Passé à 26 500 en 2015, on estime que le nombre d’ours polaires dans le monde se situe maintenant autour de 30 000, soit la population la plus élevée depuis plus de 50 ans. Selon le biologiste Benjamin Dy *, même si l’ours polaire est le plus grand carnivore terrestre, son habitat est le milieu marin, principalement les glaces de mer.
Sa grande tête rectangulaire, ses petites oreilles arrondies, ses puissantes pattes et sa superbe fourrure blanche le distinguent sans équivoque des autres ursidés. Son nom scientifique est Ursus maritimus. L’ours polaire prospecte les glaces dérivantes à la recherche de ses proies. Il se nourrit avant tout de phoques. Le mâle peut peser entre 400 et 600 kg. C’est un excellent nageur qui peut parcourir une distance d’au moins 74 kilomètres à la nage en une seule journée dans les eaux de l’Arctique. Le Québec arctique fait partie des principaux lieux qui abritent des sous-populations d’ours polaires notamment au Sud de la baie d’Hudson.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Thomas D. Williams, paru sur le site de Breitbart, le 25 juillet.
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Les alarmistes du climat prédisent l’extinction des ours polaires d’ici la fin du siècle. Encore !
Une étude publiée cette semaine dans Nature Climate Change (NdT: une revue «scientifique» britannique) prévoit la décimation de la population d’ours polaires si les humains ne réduisent pas radicalement leur consommation de combustibles fossiles, faisant écho à des avertissements similaires qui se sont tous révélés faux.
En l’état actuel des choses, « avec les fortes émissions de gaz à effet de serre, la forte baisse de la reproduction et de la survie mettra en péril la persistance de toutes les sous-populations du Haut-Arctique, sauf quelques unes, d’ici 2100 », prévient l’étude, dirigée par Peter K. Molnar de l’Université de Toronto à Scarborough (en Ontario).
Même si les émissions sont réduites à des niveaux plus modérés, « nous allons malheureusement en perdre une partie, en particulier certaines des populations les plus méridionales, à cause de la perte de glace de mer », a déclaré le Dr Molnar.
L’étude prévoit que le réchauffement climatique entraînera le rétrécissement de la glace de mer dans l’Arctique et que, par conséquent, la quasi-totalité des 19 sous-populations d’ours polaires seront forcées d’aller sur la terre ferme et d’abandonner leurs réserves alimentaires. Les longues périodes de jeûne qui en résulteraient, combinées à la réduction de l’allaitement des petits par les mères, entraîneraient un déclin rapide de la reproduction et de la survie des ours polaires.
Il y a très peu de chances que les ours polaires persistent partout dans le monde, sauf peut-être dans le très haut Arctique, dans une petite sous-population.
Selon l’étude, « les seuils d’impact sur la survie pourraient déjà avoir été dépassés dans certaines sous-populations ».
Une grande partie des quelque 30 000 ours polaires dans le monde dépendent de la glace de mer pour leur survie, chassant les phoques, attendant qu’ils sortent de leurs trous dans la glace.
Ils ont besoin de la glace de mer pour capturer leur nourriture. Il n’y a pas assez de nourriture sur terre pour soutenir une population d’ours polaires.
(en fait les ours polaires mangent aussi des cachalots, des bélugas, des bernaches, des mouettes, des lemmings, et ils pêchent parfois des ombles arctiques.)
Les chercheurs prévoient que les ours seront obligés de jeûner plus longtemps qu’ils ne le peuvent, en se basant sur les projections de leur modèle climatique de jours sans glace au cours des 80 prochaines années.
« Il y aura un moment où ils seront à court d’énergie », prétend M. Molnar.
Cette nouvelle étude reflète d’autres études et prévisions similaires réalisées au cours des dernières décennies, qui se sont toutes révélées spectaculairement fausses.
Les populations d’ours polaires se sont en effet révélées remarquablement résistantes et malgré une certaine perte de la glace de mer estivale de l’Arctique, leur nombre a en fait augmenté, un phénomène exploré par le Dr Susan Crockford, une climato-sceptique.
