Victimes de la barbarie rampante en France, le lynchage à mort du chauffeur de bus Philippe Monguillot, à Bayonne (59 ans) tué par Mohamed, mais aussi de la gendarme Mélanie Lemée (25 ans) tuée dans le Lot-et-Garonne par Yassine, mais également Thomas, poignardé par Rachid, et Caroline, agressée au couteau par un Libyen – pour ne prendre que les exemples les plus dramatiques de ces débuts de juillet – a fait réagir un conducteur de bus dans une grande ville de province.
Voici son témoignage.
Il y a de quoi ne plus être étonné de rien. La France est un pays en jachère complète, à l’abandon total. La société française est en état de putréfaction. Et je suis bien placé pour le savoir !
Le métier que j’exerce pour nourrir ma famille est un formidable poste d’observation. Comme d’ailleurs tous les métiers de service de base au contact direct du client, donc loin, si loin des cénacles directionnels, «marketant» et communiquant en boucle entre eux… et pour eux.
La dérive des comportements est bien là, présente devant nous, active même, à chaque strate sociale, chacune l’extériorisant, en quelque sorte, à sa manière. Le niveau intellectuel ou la situation professionnelle ne doit pas faire illusion : à chaque étage de l’édifice social les esprits et l’intelligence sont lobotomisés par les miasmes médiatiques.
Le matérialisme sous sa face la plus visible, la «course au fric» (pour mieux profiter des soldes mais aussi des vacances, du resto, du cinéma…), rend les gens complètement dingues. On dirait parfois des hommes préhistoriques qui n’ont pas mangé depuis plusieurs jours…
Les gens étaient déjà méchants, sans s’en apercevoir, car influencés par les séries télévisées, ou même certains programmes «ludiques» filmés sur quelque terre exotique.
Mais au fil du temps, épuisés, fatigués et comme assommés par tant de mercantilisme, les gens s’énervent, deviennent agressifs. Passé un début marqué par une sorte de sidération, l’épisode du confinement a révélé l’état de santé mentale de la population vivant en France (et non pas seulement de celle d’origine française).
Attirés par les illusions diffusées dans leur pays par le Net ou la télévision, de plus en plus de pauvres hères débarquent clandestinement en France pendant que d’autres profitent des largesses si généreusement offertes par les «lois de la république». Celles-ci sont habilement contournées et bafouées, autant pas les associations, organismes institutionnels et autres «sociétés de pensée», que par les élus qui les entretiennent : la pérennité de leur situation en dépend (au détriment des contribuables).
Et puis, il y a les «nés ici qui ne sont pas d’ici». Les «Français de papier»… authentiques dégâts collatéraux de la politique dite du «regroupement familial». Ses incalculables conséquences, apparues successivement au fil du temps s’ajoutent et se juxtaposent, au détriment tant de la société française que de tous les «candidats à l’immigration» attirés par les mirages du matérialisme occidental.
Parallèlement, une génération (et même deux aujourd’hui, depuis le temps que cela dure) traîne dans les rues ; jeunes issus de familles modestes brisées par le chômage et déchirées par le divorce du fait de l’argent (d’où une instabilité tant matérielle qu’affective). N’ayant sans doute jamais ou très peu vu leur père aller travailler (et révoltés par les conséquences du libéralisme), ils n’ont jamais voulu y aller à leur tour. Mais aussi jeunes bourgeois «en rupture» avec le «système» (comme ils se plaisent à le dire) ou avec leur milieu familial au sein duquel, par-delà les dérives résultant de la course au paraître et l’éclatement des foyers, règnent les discours convenus sur la rupture, instrument du progrès et autres logorrhées du même tonneau sur la justice, l’écologie, le social, et le climat… Et puis, pour ces intermittents de tout acabit, c’est tellement facile d’aller «à la cloche» quand les parents assurent derrière !
Seulement, le monde est rude. Il fait peur… Il y a de la violence dans le monde… Alors on trouve un chien, pour se défendre, ou attaquer, puis deux. On rencontre d’autres marginaux. On se regroupe par affinités, on finit par former un clan. On s’installe devant ou dans les halls de gare ou autres lieux, tant que la police n’y vient pas. On se nourrit en passant à la fin des marchés, quand on n’a plus de thune pour acheter de quoi béqueter (le cannabis, ou plus si affinités, n’a jamais apaisé un estomac vide…).
