Que renferme un nom ? Le cas israélo-palestinien [De l’importance de bien nommer les choses]
Colonel (rés.) Dr Raphaël G. Bouchnik-Chen, chercheur au Centre BESA, université Bar-Ilan* – 5 juillet 2020
Le Centre Begin-Sadat d’études stratégiques (également connu sous son acronyme, le Centre BESA) est un groupe de réflexion (think tank) indépendant et non partisan qui mène des recherches sur des sujets stratégiques tant à l’étranger qu’au Moyen-Orient, en particulier en ce qui concerne la sécurité nationale et les affaires étrangères, la politique d’Israël et la paix et la stabilité régionales. Ses chercheurs sont des spécialistes renommés en Israël.
La machine de propagande palestino-arabe alimente sans cesse des campagnes anti-israéliennes agressives. La diplomatie publique de l’Autorité palestinienne est basée sur la manipulation : elle profite de l’ignorance et des connaissances historiques superficielles du reste du monde sur le conflit israélo-arabe pour imposer une histoire inventée. L’État juif a peut-être commis une erreur de jugement historique en choisissant le nom “Israël”, car ce choix a porté atteinte aux intérêts stratégiques de l’État d’Israël.
Le conflit israélo-palestinien sans fin est l’un des conflits les plus insolubles et les plus explosifs au monde, provoquant des passions et des bains de sang permanents au Moyen-Orient et dans le monde entier. Dans de nombreux cas, des groupes terroristes, dont l’Etat islamique et al-Qaïda, ont consacré leurs attaques terroristes spectaculaires à la cause de la Palestine et de la mosquée al-Aqsa à Jérusalem.
Israël est largement considéré comme le méchant responsable du sort des “réfugiés” de 1948, ainsi que de “l’oppression brutale” du peuple palestinien dans les “territoires occupés”. La propagande palestino-arabe alimente des campagnes anti-israéliennes incessantes, principalement sous l’égide du mouvement BDS, qui soutiennent et renforcent cette déformation de l’histoire. (BDS est la version moderne du “boycott de la Ligue arabe”, presque oublié, déclaré officiellement le 2 décembre 1945).
Le mouvement sioniste et plus tard l’État d’Israël sont présentés de façon déformée comme des forces coloniales déterminées à expulser les habitants indigènes de Palestine et à les priver de leurs droits afin d’établir une entité étrangère devant être peuplée par un afflux d’immigrants en provenance d’États étrangers. Les porte-parole de ces narratifs ne disent jamais un seul mot sur le lien millénaire du peuple juif avec la Terre d’Israël (ou Palestine telle qu’elle est connue depuis l’époque romaine) et nient catégoriquement la validité de la Déclaration Balfour du 2 novembre 1917 ratifiée par le mandat de la Société des Nations en 1922 appelant à la création d’un Foyer National pour le peuple juif en Palestine.
Le plan de partition de l’ONU du 29 novembre 1947 a ouvert la voie à l’établissement de l’État d’Israël. Il a également cristallisé la détermination des Arabes à détruire par la force l’État juif naissant. Comme l’exprimait sans ambages le secrétaire général de la Ligue arabe d’alors, Azzam Pacha : “Ce sera une guerre d’extermination et un massacre mémorable dont on parlera comme des massacres mongols et des Croisades.”
En 2020, l’Autorité palestinienne est devenue internationalement reconnue comme l’entité destinée à émerger à terme en tant qu’État palestinien, sur la base d’une solution à deux États. Pourtant, Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, rejette catégoriquement toutes les clauses de “l’accord du siècle” du président Trump et mène une campagne de propagande avec comme slogan “L’anéantissement de la Palestine”.
