Je voudrais m’intéresser encore à la France. Je n’y parviens pas vraiment. J’écrirai peut-être un article sur le changement de gouvernement, mais c’est à mes yeux un événement insignifiant. Je devrai revenir sur la pandémie, car tant d’éléments dans ce qui s’est passé relèvent de l’imposture et de la manipulation qu’il importera de dire ce qui doit l’être, mais il manque encore quelques éléments du puzzle pour le décrire dans son ensemble.
Je reviendrai donc une fois de plus sur l’élection présidentielle américaine, car rien, strictement rien n’importe davantage en ce moment. Du résultat qui prendra forme le 3 novembre prochain au soir dépendra non seulement le sort des Etats-Unis, mais, au vu du fait que les Etats-Unis sont et restent la première puissance économique, politique, géopolitique et militaire du monde, le sort de la planète entière.
Je dois d’autant plus revenir sur l’élection présidentielle américaine que ce qui se dit et s’écrit sur le sujet en langue française ne s’améliore pas et reste absolument consternant. Je l’ai dit dans des articles récents, et je dois, hélas, le redire. Non seulement les mensonges, les approximations et les calomnies abondent, mais les traces d’ignorance sont innombrables et dès qu’ils parlent de Trump, des commentateurs qui pourraient sans cela paraitre raisonnables semblent céder au délire. Aux Etats-Unis, on appelle cela le syndrome de dérangement anti-Trump, et cela semble, chez journalistes et intellectuels en France et en Europe occidentale, plus contagieux que le coronavirus de Wuhan.
Disons dès lors ce qui doit l’être. Sauf retournement très improbable, Donald Trump sera réélu. Sa réélection ne sera pas aussi ample qu’elle devrait l’être parce que la population du pays a changé, parce que des millions d’immigrants latinos ont été naturalisés sous Obama et votent Démocrate en espérant toucher davantage d’allocations sociales du gouvernement et faire venir aisément leur famille dans le pays sous un président démocrate, parce que l’éducation est aux mains de gens de gauche et de gauchistes qui s’emploient à laver le cerveau des jeunes gens qui leur sont confiés, et parce que la désinformation aux Etats-Unis est presque aussi intense qu’en France et en Europe occidentale, mais elle aura lieu.
Dans leur frénésie hystérique, les Démocrates sont allés beaucoup trop loin. Le recours au dossier “collusion avec la Russie”, lancé par eux pour cacher leur utilisation du dossier Steele aux fins d’obtenir frauduleusement les moyens d’espionner la campagne de Donald Trump en 2016, était déjà un coup très risqué, et s’est terminé pour eux par un fiasco lorsque Robert Mueller a rendu un rapport vide. L’invention grotesque d’un “Ukrainegate” ne reposant sur rien, et leur volonté de mener une procédure de destitution infondée était un coup plus risqué encore, et les a conduits à un autre fiasco. L’exploitation par eux de la panique créée autour de la pandémie Covid 19, et leur tentative de pousser l’économie américaine vers l’effondrement tout en attribuant à Trump l’effondrement qu’ils voulaient était absolument cynique, mais susceptible de mieux marcher : le fait que l’économie américaine après trois ans et demi de présidence Trump est plus solide qu’ils ne l’imaginaient a néanmoins pour partie déjoué leur plan, qu’ils n’ont pas totalement abandonné cependant puisque les médias à leur solde continuent à faire peur en soulignant le nombre de personnes testées positives et donc le nombre de “cas”, et en omettant soigneusement de dire que le nombre de morts tend vers zéro (et que sont comptés désormais comme morts du coronavirus des gens morts d’autre chose, mais morts “avec” le coronavirus).