Tous «ont la haine». De qui ? De quoi ? A peine sont-ils capables de le dire autrement qu’en enfilant les lieux communs dégoulinant des canaux médiatiques. Tous, pour manifester leurs ressentiments, cette haine qu’ils cultivent au fond d’eux-mêmes à l’encontre de la société, laquelle, soi-disant, leur doit des comptes. C’est pourquoi, par besoin de reconnaissance, pour montrer qu’ils existent, ils usent de provocation ; tiens, on va le «tester», celui-là.
«Celui-là» sera donc un clodo, un marginal (comme eux, mais isolé)… Ou quelqu’un d’autre, un «Français de souche», forcément seul (donc sans défense, ce qui en fait une proie facile pour des lâches). Un conducteur de bus, par exemple…
Assurant une mission de service public (comme on dit) celui-ci représente les pouvoirs publics, donc une forme d’autorité. Cette autorité perçue comme une offense à la liberté. La liberté comprise comme le droit absolu de faire tout et n’importe quoi, n’importe où, n’importe quand, n’importe comment.
Après tout, ces asociaux, dans un pays de liberté, dans le «Pays des Droits de l’Homme» (que le personnel politique, surtout celui se revendiquant «de gôche», n’appelle jamais la France mais «ce pays» ou, plutôt, «la République»), ils ont bien le droit de se déplacer, non ? Les autres (ça les regarde) paient leur ticket, mais eux ne sont pas obligés puisque pour eux le transport est un droit. Après tout, qu’est-ce que ça lui coûte, au conducteur ? Il est là pour conduire : «Tais-toi et roule !».
Son métier de conducteur-receveur (c’est ainsi qu’on l’appelle) consiste aussi à vérifier que les clients montant dans l’autobus possèdent bien un titre de transport et le valident ; il y a aujourd’hui bien longtemps que plus aucun ne se retourne pour rappeler les règles. Au respect de la fonction a succédé l’expression parfois violente d’une rébellion généralisée.
Il en va évidemment de même ces temps-ci pour le port du masque, pourtant obligatoire : tout le monde voit bien que la moitié des passagers le mettent une fois montés, quand d’autres se contentent de le placer sous le menton. Et il y a toujours les réfractaires à toute règle, ou tous ceux -pas forcément les mêmes- qui montent délibérément visage nu, exprès, pour voir comment va réagir le conducteur (ou la conductrice). Cela se voit dans leur regard.
Le provocateur patenté est prêt à l’affrontement. Pas l’autre, le conducteur, qui pour l’éviter, soucieux de travailler en paix et de rentrer chez lui indemne, regardera ailleurs.
C’est maladif chez lui : cet instable provoque sciemment pour déclencher une réaction. Il suscite délibérément le prétexte à un affrontement pour établir un rapport de force, un rapport de domination.
Il agit de préférence toujours en meute. Jamais seul. A moins de sentir la présence de semblables à proximité. En situation difficile pour lui, risquant de perdre la face (devant tout le quartier, suprême humiliation !), l’individu hurlera «nique ta mère !» en guise de signal de détresse lancé pour appeler du renfort. Vous savez, ce cri de ralliement bien connu parmi d’autres gentillesses du même genre, généralement situées au-dessous du niveau de la ceinture ! Il tentera même de faire croire auprès des «siens» que c’est lui qui est en difficulté, menacé, victime.
Alors, il arrive qu’excédé par les conditions dans lesquelles il assure son service (conditions météo, de circulation, incivilités dans le bus et en-dehors…), le conducteur de bus «pète un câble». C’est l’extrémité que redoutent tous ceux exerçant ce métier parce que c’est précisément celle qu’il faut éviter. Les conseils prodigués en interne par des gens visiblement pas concernés ne résolvent pas le problème. Certes, la pratique d’un sport ou d’un autre loisir permet de décompresser. Mais les aléas de la vie étant les mêmes pour tout le monde, heureux sont les professionnels qui vivent sans soucis de santé ou familiaux, ni sentimentaux ou matériels !
En réalité, il ne reste qu’un seul et unique moyen de s’en sortir : se taire pour ne pas tomber dans le piège. Or ce silence est perçu par l’adversaire comme un quitus : si le conducteur se tait, c’est qu’il n’a rien à dire. Ou bien qu’il a peur. De toute façon il a tort, parce qu’il est faible.
Voilà comment, méprisée, la grande majorité du peuple de France se laisse humilier.
Le drame qui s’est produit à Bayonne aurait fort bien pu arriver ailleurs.
