Un homme à la voix masculine clairement identifiable qui chante « Un jour mon Prince viendra » pour une publicité télé destinée aux familles à l’occasion de la réouverture de Disneyland Paris. L’intégration de l’idéologie transgenre a un « impact corrosif » sur la société et une influence négative sur le bien-être des enfants, révèle le très sérieux quotidien conservateur britannique The Daily Telegraph.
Alors que l’on croyait mort le marxisme et sa dictature du prolétariat, c’est l’hégémonie du marxisme culturel et sa « politique des identités » qui s’invitent désormais dans l’industrie, via le dictat des minorités, qui depuis 68, gangrènent les universités occidentales.
Disneyland, l’emblématique parc d’attraction familial, va mal, mais ce n’est pas dû aux effets économiques collatéraux de la Covid-19. L’idéologie politiquement correcte issue de la « politique des identités » ravage peu à peu l’esprit familial qui régnait dans ses parcs d’attractions. Plus question de faire mention de son film de 1946 “Song of the South” jugé raciste dans le célèbre manège “Splash Mountain”.
Pirates des Caraïbes, une attraction mythique bien avant la fameuse série de films, présente dès 1967 dans le parc Disneyland originel, celui de Californie, l’une des dernières supervisées par le maître, Walt Disney lui-même, figurait à la quasi-identique, depuis vingt-cinq ans, dans le parc Disneyland de la région parisienne avec cette vente aux enchères de femmes-esclaves, surmontée de la bannière “Prenez une fille pour épouse”. Elle est désormais remplacée par la vente aux enchères d’objets dérobés par les pirates lors de leurs fameux abordages. Exit donc les esclaves sexuelles, conformément à la version récente du blockbuster.
La nouvelle gauche bien-pensance éco-socialiste non contente d’user de méthodes dignes des soviétiques pour imposer sans vergogne une réécriture des histoires traditionnelles, impose ses nouveaux standards.
Aujourd’hui c’est un homme à la voix masculine clairement identifiable qui chante « Un jour mon Prince viendra » pour une publicité télé destinée aux familles à l’occasion de la réouverture de Disneyland Paris – décidément de plus en plus gay friendly. Le parc à thème n’a-t-il pas célébré la marche des fiertés en 2019 lors de sa Magical Pride ? Allusion à la sexualité d’un personnage lesbien, dans le film En avant. Dans Avengers Endgame, un personnage secondaire confie sa tristesse à la perte de son compagnon. « Très attendu », le discret baiser homosexuel dans Star Wars : l’Ascension de Skywalker. Tandis que la plateforme Disney + travaillerait sur une série tirée des comics Dr Aphra, un spin-off de l’univers de la guerre des étoiles mettant en scène en héroïne principale une archéologue ouvertement lesbienne. Publicité et produit – avec Disney on ne distingue plus vraiment le produit, de la promotion du produit – revêtent désormais un rôle d’agit prop, selon un nouveau code politiquement correct qui peu à peu subvertit les fondements de notre civilisation. Au risque de déplaire commercialement à son public familial. Tout se passe comme si, il fallait imposer un modèle alternatif à la famille traditionnelle, non par anticonformisme – nous sommes loin du « Famille, je vous hais ! Foyer clos, portes refermées, possessions jalouses du bonheur » gidien – mais à des fins révolutionnaires. C’est la raison pour laquelle ce n’est jamais assez pour les minorités en question puisque l’agenda caché est la subversion de notre civilisation par la déconstruction de ses ressorts anthropologiques. Même si nous sommes certains que beaucoup des « personnes différentes » enrégimentées malgré elles, dans cette « politique des identités » se sentent instrumentalisées et préfèreraient le simple « droit à l’indifférence ».
De notre côté, nous sommes d’autant plus fondés à réagir que l’impact s’avère plus profond qu’il n’y parait. Cette idéologie extravagante, dont l’apparente toute puissance n’est dû qu’à la pusillanimité d’une société déchristianisée qui a perdu ses repères historiques, a un réel impact physiologique.
En effet, l’intégration de l’idéologie transgenre a un « impact corrosif » sur la société et une influence négative sur le bien-être des enfants, révèle le très sérieux quotidien conservateur britannique The Daily Telegraph du 30 juin dernier, selon une étude du think tank Civitas[1] basé à Londres et concernant la société britannique.
