle ne sait pas quand l’occupation de CHAZ prendra fin.
Et bien entendu, CHAZ réclame sa démission, parce que si vous vous soumettez aux extrémistes et aux radicaux, ils en demanderont toujours plus. Et il y a toujours plus extrémiste que vous.
Trente demandes des occupants de CHAZ
- Nous demandons l’abolition totale du département de police et du système judiciaire, qui sont au-delà de toute réforme.
Nous exigeons l’arrêt de 100 % du financement, y compris les retraites existantes des policiers de Seattle.
Nous demandons également que la ville interdise les activités de l’ICE [police chargée de poursuivre les criminels étrangers illégalement dans le pays] dans la ville de Seattle. - Dans la période de transition, nous exigeons que l’utilisation de la force armée soit totalement interdite. Pas de fusils, pas de matraques, pas de boucliers anti-émeutes, pas d’armes chimiques.
- Nous demandons la fin du “pipeline” entre l’école et la prison et l’abolition des prisons pour jeunes. Faites sortir les enfants de prison, faites sortir les flics des écoles.
- Nous exigeons que ni le gouvernement de la ville, ni celui de l’État, mais le gouvernement fédéral, lance une enquête sur les cas passés et actuels de brutalité policière.
- Nous demandons un nouveau procès de toutes les personnes de couleur qui purgent actuellement une peine de prison pour crime violent, par un jury de leurs pairs de leur communauté.
- Nous demandons la dépénalisation des actes de protestation, et l’amnistie pour les manifestants.
- Nous demandons la libération de tout prisonnier actuellement en prison pour une infraction liée à la marijuana.
- Nous demandons la libération de tout prisonnier qui purge actuellement une peine uniquement pour avoir résisté à son arrestation s’il n’y a pas d’autres accusations connexes.
- Nous demandons que les prisonniers actuellement en prison se voient accorder le droit de vote plein et entier.
- Nous demandons l’abolition de l’emprisonnement en général, mais surtout l’abolition des prisons pour jeunes, et des prisons privées à but lucratif.
- Nous demandons, en remplacement du système de justice pénale, la création de programmes de responsabilisation réparatrice/ transformatrice en remplacement de la prison.
- Nous exigeons que la population ait l’autonomie nécessaire pour créer des systèmes de lutte contre la criminalité locale.
- Nous demandons que les fonds précédemment utilisés pour la police de Seattle soient réorientés :
- Santé et médecine socialisées pour la ville de Seattle.
- Logement public gratuit, car le logement est un droit et non un privilège.
- Education publique, pour diminuer la taille moyenne des classes dans les écoles de la ville et augmenter le salaire des enseignants.
- Services de naturalisation pour les immigrants aux États-Unis qui vivent ici sans papiers. (Nous demandons qu’ils soient appelés “sans-papiers” car personne n’est illégal.)
- Développement communautaire général. Parcs, etc.
- Nous exigeons que les hôpitaux et les établissements de soins de Seattle emploient des médecins et des infirmières noirs pour aider spécifiquement à soigner les patients noirs.
- Nous exigeons que les habitants de Seattle soutiennent fièrement les entreprises appartenant à des Noirs.
- Nous demandons que l’histoire des Noirs et des Amérindiens soit beaucoup plus présente dans le programme d’enseignement de l’État de Washington.
- Nous exigeons une formation anti-biais approfondie pour tous les emplois dans le système éducatif, ainsi que dans la profession médicale et dans les médias.
- Nous demandons à la ville de Seattle et à l’État de Washington de retirer tous les monuments dédiés aux personnages historiques de la Confédération.
Risque de tache d’huile
Les experts des forces de l’ordre de Seattle demandent à la police de reprendre le contrôle de CHAZ avant qu’il ne soit trop tard. Si rien ne se passe dans les toutes prochaines heures, d’autres groupes terroristes vont déclencher des opérations identiques dans les villes notoirement de gauche, San Francisco, Washington DC, Berkeley, Oakland, Boston, Los Angeles, Detroit, New-York, Buffalo, Baltimore, et bien entendu, Minneapolis où tout a commencé.
Le gouvernement de Washington, Jay Inslee, un autre coucou dans son nuage, a déclaré qu’il avait parlé avec Durkan de la situation, qualifiant l’occupation de “largement pacifique” et “fondamentalement américaine”.
“Ca ne peut pas continuer comme ça”, a déclaré à Komo news Jim Fuda, expert en matière de répression et directeur des services de répression de Crime Stoppers – qui travaille avec le SPD.
