Source : Valeursactuelles
L’un des meurtriers présumés du jeune Adrien Perez, Yanis El Habib, a failli être remis en liberté. Ses parents crient à l’injustice et les Français regardent, impuissant, ce jeune homme mourir une troisième fois sur l’autel du “vivre-ensemble”.
Adrien Perez est un héros ignoré dont la mémoire est désormais salie. Voici deux ans que la vie d’Adrien Perez, jeune Français grenoblois de 26 ans sans histoires, a été arrachée sous les coups des meurtriers présumés, Younès et Yanis El Habib,pour un motif futile. Cela s’est passé à la sortie d’une discothèque en juillet 2018 près de Grenoble. Adrien a voulu défendre une jeune fille importunée par ceux que la presse appelle pudiquement des “jeunes”. A trois contre un, ils ont tué Adrien à coup de couteau et de cutter. Son cœur transpercé ne survivra pas à l’attentat de cette meute barbare. Celui de ses proches continue à battre péniblement dans la tristesse d’un quotidien harcelé par le souvenir d’Adrien, mort en héros dans l’indifférence politico-médiatique quasi unanime, dans l’oubli de ces mêmes gardiens de la Doxa et par l’affront d’un juge qui vient de décider de remettre en liberté — avant d’être contredit en appel — l’un des deux agresseurs, Yanis El Habib. Ce dernier a déclaré devant la justice qu’il « aimerait retrouver (s)a vie normale ». Adrien aussi, tout comme ses parents, sa famille, ses amis.
Encore un Français “visible” tué dans le mutisme et relégué dans les abysses de la mémoire collective
Voici deux ans que le souvenir d’Adrien hante les jours et les nuits de Patricia et Bruno, ses parents, et de sa sœur Marjorie. Adrien est mort trois fois. D’abord dans le déni de l’appareil politico-médiatique qui, une fois encore, a préféré fermer les yeux sur un fait de société, celui de Français régulièrement tués par opportunité sous les coups d’individus d’origine étrangère, nourris par la France qu’ils haïssent en retour, souvent par héritage. Les médias, dans ce genre d’affaire, invoquent la pudeur et la prudence pour justifier leur silence, celles qui consistent à ne “surtout pas faire d’amalgame” pour “ne pas attiser la haine” envers une partie de la population et ainsi “faire le jeu de l’extrême-droite”. Le discours est bien rodé, il fonctionne. Pourtant, les micros et les caméras affluent dans un concert d’indignation lorsqu’un délinquant Noir se fait tuer à l’autre bout du monde, dont la mort tragique est récupérée par des mouvements qui se voilent derrière l’antiracisme pour mieux camoufler leur haine du Français Blanc. Adrien, comme d’autres avant lui et d’autres après lui, a été frappé par cet injuste silence politico-médiatique, malgré les murmures de la presse régionale et l’écho de rares médias nationaux. Ce jeune héros est mort une seconde fois dans l’oubli général que seuls l’actualité judiciaire ou les dates anniversaires mettent en suspens. Encore un Français “visible” tué dans le mutisme et relégué dans les abysses de la mémoire collective. Il n’est pas Adama Traoré, ce délinquant malchanceux érigé à tort au rang de victime innocente ultra médiatisée. Il n’est pas une femme en burkini qui joue la carte de victimisation après celle de la provocation. Il n’est pas une mosquée taguée d’insultes racistes qui provoquent l’effroi obligé de nos dirigeants et occultent les dizaines d’églises brûlées et dégradées dans des conditions toujours “indéterminées”. Il n’est pas la diversité chérie. Il n’est pas la minorité nuisible. Sa mort tragique et injuste n’a intéressé ni les médias, ni les politiciens. Adrien Perez est mort une troisième fois, par le laxisme d’un juge qui a souhaité remettre en liberté celui qui, des deux assassins présumés, leva les bras en l’air en signe de victoire quand Adrien s’écroula sur le parking d’une boîte de nuit, foudroyé par la lame que ces lâches agresseurs lui glissèrent en plein cœur.
Adrien Perez a été sacrifié sur l’autel du “vivre-ensemble”
Adrien Perez a été sacrifié sur l’autel du “vivre-ensemble”. En sa mémoire, pas de voitures brûlées, pas de quartiers saccagés ni d’appel à la vengeance. Pas de comité agressif, pas d’expédition punitive, pas d’appel à la guerre civile. Les Français restent dignes et civilisés, mais tristement désarmés par cette violence. Pas de chanson, ni de concert commémoratif, encore moins d’envolées lyriques et engagées sur les plateaux de télévision pour lui rendre hommage. Pas de lien entre sa disparition et l’immigration, l’islam, la haine de la France. Mais, surtout, pas d’amalgame.