Lors d’une réunion spéciale de la Ligue arabe au Caire le 1er février 2020, Abbas a affiché des cartes de propagande manifestement trompeuses de la “Palestine historique” sous le titre provocateur “La disparition de la Palestine “. Elles comprenaient la carte du mandat de la Palestine, la carte de la partition de 1947, les lignes de juin 1967, le “plan projeté de Trump” ainsi que la “terre palestinienne” s’amenuisant sans cesse au fil des décennies. Cette présentation théâtrale était une manipulation typique qui profite délibérément de l’ignorance et des connaissances historiques superficielles de la plupart du reste du monde sur le conflit israélo-arabe. Les cartes étaient une forme d’illusion d’optique conçue pour permettre de donner la fausse impression que la Palestine était un État entièrement arabe tout au long de l’histoire humaine et qui a été littéralement volé par les Juifs.
Cette version complètement déformée de l’histoire est la pierre angulaire du mouvement BDS. Avec l’aide des dirigeants palestiniens et du mouvement BDS, elle est constamment renforcée dans la perception internationale du conflit et a un impact décisif sur l’élaboration des politiques, principalement en Europe et en Asie. Cela a abouti à une large adoption d’un point de vue systématiquement anti-israélien. La diplomatie publique israélienne (”Hasbara”) se trouve impuissante à corriger ses erreurs du passé dans ce domaine.
Parfois, les efforts des Palestiniens pour renforcer leur version sans fondement de l’histoire se retournent contre eux. Le 20 juin 2016, Abbas a effectué une visite officielle en Arabie saoudite. Sur place, il a remis au monarque saoudien une copie encadrée de l’ancien quotidien The Palestine Post. Le geste visait à renforcer le narratif palestinien, mais a fait exactement le contraire. Comme le Premier ministre israélien Netanyahu le faisait remarquer à l’époque, “Mahmoud Abbas a donné cette semaine au roi saoudien un exemplaire du Palestine Post en cadeau. Abbas ne savait apparemment pas que The Palestine Post était un journal sioniste [de l’époque du Mandat britannique] qui a changé son nom en 1948 en The Jerusalem Post et est toujours publié aujourd’hui, à Jérusalem, notre capitale”.
L’affirmation selon laquelle les Palestiniens sont les habitants autochtones de cette terre est au cœur de leur conflit avec Israël. Cette affirmation est répétée régulièrement par les Palestiniens et n’est presque jamais contestée. Dans un récent discours, Abbas a déclaré: “Notre récit dit que nous étions dans ce pays depuis avant Abraham. Je ne le dis pas, la Bible le dit. La Bible dit, dans ces mots, que les Palestiniens existaient avant Abraham. Alors pourquoi ne reconnaissez-vous pas mon droit ?”. Saeb Erekat, le négociateur en chef de l’Autorité palestinienne, a déclaré: “Je suis le fils de Jéricho… l’heureux fils des Natoufiens [période épipaléolithique, datant de 16.500 à 13.500 ans] et des Cananéens. Je suis là depuis 5 500 ans avant que Josué fils de Noun ne vienne brûler ma ville natale de Jéricho”.
Tout cela est une histoire entièrement inventée.
On peut se demander pourquoi Israël, qui a fait face à de nombreuses agressions militaires génocidaires et est constamment la cible d’attaques terroristes, est considéré par tant de personnes dans le monde non pas comme une victime mais comme un agresseur. En d’autres termes, comment se fait-il que le monde ait été si enclin à croire qu’en matière de terreur palestinienne, les fins justifient les moyens ?
Une réponse pourrait résider dans l’approche du professeur Martin Kramer, qui a publié un remarquable article à la veille du 72e anniversaire de l’Etat d’Israël. Dans son article, intitulé “1948 : pourquoi le nom d’Israël ?”, Kramer discute de la décision difficile que l’État naissant a dû prendre pour choisir un nom. Il note que le choix du nom “Israël” a été fait par David Ben Gourion presque au dernier moment, juste avant la cérémonie officielle au cours de laquelle Israël a été proclamé État indépendant le 14 mai 1948. D’autres noms avaient été proposés et envisagés, mais ils avait été rejetés par Ben Gourion.
Un article de presse du 30 septembre 1937 cite ainsi Ben Gourion: “Erets Israël (la Terre d’Israël) représente pour nous le pays tout entier plutôt qu’une partie de celui-ci”. C’est peut-être la raison pour laquelle Ben Gourion ne pouvait pas accepter le nom de “Palestine-Erets Israel”, bien que cela ait été le nom hébreu officiel de tout le pays sous le Mandat britannique.