Moult agressions comparables se sont déjà produites depuis tant d’années, sans mort d’homme comme celle-ci. Nombreux sont ses collègues dans la profession ayant été confrontés au moins une fois à pareille situation, et sont quotidiennement «testés»…
Nous venons surtout de passer un cap. La France vient de passer un cap.
Complètement désintégrée et livrée à la barbarie, la Nation française s’est littéralement «factionnée». Les beaux esprits (ceux des fameux «milieux autorisés» si chers à un humoriste disparu) nous vantent un «vivre ensemble» aussi farfelu que virtuel, à des années-lumière de la réalité d’une mosaïque où se juxtaposent clans, factions, ensembles et sous-ensembles s’alliant au gré des intérêts du moment. Si nécessaire à l’appel des médias.
Il n’y a plus de nation ni de peuple, de personnes vivant unies dans un cadre commun. Il n’y a plus que des groupes. Minoritaires, communautarisés, plus ou moins mafieux, en compétition entre eux pour un marché, un territoire, ils vivent chacun selon leurs codes. Ces codes qui finissent par primer sur la loi, laquelle, établie pour garantir ce qui est commun à tous, leur est extérieure, étrangère. Les codes du groupe permettent de prendre l’ascendant au moyen du nombre pour s’imposer par la peur. Et ça les bobos, ‘y connaissent pas ! Normal, ‘y vivent à l’écart, là-bas dans leurs beaux quartiers. Quand ils apprennent que cela existe, ils ne veulent ni voir ni entendre. Surtout pas : «c’est parce qu’il y a du racisme !».
Tous ces malfaiteurs constituent le prolétariat du mondialisme. Ces fantassins sont entretenus avec nos impôts par et pour le compte de la bourgeoisie mondialiste qui, en les exploitant, se bat pour se maintenir dans les bons réseaux, ceux qui confèrent place et visibilité.
Tous ces parasites qui pullulent dans les «cités» ou sur les places des centres-ville sont incapables de réaliser que leur force de nuisance est nécessaire à certaines castes politiques. Hélas pour elles, ces dernières se retrouvent dans la posture de l’apprenti sorcier : ce qu’elles ont créé leur échappe de plus en plus. Et il est déjà trop tard.
Déjà en 1986, après cinq ans de mythe-errant-disme (préparés par sept ans de «libéralisme avarié», tellement il était «avancé»), je clamais à qui voulait l’entendre que la France était devenue un pays en voie de tiers-mondisation. Elle semblait filer vers le Tiers-Monde, non pas tellement poussée par la promotion de l’universalisme néocolonial des «Droits de l’Homme» mais bel et bien en route pour en faire partie ! Nous y sommes en plein…
Depuis que, les médias «éduquent» ce qui fut appelé il y a peu encore «l’opinion publique» à coup de «pour mieux vous faire comprendre» et «voilà ce qu’il fallait retenir de l’actualité de ce jour», jamais nous n’aurons été entourés par autant de ces esclaves des forces maléfiques qui s’abattent sur eux sans qu’ils s’en aperçoivent.
Il en va de la liberté comme de la terre de France : le terrain perdu ne se regagne pas, sinon, au terme d’un effort de résistance exigeant d’immenses sacrifices au prix du sang et des larmes mais qu’un peuple préoccupé de jouissances n’est pas prêt à consentir.
Tandis que les déconstructeurs, à pied d’œuvre, s’attaquent aux poutres maîtresses, l’avenir de la France s’assombrit, dans tous les sens du terme.
En attendant, la guerre civile est latente. Par certains aspects, elle est même déjà commencée.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Buffière pour Dreuz.info. (Ce n’est pas son vrai nom, il a souhaité garder son anonymat, signe que la situation est explosive et dangereuse).
Excellente analyse ! Tout est dit.
oui et en plus c’est très bien écrit !!!
Pour un conducteur de bus, c’est une analyse clairvoyante, très bien exprimée qui devrait faire honte aux journaleux, propagandistes et politicards qui détruisent la France depuis 45 ans.
Un peu péjorative la réflexion : « pour un conducteur de bus » !…
Oui tout est dit , dommage que nos dirigeants ne voient rien , ne comprennent rien et laissent notre Pays se décrépir .
C’est bien de la faute des blancs , ces colonisateurs , ces esclavagistes et la vengeance est légitime , à leur tour de devenir esclaves !!!
” dommage que nos dirigeants ne voient rien , ne comprennent rien” – non : ils voient et comprennent parfaitement !
ixiane, j’espère que vous plaisantez lorsque vous dites que c’est la faute des blancs ou bien je pique une colère ” noire ” !!!!!!!
