Quelques semaines avant la fin de son mandat, comme dernière vengeance contre Israël, l’ancien président américain Obama a promu la résolution 2334 anti-israélienne, puis il avait prévu de forcer la création d’un État palestinien. Poutine l’en a empêché.
En 2016, la Russie était prête à bloquer la résolution anti-Israël de l’ancien président américain Barack Obama au Conseil de sécurité des Nations unies (ONU), a rapporté Israel Hayom.
Cette décision aurait obligé Israël à créer un État palestinien selon les lignes d’armistice de 1948.
Il y a un an et demi, le Premier ministre israélien, Binyamin Netanyahu, a déclaré avoir demandé à “un ami à moi, le dirigeant d’une puissance mondiale, qui a un droit de veto au Conseil de sécurité et avec qui j’ai de très bonnes relations” de s’opposer à la résolution, “et il l’a arrêtée“.
Lors d’une récente réunion à huis clos avec Israël Hayom, Netanyahu a donné plus de détails.
Le 24 novembre 2016, deux semaines après l’élection américaine, M. Netanyahou a appelé le président russe Vladimir Poutine, expliquant que la décision d’Obama d’adopter la résolution 2334 déstabiliserait le Moyen-Orient et nuirait à Israël, et a demandé à M. Poutine d’annoncer qu’il opposerait son veto à la résolution, la bloquant ainsi.
Poutine a cependant rejeté la demande de Nétanyahou, et le 23 décembre 2016, le Conseil de sécurité a adopté la résolution, l’ambassadrice des États-Unis aux Nations unies, Samantha Power, s’abstenant de voter sur celle-ci.
Après l’adoption de la résolution 2334, Obama et son équipe ont commencé à travailler sur une autre résolution anti-Israël au Conseil de sécurité – plus dure, visant cette fois ci à forcer Israël à créer un État palestinien selon les lignes d’armistice de 1948. C’est l’ambassadeur israélien sortant auprès des Nations unies, Danny Danon, qui a tiré la sonnette d’alarme.
A ce moment-là, Netanyahu a rappelé Poutine, expliquant que la prochaine résolution d’Obama porterait gravement atteinte à Israël et déstabiliserait la région.
Poutine a alors accédé à la demande de Nétanyahou, et a déclaré que si la résolution était soumise au vote, la Russie la bloquerait.
Selon ce que Nétanyahou a dit lors de la réunion, l’intention de la Russie de torpiller le processus américain contre Israël a été portée à l’attention d’Obama, qui a réalisé que si la Russie était celle qui opposait son veto à la résolution, cela nuirait gravement à la fiabilité des États-Unis en tant qu’ami d’Israël, ainsi qu’à l’image des États-Unis aux yeux de la communauté juive. En conséquence, Obama a décidé d’enterrer la résolution.
Source : Aroutz 7
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gally pour Dreuz.info.
Bravo à Dreuz pour son honnêteté habituelle.
Dreuz n’aime pas beaucoup Poutine, ce n’est pas le nombre des articles le prouvant qui manque.
Et pourtant, un tel article montre que Poutine (dont je rêve d’un – presque – équivalent en France) n’a pas que des défauts. Dreuz aurait pu s’abstenir de publier un tel article.
Chapeau l’artiste !
L’artiste c’est Netanyahu !
Poutine c’est le bourreau de son peuple, le boucher de la Tchétchénie, le dépeceur de la Géorgie, l’éventreur de la Crimée, etc.
Poutine le Tueur de la presse libre, Poutine le Grand Corrupteur…
“Pas que des défauts” ?
Que Poutine ait vu son intérêt à baiser les USA d’Obama n’est pas une qualité à mettre à son crédit. C’est une tournure d’esprit que Netanyahu a su exploiter de la plus heureuse des façons.
Exactement ! Merci d’avoir remis les choses en place.
Apparemment vous n’aimez pas Poutine!