Leur soutien aux émeutes menées par Antifa, qui ont ravagé des quartiers entiers des grandes villes américaines, leur soutien à Black Lives Matter et à l’affaiblissement ou à la destruction des forces de police, leur consentement à la destruction ou au retrait de statues, qui touche maintenant les statues de George Washington, Thomas Jefferson, Abraham Lincoln, Christophe Colomb, et même Frederick Douglass, militant noir abolitionniste courageux du milieu du 19ème siècle, un authentique grand homme, les a placé dans un engrenage destructeur qu’ils auront beaucoup de mal à arrêter. Des commerçants noirs par centaines ont été victimes des émeutes, des noirs ont été tués au nom de Black Lives Matter, qui est prêt à se révolter pour la mort de truands noirs, mais ne trouve pas un mot à dire quand les morts sont des noirs impeccablement honnêtes, ou sont des enfants tués par une violence aveugle qui en ce moment atteint des niveaux qu’elle n’avait jamais atteint depuis plusieurs décennies. L’insécurité remonte à une vitesse vertigineuse et vient montrer que lorsque la police n’est plus là, le chaos s’installe vite. La tentative de dépeindre toute l’histoire des Etats Unis comme une abomination qui impliquerait de faire table rase déplait, très visiblement, à la frange modérée de l’électorat qui ne perçoit pas la vie aux Etats-Unis comme l’enfer sur terre.
Même trafiqués pour avantager le candidat démocrate et décourager et démoraliser les électeurs républicains, les sondages ne peuvent cacher davantage que le candidat démocrate voit les intentions de vote censées être exprimées en sa faveur s’éroder.
Ce candidat, Joe Biden, après avoir passé trois mois cachés dans le sous-sol de sa maison, doit sortir un peu, et chacune de ses sorties est désastreuse. Même quand il doit lire sur un téléprompteur ce qui a été écrit pour lui aux fins qu’il le dise, il a souvent des problèmes de lecture, et, lorsque le téléprompteur s’arrête inopinément, en est réduit à bredouiller des mots qui ne composent pas une phrase cohérente. Il est incapable de répondre à la moindre question d’un journaliste et la seule “conférence de presse” qu’il ait tenue était un lamentable simulacre : une dizaine de journalistes avaient transmis leurs questions à l’avance, et les réponses étaient écrites : il a invité les journalistes un à un, dans l’ordre où les réponses étaient écrites sur son téléprompteur, à lire les questions, très complaisantes et très aseptisées. Il a lu les réponses, puis est retourné dans son sous-sol, sur ordre de son médecin, a-t-il dit. Tous ceux qui se tiennent dans l’ombre derrière lui sont gauchistes et beaucoup viennent de l’équipe qui travaillait pour Bernie Sanders, et ils ont repris l’essentiel du programme de Bernie Sanders pour en faire le programme de Joe Biden. Pour que le programme ait une façade, ceux qui ont écrit ce que Joe Biden devait dire sur le sujet ont carrément utilisé des phrases tirées d’un récent entretien accordé par Donald Trump à Sean Hannity sur FoxNews, et Donald Trump a dit que ceux qui sont dans l’ombre de Biden ont tellement peu de mots présentables à lui proposer qu’ils en sont réduits à utiliser des mots de Donald Trump pour cacher un message gauchiste. Joe Biden est incapable de prononcer un discours, incapable de tenir une réunion publique, incapable de débattre avec Donald Trump. Les Démocrates n’ont pu trouver un candidat plus présentable et l’ont choisi parce qu’il a l’image d’un Démocrate d’avant la marée gauchiste, et parce que, espèrent-ils, il peut faire illusion. Mais un vieillard sénile aura des difficultés à faire illusion longtemps. Ils cherchent une femme noire présentable pour être candidate à la vice-présidence : celles qui sont présentables déplaisent aux gauchistes qui tiennent le parti, celles qui ont l’assentiment des gauchistes ne sont pas du tout présentables. Il se murmure que les Démocrates veulent jouer la carte Michelle Obama : ce n’est pas impossible, mais je suis très sceptique, et il semble que Michelle Obama n’ait pas envie de s’embarquer à bord d’un navire qui prend l’eau et d’avoir à assumer le programme de Bernie Sanders.