Ben Gourion était connu pour son fort intérêt pour la langue hébraïque. Voici ce qu’il écrit : “L’hébreu est le ciment culturel tandis que la terre est le ciment matériel de la nation renaissante”. Sa décision d’exclure l’utilisation du nom “Palestine” pour l’État juif pourrait s’expliquer par son désir de lui donner le nom hébreu sous lequel il était connu depuis l’époque biblique.
Sur ce point, il convient de noter un document officiel de mai 1948 publié par le Conseil national, cabinet ministériel provisoire d’Israël, signalant qu’il a été débattu de la question de la traduction du nom “Israël” en arabe. Le Conseil national est parvenu à la conclusion que le nom de l’État en arabe devra être “Israël”, tout comme en hébreu, plutôt que “Palestine”.
L’un des arguments en faveur de cette décision était qu’“il est possible qu’un futur État arabe en Terre d’Israël soit dénommé Palestine, de sorte qu’une confusion pourrait se produire”. Cette pensée a été non seulement une manifestation très précoce de la droiture politique d’Israël, mais également de prévision historique [possible], étant donné que la Ligue Arabe avait rejeté sans équivoque le Plan de Partage et n’était donc pas partie à la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations Unies, qui prévoyait la création d’un État arabe (aux côtés de l’État juif) dans la Palestine mandataire.
La manière officielle de l’ONU de faire référence au conflit du Moyen-Orient était généralement cohérente jusqu’au début des années 60 : elle utilisait le nom de “Palestine” pour désigner le territoire et “Arabes” – et non “Palestiniens” – pour désigner les réfugiés. Cela pourrait indiquer qu’en se référant à la question de la Palestine, l’ONU considérait le nom Israël comme étant synonyme de la Palestine mandataire.
Ce n’est que le 28 mai 1964 – date de la création de l’OLP – que le nom de “Palestine” a été adopté, pourrait-on même dire volé, par une entité arabe résolue à éradiquer entièrement l’État juif. Cet objectif était clairement exprimé dans les articles 1 et 2 de la Charte palestinienne (1968) comme suit :
- ”La Palestine est la patrie du peuple arabe palestinien ; c’est une partie indivisible de la patrie arabe, et le peuple palestinien fait partie intégrante de la nation arabe.
- La Palestine, avec les frontières qu’elle avait pendant le mandat britannique, est une unité territoriale indivisible”.
Avec le recul, on peut arguer du fait que volonté déterminée de Ben Gourion à utiliser le nom biblique “Israël” pour le jeune État juif et la négation qui l’accompagne du [précédent] nom officiel – mandataire – de cet exigu territoire géographique – était une vue à court terme et motivée par un esprit messianique exagéré.
Le rejet volontaire des dirigeants juifs du nom de “Palestine” a créé un vide qui a finalement été comblé par les représentants des “réfugiés” arabes, qui ont ”rebaptisé” leur statut en “Réfugiés palestiniens”.
Ce n’est nullement le seul cas de différend concernant le choix du nom d’un pays. L’exemple le plus récent est le conflit gréco-macédonien, qui a presque débouché sur une guerre totale pour cause de l’utilisation du nom de Macédoine. Ce nom est important pour les Grecs, qui ont une province appelée du même nom. En janvier 2019, les deux parties sont parvenues à un compromis dans lequel l’ancienne Macédoine a été rebaptisée République de Macédoine du Nord.
Une bombe à retardement similaire concerne le conflit historique entre la Chine et Taïwan, qui dure depuis 1949. Taïwan, officiellement nommée République de Chine (RDC), est actuellement dirigée par le Parti progressiste démocratique (DPP), qui prétend être un pays indépendant. La Chine considère Taiwan comme une province renégate qui doit être réunie au continent, par la force si nécessaire. Pékin repousse toutes les initiatives taïwanaises de nier le lien avec la Chine en adoptant officiellement le nom de Taïwan, et considère ces tentatives comme des provocations.