La France est en train de se déliter, lentement mais sûrement, depuis des décennies. Décadence, déliquescence, elle me fait penser à un bateau dont la coque craque de toutes parts ; il tient encore à peu près l’eau, mais pour combien de temps ? Quand ça va vraiment craquer, quand l’eau va s’engouffrer à flots, qu’arrivera-t-il ? France Orange Mécanique, nous y sommes presque.
Le délitement et l’ensauvagement de la société à tous les niveaux sont quand même impressionnants ; c’est arrivé en quelques décennies de laxisme, de relativisme, de consumérisme engourdissant. Éducation Nationale en perdition, justice sinistrée, services publics déglingués en proportion de leur obésité, discours officiel orwellien, déconnecté des réalités, rempli de dénigrement de la France, déconstruction de la cellule familiale, fracture générationnelle, invasion migratoire, communautarisme islamique, et bien sûr, égoïsme et violence omniprésents… tout part en eau de boudin dans ce pays – et pas seulement en France, puisque toute l’Europe de l’ouest est touchée ; mais la France est quand même en pointe.
La barbarie revient en force, et qui mieux que ceux qui n’ont jamais vraiment connu la civilisation s’illustre particulièrement dans ce contexte, quand il s’agit de se comporter en barbare ? Quelle folie chez beaucoup de Français que de refuser de voir ce qui nous pend au nez !
Nous ne sommes pas encore en guerre civile et/ou de sécession (de la part des islamistes/indigénistes), mais il me semble évident que ces attaques qui se multiplient, de plus en plus violentes, meurtrières, visent à nous faire réagir ; qu’un citoyen excédé fasse une descente dans un de ces quartiers et abatte plusieurs racailles, et ce sera le signal que beaucoup attendent, et l’embrasement, dont nul ne peut prédire l’issue. Il me paraît juste évident que nous nous en approchons à grands pas.
“France Orange Mécanique, nous y sommes presque.”
Lourde erreur d’analyse cher @Jacques. Il n’y a pas de presque. NOUS Y SOMMES.
Dès la fin du confinement, les indigénistes et les gauchistes ont sonné la charge contre l’ordre et la loi, leur égérie Assa Traoré (du gang Traoré) en tête.
La nomination du Ministre des Racailles (acclamées par elles dès sa première sortie) Dupond-Pourretti en est un autre signe. Elle suivait la libération de 15000 oranges mécaniques dans la nature par la s… Belloubet, elle aussi une groupie des racailles, en particulier musulmanes.
Laurent Obertone l’avait annoncé. Nos dirigeants (?) l’ont fait
Excellente analyse, lucide et d’une rare pertinence.
Et aussi d’une qualité de réflexion et d’expression qui fait honte aux bavards patentés des merdias, journaleux, politologues et mêmes universitaires “experts”, spécialistes de la spécialité qui jargonnent dans un affreux sabir, une novlangue de “petit nègre”.
Encore plus humiliant pour eux, venant d’un humble chauffeur de bus. M. “Buffière” s’exprime en effet bien mieux que 99% des gens dont c’est hélas la profession…
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Vous écrivez à juste titre : “Il n’y a plus de nation ni de peuple, de personnes vivant unies dans un cadre commun. Il n’y a plus que des groupes. ”
C’est exactement cela, en revanche je n’appellerais pas cela simplement des “groupes”, terme sociologique par trop neutre : ce sont des bandes, en anglais “gangs”. Et donc littéralement des gangsters.
On peut aussi parler de meutes, car il s’agit de prédateurs. Cela rend bien aussi leur côté souvent informel et peu organisé de groupe spontané et temporaire, autour d’une solidarité ethnique de principe lorsqu’il s’agit de prendre la défense d’un “frère” ou d’un semblable de circonstance – occasion surtout de laisser éclater sa violence sur autrui sans craindre trop de conséquences de la part de juges très compréhensifs des “difficultés” de ces populations.
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Des crétins éblouis et même aveuglés par une idéologie humaniste de pacotille, fausse, rêvent d’un formidable et merveilleux vivre-ensemble au sein d’une extraordinaire et idyllique société multiculturelle joyeusement “métissée”.
Tout ce qu’on voit se former comme résultat de leurs expériences d’alchimistes fous et d’apprentis-sorciers, c’est un amas nébuleux, une juxtaposition d’individus de plus en plus éclatée, fragmentée, désagrégée et surtout anomique (sans règles), sans autre loi que celle du plus fort, un monde à la Mad Max.