Rien ne rendra la vie à Adrien Perez. Rien ne rendra le sourire à sa famille. Rien ne pourrait réparer le tort causé par la haine viscérale que ses agresseurs portaient envers ce qu’il représentait. Tout doit être fait pour que ces drames soient absolument évités et implacablement punis.
L’article est parfait et juste de la première à la dernière ligne. Mais il manque une information capitale : le refus de la famille “d’être récupérée par l’extrême droite”. Alors que Generation Identitaire battait le pavé en mémoire d’Adrien. Exactement comme pour Axelle Dorier. Même refus parental. Le fleuve de sang français va devoir couler encore longtemps avant que le peuple ne se réveille de son coma diversitaire.
Je n’avais pas connaissance de cette réaction des parents. Grosse déception.
Bon sang, quand les gens vont-ils cesser de reprendre le langage officiel ?
Les courageux jeunes gens de G. I. sont donc assimilés à des brutes, des voyous, des sanguinaires ?
C’est moche.
@ Fox69
Si mes souvenirs sont bons, la mère du garçon a eu ce cri révélateur : ” ce sont toujours les mêmes qui tuent les nôtres ” . Puis rétropédalage. Menaces ? Leçons de morale ? Nul ne sait… et, cette déclaration habituelle sur le refus d’être récupéré par l’extrême droite. Lassant, en effet. Alors que les jeunes de GI sont courageux.
C’est à croire qu’ils achètent les familles afin qu’elles éructent toujours les mêmes propos ! De cette manière, nous n’avancerons pas d’un iota et la racaille muzz a encore de beaux jours devant elle ! C’est déplorable !
Les parents dont on peu comprendre l’immense douleur, auraient dû laisser dire la Vérité et tant pis si leurs propos auraient été “récupérés” par la soi disant “extrême droite” qui est surtout le patriotisme………..Dommage dans tous les cas………….
QUE JUSTICE SOIT FAITE, LA VRAIE………….
J’aurai aimé connaître les motivations du juge pour remettre en liberté ce sinistre individu qui heureusement s’est soldé par un échec.
La présomption d’innocence sans doute?
Ou peut-être l’absence d’indices graves,précis et concordants ?
Un quitus moral pour la défense de ce mode d’expression très particulier du bien vivre ensemble?
les hommes et les femmes de cette famille ont ils des C…………. quand on sollicite la justice française on sait à quoi s’attendre ……
cela n’arrive pas qu’aux autres….
finalement dans cette douleur des parents je suis desole de leur dire qu’ils arretent de pleurer, car ils n’ont “surtout pas voulu de recuperation de l’extreme droite”. que cette famille sache que generation identitaire et la “sois disante extreme droite” se bat pour denoncer et combattre ces meurtres devenus malheureusement quotidiens. vraiment je ne comprends plus ces familles qui sont dans le deni de realité, et cela me revolte.
Entièrement d’accord qu’effectivement ils arrêtent de pleurer, chercher la sanctification implique que stoïquement ils supportent en silence le pire crime qui soit : celui d’un enfant mais, qu’ils n’empêchent pas ceux et celles que ça ravage de voir ces crimes de sang impunis ni même admis en quelque sorte dès lors que l’on voudrait empêcher toute action de dénonciation de ces crimes dans notre pays au motif qu’il y aurait récupération supposément, selon eux : les français ne supportent plus ces horreurs et le laxisme des autorités, ils finiront pas haïr les “saints” auto proclamés qui ne s’insurgent même plus qu’en France les meurtres sont monnaie courante. Toutes les 44 secondes un horreur se produit dans notre pays.
En sachant que ce qu’on appelle, pour faire peur, l’extrême droite c’est la vraie droite telle qu’elle était dans les années soixante. C’est à cause de l’abandon des idées conservatrices (qui ne sont pas des idées arriérées mais des idées sages) par les partis de la droite traditionnelle qui ont permis, depuis 30 ou 40 ans, la mise en place de cette mentalité du renoncement et de cette acceptation des idées de gauche par des français votant habituellement à droite, tombés dans ces pièges du « pas d’amalgame, du vivre ensemble » et d’autres sottises, que l’on entend tous les jours, qui d’ailleurs ne se réaliseront jamais puisque les autres ne le veulent pas.
Adrien, comme Axelle, comme Thomas, comme nombre
d’autres fils de France, a été livré à l’insatiable ogre
islamique, Gaïa Dreuz.
Leurs familles ne peuvent même pas crier leur douleur: le
système socialiste, qui installe sur le sol de France, les pires
ennemis qui se soient jamais trouvés, a tout pensé pour
ligoter les parents des victimes, pour les bâillonner et les
empêcher de désigner l’ennemi coraniste. Il ne faudrait
quand même pas que leurs cris amènent les Français à
voter pour le seul parti patriote: celui de Mme Marine
Le Pen.