Bibi a bien joué – une fois de plus – au billard à trois bandes . Il fallait empecher Obama de nuire et pour cela Bibi a relancé Poutine . Si la gauche d’Israel avait été au pouvoir , Barak , Olmert ou un autre fantoche se serait mollement écrasé .
un gros merci M. Poutine car vous avez aider la population mondial a ne pas tomber dans une 3 ième guerre mondial et par ce fait vous avez sauver Israel
Ce n’est pas la première fois que l’excellent Vladimir Poutine décrispe des tensions pouvant aboutir à une 3e guerre mondiale. Et quand, en plus, on voit la patience et la correction des pilotes russes face aux innombrables violations de frontières par les appareils otanesques…
C’était exactement à ce moment-là, dans les tout derniers jours de son mandat, que la crapule démocrate Obama avait tenté de transférer en douce $221 millions aux terroristes corrompus palestiniens, une somme que Donald Trump avait immédiatement bloqué :
https://www.dreuz.info/flash/le-departement-detat-americain-bloque-les-221-millions-de-dollars-quobama-a-donne-aux-palestiniens-4h-avant-son-depart/
https://www.dreuz.info/flash/quel-salaud-obama-cette-vipere-a-envoye-221-millions-de-dollars-aux-palestiniens-4-heures-avant-de-quitter-le-pouvoir/
https://www.dreuz.info/2019/06/06/on-nous-aurait-menti-les-territoires-palestiniens-croulent-sous-largent-liquide/
https://www.dreuz.info/2020/01/11/comment-liran-a-depense-les-milliards-dobama/
Un Vrai Homme Fort ce M. POUTINE !
Poutine est difficile à déchiffrer. La plupart du temps il semble guidé uniquement par son intérêt personnel. Ainsi quand un pays arabe lui commande des armes ou du nucléaire il n’a aucune hésitation. Y compris quand c’est de la haute technologie qui risque réellement de faire des dégâts (heureusement il y a le facteur “humain” qui fait que ca foire souvent). Là il aurait “aidé” Israël… Mais reste à savoir pourquoi.
@ Patalf
Vous dites : “Poutine est difficile à déchiffrer. La plupart du temps il semble guidé uniquement par son intérêt personnel. Ainsi quand un pays arabe lui commande des armes ou du nucléaire il n’a aucune hésitation. Y compris quand c’est de la haute technologie qui risque réellement de faire des dégâts.”
Dans cette phrase, vous auriez pu remplacer le nom Poutine par celui de n’importe quel dirigeant français depuis avant Giscard et jusqu’à aujourd’hui, et ça aurait été exactement la même chose.
Combien d’armées arabes utilisent les chars Leclerc et le Mirage Dassault ? N’était-ce pas Chirac qui avait vendu une centrale atomique à Saddam Hussein ?
D’ailleurs même notre si regretté Coluche disait : “La France ne vend JAMAIS d’armes à un pays en guerre, sauf si il paye comptant !!”
Rappelez-moi donc tous ces juifs ambassadeurs, conseillers et amis d’Obama?
Que peut on attendre d’un Salopard , a double face…
Le crotale est beaucoup plus fréquentable…en tous les cas il l’a bien mis au Ricains grâce à son parti aussi pourri…
Quelques que soit le monument, sans fondations , il s’écroule….
Suivez le guide et chercher les Coupables….
Aujourd’hui ils en ont encore après TRUMP….
C’est bizarre…la plupart des commentaires ci-dessus encensent Poutine pour sa décision. Mais c’est plutôt Bibi qu’il faudrait encenser, non ? Pour son talent diplomatique, peut-être ? Pour avoir fait naître en Poutine, un dur à cuire bismarckien, le besoin incroyable de ménager Israël, il fallait qu’il y ait, côté israélien, une sacrée argumentation…
Oui ! Oui ! Oui !
Étonnant comme la plupart des commentateurs croient lire dans les articles ce qui n’y est pas écrit…
Poutine semble, parmi les dirigeants russes, être de ceux qui ont le plus de considération et de respect pour Israël, et cela tient sans doute à son histoire personnelle, cf par exemple https://www.europe-israel.org/2015/12/lincroyable-histoire-de-poutine-et-des-juifs/
De plus, la Russie est très présente au Moyen-Orient, et comme l’a expliqué par exemple le Pr. Millière, elle tient à conserver son accès à la Méditerranée via le port de Tartous en Syrie. Il est de l’intérêt évident de la Russie que le M.O. ne soit pas déstabilisé.
Ces deux facteurs expliquent sans doute en bonne partie pourquoi la Russie de Poutine a opposé son veto à la résolution anti-israélienne poussée par l’infâme Barack Hussein Obama…
Obama est donc bien un soldat de l’islam qui est arrivé au sommet de la culture occidentale.
Les américains ont eu un noir et un musulman président en même temps.
Les européens lui ont donné le prix Nobel de la paix
Qui tire les ficelles ?
Vivement un “Poutine” en France bordel !…………….
Merci Bibi et Bibi doit continuer à diriger Israël et pas un Gantz, petit fonctionnaire sans envergure et nul en politique et diplomatie.