Il va falloir prendre des mesures. Y a-t-il des lois fédérales enfreintes ? Le FBI doit-il intervenir ? A un moment donné, il devra y avoir des arrestations, et ces personnes vont devoir être expulsées si elles ne s’en vont pas d’elles-mêmes”.
Le président Trump a fait un avertissement en ce sens :
Le gouverneur de gauche, le radical Jay Inslee et la maire de Seattle font l’objet de moqueries et se font manipuler à un niveau que notre grand pays n’a jamais vu auparavant. Reprenez votre ville MAINTENANT. Si vous ne le faites pas, je le ferai. Ce n’est pas un jeu. Ces horribles anarchistes doivent être stoppés IMMÉDIATEMENT. BOUGEZ-VOUS, VITE !
En réponse, le gouverneur Jay Inslee a déclaré que M. Trump devait rester en dehors des affaires de l’Etat, et le maire de Seattle a déclaré que toute invasion de la ville serait illégale.
Je vous le disais : Au secours, ils sont fous !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Trump est mort de rire a quelque mois de SA RÉÉLECTION car tout ce beau programme faschismeblacklivesmatter de seattle va devenir un échec comme le vénézuela ….. le véritable problème économique sera les emplois chez Boeing avec son siège social bref comment cela va ce terminer
On pourrait même se demander comment dans un pays aussi civilisé, peuvent se passer des choses comme ça.
Comment les gens qui habitent là peuvent continuer à voter pour ce maire ?
S’il le font alors ils méritent ce maire.
Je plains les habitants de ce coin de cinglés !!!
Karol
Faudrait voir qui est CIVILISÉ et qui ne l’est pas. Quand on comprends qui CRIE
le plus fort a la VICTIMISATION de leur ethnie, qui ne reconnaisse pas qu’ils sont délinquants par nature ce qui n’est pas lié au seul fait d’êtres en Amérique mais partout ou ils se sont établis, Ils aiment l’Amérique et sa richesse oui mais avec les blancs en moins, même chose en douce france. Ils préfèrent leurs ghettos là ou ils font leurs propres codes de conduite, Ils s’entretuent entre eux, ca c’est leur est permis, et la justice des blancs c’est pas pour eux. JE N’EN AI JAMAIS VU VÉRITABLEMENT S’INTÉGRER ET PRÉFÉRER NOTRE MODE DE VIE ET NOS VALEURS ( sauf l’argent qu’ils peuvent soutirer) J’affirme ici qu’ils ne se plieront jamais a nos coutumes. Je ne me mettrez JAMAIS a genoux, signe de LÂCHETÉ.
Erreur dans la traduction, we demand ne signifie pas “nous demandons”. To demand est un faux ami en anglais, le verbe to demand signifie ‘exiger’. Demander, c’est to ask.
Nous exigeons, etc.
https://www.larousse.fr/dictionnaires/anglais-francais/demand/574737
https://caphillauto.zone/demands.html
Demander ou exiger ne fait pas beaucoup de différence. En finalité ce sera non. Je soupçonne que cette femme attende que ça dégénère encore plus jusqu’à ce soit la garde civile ou autre qui intervienne. Elle se défaussera alors de sa responsabilité.
Je ne sais pas ce qu’elle promis pour être élue mais ce qui est incompréhensible c’est qu’elle puisse être réélue.
On a du mal en lisant cela que c’est la vérité ! In fine, les gens qui paient des impôts pour voir voir cela, sont des imbéciles. La démocratie démontre de plus en plus que cela devient rapidement une merdocratie, et pour remettre de l’ordre cela va être très difficile.Alex
“la cheftaine de la police” – Désolé mais une cheftaine, en français, c’est une responsable de mouvement de jeunesse (et j’ai même un doute sur son emploi en anglais!). N’essayez pas non plus la cheffe, ni même la chef. LE chef, c’est la personne qui est à la tête d’une organisation, peu importe son sexe. On parle de “la tête de liste” d’un parti aux élections : si la personne qui occupe cette place est un homme, allez-vous écrire “le têt de liste”? “La chef(fe)” relève de la même stupidité relativo-genresque.
J’allais m’excuser d’être hors-sujet, mais même pas : ces revendications féministes sont du même tonneau que les prétentions “antiracistes”.
Un peu d’indulgence pour JPG qui n’est pas traducteur et nous apporte des infos qui seraient très difficiles à trouver ailleurs. Tout le monde aura rectifié d’office.
Effectivement, le chef de la police (homme ou femme) c’est police chief, et cheftaine c’est scoutmaster. Les gauchistes ont le culte des apparences : une écharpe de type “africain” pour témoigner leur solidarité avec la population noire (sans rien faire d’autre pour améliorer son sort) et des néologismes boîteux pour faire plaisir à ces dames, sans jamais s’attaquer aux vrais problèmes (égalité des salaires entre autres).