Je recommande à vos lecteurs de se reporter à la
biographie de Françoise Rudetzki, qui fut la fondatrice
et présidente de “SOS Attentats”, après avoir été, elle-
même, victime d’attentat en 1983 ( an 3 de la gouvernance
du maudit Mitterrand).
Son association a été dissoute en 2008, faute de
financement: les socialistes ruinent les Français via une
“politique de la ville” qui ne vise qu’à entretenir les
parasites d’Afrique du Nord et sub-saharienne. Ils ne
peuvent DONC pas s’occuper EN MEME TEMPS des
victimes. Elles sont donc sommées d’être “résilientes”,
discrètes, et de se comporter “dignement”.
Vous observerez que F. Rudetzki a été multi-décorée,
elle qui a été un modèle de résilience.
Saskia, Patrick Jardin a fait un autre choix. C’est un père brisé (sa fille est morte au Bataclan) mais il a un courage et une audace magnifiques, pourfandant inlassablement ce système pro islamique qui arme nos bourreaux et détruit notre pays.
J’entends tous les jours des gens qui protestent contre les ” incivilités”. Ce mot n’existe pas dans le droits français . Pourquoi ne pas appeler un crime par le mot crime. La réponse nous l’avons tous. Ne pas nommer les faits c’est ne pas les voire et ils deviennent des “non-faits” ou tout simplement officiellement n’existent plus.
J’entends tous les jours des gens qui se plaignent que l’époque est violente et que la sécurité a cédé la place à tous les délits. Ces mêmes personnes préconisent un retour de l’autorité de l’état et donc de l’ordre public. Ces mêmes personnes lors des élections ont par ailleurs banni le FN, le RN, et Génération Identitaire …et ne sont pas satisfaits des politiques qu’ils ont élu. En peu de mots ceci peut se dire :”Les Français sont des cons ! Et le peuple de France dans sa majorité un peuple de CONS !”
J’ai bien plus de 70 ans et j’en avais eu 50 de moins j’aurais milité avec Génération Identitaire. Ces jeunes sont pleins de courage et de bon sens patriotique. Ils représentent la France d’avant, celle dont à peu de chose près, tous les partis politiques se revendiquent faussement, et ceci, dès que l’on évoque les valeurs de la République. Génération Identitaire est harcelé par nos politiques et trainé régulièrement devant une justice de soutient au mur des cons, alors que les racailles courent les rues en toute liberté créant un état de non-droit au sein de cette République dénaturée. Il existe une forme de dichotomie chez l’électeur entre ce qu’il fait de son vote et sa pensée politique qui est tout sauf emprunt à la logique et le bon sens qui n’a plus rien de commun.
>Pauvre France de trouillards, de menteurs et d’hypocrites !
Trois sentiments m´habitent. le premier est l´infinie compassion pour les parents brisés, le second devant le laxaisme d´un juge, le troisième le souhait d´une réaction massive du peuple de France devant ce phénomène global qui transcende la lâcheté du meurtre – j´aurais aimé tout de même avoir devant moi l´un de ces salopards pour un entretien pédagogique.
Mais j´aurais aussi aimé avoir le nom du juge méprisable du vivre-ensemble. Une courte interview me suffirait. Aurait-il le courage de me répondre?
Mais je souhaiterais aussi que ce peuple de France élise de vrais Francais, soucieux du bien commun, de vrais Francais, ai-je dit. Et que soitent condamnés les traîtres comme ils le furent en d´autres temps.
Adrien, sois notre héros, que ta mémoire ne disparaisse pas.
Le lointain cousin d´Albert Camus te salue.
Tout ceci ne doit pas occulter une triste et intolérable réalité à ne surtout JAMAIS oublier dans cette France à la dérive :
Quand vous sortez en discothèque (ou même ailleurs), d’autres “habitués des lieux” ont déjà des couteaux et des cutters sous leur t-shirt.
L’extrême droite , l’extrême droite !!!!!!!!!!!!!!! Et bien ; je dis qu’il est fort probable que “SI” nous avions eu l’extrême droite comme disent certain nous n’en serions pas là !………Tout ce qui se passe résulte d’une politique électoraliste . Le charlot qui nous dirige et son équipe de fantoches sont responsables , au même titre que leurs prédécesseurs …………
Quand “ils” vont en discothèque ou “qu’ils” se promènent avec des couteaux ou cutters c’est déjà pas clair !!!!…………….
Voilà le résultat du multiculturalisme .
@le templier:
Si l’on évitait le terme extrême droite! . L’utiliser c’est jeter l’anathème sur tous ceux qui ne penchent pas à gauche: la manip de diabolisation de Mitterand l’imprécateur fonctionne toujours très bien.
D’accord avec vous: le résultat du multiculturalisme est tout à fait conforme aux résultats des élections successives.