Beaucoup de choses peuvent se passer encore, et, on l’a vu depuis 2016, on l’a vu bien plus encore depuis mars : le Parti Démocrate entend ne reculer devant rien pour parvenir à ses fins. C’est désormais un parti totalitaire qui ne dit pas son nom, et un parti totalitaire ne recule devant rien. C’est un parti qui n’a pas les moyens d’assumer pleinement le totalitarisme dont il est porteur, mais qui entend s’en donner les moyens. Et l’équipe de campagne de Donald Trump en a conscience. Des îlots de totalitarisme sont déjà créés dans le pays : les campus universitaires, nombre de salles de classe, nombre de salles de rédaction. Trump en a pris la mesure et son discours du Mont Rushmore l’a montré. Une victoire démocrate en novembre serait la victoire d’un ramassis de crapules sans aucun scrupule qui veulent que le totalitarisme règne partout. Ce ne serait pas un totalitarisme qui ressemblerait à celui qui a régné sur l’Union Soviétique, bien sûr, ce serait un totalitarisme plus insidieux qui ne s’installerait pas pleinement tout de suite, mais ce serait, à terme, un totalitarisme quand même : la liberté de penser ne subsisterait que sous forme de dissidence, la liberté d’aller et venir serait restreinte (ceux qui ignorent ce qu’inclut le Green New Deal devraient s’informer), la liberté d’entreprendre serait asphyxiée au profit des tenants du crony capitalism, la liberté de choix dans quasiment tous les domaines, y compris dans le domaine politique serait réduite à quasiment rien.
Le choix qui se présentera aux électeurs américains le 3 novembre sera on ne peut plus clair. Ce sera l’Amérique, la démocratie, les institutions, la prospérité, la loi et l’ordre, ou ce sera une chute à la vénézuélienne. Et en cas de victoire démocrate, ce serait sans doute la dernière élection présidentielle américaine, car onze millions d’immigrants illégaux seraient rapidement naturalisés, auraient le droit de vote dans quatre ans, et voteraient pour ceux qui leur ont donné le droit de vote : le scénario s’est déjà déroulé en Californie, dans le Colorado, au Nouveau Mexique, dans le Nevada.
Je pense qu’il reste des millions d’Américains qui ne veulent pas que l’élection du 3 novembre soit la dernière élection présidentielle américaine et qui ne veulent pas d’une chute à la vénézuélienne, et je pense qu’ils seront suffisamment nombreux pour l’emporter.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
Jean-Bernard Cadié, correspondant de BFMTV, à Washington est un grand menteur. Il a dit hier soir que “le gouverneur de Californie qui est un proche de Donald Trump (l’insinuation qui tue) à refusé d’imposer l’obligation de porter un masque dans les lieux publics” comme si un démocrate, proche des LGBT de surcroît, pouvait être proche de Donald Trump alors que Gavin Newsom est la bête noire de Donald Trump !
Il faudrait le confondre et lui dire d’arrêter de mentir
Vous devriez voir ou en est rendu le voisin CANADIEN avec trudeau, il ne gouverne que par décret ( DIKTAT) et fait tout ce qui lui passe par la tête ou ce qui sort de son trou du c…
En France nous pouvons enfin nous réjouir, le génaral Antoine Martinez nous annonce qu’il se présentera à la prochaine élection présidentielle. Je vous invite à écouter le discours qu’il a fait, je ne sais pour vous, mais pour moi, il me redonne espoir en mon pays.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=671&v=dSOAkjesmtY&feature=emb_logo
@Bernard Atlan
J’ai écouté le Gal Martinez dont vous avez donné le lien. Ce qu’il dit est bel et bon, mais je me souviens aussi que les promesses n’engagent que ceux qui y croient et rendent les fous joyeux…….
Pour le reste, car il part de zéro, (c’est à dire sans appareil politique) il faut voir vers qui il va se tourner pour ses alliances afin d’accéder au pouvoir, car il va bien lui falloir des alliances proches de ses vues, et quelle politique (programme politique) il adoptera…….. et juger l’homme sur ses capacités réelles à faire ce qu’il dit, d’après les débats qu’il ne manquera pas d’avoir.