*Le Dr Raphaël G. Bouchnik-Chen est un colonel de réserve qui a été analyste principal des services de renseignement militaire de Tsahal. Il est titulaire d’un PhD de l’université de Jinan en Chine et est spécialisé dans les affaires du Moyen-Orient et internationales. Il a servi pendant 26 ans dans le renseignement militaire de Tsahal à plusieurs affectations de haut niveau, dont celle de chef du département d’analyse et de prospective. Il a également servi pendant trois ans au Cabinet du Premier Ministre et au Ministère de la défense et a rempli une mission diplomatique en Extrême-Orient.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction/adaptation David Pasder pour Dreuz.info.
Face à l’OLP et ses” juteux avantages”, l’ONU a choisi de sacrifier Israël ! Il n’y a pas d’autre terme !
Monsieur le Premier Ministre d’Israël,
J’ai l’honneur de vous adresser cette lettre, tout conforté que je suis d’être un proche parent de l’ancien ambassadeur Yehuda Lancry à Paris et à l’ONU, ainsi que l’ami de David Lévy, l’ancien ministre des Affaires étrangères. Si l’Unesco se permet de fausser l’histoire du Moyen-Orient au profit d’une entité terroriste, pourquoi Israël ne prétendrait-il pas exiger le rétablissement de vérités historiques ?
Its’hak Rabin avait dit : « Nous n’allons tout de même pas ériger un mur autour d’Israël pour nous protéger ! » Ce qui paraissait impensable pour ce chef d’État, est devenu une obligation : Depuis la construction de notre mur de protection, le terrorisme barbare de l’entité Hamas-Fatah est éradiqué à 97%.
Ce qui suit n’est pas l’idée farfelue ou naïve d’un juif idéaliste, mais la réflexion d’un écrivain, celle d’un homme mûr, réflexion que des millions de femmes et d’hommes partagent : Israël se doit d’éradiquer le cancer linguistique dont se servent les antisémites de tout acabit, en ces appellations illégitimes Palestine et Palestiniens. STOP À L’USURPATION DE NOTRE IDENTITÉ. Bientôt et avec la complicité galopante des ronds de cuir antisémites de l’Unesco, l’entité terroriste Fatahamas parviendra à ses fins.
Si vous le voulez, ce ne sera pas un rêve, a dit Theodor Hertzl. Celui qui ne croit pas aux miracles n’est pas réaliste, a ajouté David Ben Gourion. Qu’attendent les chefs d’État d’Israël pour mettre la dernière pierre à l’édifice qui consolidera à jamais sa légitimité et d’en saisir le Tribunal international de justice de La Haye ? S’il fallait ajouter une citation, la voici, elle est d’Albert Camus : « Mal nommer les choses ajoute au malheur du monde. » À quand un projet de loi à la Knesset, et dont voici les grandes lignes surgies de la tête d’un écrivain tel que moi, farouchement sioniste ?
1- Palestine et Palestiniens sont des appellations tirées de Philistie et Philistins. La Philistie était un État fondé par les Philistins (un des peuples de la mer) vers 1200 avant l’ère chrétienne et situé sur la côte méditerranéenne autour des villes de Gaza et Ashkelon. C’était une confédération de villes, ainsi que l’attestent nombre d’historiens. Les Philistins pratiquaient des sacrifices humains. Leurs idoles se nommaient Dagon, Baal et Astarté.
2- Ils furent en conflit avec le royaume d’Israël, notamment sous le règne du roi d’Israël David.
3- Environ dix siècles avant l’ère moderne, ils disparaissaient ou se fondaient dans des nations environnantes.
4- L’empereur romain Hadrien, dans les années 135 à 138, remplaça le nom d’Israël par Palestine, afin d’effacer toute trace de présence juive.
5- Cette destitution d’identité a perduré durant les périodes d’occupation de la terre d’Israël par les Assyriens, les Babyloniens, les Perses, les Grecs, les Romains, les Sassanides, les Byzantins, et autres. Mais la présence de Juifs en Israël n’a jamais cessé.
