
C’est une partie d’échec : le Président Trump a amené deux éminents Démocrates, un gouverneur d’État et la maire d’une grande ville, à défendre ce qui ne peut être décrit que comme les actes illégaux d’une foule violente et anarchiste.
Ces derniers détestent tellement Trump et sont si fervents dans leur désir de s’opposer à chacune de ses déclarations qu’ils ont défendu l’indéfendable. Tout ce que Donald Trump avait à faire était de condamner avec bon sens l’anarchie, le vol, la violence et le hooliganisme à Seattle. Ainsi piégés, les Démocrates se sont empressés de l’attaquer, par réflexe, et de défendre les délinquants. Trump s’est opposé à la foule qui a réquisitionné plusieurs pâtés de maisons de la ville de Seattle et d’éminents Démocrates l’ont qualifiée de patriotique. Qui préférez-vous?
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Earick Ward, paru sur le site d’American Thinker, le 11 juin. En Introduction, je cite une partie de l’article de Larry O’Connor, paru sur le site de Townhall, le 12 juin.
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Laissez Seattle mijoter dans ses propres excréments
La nouvelle à Seattle, c’est que le mouvement Antifa a capturé une zone de sept blocs dans le centre de la ville qu’ils ont surnommée la Capital Hill Autonomous Zone, ou CHAZ en raccourci.
Compte tenu des protestations (lire : les émeutes) qui ont eu lieu dans tout le pays au cours des deux dernières semaines et de la manière dont les maires et les gouverneurs de gauche ont géré (au mieux) ces émeutes, il n’est pas surprenant que Seattle ait permis que cela se produise.
La maire de Seattle, Jenny Durkan, a tout fait pour encourager la prise de contrôle de sa ville lorsqu’elle a proclamée que:
« Le maintien de la paix dans les manifestations doit être un effort conjoint entre les membres de notre communauté et les forces de l’ordre. J’ai bon espoir que ce soir, grâce à ces changements opérationnels, notre ville pourra avancer ensemble de manière pacifique. »
Bien sûr, ces changements opérationnels consistaient à laisser ces voyous envahir sa ville et confisquer une section de sept pâtés de maisons du district de Capital Hill de Seattle.
Seattle, tout comme Portland et d’autres villes de gauche, a longtemps été un cloaque de soutien tiède, voire enthousiaste, à Antifa et à Black Lives Matter.
Alors que mes amis dans les médias sociaux réclament à cor et à cri que le Président envoie la Garde nationale afin de reprendre la ville, je pense qu’une autre solution s’impose : laisser les habitants de Seattle mijoter dans leurs propres excréments. Vraiment.
Vous voyez, le défi dans notre débat actuel (qui n’est pas vraiment un débat, parce que chaque fois que des faits sont présentés, la gauche bloque le dialogue et balance le terme de «raciste») est que les médias ont glorifié les actes les plus odieux dans les centres urbains de tout le pays au nom de la justice.
Mais il ne s’agit pas de justice. Il s’agit d’irriter les plaies du mécontentement, comme le recommande Saul Alinsky dans son manuel de règles pour les radicaux, ce qui a pour effet, comme le veut la tactique, de dynamiser les éléments les plus radicaux du mouvement.
Les banlieusards de Seattle ont tacitement renoncé à la lutte, car ils ont voulu présenter leur «éveil» de bonne foi à leurs frères de gauche plus radicaux. Ces banlieusards «éveillés» doivent être dénoncés.
Laissez Antifa disposer d’autant de terres qu’elle peut acquérir pendant le weekend, inviter autant de ses frères qu’elle le souhaite à entrer dans la zone autonome, puis bouclez la zone et empêchez l’entrée de toutes les matières premières et fournitures.
Mettez en place un poste de sécurité, à la manière de Berlin-Est, et exiger de tous ceux qui souhaitent revenir en Amérique qu’ils prêtent serment d’allégeance à notre Constitution et à notre drapeau. Ceux qui ne souhaitent pas réintégrer la société civile peuvent rester dans la zone autonome jusqu’à ce qu’ils reprennent leurs esprits ou qu’ils périssent.
Il faut que les banlieusards de Seattle souffrent afin de subir les conséquences de leurs choix aux urnes. Vous avez voulu subvertir notre Constitution, tenter de faire fi de la société civile ? Payez-en le prix.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources:
https://townhall.com/columnists/larryoconnor/2020/06/12/amazing-trump-just-got-democrats-to-defend-a-criminal-anarchist-mob-n2570564
https://www.americanthinker.com/blog/2020/06/let_seattle_stew_in_its_own_excrement.html
C’est un réel délire gauchiste cette histoire. Lorsque dans ce squad il y aura le premier viol , le premier vol , le premier meurtre, qui arrêtera le ou les criminels. Où sera le système de justice? Que sera la sentence? Est-ce que la Mairesse et le gouverneur seront accusés de complicité? Les impulsifs BLM et les black-blocs vont nuire directement aux démocrates et ils vont ainsi aider Trump a être réélu. Sauf que cela fera des victimes à cause de la stratégie des fanatiques gauchistes.