Cependant, dans la situation de la France d’aujourd’hui, il faut essayer d’y voir clair et de bien choisir parmi les candidat(e)s souverainistes ou patriotes qui ne vont pas manquer de se présenter. A voir donc………Il reste 2 ans……. Cordialement.
Tout à fait, Bernard. Je pense que l’entrée en jeu du Général
Martinez, pour la présidentielle à venir, devrait réjouir M. Millière.
Enfin un candidat intègre, compétent et qui aime la France.
E. Macron , dans un débat avec le général, voilà qui sera propre
à intéresser de nouveau les Français à la politique.
Un candidat qui aime la France, vs un candidat mondialiste qui
fait tout pour la faire plonger.
Tous les Français soucieux de rester français, y compris les
expatriés: soyez à l’écoute !
Informez-vous sur le site des VPF.
Monsieur Millière, ne désespérez plus.
“Sans haine, mais avec détermination”, affirme Antoine
Martinez.
Excellent
Je vois, en vous lisant que l’Amérique semble d’être « francisée » mais dans le mauvais sens du terme. Des gens trompés par les médias, des jeunes décérébrés par une école et des universités qui ne remplissent plus leur fonction d’indépendance politique, une immigration massive de latinos, certes moins grave que la notre par les idées religieuses, mais qui importe aussi ses us et coutumes, faisant penser aux américains blancs de « souche » qu’ils vont être submergés par cette vague qui semble intarissable…….. Un peu comme nous quoi ! mais en moins pire………
Allez ! c’est encore la France en mieux, car ces désordres peuvent être vite réglés, Trump a encore toutes ses chances ; les américains ayant besoin d’un retour à l’ordre, je ne vois que lui qui puisse le leur apporter. Le monde occidental a aussi besoin d’un homme fort et surtout pas d’idéologues. Comme vous le savez, quoique similaire sur certains points, la situation est toute différente en France. Mais que faire pour le moment puisque le peuple n’est jamais consulté sur ces sujets importants ?
M. MILLIERE, comme vous avez raison de dire :
“Je voudrais m’intéresser encore à la France. Je n’y parviens pas vraiment. J’écrirai peut-être un article sur le changement de gouvernement, mais c’est à mes yeux un événement insignifiant”
Car ce n’est qu’une parodie de changement de gouvernement ! une véritable comédie où le “dindon de la farce” EST LE PEUPLE FRANCAIS !
M. Millière, je ne sais si vous lirez ce commentaire, mais je pose quand même la question : sur le coronavirus chinois et sa mortalité réelle, nous avons en France les statistiques de l’INSEE, qui permettent de constater – sur la base de la surmortalité depuis le début de l’épidémie – que le nombre de victimes réel est de l’ordre de 75% du chiffre officiel (autrement dit, sur les 30.000 morts, 25% sont morts AVEC le virus, et non DU virus).
Existe-t-il aux USA l’équivalent de l’INSEE et ses statistiques ? Car j’ai aussi l’intuition que le chiffre officiel de 138.000 victimes est largement surévalué, en vue à la fois de maintenir les Américains dans la crainte, et de noircir le bilan de Donald Trump.
Vous avez pleinement raison. Le chiffre est fortement surévalué aux Etats-Unis. Il chute fortement si l’on enlève le nombre de ceux qui sont morts d’autre chose tout en étant testés positifs au coronavirus. Au nom de la lutte contre le coronavirus, l’administration fédérale donne une prime aux hôpitaux qui ont soigne un malade pour le coronavirus, et qui en est mort, ce qui incite des hôpitaux à cocher la case coronavirus. La volonté de faire durer la peur est, par ailleurs, flagrante.
La famille du défunt aussi a intérêt à dire qu’il est mort du coronavirus puisque dans ce cas, c’est le gouvernement fédéral qui paie tous les frais.
https://www.youtube.com/watch?v=ALzIbr7BjXA Regardez la sequence a partir de 23:45
Jacques Ady dit :
14 juillet 2020 à 18:34
M. Millière, je ne sais si vous lirez ce commentaire, mais je pose quand même la question : sur le coronavirus chinois et sa mortalité réelle.