Plus ces crétins récitent leurs mantras incantatoires sur le “vivrensemble”, plus la réalité les dément et s’en éloigne irrémédiablement (à moins que la causalité ne soit en sens inverse).
Comme aime à le répéter Zemmour, “Dieu se rit des hommes qui déplore les effets dont ils maudissent les causes”. C’est le mantra (un vrai mantra cette fois), le leitmotiv qui convient le mieux à l’époque.
Depuis les années 80,les gouvernements successifs ont appris à toute cette génération qu’ils ont des droits, mais pas de devoirs, hors l’un ne va pas sans l’autre, il suffit d’écouter les Traoré, le Cran etc etc
Pour ce qui concerne la tribu Traore, je suis consterne de constater que nombre de medias font ce qu’ils peuvent pour tenter de faire de la cheftaine Traore une vedette politique. Ces gens devraient, au contraire, tout faire pour essayer de se faire oublier: les Francais ont-ils oublie que l’immonde tortionnaire et asssassin de Sarah Halimi fut Kobili Traore, dispense d’avoir a repondre de ses crimes par une magistrature (ne disons surtout pas: une justice) penetree d’ideologie “de gauche” comme on dit. En realite, une magistrature ayant fait fi de tous ses devoirs, et attachee principalement a la defense des assassins. Le nom “Traore” semble ne susciter aucun souvenir de l’assassinat de Mme Halimi chez la quasi-totalite des Francais. Malheureusement, le mot “Francais, vous avez la memoire courte” a deja ete utilise. Il s’appliquerait parfaitement a la quasi-totalite des journalistes, dont la memoire du temps present est pourtant la seule des maigres competences que l’on serait en droit d’exiger.
Comment voulez-vous que les Français sachent pour Kobili Traore alors que les médias soumis à l’idéologie immigrationniste et amoureux des musulmans ont soigneusement évité d’en parler?
Silence absolu pendant des mois pour commencer. Il a fallu toute l’insistance des organisations juives pour que quelques articles discrets soient furtivement consacrés à l’affaire Halimi. Les médias en ont vraiment parlé à reculons.
Il est vrai que cette affaire avait tout pour leur déplaire : certes le meurtre était antisémite, mais fort malheureusement il ne s’agissait pas d’un identitaire d’extrême-droite échappé de la “fachosphère”, mais d’un immigré noir et musulman. Une victime ontologique… Vraiment pas de chance. Si cela avait été un néo-nazi, on y aurait eu droit jour et nuit jusqu’au deuxième tour…
Et surtout, cela tombait fort mal : deux mois avant l’élection présidentielle! En parler, c’était “risquer” les “amalgames”, la “stigmatisation” des musulmans et des immigrés par nature innocents et surtout, horreur suprême, de “faire le jeu du Front National” [les disques rayés gauchistes n’ont toujours pas intégré que le parti a changé de nom, les réflexes pavloviens une fois acquis ne se prêtant guère au changement]
oui et en plus c’est très bien écrit !!!
heureusement que mon grand age m’épargnera de voir la fin de cette civilisation ouest occidentale
L’article est rondement bien amené vers sa conclusion finale : la guerre raciale déjà commencée ( plus tard, les historiens débattement de la date de départ, comme on débat de 1936 ou 1939). Il part d’abord du constat du matérialisme et de l’hédonisme qui préparent un peuple à perdre de vue le sens de ce qui est essentiel : non pas son dernier restau ou son dernier achat, mais son identité, ses moeurs, ses règles de vie.
Il n’oublie rien, ni les aveugements, ni les profiteurs, ni les incompétences. Bref, un bon diagnostic.
“Il en va de la liberté comme de la terre de France : le terrain perdu ne se regagne pas, sinon, au terme d’un effort de résistance exigeant d’immenses sacrifices au prix du sang et des larmes mais qu’un peuple préoccupé de jouissances n’est pas prêt à consentir.”
Tout est dit dans cette simple phrase. J’ai un temps rêvé d’une Résistance comparable à celle de nos valeureux aînés de la Seconde Guerre mondiale. J’ai seulement omis que trois générations ont passé depuis et que celle d’aujourd’hui n’est en rien comparable à celle de 39-45.