6- Les grandes figures juives, Theodor Herzl, tout comme les artisans de la renaissance de l’État d’Israël, n’ont pas songé à rendre caduque les appellations Palestine et Palestiniens.
7- Les arabes vivant aujourd’hui sur le territoire de l’ancienne Philistie ne sont pas les descendants des Philistins, ils proviennent de l’Arabie. Leur religion est l’Islam.
8- Palestine et Palestiniens (Philistie et Philistins) sont des noms usurpés par Arafat, dès 1967, afin de légitimer la restauration d’un État et d’un peuple qui n’existent plus.
9- Israël a accepté ce consensus d’appellation sans prévoir que cette appropriation nuirait tant à son identité qu’à son existence.
10- Dans l’esprit d’une majorité de gens et de pays, les Palestiniens vivaient en Palestine avant les Israélites, et que le remplacement du nom Israël par Palestine se devait être définitif.
11- Or, Israël et les Juifs sont une entité qui perdure depuis plus 3000 ans, avec sa religion, ses coutumes, sa culture, son alphabet et une langue propre.
12- Ces réalités sont attestées au quotidien par tous les historiens et toutes les fouilles archéologiques.
13- L’entité terroriste Fatahamas développe une stratégie perverse à l’encontre d’Israël. Actuellement, elle consiste à grignoter le patrimoine historique d’Israël dans l’intention de l’en déposséder. Elle a comme alliés tous ceux qui sont hostiles à Israël et comme maître à penser l’Unesco.
14- L’entité terroriste Fatahamas veut être reconnue par l’ONU comme nation à part entière, bien qu’elle soit actuellement classée comme entité terroriste par l’ONU.
15- L’UNESCO a accepté cette entité terroriste dans son organisation.
16- L’entité terroriste, créée en 1967 par Arafat, veut inclure dans son patrimoine national des sites, des monuments et des personnages bibliques n’ayant rien à voir avec son histoire et qui, de surcroît, sont en contradiction et en conflit avec l’Islam.
17- COMPTE TENU DE CE QUI PRÉCÈDE, l’État d’Israël décide unilatéralement d’œuvrer pour corriger les malversations linguistiques de l’Histoire. Car elles représentent un danger constant et grandissant pour son existence.
18-ISRAËL réfute catégoriquement les appellations Palestine et Palestiniens.
19-Il APPARTIENT à l’entité terroriste Fatahamas de se trouver des appellations autres que Palestine et Palestiniens.
20-PAR CONSÉQUENT Israël utilisera provisoirement les appellations Arafatie et Arafatiens en place et lieu de Palestine et Palestiniens dans tous ses échanges administratifs et diplomatiques. Ceci, aussi longtemps que l’entité terroriste Fatahamas ne se sera pas octroyée ses propres appellations, comme très justement : Fatahamassie, pour Palestine, et Fatahamassiens, pour Palestiniens.
21-Puissent tous les amis d’Israël et des Juifs, les Juifs du monde entier commencer à utiliser le mots et expressions Fatahamas, Arafatie et Arafatiens et les faire rentrer dans leur langage politique.
Raphaël A. Lévy, auteur du roman L’HOMME QUI VOULAIT CHANGER LE MONDE (ISBN 2-89485-333-5)
@niou Je pense que la plupart des nations sont incapables – par antisémitisme structurel atavique – d’intégrer le fait que le peuple juif, conformément aux prophéties proférées il y a 2800 ans, ait reconstruit sa patrie antique et sa capitale éternelle Jérusalem, que l’Etat d’Israël soit classé aujourd’hui, après seulement 72 ans d’existence, comme la 8ème puissance mondiale et soit devenu le partenaire des grandes puissances telles que les USA, les BRICS et l’Arabie Saoudite, celles qui jouent dans la cour des grands. La jalousie morbide de dirigeants et de politiciens ignares pour les réalisations exceptionnelles d’Israël dans de nombreux domaines essentiels pour l’humanité suscite des haines qui font feu de tout bois, dont le fake “peuple palestinien” inventé par le KGB à la fin des années 60 et qui va peu à peu disparaître dans les oubliettes de l’histoire, comme tous les ennemis passés et présents d’Israël. Je conseille la lecture de l’article de Jean-Pierre Grumberg https://www.dreuz.info/2020/07/14/surprise-google-apporte-sur-un-plateau-la-preuve-que-le-peuple-palestinien-a-ete-invente-dans-les-annees-60/. Un sage d’Israël a dit : “Israël, peuple de l’éternité, ne craint pas une longue route”.