Cet autoproclamé chef doit se rêver en Che ! Le psychopathe, le misogyne, le tueur.et que des c….s adulent !
Il y a un autre moyen qui ferait extrêmement mal comme,
1-Couper l’électricité a tout ce secteur de la ville, juste ca.
On verra bien ce qui va suivre
2- Empêcher toute arrivée d’approvisionnement.
3- Empêcher ce nouveau territoire autonome d’accéder aux hôpitaux situés a l’extérieur de ce nouveau territoire indépendant.
Les chauffeurs poids lourds Americain ont decide de ne pas livrer dans les villes gauchistes ou les anarchistes ont pris la main. Info sur Gateway Pundit.
https://www.thegatewaypundit.com/2020/06/truck-drivers-say-will-not-deliver-dangerous-far-left-cities-defunded-police-departments/
Je plains les pauvres citadins de Seattle qui n’ont rien demandé et se retrouvent « pris en otages » par des groupuscules violents adoubés par Obama et Soros !!!
@ niou
Rien demandé ? Mais ce sont eux qui ont voté depuis des décennies pour leur gouvernement gauchiste, il est juste qu’ils en supportent les conséquences et qu’ils voient enfin de près « comment ça se passe » dans le type de régime totalitaire qu’ils appellent de leurs vœux.
Atikva, je parle de ceux qui comme nous les Français, n’ont pas élu un gauchiste mais doivent le supporter ! Une pensée sincère pour toutes ces personnes, car depuis la France, nous compatissons……….
Je connais des citadins de Seattle et la plupart l’ont demande, ne les plaignez pas ils l’ont cherche
A Georges S
+1
Il faut bouffer son pain noir
Bonjour Madame,
la déclaration du maire Jenny Durkan est un exemple de maitrise de la novlangue, un vrai régal. Merci! Traduit en français ça donne approximativement ceci: « Je suis incapable de régler la situation. Alors je compte sur votre bonne volonté. Sortez moi de ce merd* s’il vous plait.Merci d’avance ». Sa réaction sur twitter, dans laquelle elle dit au Président de retourner dans son bunker, alors qu’elle est incapable de faire preuve d’autorité, est un exemple typique de la lâcheté du gauchisme. Elle ne ferra rien en espérant que les problèmes disparaîtront d’eux-mêmes. Si non elle attendra que l’intervention de la garde nationale soit imposée par d’autres. Je ne serais pas surpris qu’en cas de morts, elle soit la première devant les chaînes de télévision (très consentantes), à accuser le Président Trump. Ne connaissant rien de Seattle je me demande qui a bien pu voté pour elle? C’est toujours un plaisir de vous lire.
Cordialement
Je pense que cette stratégie du pourrissement est la bonne.
Il ne faut pas envoyer la troupe, mais au contraire attendre l’anarchie et la violence qui vont inévitablement arriver… Les électeurs américains, même les plus bornés, comprendrons alors la folie et la nocivité mortelle des idées d’extrême gauche… et Trump sera réélu!
Bonjour,
j’ai des doutes. Parce que je sais d’avance qu’ils vont se défausser. C’est devenu viscéral chez eux.
Cordialement
100% d’accord avec toi Jacques mais cela fera des victimes et ainsi les gauchistes vont accuser Trump d’en être resposable ……. et si il intervient maintenant il sera encore responsable donc il faut les laisser pourrir dans leurs merdes
Le Président appelle les autorités de Seattle à mettre fin à ce scandale en espérant (je le parie) qu’il espère qu’elles n’en feront rien – ne serait-ce que pour faire le contraire de ce qu’il préconise. Il est toujours en avance d’un pion dans la partie d’échecs qu’il joue actuellement.
Car effectivement, la seule chose à faire est de laisser mariner cette racaille dans son jus et de l’y laisser pourrir, jusqu’à ce que la population elle-même en ait assez et exige l’envoi de la troupe.
Et éventuellement se choisisse un maire et des « autorités » un peu moins abruties l’année prochaine.
Je bois du petit lait. Il faut laisser pourrir la situation. Il n’y a aucune raison de priver une population, qui vote Démocrate depuis des années, de profiter enfin des joies du socialisme totalitaire.