Cette génération d’aujourd’hui fait honte — et le mot est faible — envers tous ceux qui ont payé très cher notre liberté, complètement dévoyée en ce début de 21ème siècle. Il suffit de lire les commentaires sous les articles des médias généralistes aux ordres pour en mesurer l’affligeante indigence, l’absence totale de la moindre réflexion. On se contente de surfer sur les vagues émotionnelles dûment soulevées par la clique politico-médiatique et… point/barre ! Des perroquets plus stupides encore que leurs semblables à plumes…
Et, bien évidemment, hors de question de se poser la moindre question sur ce que va devenir ce pays. On s’en fout royalement. Pour l’heure, ce qui importe, c’est de faire la bringue à la plage et… point/barre ! Pendant “l’ivresse” estivale, les chevaux de Troie que sont les zones de non-droit “préparent” la rentrée.
Elle va être jojo la rentrée ! Entre les fourches Caudines du covid-19 et la multiplication exponentielle des “incivilités” meurtrières un peu partout, c’est malheureusement là qu’on va mesurer le niveau dramatique de l’inconséquence des gens. Jadis, face à de telles menaces, il y a belle lurette qu’on aurait employé, arme au poing, la force la plus radicale pour remettre le pays dans le bon sens et les pieds sur terre à tous ces abrutis. Ah certes, au prix de très nombreuses victimes. Aujourd’hui, personne ne bougera le petit doigt, personne !
Et plus le temps passe et plus mon rêve de voir une nouvelle Résistance se lever, se transforme en vapeur qui passe. Le néant…
@ Nivred92
Cette phrase m’a aussi frappée par sa justesse. Quel homme politique serait encore capable de parler ainsi ?
le changement c’est nous ce n’est pas l’autre ou l’autre génération….
le mal dévore à la racine . école gaucho ,parents bobo , media gaucho, hyperconsumerisme… êtes vous prêts à vous battre ? à perdre vos biens… ce qui n’est qu’une question de temps. on a fait de nous des lâches dont je fais partie.
je vote mais je perds depuis 30 ans quelle est la solution ?
J’aurais 40 ans de moins (j’en ai 71), sans doute chercherais-je à motiver les jeunes pour sortir leur tête du sable et les exhorter à entrer en résistance. Mais que reste-t-il en terme de neurones valides dans leur cervelle lobotomisée ?
Ce n’est plus à des “vieux” comme moi de jouer au va-t-en-guerre, je n’en ai plus les forces. Les Résistants de la Seconde Guerre mondiale étaient des jeunes, entre 18 et 30 ans, intrépides et ultra déterminés, sachant parfaitement que la mort les attendait en embuscade à chaque coin de rue, surtout pour les imprudents.
Vous voyez, vous, une génération de cette fourchette d’âges prêts à s’engager de la sorte aujourd’hui ? Evidemment non ! Il suffit d’entendre ces décérébrés pour se dire qu’il n’y a quasiment aucun espoir de voir une quelconque résistance émerger en France.
@ Nivred92
Il n’y a pas d’âge pour faire ce qu’il faut, quand il faut. Et il y a bien d’autres façons de se battre en dehors de la confrontation physique.
On est bien d’accord. C’est ce que je tente de faire avec mes modestes moyens !
Quand cette jeunesse se trouvera sous le feu d’une kalachnikov, quand leurs épouses, leurs mères, leurs soeurs seront violées et leurs pères leurs frères leurs cousins seront décapités, ils seront dans l’obligation de descendre dans la rue pour liquider la racaille. Un seul mot d’ordre : T.S.M (tout sauf macron)
Rappeler moi ce que dénonçait le Front National de puis plus de 30 ans ? Droite et gauche vous n’avez fait que voter contre cette partie identitaire et nationaliste de la France. Et maintenant toute la classe politique qui se compromet avec les indigénistes , et les racistes d’origine étrangère et les islamistes, et vous trouvez cela étonnant ? Même si on m’envoie pèter avec mon poste vous savez fondamentalement que le peuple de France nourri à la repentance et aux droits de l’homme format ONU et complexe de Stockolm continuera à se soumettre à son bourau et à nourrir cette hydre en disant surtout pas de FN ni d’Identitaires. Les carottes sont cuites, arrêtés de vous étonner, de découvrir une situation plus que merdique à la mode Castex-Macron. Peuple de France nous sommes Tous des veaux et tous dans la merde !
