Publié par Sylvia Bourdon le 14 août 2020

Dès l’instant où il annonçait sa candidature, je préconisais sous un autre pseudo, sur BV, qu’il gagnerait l’élection après une présidence Obama calamiteuse dans tous les domaines pour l’Amérique. Les livres, bestsellers à charge contre la présidence Obama ne se comptent plus. Le plus célèbre de Ben Shapiro : « The People vs Barack Obama » qui explique les abus de pouvoir durant son administration.

 Ce lien démontre que les ouvrages anti Obama sont des bestsellers. Soigneusement dissimulé par nos pressetituées qui ne jure que par lui.  

https://www.cbsnews.com/news/anti-obama-books-are-best-sellers/

On comprendra le ras le bol du peuple américain devenu abstentionniste en masse.

Trump est un entrepreneur du BTP qui s’adressa à des foules qui auraient pus être ses employées de chantier. Il sait parler au peuple. Il ne parle pas peuple, comme certaines langues de vipères colportent. Il est cash tout simplement. C’est son caractère. Rien que ce détail suffisait à me convaincre de sa victoire.

La kleptocratie de Washington n’avait plus aucune idée en stock, comment s’adresser au peuple, aux électeurs, aux citoyens, qu’ils avaient transformés depuis l’administration Clinton en consommateurs. Des consommateurs-abstentionnistes de masse. Je peux dire sans me tromper que le même phénomène accable la France.

L’Amérique creusait son tombeau lorsque Clinton fit rentrer la Chine dans l’OMC en 2001. A partir de là, la globalisation était en marche folle, à laquelle les kleptocrates français et européens s’empressèrent d’emboiter le pas. Nous nous en rendons compte 19 ans après. Les Chinois ont fait vite pour devenir la puissance qu’ils sont en 2020, au point de ne pas craindre de se confronter à ce qui est encore la première puissance économique du monde, les Etats Unis d’Amérique. L’Europe dans cette affaire a disparue des radars. 

Dès l’instant où Trump annonçait sa candidature contre l’escroc Hillary Clinton, les coups bas pleuvaient déjà de tous côtés pour nuire à l’élection de cet électron libre peroxydé, qui promettait de passer la chasse d’eau sur la fange de Washington, de construire un mur contre l’immigration en provenance du Mexique, qu’il ferait payer, suprême audace, par le Mexique, de faire revenir les entreprises dans le pays et ainsi créer des emplois pour les Américains, de s’entendre avec la Russie et la Chine, de faire payer leur part aux membres de l’OTAN qui se font tirer l’oreille et veulent ainsi profiter des États Unis comme parapluie et j’en passe. Tout le monde, qui a suivi cette élection hors normes, connaît les promesses de Donald Trump, qu’il a tenues en partie, malgré en avoir été empêché par les forces du « deep state » composées par l’administration Obama-Clinton. Ce que l’on appelle aujourd’hui la « Clinton Machine ». 

Ces meetings où des dizaines de milliers d’Américains de base, pas seulement, scandaient en chœur fièrement : « USA USA USA » ou à propos de Hillary Clinton, accusée de corruption et d’escroquerie : « Lock her up, Lock her up », – foutez la en taule … Ce peuple oublié, qui remplissait les stades, les halls les plus gigantesques du pays et faisait même la queue par milliers à l’extérieur pour entendre leur champion lancer « Make America Great Again » (MAGA). 