ON DIT PLUTÔT CORONAVIRUS COMMUNISTE CHINOIS car c’est un laboratoire qui dépends de l’armée populaire chinoise.
Quand on parle de la CHINE il faut toujours mentionner CHINE COMMUNISTE.
Seulement 3 % des morts declares du coronavirus seraient directement morts du coronavirus aux USA https://www.sandiegouniontribune.com/news/politics/story/2020-05-13/supervisor-jim-desmond-says-san-diego-has-only-had-six-pure-coronavirus-deaths . Ca donne un chiffre d’environ 5000 deces aux USA dus au coronavirus.
Vous confondez les notions.
Il y a une différence entre 1- mourir du virus de Wuhan alors qu’on n’avait aucun facteur de risque (underlying conditions), 2- mourir du coronavirus alors qu’on avait un/des facteurs/s de risque, et 3- mourir avec le coronavirus mais pour une autre raison que le virus. Vous considérez que 2- et 3- sont la même catégorie, mais ce n’est pas vrai. Les gens qui avaient des facteurs de risques et qui sont morts DU virus seraient décédés plus tard, quelques mois, quelques années plus tard. Les gens des catégories 1- et 2- seraient morts du coronavirus quoiqu’il en soit. Ce sont ces gens qu’il faut comptabiliser (1- plus 2-).
C’est pourquoi il faut avoir les chiffres de mortalité générale (type INSEE en France, qui donne jour par jour le nombre de décès, toutes catégories confondues) de sorte qu’on puisse déterminer la surmortalité pendant la période de l’épidémie, par rapport aux années précédentes à la même époque. Cette surmortalité EST la mortalité imputable au virus chinois. C’est exactement comme cela que la mortalité due à la canicule de 2003 a été calculée, ou que la mortalité des épisodes de grippe saisonnière est calculée, chaque hiver. Il faut appliquer la même méthode, sinon on en est à faire des supputations, soit en-dessus de la réalité (les autorités sont manifestement dans ce cas, en France comme aux USA le Dr Fauci), soit en-dessous, comme vous. Les 22.000 personnes mortes en avril-mai-juin en plus des morts habituelles, en France (chiffre qui varie peu d’une année sur l’autre, quand aucune cause de décès supplémentaire n’existe), sont bien mortes du Covid.
Il faut avoir les mêmes chiffres pour les USA pour savoir. Je suis convaincu que les USA, qui sont un pays très performant à bien des égards, ont les moyens de le savoir, et même, le savent déjà.
Mode d’emploi, pour la France : https://blog.insee.fr/statistiques-sur-les-deces-le-mode-demploi-des-donnees-de-linsee-en-7-questions-reponses/
Je me suis mal exprimé, je reprends la 2ème partie de mon 1er §
Sans le coronavirus chinois, les gens qui avaient des facteurs de risques et qui sont morts DU virus (catégorie 2-) seraient décédés plus tard, quelques mois, quelques années plus tard (voire pour certains 10 ou 20 ans plus tard). Les gens de la catégorie 3 seraient quant à eux morts quoiqu’il en soit au cours de ce printemps 2020. On ne doit pas compter ces derniers, mais on doit compter les autres (catégories 1- plus 2-) comme victimes du coronavirus chinois.
Bonjour Monsieur Millière,
il y aura trois débats avec les deux candidats physiquement présents et je vois mal comment Sleepy Joe pourra les refuser. On verra alors où il en est avec la dégradation de ses facultés cognitives.En attendant il va rester la plus part du temps chez lui avec des entretiens virtuels aux questions préalablement filtrées par son équipe de campagne. Le nom du vice-président n’est toujours pas connu après des mois et cela sans que la majorité de la “presse” s’en préoccupe. Je crois qu’il doit y avoir encore d’importantes négociations avec la composante d’extrême-gauche du parti “démocrate”.
