Publié par Dreuz Info le 2 juillet 2020

Mon amie Karen Siegemund est la directrice de l’AFA, l’American Freedom Alliance (1).

Karen est une des rares Républicaines de Los Angeles, et le mois dernier, The Epoch Times a consacré un article (2) à son combat pour préserver la culture américaine. Je vous recommande, si vous habitez Los Angeles, d’adhérer à son mouvement. Il est essentiel et fait un travail remarquable.

Sur sa page Facebook, elle vient de publier un constat glaçant de la situation que nous vivons. Glaçante pour les similarités avec la Russie soviétique et la révolution bolchévique.


Je viens de finir de regarder la série Trotsky. C’est une œuvre d’art. Elle couvre la période qui a précédé la Révolution, pendant celle-ci et peu de temps après.

Les parallèles avec aujourd’hui sont étonnants et terrifiants, terrifiants

Et laissez-moi vous dire que les parallèles avec aujourd’hui sont étonnants et terrifiants.

Terrifiants.

La planification, la coordination, l’élaboration de récits et leur modification, la punition des voix dissidentes ou même des voix pas assez exubérantes, la honte, l’insignifiance de la vérité face aux besoins de la révolution, l’encouragement des griefs destiné à fournir une cause autour de laquelle se rallier, et ainsi de suite.

Je ne vous dis pas ce que vous ne savez pas déjà.

Nous en avons parlé, nous en parlons encore. Le nom de la conférence de l’AFA était “la longue marche à travers les institutions : la révolution par d’autres moyens” et maintenant, c’est sur des stéroïdes, ça avance à un rythme que nous n’aurions pas pu imaginer il y a un an, voire 6 mois, ou 3 mois.

Et si vous pensez que ça va simplement disparaître, vous vous trompez.

Ils gagnent du terrain chaque jour, avec Black Lives Matter qui dicte les programmes d’études, et les entreprises qui deviennent des camps de rééducation, exigeant que les employés lisent leurs documents débiles basés sur la race.

Ca ne disparaîtra pas tant que nous ne l’arrêterons pas, et je ne parle pas des décrets concernant les statues. C’est plus profond.

C’est PROFOND.

Les griefs ne font qu’être encouragés, et ces personnes qui n’avaient aucun but dans la vie, se retrouvent avec un but. On leur donne une famille, une communauté, une mission qui n’a jamais été juste qu’elle ne l’a jamais été – du moins c’est ce qu’on le leur a dit.

La vérité n’est pas une vertu de gauche et les faits n’ont pas d’importance

“Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde”. “L’Amérique est honteuse et tout succès est sur le dos et le sang des esclaves”. “Tout ce qui naît de ce péché originel est mauvais”, et ainsi de suite… Et ils croient à cette merde et ils s’en nourrissent.

Au moins en Russie, leurs griefs étaient légitimes, mais là ? Bien-sûr que non. Mais comme nous le savons, la vérité n’est pas une vertu de gauche et les faits n’ont pas d’importance.

Mais cela ne s’arrêtera pas tant que nous ne ferons rien.

Et en ce moment, nous sommes coincés entre les confinements, les masques, l’augmentation des suicides, les confinements à nouveau, les émeutes et les destructions par Black Lives Matter qui, soit dit en passant, est en partie la raison pour laquelle nous sommes à nouveau confinés.

Appelez vos amis, vos familles, vos voisins.

Vérifiez auprès des personnes que vous connaissez. Parce que le désespoir atteint des sommets, et nous devons nous occuper les uns des autres.

Et nous devons nous organiser.

© Karen Siegemund

  1. https://www.facebook.com/AmericanFreedomAlliance/?eid=ARAdWUoM0S1Ds7J3VLz6LIHIe6fZraLcFKP6M8OeVQfRZWkeIHrH2p1vmXZFBzgAF4FoDLBN3q-T4NLb&fref=tag
  2. https://www.theepochtimes.com/karen-siegemund-on-the-fight-to-preserve-american-culture_3134877.html?fbclid=IwAR0RyRpsnx2ZzA1Tgyc-CUzxG-coh99XVIrDTV3qZpa8Q3VzppLM7tY7yJg

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