Le Docteur Joanna Williams, écrit dans son rapport intitulé The Corrosive Impact of Ideology[2] que le transgendérisme a quitté son « créneau » spécifique pour devenir une question politique centrale au cours des deux dernières décennies, comme dans beaucoup d’autres sujets, c’est la marge qui remplace la page. « Les personnes occupant des postes de pouvoir dans les domaines des médias, de l’éducation, du milieu universitaire, de la police, du travail social, de la médecine, du droit et des autorités locales et nationales sont prêtes à se regrouper derrière les demandes d’une minuscule communauté transgenre », précise l’ancienne directrice du Centre for the Study of Higher Education de l’Université de Kent. Cela souvent au détriment des droits des femmes et de la protection de l’enfance.
Le rapport demande au gouvernement britannique d’interdire la prescription de bloqueurs de puberté pour les enfants de moins de 18 ans, l’étude des revendications transgenres qui contredisent les réalités biologiques, et de ne plus permettre aux élèves de faire une « transition sociale » à l’école (être reconnu sous un autre genre) sans la permission des parents.
L’étude note que l’omniprésence du transgendérisme a entraîné une augmentation significative du nombre d’enfants « qui éprouvent des difficultés dans le développement de leur identité de genre », référés à la Tavistock, la clinique nationale britannique spécialisée dans le traitement des enfants.
« Le nombre d’enfants de 13 ans qui ont demandé de l’aide au cours de la dernière année a augmenté de 30 % pour atteindre 331, tandis que le nombre d’enfants de 11 ans a augmenté de 28 % par rapport à l’année précédente. Les plus jeunes n’avaient que trois ans. Les trois quarts des enfants qui veulent de l’aide pour changer de sexe sont maintenant des filles – la proportion la plus élevée jamais enregistrée », selon l’étude.
Le Dr Williams souligne que les inhibiteurs de la puberté sont fréquemment présentés aux jeunes comme une solution simple et temporaire au « problème » apparent de leur corps changeant, malgré le fait que ces drogues « peuvent causer un préjudice irréparable au corps en développement de l’enfant et avoir un effet néfaste sur la fertilité future ». « La société interdit aux personnes de moins de 18 ans d’acheter des cigarettes ou de l’alcool, mais les juge capables de consentir à des drogues qui altèrent leur corps ».
L’étude a également décrié l’impact du mouvement transgenre sur le discours public en Grande-Bretagne. « L’expansion des droits des transgenres s’est accompagnée d’une expansion de la réglementation étatique et institutionnelle (publique et privée) de la parole et du comportement. Cela met en évidence une différence significative entre les activistes transgenres d’aujourd’hui et le mouvement pour les droits des homosexuels » des années 60, écrit encore le Dr Williams.
Contrairement au mouvement pour les droits des homosexuels qui cherchait à gagner sa liberté contre l’État, le mouvement des transgenres « réclame la reconnaissance et la protection de l’État sous la forme d’une intervention pour réglementer le comportement de ceux qui ne font pas partie du groupe d’identité ». Alors que dans le passé, être rebelle c’était exiger une plus grande liberté contre l’État et l’autorité institutionnelle, aujourd’hui être radical c’est exiger des restrictions de liberté d’expression au nom de la prévention de délits construits. Aujourd’hui, La cage aux folles ne fait plus rire.
L’éco-socialisme et l’écoféminisme (qui inclut les transsexuels) se perçoivent en tant que nouvelles « avant-garde » et « phare de l’humanité ». Qui retrouve-t-on parmi les femmes inspirantes qui ont marqué 2019 selon Marie-Claire du 10 janvier 2020 ? Que de jolies frimousses innocentes et juvéniles, à qui nous aurions donné le bon Dieu sans confessions, disait-on autrefois, qui s’avère de redoutables viragos. « How dare you ! » hurle la jeune activiste Greta Thunberg, la chanteuse Angèle qui dit « Non, c’est non » point barre, à la différence de la poupée de Michel Polnareff à qui personne n’avait « jamais appris qu’on pouvait dire oui », l’actrice Emma Watson, 30 ans, qui pour valoriser le célibat préfère parler de « partenaire de soi-même », la brésilienne Valentina Sampaio, mannequin transgenre pour Victoria’s Secret ou Adèle Haenel, icone en robe du soir de la mutinerie des enfants gâtés, lors de la cérémonie des César, qui se revendique lesbienne. Voilà donc les rôles modèles proposés aux jeunes filles. Le père tué, le mari exclu, l’homme remplacé. Aujourd’hui la soi-disant loi de « bio-éthique » qui va permettre cette monstruosité qu’est la fabrication d’orphelin de père en toute conscience, est-ce un pas supplémentaire vers le « meilleur des mondes possibles », le rainbow world ? Comment mieux contribuer à l’extinction de la civilisation, si ce n’est de l’espèce humaine.