Bonjour,
la scène où Crazy Nancy avec son écharpe pseudo-africaine ne parvenait plus à se relever était pathétique. Il y aurait dû y avoir une âme charitable pour lui faire délicatement remarquer que les hauts tallons ne sont plus adaptés pour une octogénaire.
écharpe pseudo africaine ? C’est encore pire ! Le tissu en question est celui d’une tribu ghanéenne qui a vendu beaucoup d’Africains à des marchands d’esclaves.
Encore les apparences, sans prendre la peine de se renseigner.
Quand vont-ils occuper la propriété de Bill Gates ????
A quand notre tour ?
Et comme chez nous il n’y a pas de Trump pour montrer les dents, mais plutôt des carpettes effrayées, nous avons du souci à nous faire.
Donald Trump a intérêt à laisser les choses en l’état jusqu’à sa réélection, s’il fait intervenir l’armée trop tôt ça risque de se retourner contre lui.
Il a aussi intérêt à prendre un conseiller israélien pour préparer le moment de la libération de la CHAZ en faisant le moins de dégâts possible et en ayant le moins de morts ou de blessés possible.
SVP Ulysse il faut aucun conseiller Israelien et pour le reste je suis a 100% d’accord avec toi ….. il faut que Trump laisse pourrir la situation gauchiste démocrate j’usqu’en novembre même si il y a des morts car de toute façon les morts était démocrate
Et le maire de cette ville laisse faire cela ??? Le gouverneur de cet état laisse faire cela????
Le Président de ce pays agira certainement ……..
La Commune de Paris (1870) + internet !
” âne-iversité d’Evergreen” appliqué dans la Société !
La solution : reconduite du Président Trump avec une majorité solide et écrasante dans les deux Chambres !
Restez dans le “camp des survivants” la suite pourrait être passionnante !
Chers amis
il me semble qu’au lieu d’être surpris par cet événement, nous devrions plutôt être surpris que cela ait tant tardé.
Pour mémoire Gramcsi est mort avant 1939.
Sa thèse majeure est résumée ainsi :
Dans les sociétés industrielles « avancées », des outils culturels hégémoniques tels que l’école obligatoire, les médias de masse et la culture populaire avaient inculqué une « fausse conscience » aux travailleurs. Au lieu de faire en sorte qu’advienne une révolution qui servirait vraiment leurs besoins collectifs (selon les marxistes), les travailleurs des sociétés « avancées » cédaient aux sirènes du nationalisme, du consumérisme et de l’ascension sociale, embrassant un ethos individualiste de compétition et de réussite personnelle ou encore se rangeant derrière les chefs religieux bourgeois.
Constatant l’échec relatif du déterminisme économique face à la force de l’idéologie dominante, Gramsci proposa une distinction entre « guerre de position » et « guerre de mouvement ». La « guerre de position » est une guerre culturelle contre les valeurs bourgeoises qui se présentent comme « naturelles » ou « normales ». Les éléments socialistes doivent pour cela chercher à percer dans les médias d’information, les organisations de masse et les institutions éducatives en vue de propager l’analyse et la théorie révolutionnaires, d’augmenter la conscience de classe et de pousser à l’engagement révolutionnaire. Cette lutte culturelle doit permettre au prolétariat d’attirer toutes les classes opprimées dans sa lutte pour la prise du pouvoir politique. Pour Gramsci, toute classe qui vise à la conquête du pouvoir politique doit en effet dépasser ses simples intérêts « économiques », prendre la direction morale et intellectuelle, et faire des alliances et des compromis avec un certain nombre de forces sociales. Gramsci appelle cette union des forces sociales un « bloc historique » (terme emprunté au syndicaliste Georges Sorel).
Un succès dans cette « guerre de position » permettrait aux communistes de commencer la « guerre de mouvement », c’est-à-dire l’insurrection contre le capitalisme avec le soutien des masses.
Elle est appliquée sur le territoire des US depuis la guerre froide, l’arrivée de Georges Soros, le Vietnam et l’épanouissement des soixante huitards.
Tout est donc en place depuis des décennies pour l’insurrection et “la lutte finale” – avec les “alliances” des forces islamiques, racialistes anti blancs, écolos.
Pas sûr que ce soit suffisant pour instaurer le marxisme mondial. . .