Chapeau pour cet auteur qui a osé craché toute la vérité dans cet article paru ce jour où un terrible attentat terroriste purement islamiste vient d’avoir lieu à Nantes: l’incendie de la belle cathédrale, ce grand joyeau de la ville. Sans tergiverser, il faut que tous les Français sachent que les barbares ont déjà mis en application leur stratégie pour imposer “La gestion de la barbarie musulmane”. Les stratèges islamistes avaient déjà conçu cette stratégie qui consiste à créer le chaos, paralyser les appareils des forces publiques, démoraliser la population, détruire l’Occident, à commencer par la France, et s’imposer par la force. Si les responsables politiques de gôche comme de droite qui ont diabolisé depuis plus de quarante ans ceux qui les mettaient en garde contre le péril islamique, n’ont pas voulu comprendre cette stratégie, ils se trouvent maintenant devant l’amère réalité. Eh bien, la mafia islamique a atteint son objectif: ou bien l’Occident se soumet à leur diktat, ou bien la guerre civile meurtrière va continuer à s’imposer pour l’achever et s’approprier de tout. C’est la stratégie de l’islam. Seuls les idiots-utiles de droite comme de gauche continuent à complaire contre leur propre pays et à occulter la vérité frappante et suicidaire.
Vrai
….”Depuis que, les médias «éduquent» ce qui fut appelé il y a peu encore «l’opinion publique» à coup de «pour mieux vous faire comprendre» et «voilà ce qu’il fallait retenir de l’actualité de ce jour», jamais nous n’aurons été entourés par autant de ces esclaves des forces maléfiques qui s’abattent sur eux sans qu’ils s’en aperçoivent.
Il en va de la liberté comme de la terre de France : le terrain perdu ne se regagne pas, sinon, au terme d’un effort de résistance exigeant d’immenses sacrifices au prix du sang et des larmes mais qu’un peuple préoccupé de jouissances n’est pas prêt à consentir”…
Très bonne synthèse du “pourquoi on en est arrivé là” et de ce “que la meilleure chose à faire” pour sortir de là !
Cela aurait pu se passer ailleurs.
A Paris, les conducteurs de bus prennent le contrepied et s’amusent. A Paris:
Tel celui ci (ligne 85) qui passe devant les stations sans s’arrêter pour prendre les gens qui attendent;
Tel autre au Nord et banlieue Nord qui s’arrête, attend de préférence des petits vieux, puis ferme sa porte au moment où ils arrivent a la toucher.
Ce sont les bons qui prendront pour les mauvais. Car ces voyageurs ont peut être des enfants qui ne cherchent que lq bagarre!
Mon respect à l’auteur de cet article qui a l’intelligence et le courage de regarder la vérité en face et de témoigner. Et qui de plus nous fait le plaisir d’écrire en Français.
La seule chose dont les Français ont désespéremment besoin, c’est d’un chef pour rallier les forces éparses (sans doute en petit nombre, mais ce n’est pas la quantité qui compte, c’est la qualité) prêtes à la révolte. Il faut prier Dieu qu’Il en suscite un pour cette malheureuse France, comme Il l’a fait si souvent au cours de l’Histoire, et pas seulement pour la France.
Atikva, si on croit les confidences de Philippe de Villiers, son frère, le Général de Villiers “se prépare “. J’ai toujours soutenu Philippe mais que pensez de Pierre ? Aura-t-il le courage d’aller à l’encontre des pressions lgbt, islamophiles, écologistes racialistes et bien pensantes pour tenir un discours de vérité ?
@ Fleur de Lys
Désolée, mais j’ai perdu depuis longtemps tout intêrêt dans les divers candidats au pouvoir en France (je passe déjà beaucoup de temps à tenter de me faire une opinion sur ceux d’Amérique) et je ne connais MM. de Villiers que de nom. Même avant ma naturalization je ne votais plus en France, persuadée de l’échec de la Vème République.
Mais arrivée au point où en est la situation en France, il faudrait que le candidat parvenant au pouvoir ait déclenché un enthousiasme tel parmi la population qu’il lui permette de tout balayer (en commençant par l’UE), pour remettre la maison France à l’endroit.