La menace n’est pas vraiment perçue parce que la multiplication des « identités-ayant-droit-à » semble soluble dans le marché pour les managers globalistes qui n’y perçoivent qu’une nouvelle segmentation marketing, quant aux animateurs du globalisme, ils n’y voient qu’une demande de « droit à la différence » soluble dans le relativisme culturel. Pourtant cette menace aurait un caractère irréversible dès lors qu’elle s’institutionnaliserait en principes de gouvernance globale d’institutions supranationales. Nous tournerions alors radicalement le dos à l’idéal occidental d’émancipation individuelle et à nos racines.
Thierry Martin, Anthropologue de formation. Ancien doctorant de l’EHESS
[1] https://www.civitas.org.uk/
[2] https://www.civitas.org.uk/content/files/2454-A-The-Corrosive-Impact-of-TI-ppi-110-WEB.pdf
Bravo! tableau très complet, le fascisme sexuel n’existait pas, il a fallu l’inventer.
pourquoi zaz , laura fabian et tant d’autre artistes féminin se taisent car elles auraient vraiment fait mieux bref le chanteur ne met pas en valeur la chanson ….. même moi je chante mieux que lui
Travestir la pub d’un parc d’attraction destiné aux enfants, il fallait oser, et ils l’ont fait !… Ce sont encore et toujours ces insignifiants mini-groupuscules tyranniques qui prétendent changer le monde et qui pourrissent ce XXI° siècle ! Mais où donc s’arrêtera leur folie ???
Alors je réclame moi aussi la reconnaissance et la protection de l’État sous la forme d’une intervention pour réglementer très sévèrement le comportement odieux des individus communautarisés en groupuscules tyranniques de la terreur identitaire, trans, LGBT, véganistes, féministes, BLM, et progressistes !
(PS: 🙂 Heureusement, il y a bien d’autres parcs d’attractions que ce Disneyland Paris infesté de terroristes progressistes radicaux. À fuir !)
Bravo ! Nous devrions réclamer reconnaissance et protection de l’État parce que nous sommes des êtres humains normaux comme Dieu nous a créés (ou nos parents) et qu’ils nous pourrissent la vie.
vous n’imaginez pas comme je peux me faire regarder de travers quand je dis que rien ni personne ne peut transformer un homme en vraie femme et vice-versa! Certains s’imaginent pour de bon que les trans sont de vrais hommes ou femmes – d’où j’imagine les flots d’insultes qui sont tombés sur JK Rowlings! Apprendre que c’est au pris de mutilations chirurgicales considérables, que s’ils arrêtent de se bourrer de médicaments et d’hormones c’est retour à la case départ ( hormis pour les mutilations) et tout ça pour un résultat pas bien souvent à la hauteur en termes d’apparence….
@ Lucioles
Ils peuvent se bourrer d’hormones et autres saloperies chimiques, ils peuvent même se faire greffer des pinces de crabe et des trompes d’éléphant, c’est pas mon problème.
Le problème surgit à partir du moment où ils imposent leur cirque et leur identité sexuelle détraquée à toute la société, qu’ils exigent que cela devienne LA norme pour tout le monde, et qu’ils infestent les enfants dès le plus bas âge (méthode communiste) avec leur délire progressiste complètement pourri.
Tout simplement choquant !
La voix d’un homme mûre qui “chante” “un jour mon prince viendra”, et quand on voit que la dernière image du spot, c’est la tête d’un petit garçon… On ne peut qu’y voir une tendance pédophile en plus…
@ Mark Z
Ça vous choque ?