Si cette chienlit persiste, il est fort à parier que toutes ls sociétés qui paient des impôts et taxes, délocaliseront ailleurs, plus d’impôts, plus de taxes pour la ville, cela deviendra un état du tiers monde mais je doute que Trump laisse aller les choses de cette manière.
Par contre il va falloir agrandir l’asile de fous local, il va y avoir du monde bientôt.
Votre mot d’introduction rappelle mai 68 en France et le general. Mais mai 68 (j’y etais, mais ne faisais que regarder) etait, avant que les syndicats ne s’en melent, un mouvement aussi joyeux et, parfois, imaginatif, que contestataire. Rien de tel dans cette sinistre farce de Seattle. A mon avis, ce n’est guere une question de pays: mais les temps ont change, et on va de plus en plus vers le pire.
S’ils sont intelligents, ils iront en Floride ou au Texas : gouverneur républicain, pas d’impôts de l’état et budget équilibré. Les états qui ont un gouverneur démocrate (Californie, NY) ont des impôts d’état, très élevés en Californie, et ils sont très endettés. Cherchez l’erreur.
Je crois que la série “Au secours, ils sont fous” va être longue. :)) Le sentiment de culpabilité des Blancs à l’égard des Noirs semble avoir été incrusté dans l’esprit de nombreuses bonnes âmes, victimes du syndrome de la repentance et de l’auto-flagellation, au marteau piqueur.
Une nouvelle perle à ajouter à l’épisode de ce jour:
USA: White police officers wash feet of black religious leaders at Floyd prayer walk
Des policiers blancs et des civils lavent les pieds des leaders religieux noirs lors de la marche de prière en hommage à G. Floyd et demandent pardon pour les péchés de leurs ancêtres!
Quelle sera la prochaine étape? Se proposer comme esclaves ou leur donner tous leurs biens. Plus rien ne peut surprendre désormais. C’est un vent de pure folie qui souffle sur l’Occident.
https://youtu.be/8jNcFfICVic
L’exemple du Pape François fait des émules …
Bonjour,
vous trouverez toujours dans un pays qui compte environ trois cent vingt millions d’habitants quels imbéciles prêts à faire repentance jusqu’au point de s’agenouiller. Comme par hasard vous aurez des “journalistes” qui se feront une joie de filmer leur simagrées humiliantes (ils ont été préalablement prévenus). Ils ne représentent qu’une très petite partie de la population. Par contre ça fait tourner la boutique des “journalistes” qui ne sont plus là pour nous informer mais militer. En France c’est devenu tellement évident que la très grande majorité des quotidiens seraient en faillite si les subventions s’arrêtaient.
Par contre , là où je vous rejoins, c’est qu’il ne faut rien laisser passer. Ce sera une lutte sans fin.
Cordialement
Sorry Jean Patrick pour cette information réchauffée. Je n’avais pas vu que vous en aviez déjà parlé. J’avais loupé votre article sur ce sujet. :))
Demain je déjeune avec le Professeur Jacques Garello, agrégé d’Economie, libéral, et qui est un ami. L’an dernier , avait eu lieu à Aix l’Université de la Nouvelle Economie. Bertrand Lemennicier, pénaliste, avait défendu l’idée d’une réparation pénale pécuniaire , à l’instar des accidents de la circulation mortels.
Il faudrait frapper au portefeuille , en France et aux USA.
Vous avez saccagé un magasin dans lequel une personne avait investi toutes ses économies ? Sanction: 1 million de dollars. Et le délinquant paie toute sa vie.
C’est donc ça, le monde meilleur que nous concoctent ces savants fous dans ce laboratoire à ciel ouvert au cœur de Seattle ?
Il est presque tentant de les laisser faire et d’attendre que ça leur pète à la figure.
En France, nos chers médias nous bassinent avec les valeurs républicaines. En l’occurrence, le fait qu’un noir américain veuille se faire soigner par un autre noir va à l’encontre de cela.
Les racistes Black Lives Matter et les terroristes Antifa, dans quelle mesure ne sont-ils pas des exécutants de l’invasion islamique ?
A la lecture des revendications pour ce quartier de Seattle , on pourrait croire à une offre politique en France .
Je veux parler de celle de M.Mélenchon qui en ait bien proche .
Comme quoi , chacun a son fou .
A quand pour chacun ” son village gaulois ” et autres “villages” ?
C’est clair , les démocrates veulent la révolution en pensant qu’ils viendraient en Sauveurs !!!
Ils disent lutter contre le racisme. Mais le point 20 n’est-il pas clairement raciste : Nous exigeons que les hôpitaux et les établissements de soins de Seattle emploient des médecins et des infirmières noirs pour aider spécifiquement à soigner les patients noirs.