Bonjour Magali: les textes que vous choisissez sont toujours excellents et merci pour ça. Mais j’ai une autre question: le français est-il en danger au Québec? Les sources Internet ne semblent pas très fiables ou à jour. Ca n’a rien à voir ici, je sais, mais cette question me taraude. Pourriez-vous y répondre brièvement (Oui/non et 2-3 lignes de commentaires). Merci d’avance.
Bonjour Patrick!
Le français est en danger depuis que la langue anglaise est devenue la langue la plus parlée au monde (Royaune Uni,Commonwealth, USA, majeure partie du Canada, Australie, Inde). Même les Français ont tendance à s’angliciser. Au Québec, nous devons être vigilants, car nous sommes entourés d’anglophones. Mais c’est surtout la qualité de la langue qui pique de l’aile. Les jeunes générations sont plus à risque car la communication en anglais via Internet permet de rejoindre des personnes dans le monde entier.
Le français est une langue difficile, avec un vocabulaire et une grammaire bien plus complexes que l’anglais (j’ai enseigné le français et l’anglais langue seconde pour payer mes études universitaires). La bonne nouvelle, c’est qu’il y aura toujours du travail pour les traducteurs! J’espère que cela répond à votre préoccupation bien légitime!
Je suis comme vous ayant aussi enseigné l’anglais, mais en ce qui me concerne juste « pour bouffer », une période certes brève mais que je préfère oublier vu le salaire. Mais le Québec, vu d’ici, est si joli et plutôt intelligent, en tout cas moins con qu’ici et notamment un drapeau magnifique, mais pas que, et en plus francophone. On peut être fier, non? C’est pas que je veuille défendre la langue française à tout prix, la France ayant presque tout raté depuis ses révolutions, à part peut-être N-III et Thiers, sinon on peut tout jeter jusqu’à aujourd’hui*. Je ne trouve pas le français si difficile (c’est pas que voys ayez entièrement tort, mais on peut en discuter). Mais je souhaite que le Québec protège sa culture et sa langue. Pourquoi le Canada ne peut-il pas être bilingue? Je suis trilingue avec la même aisance, mais sens parfois un certain racisme et un mépris certain, sous-jacent et très présent chez les Anglophones du Canada. C’est indiscutable. Ces gens me hérissent. J’ai déjà eu des mots avec ces cons. Ne ressentez-vous pas ce racisme?
*Message à Monsieur Gomez: le de Gaulle est un pourri et votre article ne fait que le confirmer. Merci pour tout ça.
On peut en discuter en effet. La grammaire et la prononciation sont beaucoup plus complexes en français. Les Anglos à qui j’enseignait le français buttaient sur la prononciation des voyelles et consonnes dont le son diffère selon leur position (eu, au, ou, on) et sur le fait que certaines consonnes à la fin des mots ne sont pas prononcées (ont, coût, sort, lait, etc). En anglais le pluriel se prononce toujours et les adjectifs ne s’accordent jamais ni en genre, ni en nombre.
J’ai beaucoup fréquenté des Anglophones Canadiens (secondaire, collège en anglais), certains avaient des préjugés, mais les temps ont changé. L’arrivée au pouvoir de René Lévesque en 1976 a redonné confiance aux Québécois qui se sont affirmés depuis et ont changé la situation inconfortable où ils se trouvaient (Francophones noyés dans une mer d’Anglophones qui ne voulaient pas apprendre le français). Aujourd’hui, les jeunes Anglophones apprennent volontiers le français et le comprennent à défaut de le parler couramment.
Merci Magali. C’est passionnant comme sujet. J’ai remarqué aussi que les Anglophones ne voulaient pas apprendre le français ni aucune autre langue non plus d’ailleurs. Ca ne sert à rien selon z’eux z’autres. Comme si apprendre devait nécessairement servir à quelque chose. Et, tiens, prenez la musique contemporaine. En Europe, on écoute de tout et de toutes les nationalités: on a eu du frison de Hollande* (de loin, ce dialecte ressemble à de l’anglais), de l’espagnol, du portugais, même de l’allemand* et du roumain*. Des super-hits qui sont restés longtemps dans les « charetses (charts) ». En Angleterre et en Irlande, on n’a que de l’englet. J’ai souvent posé la question dans la famille et chez les collègues après journée. Y sav’po. Et certains m’ont rétorqué: « we’ve go’ everything we noïd » (notez le « glottal stop » et la diphtongue de « need »). Oui, mais nous aussi, on a ce qu’il faut pourtant.
Frison: « Wêr Bisto » de Twarres (de jeunes Hollandais qui ont cartonné)
Allemand: Nena et ses « 99 luftballons »
Roumain: O-zone et « Dragostea din Tei ».