Ceci est l’un des meilleurs posts que j’ai lus sur le sujet depuis longtemps. Merci Monsieur. Je ne suis pas juif, mais suis toujours preneur quand il s’agit de vérités. Je trouve aussi qu’Israël illumine le Moyen-Orient et le rend même rassurant. Je souhaite à Israël d’exister aussi longtemps que la civilisation humaine existera sur la Terre en tant planète.
Merci au Raphaël G. Bouchnik-Chen, dont l’analyse est pertinente.
Tiens, j’ai une bonne nouvelle pour vous. UNIA, le brol belge des droits de l’homme et de l’égalité des chances qui dépend directement du Premier Ministre, en l’occurrence Mme Sophie Wilmès-Stone, elle-même juive, a fait son travail. C’est tellement rare que nous le rapportons ici:
https://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/cet-habitant-du-brabant-flamand-a-decore-sa-maison-de-symboles-nazis-il-est-condamne-a-une-peine-d-un-an-de-prison-ferme-1231315.aspx
Et un an ferme, ce n’est pas beaucoup, mais c’est du bon boulot quand même. Et quand c’est bien, il faut le dire aussi.
David Pasder, merci pour votre commentaire qui exprime toute la fierté du Peuple Juif !
J’ai lu dans l’après-midi, l’article de M. JP GRUMBERG et je me posais la question de savoir si les terroristes palestiniens, libanais et autres, s’intéresseraient autant à Israël s’il n’avait pas innové, développé et construit ce PAYS PUISSANT tel que prophétisé, mais si Israël était resté un désert…
Réponse : non et de façon structurelle ! Le seul moteur qui les anime : la haine et la jalousie. Leur contribution à l’humanité est en régression continue et ils restent figés, faute de capacité à s’adapter à un monde en changement perpétuel, au VIIème siècle. Une partie seulement du monde arabe établit, souvent secrètement et uniquement par pur intérêt, des liens avec Israël. Les raisons : 1- La menace létale de l’Iran chiite 2- La fin prévisible de l’ère pétrolière sous 50 ans qui laissera ces pays sans structure économique pérenne. Exemple : l’Arabie Saoudite, dont 85% des ressources financières sont basées sur le pétrole et le gaz. Ils ont compris qu’ils ne peuvent plus compter sur les grandes puissances (sauf en payant et cher) et qu’Israël a gagné grâce à D.ieu toutes les guerres que les pays arabes ont entreprises dans le but de l’éradiquer, est devenu “grâce” à cela un leader mondial dans le domaine sécuritaire et à réussi à transformer en 72 ans un désert sans eau ni ressources en la 8 ème puissance mondiale. Le secret : la foi, l’éducation, les valeurs de la famille, la démocratie, la justice, la morale, l’effort, le travail, la volonté de réussir et de contribuer à un monde meilleur.
Une solution pratique serait de s’intituler : « ISRAËL / RÉPUBLIQUE JUIVE DE PALESTINE », en sous-titre, comme on dit France / République française.
Cela leur couperait l’herbe sous les pieds…
Très intéressant point de vue sur un point précis de l’histoire de cette région : le choix de la continuité historique et spirituelle, avec l’adoption du nom “Israël “, plutôt que la continuité politique et diplomatique, avec celui de Palestine.
Si on y regarde de plus près, il paraît invraisemblable de croire qu’un peuple (le peuple dit palestinien) puisse se reconnaître dans un nom créé de toutes pièces par un peuple et un empire étrangers, en l’occurrence les Romains. Les noms de nombreux Etats ont été, au cours de l’histoire, des constructions politiques éphémères, tandis que les peuples s’inscrivent dans une réalité charnelle antérieure ou, en tout cas, indépendante des volontés étrangères. Mais là La dichotomie entre palestinien (1964) et Palestine (131 après JC si je me souviens bien) traduit un vide culturel et identitaire qui ne fait qu’illustrer les partis pris idéologiques de ceux qui veulent voir une continuité là où il n’y a rien de logique.
