L’ancien co-détenu d’Adama Traoré qui l’accuse de viol a été indemnisé mais n’a bénéficié d’aucun traitement médiatique compatissant, tant la famille d’Adama Traoré s’accapare le monopole de la victimisation, regrette l’avocat et chroniqueur.
L’affaire Adama Traoré, jusqu’à son dernier développement, constitue bien plus qu’un fait divers. C’est un symbole, un concentré du drame français, un précipité de ses errements, mensonges, occultations gênées et silences médiatiques et politiques. C’est aussi une histoire d’impunité.
Commençons par ce qui pourrait en constituer la fin: la mise en cause de feu Adama Traoré dans l’agression sexuelle de son ancien codétenu et qui a vu celui-ci indemnisé par la justice.
Comme la famille Traoré est susceptible, allons-y précautionneusement. Il ne saurait donc être question d’accuser le défunt Adama d’avoir violé le plaignant d’abord et avant tout pour la simple raison juridique que les poursuites engagées à son encontre ont été naturellement éteintes lors de son décès dans les conditions actuellement soumises à la justice et que nous ne voulons donc pas commenter.
Assa Traoré continue de défendre la mémoire de son frère Adama en incriminant la partialité judiciaire.
En ce qui concerne l’agression sexuelle précitée, nous nous bornerons à la résumer telle qu’elle nous est parfaitement présentée par Margaux d’Adhémar dans un article pour Le Figaro en date du 22 juillet 2020. Nous rappellerons donc au lecteur que la somme de 28 793,75 euros a été accordée au plaignant en suite de sa plainte déposée le 6 septembre 2016 pour agression sexuelle contre Adama Traoré, pendant leur détention commune à la prison d’Osny.
Cette somme comprend également l’indemnisation du préjudice occasionné par l’un des frères d’Adama, Yacouba, pour avoir durement rossé le malheureux codétenu victime à sa sortie de prison. La spéculation intellectuelle sur la réalité de ces faits est grandement relativisée par la condamnation prononcée contre le dit Yacouba par le tribunal correctionnel de Pontoise «pour coups et blessures» le 15 mars 2017 à 18 mois de prison ferme.
Le lecteur voudra bien ne pas confondre Yacouba avec son frère Bagui condamné lui à 30 mois de prison ferme pour extorsion de fonds à des femmes vulnérables.
D’autres membres de la fratrie – fort respectée craintivement à Beaumont sur Oise – ont également fait l’objet de condamnations que je ne rappellerai pas pour ne pas alourdir mon sujet.
Retour à l’agression sexuelle putative. Ainsi qu’il est écrit dans Le Figaro: «La décision de la CIVI ne laisse aucun doute sur l’existence des faits eux-mêmes. Son jugement rappelle qu’il ressort «des pièces pénales produites que la victime avait pour codétenu à la maison d’arrêt du Val-d’Oise Adama Traoré» selon donc la Commission, la matérialité des infractions d’agressions sexuelles dénoncées doit être considérée comme établie».
Assa Traoré continue néanmoins de défendre la mémoire de son frère Adama, certes entachée de nombreuses condamnations pénales, en incriminant la partialité judiciaire.
Il ne nous pas été donné de lire le moindre commentaire compatissant à propos de la victime présumée d’Adama Traoré.
Nous nous en tiendrons donc là sur cette dernière controverse en rappelant toutefois que dans son ultime contestation, le comité Adama a cru devoir livrer l’identité de la victime indemnisée qui vit sous protection et a tenté de se suicider le 23 mai. Détail piquant: dans son communiqué ledit comité croit devoir s’attarder sur le passé pénal de la victime dont on avait cru qu’il ne saurait en rien affaiblir la noblesse d’une juste cause.
À ce stade de ce rappel factuel, un esprit un peu frais ou inaccoutumé aux mœurs idéologiques de l’époque pourrait penser que l’instant Traoré, dans le sillage parasite incongru du moment Floyd, était passé. Qu’Assa Traoré avait mangé son pain blanc. Que les scandales judiciaires à répétition, y compris le dernier à caractère sexuel concernant son défunt frère compte tenu notamment de cette matière sensible particulière, avait définitivement usé le crédit familial.
Encore que je ne sois pas le mieux placé pour vouloir la rassurer, je pense qu’il n’en est rien. Tout m’invite à penser que dans cette période follement irrationnelle – j’ai coutume à écrire névrotique – celui qui insulte la France et met en cause un racisme systémique bénéficie de l’impunité médiatique.
Le clan Traoré coche absolument toutes les cases pour aspirer à cette impunité qui fait qu’on aura vu une ministre de la Justice trahir les devoirs de sa charge pour excuser une manifestation interdite devant le palais du même nom.
Assa Traoré aura tout aussi impunément insulté la police française taxée de racisme, appelé à la révolution, morigéné «le privilège blanc», considéré que le pays où elle vit était consubstantiellement xénophobe, sans encourir d’autres tourments qu’un article thuriféraire dans Le Monde.
Plus éclairant encore, il ne nous pas été donné de lire le moindre commentaire apitoyé ou compatissant sous la plume d’un chroniqueur progressiste ou d’une féministe à propos de la victime présumée d’une fellation forcée sous la menace d’une fourchette.
On comparera avec les commentaires emphatiques et pléthoriques dans une affaire Darmanin autrement moins violente et qui n’a pas donné lieu à la moindre mise en examen dans une matière qui est pourtant le siège de l’hystérie obsessionnelle actuelle.
L’explication est aveuglante mais interdite. Toute l’histoire de cette dernière quinzaine de l’insécurité ensauvagée met en cause sans la nommer l’immigration forcée. Les victimes sont françaises mais leurs agresseurs sont anonymisés au nom de cette impunité.