Cordialement
J’ai regardé hier soir un débat assez intense entre deux Québequois (ceux-ci sont bien informés concernant les affaires pédophiles US)
Leur conclusion est que Ghislaine Maxwell a été arrêtée seulement maintenant pour une raison précise.
Son rôle va être de charger Trump, ils auraient beaucoup de photos, (fausses pour la plupart)
Quant à Bill Clinton, il a déjà pris ses précautions en soutenant avoir eu une relation avec GM…
Donald Trump est celui qui a relancé l’affaire Epstein, laquelle constitue la pièce maîtresse de son plan pour ouvrir les yeux de la population sur l’étendue et la monstruosité de la criminalité démon-rate, l’affaire #Spygate n’y suffisant pas.
Just pour montrer a quelle point la gauche est totalitaire, Barry Weiss le journaliste et editeur du NY Times a donne sa lettre de demission. Voici une copie de la lettre tel qu’elle a ete publie par un autre journal:
https://www.frontpagemag.com/fpm/2020/07/death-new-york-times-frontpagemagcom/?utm_source=whatfinger
La journaliste, c’est une femme. Bari, pas Barry 😉
Oups je me suis apercu de mon typo quand j’ai relu mais je ne pouvais pas corriger. De plus je lis et j’ecris tres vite en pensant a plein de trucs differents avec un clavier qwerty alors que j’ecris en francais… bref pas toujours evident mais merci de me corriger j’apprecie (sincerment ) je suis une personne qui reconnait ses erreurs.
Il seras detruit!
Sur le coronavirus de Wuhan, quelques recherches sur le net sur la surmortalité dans différents pays (dont les USA) semblent montrer que :
1- la mortalité aux USA n’est pas vraiment surévaluée, il se pourrait même qu’elle soit sous-évaluée ; tous les articles se basant sur le “excess mortality rate” – autrement dit l’excès de décès par rapport à la moyenne sur la même période (expected deaths) – indiquent une sous-évaluation de l’ordre de 20 à 30%
2- dans les autres pays, c’est variable : il y a une légère surévaluation en France, idem en Belgique, mais sous-évaluation en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni…
Le bémol de cette approche est que parfois, le nombre de “expected deaths” peut être faible : c’est le cas en France à mon avis ; il suffit d’avoir retenu comme année de référence 2019, année de faible mortalité au printemps, et la surmortalité apparaît d’autant plus élevée. Cela dit, ça ne joue que sur 10 à 20%. Mais le même biais peut exister dans d’autres pays.
Sources :
https://ourworldindata.org/excess-mortality-covid
https://www.nytimes.com/interactive/2020/04/21/world/coronavirus-missing-deaths.html
Deux autres sources, au niveau mondial plutôt (ce sont des articles scientifiques) :
https://github.com/nytimes/covid-19-data/tree/master/excess-deaths
https://jamanetwork.com/journals/jamainternalmedicine/fullarticle/2767980
Bonjour Guy Millière,
est ce que vous avez songé à écrire pour Valeurs Actuelles pour parler des États-Unis ?
Je ne pretend pas parler a la place du Professeur Milliere.Mais mme valeurs actuelles est contanime par la peste maintenant.Les medias Francais ne son vraiment que des rammsis de…re sans expception..
Cela saute aux yeux deja quand ont voient leur primaires ‘est siderants.Et olus fort c’est qu’ils osent afficher leur intolerance,leur totalitarisme comme si nous les Americains etaient aveugles.Ils ont enfermes dans un syteme autodestructeur.
Je suis totalement d’accord, mais comment empêcher le Mal de gagner ici ? Je veux dire, quand bien même Trump gagnerait, les démocrates vont continuer leur travail de sape dans certains état, faire venir toujours plus de migrants, créer toujours plus de dissidents artificiellement et éroder ce qui est Bon pour 2024…cette méthode a cours partout en Occident ou presque, ils bouffent tout avec le temps, la bêtise de ceux qui suivent cette idéologie me dépasse !