Un rapport de 2007, par exemple, prévoyait la perte des deux tiers de la population mondiale d’ours polaires d’ici le milieu du 21e siècle, tout en insistant sur le fait que cette prévision « pourrait se révéler conservatrice ». Depuis lors, la population d’ours polaires n’a cessé de croître.
En 2005, l’estimation mondiale officielle était de 22 500 ours. En 2015, ce nombre était passé à 26 500 et on pense maintenant qu’il se situe autour de 30 000, soit la population la plus élevée depuis plus de 50 ans.
Comme le souligne le Dr Crockford, puisque les ours polaires mangent principalement au printemps et jeûnent pendant une grande partie de l’été, la présence de la glace de mer en été a relativement peu à voir avec leurs habitudes alimentaires, un fait ignoré par nombre de ceux qui prédisent la disparition des ours.
Pendant ce temps, la population de bébés phoques au printemps – la principale nourriture des ours polaires – a également continué à augmenter, aidant la population d’ours à prospérer.
« La prospérité des populations d’ours polaires a révélé l’orgueil démesuré qui se cache derrière l’icône favorite des réchauffistes et la soi disant situation critique des ours polaires est devenue une plaisanterie internationale », déclare Mme Crockford.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources :
Entendu hier, sur une radio, un collapsologue radical de service, adepte de l’église de la Gretologie :
– En 2050 il n’y aura plus de hérissons.”
🙂 🙂 🙂 🙂 🙂
Moi je m’inquiéterais surtout de la disparition des batraciens.Pourquoi?Je vous laisses le soins de rechercher la réponse.
Autrefois, on aurait pensé qu’ils ont vu ça dans le marc de café…
Ils sont déjà engluer dans leur m…es qu’ils y restent!
Il y a peu, un média officiel belge expliquait une nouvelle technique pour les “énergies renouvelables”. On expliquait que vu l’épaisseur de la calotte glaciaire de plusieurs km d’épaisseur on a des falaises sur les côtes du Groenland de plusieurs centaines de mètres du haut et par rapport au niveau de la mer, cela fait un vent incroyable qui pourrait être exploité par un système de captation. Bizarre,non ? Et puis, on montre dans une autre info un ours qui tient sur un bout de glace….
Je me demande pourquoi la Russie a lancé un brise glace géant en mer Baltique…
Ce qu’il y a bien, avec les prévisions à 100 ans (idem 80), c’est qu’on a peu de chances d’être contredit de son vivant.
Si on remonte 80 ans en arrière, on était en 1940. Qui pouvait avoir la moindre idée du monde d’aujourd’hui à cette époque? Même il y a 40 ans personne n’avait imaginé le monde actuel, internet ou le téléphone mobile. Et si on remonte encore de 80 ans, on se retrouve en 1860. A cette époque, quelqu’un a-t-il eu la moindre idée du monde de 1940 (avion, sous-marin, automobile, électricité, etc…)?
On peut continuer : en 1780 qui aurait pu prévoir le monde de 1860, le chemin de fer, le bateau à vapeur, l’acier, le pétrole (utilisé pour l’éclairage à l’époque)?
Tout ça n’est pas sérieux. Ce genre de micro-prévision “toutes choses égales par ailleurs”, qui fait fi du reste est stupide
Le monde change de plus en plus vite : l’innovation technologique est toujours plus rapide, les progrès de la science plus importants depuis l’an 2000 que tout ce qui a été trouvé avant. Dans 30 ans le monde aura un visage qu’on n’imagine même pas. Parler du futur comme s’il était déjà écrit et certain c’est vraiment faire des plans sur la comète.
Par ailleurs, est-ce vraiment si grave si l’ours polaire disparaît? Les petits nécolos sont-ils tout chagrins à l’idée de perdre le nounours de leur enfance de laquelle ils ne sont jamais sortis?
99,9% des espèces ayant existé depuis les débuts de la vie ont disparu. Heureusement, sinon nous ne serions pas là pour en parler.
Et puis allez donc dire aux Chinois, et bientôt aux Indiens et aux Africains d’arrêter de polluer ; ce qu’on fera en Europe n’aura de toute façon AUCUNE incidence si rien n’est fait là-bas. Autant faire des danses vaudoues, des processions ou des incantations.