La gaucho-pédophilie, c’est une longue histoire d’amour…
https://www.dreuz.info/2020/05/26/pedophilie-communisme-subventions-michel-onfray-demonte-le-monde-et-liberation/
j’ai toujours obsti-né-ment refusé d’accompagner mes enfants chez “mickey” bien m’ en a pris quand je vois les derives actuelles !!!
Le destructeur a un boulevard pour détruire notre monde!!Des civilisations ont passées à cause de la corruption du corps et de l’esprit ,derrière tout ça il y a le pouvoir de l’argent (Gréta Gates Soros) :”ON NE PEUT SERVIR DIEU ET MAMMON “La gauche, écolos compris est le mal et progresse grâce au laxisme ,au clientélisme et à l’abandon de nos valeurs.
“En ces temps d’imposture universelle,dire la vérité est un acte révolutionnaire”(Georges Orwell)
Excellent article.
Oui, le “progressisme” est en réalité un totalitarisme, et il nous mène droit vers un “meilleur des mondes” très proche de celui d’Aldous Huxley – en réalité un enfer.
Combien d’enfants avec leurs parents, sont “embrigadés” pour tout ce que fait, dit, compose et fabrique Disney, que ce soit en Floride ou en Europe…..Et cela ne rehausse pas le niveau hélas……
La féérie n’existe plus chez Disney depuis bien longtemps …..tout n’est que marketing, profits et manipulations mentales….
Les gens normaux éviteront désormais le parc d’attraction de Walt Disney et j’espère qu’il y en aura beaucoup. Perso, je vais faire la promotion dans ce sens .
Il y a également une chanson mal vue aujourd’hui de Guy Béart dont le titre est: Qu’on est bien dans les bras d’une personne du sexe opposé, ça ne passe pas chez les tarés genrés et dérangés.
Comme dans 1 ou 2 décennies l’islam envahira et prendra le pouvoir, je ne donne pas chère de la peau de tous ces Uberlulus .
@ maujo
La fille de Guy Beart, la bobo Emmanuelle, a réecrit les paroles à l’occasion d’un CD en hommage à son père. De mémoire, ça donne “qu’on est bien dans les bras du genre qu’on a choisi” !!!
A quand les livres pour enfants de maternelle où bébé lapin a deux mamans ou deux papas ? A quand l’ado de 15 ans qui se plante devant ses parents pour leur dire qu’il va coucher avec un garçon puis avec une fille et “verra ce qu’il préfère ” ?
A la pub Disney où promotion homosexuelle se mêle à la pédophilie, il y a aussi cette pub où on nous parle de “Leila et Marie”. Là aussi, double promotion : islamique et homosexuelle.
@ l’anthropologue Thierry Martin
Félicitations. Excellent article d’anthropologie sociale.
Une analyse fine et percutante d’un fascisme sexuel rampant et ses dérives (et qui fait en plus l’apologie masquée de la pédophile).
Merci, vous avez visé juste et dit l’essentiel sur ce nihilisme qui s’acharne à vouloir faire table rase d’un héritage anthropologique, social et culturel de l’humanité depuis que l’Homo sapiens est sapiens.
Tout totalitarisme est voué à l’échec !
Cordialement
FS
allez donc vous amuser en famille et vous instruire sur l’Histoire de France au PUY du FOU. Que des spectacles exceptionnels sur fond historique. Ambiance familiale saine assurée.
Michel BURON, D’accord avec vous, c’est INCOMPARABLE !………
@ Michel Buron
J’y suis allée deux fois et même s’il règne parfois un angélisme naïf dans les spectacles, la dimension chrétienne spirituelle est magnifiquement revendiquée, tout comme le sens d’une continuité historique pour le destin français.
Cette clique de tordus, – nouvelle gauche bien-pensante éco-socialiste – veut faire admettre qu’il n’y a pas de normes naturelles dans le domaine du sexe et que le « transgenre et Cie » (il y en a beaucoup) seraient la norme et même « plus naturels » que la norme ordinaire qui est l’hétérosexualité. Je crois qu’il faut faire comprendre à tous ces « nouveaux sexes » autoproclamés (homme ou femme) – très minoritaires d’ailleurs – que les erreurs de la nature ce sont eux…. et pas les autres…………….