Ce ne sont que des exemples et je n’ai pas dit que c’était de mon goût, mais nous sommes ouverts. Nos Anglophones ne sortent jamais de leur zone de confort, mais donnent des leçons de tolérance et puis se retrouvent avec le Londonistan. Ooh bloody French frogs. Ooh German idiots. Pourquoi dire des trucs comme ça? Mais y pas de racisme, selon Amnesty et HWR. Et encore moins de protectionnisme. Quand je le leur démontre (by Ay plus Bee), ils sont génés. Je crois que vous et moi, nous nous comprenons bien sur le sujet, venant de pays bilingues, voire trilingues (idem pour la Suisse). Je m’arrêterai là car ce n’était pas le thème. Grand merci pour vos réponses.
En fait, le français, comme la plupart des langues latines, est plutôt facile à apprendre parce que c’est une langue structurée, avec une logique. L’anglais est beaucoup plus difficile à apprendre, parce qu’il y a beaucoup d’exceptions.
@Magali: prenez également le cinéma. BBC2 diffuse des films en français ou en allemand, mais uniquement dans ses cineclubs genre à 2 heures du mat. Un peu comme Ryanair à partir de 15 euros, mais pour en bénéficier il faut prendre l’avion à trois heures du mat et passer par Oulan Bator pour traverser la Manche en étant assis dans un des réacteurs. Hypocrites!
@ Californienne:
Pas faux mais difficile à dire. Il y a toujours un certain cap à passer, le tout étant de savoir si ce cap se produit plus tôt ou plus tard. Je crois quand même qu’avec l’anglais ce cap se produit plus tôt. Par « cap », j’entends la possibilité de pouvoir acquérir suffisamment de base pour se débrouiller dans la rue par exemple (demander son chemin et où sont les « ouatères »). Mais c’est à voir. Question de méthode sans doute.
Laissez les gauchistes s’entre dévorer entre eux jusqu’au dernier
C’est toujours comme ça que ça se termine entre gauchistes
Le plus sûr pour un gauchiste consiste de s’assurer , qu’il n’as pas
d’ennemis plus à gauche que lui
Comme toujours leur premieres victimes seront les libéraux de la gauche dite progressiste qui leur sont sympathique et dont ils se débarasseront assez vite une fois au pouvoir
https://fr.theepochtimes.com/subversion-ideologique-de-russie-sovietique-effets-pays-occidentaux-1222866.html
Matthew Crawford PhD de philosophie politique, à l’Université de Chicago
Crawford s’inquiète du progressisme radical de la gauche américaine
Il déplore que les identité, le «genre» et l’ethnie demeurent centraux dans
le discours des démocrates
Nous avons là un avant-goût de ce que pourraient être les primaires
démocrates de 2020: un peloton d’exécution et un festival d’actes de
contrition
Le plus sûr consiste à vous assurer que sur les questions d’identité, vous
n’avez pas d’ennemis plus à gauche au vu de la concurrence qui fait rage
entre les groupes de victimes dans la hiérarchie intersectionnelle
Je suis bien d’accord pour laisser Seattle mariner dans sa schnoutte, mais pour bien comprendre comment peut être amplifié un micro-événement par les antifas et autres cafards d’extrême gauche, il faut savoir que la « zone » – dont tous les médias du monde parlent depuis quelques jours – ne représentent qu’une superficie de 0,036 km2 habités par 200 habitants, le même quartier des manifestations de 1999 à Seattle et du mouvement Occupy Seattle 🙂
200 habitants qui font réagir Potus et toute la planète… Quelle gloire pour ces minables !
C’est bien résumé sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_autonome_de_Capitol_Hill
À moyen terme, ce ne sera pas possible de permettre la continuité de cette zone de non droit où -la fraternité idéologique- sera la seule -disposition de droit- dans cette enclave. Ce sera bel et bien l’anarchie en bloc lorsque la -fraternité- se dégradera sans parler de la possibilité impossible d’une économie autonome dans une zone si limité.
L’exemple en France démontre ce que deviennent les zones séparatistes qui sont exactement ce qui est recherché à la fois par des groupes islamistes ou antifas qui sont les fascismes du 21ème siècle cherchant à détruire l’État nation ici avec la complicité des démocrates qui ne sont plus que des traîtres à la nation américaine.
Les élites associées aux démocrates sont nauséabondes. Laisser pourrir cette zone pendant un temps donné ça ne peut être plus.
Connaissez-vous Gerard Nolst Trenité ?
Il fut un grand professeur de l’anglais pour les non anglophones et est connu pour être l’auteur du poème ‘The Chaos’, un recensement des mille et une irrégularités de prononciation de l’anglais (quoiqu’un peu daté ça vaut le détour).
Pour ma part avant de recourir systématiquement à la transcription phonétique de chaque mot dans un dictionnaire, l’anglais m’étais demeuré comme un brouillard impénétrable…