On voit bien que ce genre d’arguments est agité par les prêtres de l’Eglise d’Ecologisme pour imposer leur agenda, leurs lubies.
En effet les ours polaires sont des animaux marins.
Les précédents réchauffements depuis la dernière glaciation, pourtant plus élevés que l’actuel pour la plus part (nouakchottien +5°C ) ne l’ont pas tué. Il n’est pas plus en danger maintenant. Dans le Nunavutt les chasseurs ont demandé de pouvoir chasser plus d’ours blancs tellement ils sont nombreux.
Susan Crockford, la spécialiste mondiale des ours polaires a estimé leur nombre comme vous avez dit et peut-être même 50000.
Pour cela elle a été virée par un comité interne de son université…
Donna Lafranboise :
https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2019/10/25/le-bannissement-de-susan-crockford/#more-17841
Où donc seront ces “réchauffistes” d’ici la fin du siècle ??
Auguste 75 je parle des ours polaires dont la disparition possible à plus ou moins long terme semble vous laissez de marbre .
Mangés par des ours polaires. Nous verrons bientôt des ours polaires du côté de Cherbourg , tout comme nous avons des requins blancs en Méditerranée (j’aime bien aller à contre-courant)
Auguste 15 j’ai le regret de vous dire que oui ça serait grave pour la biodiversité et je ne verse pas dans la mièvrerie Je trouve voytr raisonnement consternant .
A part leur demander de cesser de respirer, est-ce quelqu’un connait le moyen de nous débarrasser des écolos-khmers-verts qui infestent la planète.
Dans le style réchauffistes grétaciens, la télé française a TELE MATIN sur Rance 2 qui nous a servi hier la prochaine disparition des ours blancs.
N’essayez surtout pas d’aller sur le site de Rance 2 dire le contraire, vous n’avez aucune chance.
“Ça recommence : Les réchauffistes prédisent à nouveau l’extinction des ours polaires d’ici la fin du siècle” Il n’y a personne pour prédire l’extinction des cons d’abrutis gauchistes ?…
Une étude sérieuse, faite sur plusieurs millions d’individus, a prouvé que nous allons tous mourir.
icarius et Yorel allias Henri Le Roy, magnifique commentaire digne de LA PALISSE!!!!……….rires
Devinette “qui suis-je ?”
“Je suis un réalisateur sans aucun talent qui a subi des échecs même dans mes films simples et subventionnés, ce qui m’avait conduit à des fins de mois difficiles, et un mode de vie précaire, pas compatible à celui auquel doit prétendre un représentant du 7ème art.”
“Un jour, une de mes relations “écolo-gaucho-menteuse-manipulatrice” me propose d’aller filmer les ours blancs en été à la limite de la banquise, et de faire un beau film dont toutes les télés et radios du monde et aussi les ONG assureront la promotion.”
Je pense que tout le monde devine la suite…
Aujourd’hui, et par ailleurs, même Wikipedia reconnait que le trou dans la couche d’ozone n’était pas causé par les activités de l’homme – d’ailleurs il est résorbé et plus personne n’en parle… pourtant qu’est-ce qu’on a essayé de nous culpabiliser 🙂
Pour mémoire, les causes étaient :
1/ Les taches solaires et le rayonnement cosmique ;
2/ Les vents stratosphériques ;
3/ Les grandes éruptions volcaniques explosives, y compris tropicales. (Mes préférences vont aux volcans philippins et à l’islandais eyjafjallajökull qui m’avait bloqué à Incheon !)
Concernant l’autre grande auto-flagellation écolo, D Raoult a aussi rappelé récemment que la Terre ne se réchauffait plus depuis au moins 15 ans.
Tous ceux qui ont cru à ces inepties sont condamnés à s’informer sur les changements climatiques des 2000 dernières années.
Par exemple, et pour rire, le Groënland (Terre verte en danois, groën, grün, green…) a été colonisé vers l’an 1000 par Eric le rouge pour la peupler d’agriculteurs, ou bien inversement la Seine était gelée tous les hivers aux XVII et XVIIIè siècles.
Oh!Mais de mémoire ils ne devraient plus il y avoir d’ours polaire.Par contre des ” crèves misères ils y en a de plus en plus”.