Publié par Dreuz Info le 23 juillet 2020

New York : Une jeune femme noire a été filmée en train de recouvrir de peinture noire la fresque Black Lives Matter (BLM) peinte au sol devant la Trump Tower.

On l’entend crier : «BLM s’en fout des vies noires ! Ils veulent abolir la police. Non ! Refinancez notre Police… Nous voulons notre police !».

Il est intéressant de voir la difficile position des policiers, soutenus par cette jeune militante, alors qu’ils doivent en même temps faire leur métier, faire respecter la loi, et l’empêcher de dégrader les lettres et protéger l’organisation qui veut leur destruction !

Mais ils ne pouvaient pas laisser faire Bevelyn Beatty, une militante chrétienne conservatrice, après qu’elle ait jeté une boîte de peinture sur la fresque “Black Lives Matter” peinte sur la Cinquième Avenue de New York par le maire communiste de Blasio juste en face de la Trump Tower.

Toute la semaine précédente, des militants ont jeté de la peinture sur cette fresque controversée. Il y en a eu au moins trois rien que cette semaine.

  • Des activistes ont été arrêtés alors qu’ils répandaient de la peinture bleue en criant “Blue Lives Matter” en référence à la police.
  • Sur Twitter, le hashtag “#OperationPaintDrop” encourage à vandaliser la fresque tous les jours jusqu’à ce que de Blasio l’enlève.
  • Dans une ville de Californie, des activistes ont trouvé la parade idéale : ils ont exigé que le slogan Trump 2020 soit peint sur un mur en face du slogan BLM. Très perturbée par le risque de procès pour discrimination, la ville a décidé de retirer le slogan BLM.
  • Une information non confirmée affirme que 27 policiers sont assignés à la protection de la fresque controversée.

Oui, cette jeune femme, Bevelyn Beatty, demande non pas que la police soit abolie comme le réclament les activistes de BLM, mais qu’elle soit au contraire financée, renforcée et respectée. Et elle ajoute que les BLM se fichent totalement des Noirs, ce que leur silence sur les morts de Chicago démontre.

Beatty est une militante chrétienne noire et conservatrice

“Jesus Matters”
  • Elle est descendue dans les rues de Seattle contre les manifestants et les partisans de Joe Biden.
  • Elle a répandu de la peinture noire sur les fresques BLM à Harlem et à Brooklyn.
  • Elle a été menottée pour avoir protesté devant le centre d’avortement principalement de noires, Planned Parenthood de New York,
  • Elle a été arrêtée pour avoir perturbé une réunion d’un conseil municipal en Floride il y a deux semaines, en portant un masque.
  • Beatty était à New York samedi, cette fois-ci pour s’en prendre à la gigantesque fresque jaune “Black Lives Matter” que le maire communiste Bill de Blasio a fait peindre.
  • Elle a marché sur la fresque, a renversé une boîte de peinture noire sur les lettres, et a crié “Jesus matters” et “refund the police” sous les insultes des gauchistes.
  • Après son arrestation et sa libération, Beatty a répandu de la peinture sur une fresque à l’angle de la 7e Avenue et de la 125e Rue Ouest, puis par-dessus une peinture murale située rue Fulton à Brooklyn.

La vidéo a été partagée par Donald Trump Jr, le fils du président, sur son compte Instagram.

Traitée “comme une princesse”

Beatty a déclaré que la police l’avait traitée “comme une princesse” après son arrestation.

Après les protestations, Beatty a écrit sur Facebook dimanche qu’elle était chez elle et en sécurité, et que la police l’avait traitée avec amour, elle et Chavannes, une autre activiste qui l’accompagnait.

Voici ce qu’elle a révélé après l’incident :

La journée d’hier a été épique…

Avant de faire ce que nous avons fait, nous avons rendu hommage à la police… et nous leur avons fait savoir ce qui se passait.

Vous devez lire entre les lignes et utiliser votre “nouille”.

Les policiers étaient à 100 % d’accord avec nous.

Nous étions la voix qu’ils ne pouvaient pas avoir… Nous étions la position qu’ils ne pouvaient pas prendre à ce moment-là… Le Seigneur a juste béni ce qui s’est passé hier…

La police nous a traitées comme des princesses… avec amour et gentillesse… Ils nous ont si bien traitées.

Beaucoup de gens pensent que j’étais le héros… que c’était être Américaine.

Je dis que les policiers sont aimables et gentils, et tout ce qu’ont dit [de positifs] des policiers est vrai.

…Si jamais il y avait un temps pour se soulever…c’est maintenant.

Beaucoup de gens pensent que j’étais le héros… que c’était être Américaine.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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