Publié par Manuel Gomez le 5 juillet 2020

L’Espagne se trouve au bord du gouffre et, apparemment, son gouvernement n’en a pas conscience, et les Espagnols non plus.

Pour faire face à la grave crise, dans laquelle elle est plongée, comme d’ailleurs plusieurs pays européens, le gouvernement socialiste de Pedro Sanchez a déjà annoncé une hausse des impôts sur les revenus pour 2021 (Alors que l’imposition des revenus et, actuellement, plus élevée qu’en France, par exemple).

Mais le danger principal ne vient pas de ces décisions économiques, il vient surtout des manques de décisions concernant la multiplication des arrivées quotidiennes de migrants, et cela malgré le « confinement » puisque l’Espagne n’a pas encore ouvert ses frontières avec les pays du Maghreb, mais c’est par centaines qu’ils traversent le bras de mer qui sépare les deux continents.

Et, ce qui est bien plus grave qu’auparavant, c’est que parmi ces centaines de migrants, qui pénètrent dans le pays, un fort pourcentage est positif au « Coronavirus » et, parmi ce fort pourcentage, nombreux sont ceux qui disparaissent dans la nature, sans être pris en charge par les services sanitaires, et, par conséquent, sont un danger pour la population par la propagation du virus.

Vendredi dernier, à Carthagène (Province de Murcie), un mouvement de la population a obligé une cinquantaine de migrants, débarqués par un navire d’une ONG, à être dirigée en isolement, de gré ou de force.

L’on sait que le « Coronavirus » n’est pas, hélas, le seul danger introduit par ces migrants. Il vient s‘ajouter à de nombreux autres : agressions, viols, vols, délinquance, etc. qui se multiplient dans toutes les provinces et que, tout comme en France, « on conseille » aux médias de ne pas trop en parler et, surtout, de ne pas indiquer les identités et les origines des auteurs.

Le gouvernement ne réagit pas et l’on peut craindre qu’il poursuive cette politique des « yeux fermés » et des « bouches cousues », soutenu par l’extrême gauche, anti-Nation, « Podemos ».

Un nombre toujours croissant de « mineurs isolés », bien loin d’être tous des « mineurs », sème la panique dans de nombreuses villes et ils ne peuvent être reconduits vers leurs pays d’origines, bien que fort peu « d’adultes » le soient (Environ 7% sont reconduits vers le Maroc, en fonction de certains accords financiers, alors que 93% autres peuvent circuler sans difficultés).

Il est intéressant de signaler, qu’en dehors des « porteurs du virus », les autres migrants (dont 75% de mineurs) sont en excellente santé, à leur arrivée, et vêtus proprement, d’une manière pratiquement identique.

Il est vrai qu’ils sont transportés par des navires ONG jusqu’à proximité des côtes et c’est à ce moment-là, qu’ils sont embarqués sur de petits bateaux (Pateras) et qu’ils rejoignent les côtes en toute sécurité, encadrés par les autorités maritimes espagnoles puis pris en charge par la « Croix Rouge » et certaines autres associations « humanitaires ».

Le confinement et le « Coronavirus » avaient mis un frein à l’intervention de l’alliance entre les ONG et les « Mafias de passeurs », mais la reprise économique est revenue bien plus rapidement pour eux…et elle a encore un bel avenir !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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