Ce dimanche où j’écris ces lignes, par une cruelle coïncidence de date, tandis que l’on commémore le massacre d’un prêtre dans son église par un islamiste étranger, on apprend que celui qui a voulu incendier une cathédrale est un étranger irrégulier. Défense de se plaindre de l’hospitalité française chaque jour piétinée. Seule la France doit être coupable, ainsi que les Français. L’affaire Traoré n’est donc pas terminée.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié dans Figaro Vox.
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Cette famille pourrie doit être expulsée de France. Qu’elle aille en Afrique retrouver ses coreligionnaires débiles. C’est une répugnante”famille” de racailles
@Violette DELAYE
Que cette famille pourrie soit expulsée est la moindre des choses mais ne résoudra pas le problème pour autant. Si cette famille pourrie jouit de cette situation c’est grâce (ou plutôt à cause) de ses soutiens: Ces adhérents de LA GAUCHE franchouille,orphelins depuis novembre 1989 et qui trouve dans le militantisme islamo gauchiste, anti raciste (mais racialiste), écolopunitif, l’outil pour (pensent-ils) arriver à détruire ce libéralocapitalisme qui permet aux courageux de réussir mieux que les feignants jaloux qu’ils ont choisi d’être.
Traoré. Un coup de canif dans la legislation pour un coup de fourchette menaçante…
Les poches du fond d’indemnisation aux victimes seront faites…donc l’Etat, donc moi (et vous).
Pourquoi ne pas faire supporter à la famille Traoré les penchants sexuels de l’un des leurs. Les heritages se font pourtant dans les deux sens en cas de décès.
..la somme de 28 793,75 euros a été accordée au plaignant en suite de sa plainte déposée le 6 septembre 2016 pour agression sexuelle contre Adama Traoré, pendant leur détention commune à la prison d’Osny.
Cher Maître si vous n’existiez pas il faudrait vous inventer j’aime vous lire vous voir et vous écouter pourquoi n’y a-t-il pas plus de JWG en France ? Merci aux chaînes TV qui « osent » vous inviter sur leurs plateaux pour « essayer » d’ouvrir les yeux de nos compatriotes qui se laissent encore berner par des discours de plus en plus verdissants/socialisants mais surtout pathétiques et jusqu’au-boutiste qui nous fera revenir à l’âge de pierre si on les faire !
Maître, soyez remercié vous et Monsieur ZEMMOUR . Vous osez dire à voix haute ce que beaucoup de Français pensent mais qui sont “muselés” par les médias gauchistes. Encore merci de la part d’une Juive et ISRAELIENNE DE COEUR, victime et rescapée de la Shoah à quatre ans et demi. Que mes coreligionnaires juifs honteux et renégats sachent que ce n’est pas en reniant leurs origines qu’ils seront épargnés (au cas où …. qu’à Dieu ne plaise)!
Longue vie à vous et continuez, on a besoin de vous.
Rectif : remerciéS avec un S
Si les médias ne disent rien, LE PEUPLE N EN PENSE PAS MOINS !
Et rien ne peut empêcher les gens de réfléchir, d’échanger et parler, et même écrire, sur ces problèmes graves dans la société Française.
“Tandis que l’on commémore le massacre d’un prêtre dans son église par un islamiste étranger, on apprend que celui qui a voulu incendier une cathédrale est un étranger irrégulier.”
Un étranger irrégulier, ça s’appelle un clandestin, ça s’appelle un illégal.
Si moi je suis clandestin / illégal au Brésil, aux USA, en Russie, en Chine, au Japon ou dans un émirat, je suis expulsé en 24 heures.
Mais le socialo-giscardisme a fait de la France un véritable moulin, littéralement ouvert à tous les vents.
Mais bon ,on aimerait quand même connaître le nom et la religion de cet ougandais :c’est impossible ?. On aimerait aussi connaître les conclusions de l’enquête sur l’incendie de notre dame de paris dont les si vieilles poutres ne pouvaient prendre feu car trop sèche depuis plusieurs centaines d’années
Ririlacastagne, çà servirait à quoi?? Son avocaca plaiderait :
1° – problèmes psychologiques
2° – enfance malheureuse
3° – habite une cité où il n’a pas sa place étant un garçon doux et pacifique
4° – il est très apprécié de ses voisins, auxquels il rend beaucoup de services
5° – maltraité par sa famille
Conclusion : mon client est malade “des boyaux de la tête” et exprime de profonds regrets bien qu’il ne se souvienne pas de son geste. Tout cela prouve son innocence et je préconise de lui verser une indemnité que vous paierez avec vos impôts.
J’ajoute que cette indemnité lui paiera ses allumettes.
Nous avons beau suivre l’actualité , lire, écouter, savoir, connaitre, être renseigné, et pourtant chaque jour nous découvrons encore des choses qui nous terrifient. Jusqu’où allons nous descendre? Allons nous boire le calice jusqu’à la fin? J’ai bien peur que nous ne soyons pas encore au bout de nos peines et de nos malheurs.
Monsieur Goldnadel,
Disserter sur les Traoré n’a pas d’intérêt.
Je voudrais des informations sur:
– Ceux qui sont derrière cette clique.
– Ceux qui conseillent la Assa.
– Ceux qui facilitent ses prestations.
– Comment la presse s’intéresse à ses revendications.
– Pourquoi ces râclures ne sont pas dénoncées comme telles, qu’elles soient intouchables ?
Voilà les vraies questions.
On a un peu les réponses dans ” 1984″
A-t-on encore le droit de dire ” j’ai autant de fierté à être blanc que vous d’être non blanc” ?
Nous en avions encore le droit hier mais aujourd’hui cela semble être devenu du racisme de le dire