Excellent témoignage, excellente analyse. La mort atroce, barbare, de ce chauffeur de bus de Bayonne – mes condoléances bouleversées à sa famille – est un signe de plus, non des moindres, de l’irréversibilité du processus dans lequel la France est engagée. L’édifice tient encore, car il a des siècles de règles, de structures patiemment édifiées par le peuple, mais il est vermoulu, craque de partout, et s’effondrera comme un château de cartes. La passivité ou complicité des élites politiques ou autres, la prostration non moins grande du peuple assommé, anesthésié par des décennies de propagande démentielle dans nos écoles et nos lycées, ne laissent malheureusement pas augurer une réaction capable de remonter le courant avant l’effondrement. Je l’ai cru, je n’y crois plus. Voyez ce qui arrive à ces malheureux jeunes de Génération Identitaire. Au moindre geste, si innocent soit-il, comme sortir une banderole, l’appareil d’Etat leur tombe dessus pour les écraser et empêcher toute velléité dans la jeunesse de les rejoindre. Le processus électoral ne permet aucune alternance, si bénigne soit-elle. La manière dont Fillon a été écarté, dont le peuple a été volé, produisent leurs effets destructeurs. La nomenklatura socialiste française a réussi à se maintenir au pouvoir par ce putsch extraordinaire, hallucinant, du printemps 2017. Or tout se paie cash un jour ou l’autre dans l’Histoire. Le réveil se fera au sein du peuple français, c’est inéluctable, mais il se fera non avant l’effondrement, mais au sein même du chaos qui arrive et nous guette. Cela va diminuer beaucoup ses chances de vaincre. Mais cela ne les supprime pas, s’il se fait en s’organisant avec clarté et détermination. Je suis d’accord avec Atikva. La victoire n’appartient ni aux plus forts, ni aux plus nombreux, disait Davout à la bataille d’Auerstaedt, mais aux plus obstinés. En ce sens, l’existence d’un site comme Dreuz et quelques autres est décisive, car la fermentation dans les esprits par la parole libérée, précède et nourrit le réveil. C’est le destin de la France dans son histoire de descendre souvent au plus profond de l’abîme, avant de remonter toujours. Son caractère absolu, qu’on retrouve dans sa langue, sa philosophie, ses hommes et ses femmes, lui interdit décidément la voie de la réforme pragmatique, c’est, à jamais, tout ou rien. Espérons qu’il en sera ainsi encore une fois, après tant d’autres : du désastre de Vercingétorix à celui de 1940, sans oublier Charles VI le Fou, les Guerres de Religion, la Terreur révolutionnaire, l’effondrement du second Empire, et j’en passe. Tôt ou tard, viendra un homme ou une femme courageux qui se porteront à la tête d’un tel mouvement et lui permettront de vaincre cette barbarie envahissante, venue d’un autre âge.
Merci Siloë, j’adhère totalement à votre espérance, celle de notre peuple.
Tres belle analyse . Tout y est . Une écriture sans faille qui nous confirme des jours sombres .
Pendant le confinement, j’ai vu dans les rues, des jeunes brûler des véhicules en bafouant complètement les autorités !!! alors qu’en même temps des agriculteurs brûlaient leur production par manque de main d’oeuvre !! N’y a t-il pas une aberration dans tout cela? Je me souviens que pendant les vacances, j’allais travailler, d’autres faisaient les vendanges…..
Après la guerre, nos parents leur ont ouvert les bras à ces gens par manque de main d’oeuvre ???? Ah bon !!!! Mais depuis, nous payons pour leurs allocations. Ils foutent la pagaille dans les quartiers. Allez voir dans les villes du sud, pour voir tout ce qui se passe. Ils reçoivent des allocations, en vois-tu, en voilà… Ils nous narguent sans arrêt. Ils ennuient nos filles qui ne peuvent plus sortir seules ? Aujourd’hui, ce sont nous et nos enfants qui payons….. Pendant combien de temps encore ? Dîtes-moi !!!! pendant combien de temps encore ???
Pendant ce temps, ceux qui nous dirigent ce réfèrent au Général de Gaulle, tous hommes de gauche comme de droite. Mais peut-on parler d’un homme qui est mort depuis longtemps et peut-on parler sur ces idées ???? Ne peuvent-ils avoir des idées ces gens-là, eux qui se pavanent toute la journée dans leur orgueil, leur intelligence surdimensionnée et leurs compétences diplômantes vaniteuses !!!
Merci pour cet article intéressant et facile à lire, deux valeurs qui sont bien rares aujourd´hui! Un signe des temps, l´écriture est devenue si “tortueuse” qu´en fin de compte on n´a rien compris! Et courage à toutes ces personnes qui font encore tourner la machine malgré les risques ostensibles!
La solution ?
Armer tous les citoyens pour qu’on puisse se défendre, ou au moins, menacer pour se sortir d’une situation désespérée.
Ce sont les américains qui ont raison
isis dit: c’est exactement ce que les jeunes recherchent, l’affrontement,
ce qu’ils attendent avec impatience, comme çà ils diront qu’ils n’ont rien à se reprocher
c’est les autres qui ont commencé et ils n’y sont pour rien.