Le nom “Palestine” a été donné à la Terre d’Israël en l’an 135 par l’empereur romain Hadrien, destructeur du peuple juif et de Jérusalem. Le nom “Palestine”, dérivé du grec ancien Παλαιστίνη (Palaestina) est à l’origine l’antique Philistie, c’est-à-dire le pays des pirates Philistins (en hébreu Plishtim, c’est-à-dire “envahisseurs”…) arrivés de l’île de Crète il y a environ 4000 ans, puis remplacés par d’autres pirates originaires des îles de la Mer Égée il y a environ 3500 ans, donc des … Européens, rompus à l’art de la guerre. Ces populations ont entièrement disparu il y a environ vingt-sept siècles. Les Philistins s’étaient établis essentiellement sur la côte méditerranéenne dans les villes d’Ashdod, Ashkelon, Gaza et dans l’arrière-pays à Gat et Ekron et également dans le nord, en Galilée. Leurs méfaits et leur hostilité sont décrits dans le Tanakh (cf. Pentateuque, Livres de Josué, Samuel et Rois). Hadrien avait “rebaptisé” en 135 le Pays d’Israël “Palestine” et Jérusalem “Aelia Capitolina” afin d’éradiquer tout lien entre les juifs et leur terre ancestrale, le pays d’Israël.
En fait, l’emprunt apocryphe par les arabes migrants de travail, transformé artificiellement par le KGB en “peuple” ad hoc afin d’entraver le retour du peuple juif à sa terre et le transformer en colonisateurs, arrivés à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle des pays arabes avoisinants, attirés par les possibilités de travail offertes par les pionniers juifs, du nom de la Terre d’Israël durant 19 siècles, devenu en mai 1948 l’Etat d’Israël, est une nouvelle édition de la théorie de la substitution version islamique et est vouée à court terme à l’échec : tous les nations et empires, parmi eux des nations formidables, qui ont tenté de porte atteinte à Israël, son peuple, sa Torah et son pays, ont totalement disparu de la scène de l’Histoire, a fortiori, un “peuple” fiction. On peut contempler les vestiges de certains d’entre eux dans les musées.
@ David Pas-de-Calais
Merci pour ces précisions.
Attention à ce que l’ennemi ne vienne pas, pour la première fois, de l’intérieur, et soit plus difficile à vaincre car il anesthésie toutes les jeunesses. Je veux parler du gauchisme, du progressisme relativiste et droitdelhommiste, plus destructeur qu’un char romain ou un tank de Nasser. C’est notre défi à tous, conservateurs libéraux, en Europe, en Israël, aux USA.
Substituer au nom trois fois millénaire d’Israël celui de ‘Philistia’ lié à deux ennemis traditionnels d’Israël : les Philistins, ces ‘peuples de la mer’ peut-être originaires du nord de la Grèce, qui envahirent et occupèrent une petite bande de terre juive jusqu’au VIIIème siècle BC, et les Romains qui tentèrent de détruire le peuple juif en débaptisant leur terre, ce serait un comble !
D’autant plus que : “Après le viiie siècle av. J.-C., les populations de Philistins vaincus par David vraisemblablement s’assimilent et disparaissent en tant que peuple” (*).
Plus d’Empire romain depuis 16 siècles, plus de Philistins en Israël (ou ailleurs) depuis le règne du roi David, et on irait maintenant donner ce nom funeste à la Terre d’Israël ? Faites pas rire. David Ben Gourion avait bien raison.
De toute façon, quel que soit le nom choisi pour leur pays par les Juifs de retour chez eux, ça n’aurait fait aucune différence pour les Arabes déterminés à les rejeter à la mer.
(*) Wikipedia
ben gourion aurait proclamé l’indépendance de la palestine que tout le monde seraitaujourd’hui antipalestinien