Des organismes privés ou politologues idéalistes de la gauche bornée, pour les raisons, qu’on se doute, ont ouvert volontairement la porte à ces inepties extravagantes. Toutefois, nous avons le pouvoir de la refermer en frappant leur « porte-monnaie » c’est à dire en boycottant tous les médias, parcs d’attractions (comme ici Disney) et autres qui se commettent dans ces dérives en voulant continuer de nous gâcher la vie, déjà assez bousculée par leurs sottises politiques d’extrême-gauche.
Les plus difficiles à protéger seront les enfants où des tas d enseignants, idéologues pervers, sont à l’œuvre tous les jours. Là , seuls, les parents doivent veiller. Combien d’enfants débiles ces salauds auront-ils contribué à faire et que de vies gâchées pour satisfaire une idéologie déviationniste hors des normes naturelles en vigueur depuis la nuit des temps.
Dans les années soixante-dix ces tordus de la cervelle prônaient , (comme Cohn Bendit) la pédophilie et aujourd’hui, les mêmes prônent le transgenre. La gauche a des idées, mais elles sont toujours mauvaises….
une partie de cette société nous rappelle sodome et gomorrhe c’est grave
Eh ! Il suffit de ne plus y aller et de ne plus acheter leurs jouets.
Vous rendrez service à votre enfant et à votre porte-monnaie, d’une pierre deux coup et trois avec la bande en ruinant les maléfiques espoirs de ces gens au cerveau malade.
Pareil pou baine et jeries qui se croit autorisé à me dire comment je dois se comporter.
Il ne s’agit pas d’une sanction mais bien de vous protéger contre des sociétés ouvertement malfaisantes.
Je me demande jusqu’à quel point leurs délires de genre, de prosélytisme homosexuel et féministe, de revisite de l’histoire, de propagande pro islam et anti blanc ne va pas finir par ruiner tous ces multinationales du spectacle. Il me semble avoir lu que des comics avaient vu leur vente chuter après l’apparition de héros homosexuels, et je crois que la nouvelle version toute féminine de ghostbusters a plutôt fait un flop. Les prochains films qui auraient poussé un peu trop loin le bouchon, risque de perdre énormément d’argent. Et je le souhaite ardemment. La perte importante d’argent est la seule chose qui pourra les arrêter. Sinon ils continueront, et ce sera de pire en pire.
Je me fais la même réflexion, mais l’expérience montre que quand c’est le cas, que des entreprises privées battent de l’aile parce qu’elles se sont engagées dans la promotion du politiquement correct “progressiste” et que leur public se détourne d’elles, alors l’État vient à leur rescousse, et les place sous perfusion financière ; c’est le cas de bien des médias et de bien des “artistes”, aujourd’hui : sans les aides publiques, ils couleraient corps et biens et plus personne n’entendrait jamais parler d’eux. Mais les hommes de l’État gauchistes ont besoin de ces ratés serviles pour assurer la propagande de leur idéologie progressiste délétère, alors les ratés lâches et serviles en question deviennent leurs porte-drapeaux officieux, avec nos impôts. Nul doute que si Dysneyland devient un des porte-voix du “progressisme”, l’État corrompu s’arrangera pour maintenir l’entreprise à flot. C’est révoltant, mais c’est comme cela que ça marche dans ce pays en dérive.
PHIPHI.
Le marxisme EST un totalitarisme. Marx l’était-il? Peut-être, peut-être pas. L’exégèse de sa pensée OUI.
Quand à l’Islam, s’il arrive (ce qu’à Dieu le plaise… je n’ai pas écrit allah) au pouvoir, ce genre de débat risque de disparaître puisqu’on se retrouvera instantanément 14 siècles en ARRIERE.
Ce monde change à grande vitesse . Tout ce qui était le domaine du privé comme la religion et le sexe est maintenant sujet à j.ai des droits ! Et cela est surtout venant de minorités qui il y’a encore 20 ans se seraient tenues à carreau .
Je n’irai jamais voir des films où il y a des homos lesbiennes et trans genres et plus . Cela sent la pédophylie et le bourrage de SEXE . Certes il faut aider les gens mal dans leur peau . L.homosexalite n’est pas une maladie . En revanche je ne veux pas que l.on nous impose leur mode de vie !
Notre civilisation finira comme l’empire romain.