Ce qui signifiait bien que l’Amérique ne faisait plus rêver, avait perdu de sa superbe, de son lustre, de sa séduction, de son attractivité de l’époque Sinatra, Elvis, des bagnoles chromées, pistache ou rose, de la conquête de l’espace, pour faire place à un rap de sauvages, aux mots violents et mortifères, à une industrie du cinéma devenue militante d’extrême gauche, à un développement d’une extrême gauche islamo-collabo sur les campus qui ne tolère plus le débat, mais procède par intimidation et insulte contre tous ceux qui ne sont pas d’accords. Les partisans de Trump qui avaient la casquette MAGA visée sur la tête, ou portait le T-shirt rouge avec MAGA inscrit en lettres blanches, se faisaient agresser par des antifas devenus légions. Une humoriste au bon gout brandissait la tête de Trump ensanglantée. Un chroniqueur du New York Times appelait même au meurtre du Président. Moqué, conspué par les médias dominants de gauche, Trump les contournait en utilisant Twitter et les qualifiant à raison de « Fake News ». Un autre « humoriste » Bill Maher allait même jusqu’à ouvertement souhaiter l’échec économique de Donald Trump, au mépris des citoyens de base américains, dont cette caste se fout éperdument. 

Le Covid doit le réjouir. 

Trump allait mettre de l’ordre dans tout ça et surtout réussir sur le plan économique. Il conviait les chefs d’entreprises qui avaient délocalisé et les menaçait de taxer lourdement leurs produits fabriqués à l’étranger et qu’ils importeraient aux Etats Unis. Les entreprises revinrent, pas toutes, mais un très grand nombre, ce qui créait enfin des emplois pour les Américains de toutes couleurs, noirs, latinos et blancs. Cela ne c’était pas produit sous Obama, ou les noirs étaient les laissés pour compte dans une misère noire. Comme les latinos. Et, c’est le blanc, Trump, qui relevait la crise de confiance de l’Amérique à travers son économie. Un raciste suprémaciste de la race blanche, hétéro, pro life, c’est ce qu’ils disent, ces haineux, amers et aigris. 

Durant sa première campagne, tous les coups contre lui pleuvaient. Les médias à 90% de gauche le moquaient, CNN en tête que j’intitule la Clinton News Network. Des mensonges furent colportés sur son compte. Il y eut même une réunion de milliardaires sur une ile au large de la Georgie pour conspirer contre son éventuelle élection, à laquelle participait le « Speaker of the House », le Républicain Paul Ryan, qui s’opposait ouvertement à Trump, sans oublier feu John McCain, le plus virulent anti Trump des Républicains.

https://nypost.com/2016/03/08/tech-billionaires-plot-with-gop-leaders-to-stop-trump-at-exclusive-island-resort/

Tous les coups étaient bons pour nuire au Gargantua qui tint le coup, rendit coup pour coup, le peuple américain derrière lui, jusqu’à sa première élection qui fut minimisée par les pressetituées mondiales suivistes de CNN, MSNBC, Bloomberg et j’en passe. Le salaud de peuple a encore une fois mal voté.

Après son élection qui fut toujours estimée comme illégitime, puisque Hillary avait 2 millions de voix de plus que Trump. Mais elle était très loin derrière auprès des « grands électeurs ». L’élection présidentielle US se joue sur le suffrage indirect. C’est à Trump que revint la victoire finale. On imagine l’amertume profonde de la Clinton Machine, dont est Obama, qui oeuvrait dans l’ombre contre le milliardaire new yorkais. Trump venait déranger leurs petites affaires pas très claires, qui les enrichissent sur le dos du contribuable. Ce sont des gens qui n’ont jamais travaillé, qui n’ont vécu que de la politique, ce qui signifie des contributions fiscales des citoyens. En revanche, nous savons aujourd’hui, qu’Obama a fait écouter l’équipe de campagne de Trump. Un énorme scandale, couvert par les mainstreams.

L’élection gagnée, il fallait l’empêcher de gouverner pour démontrer qu’il était indigne de la fonction suprême. Des manifestations monstres furent organisées dans les plus grandes villes, sous la houlette de l’inénarrable agitateur-cinéaste gauchiste, Michael Moore. Tout cela financé par le très aimable Georges Soros, qualifié de « bienfaiteur de l’humanité ». Cela dura des semaines. Des émeutes éclatèrent ici et là. Les pressetituées US montraient en boucles des hystériques en larmes qui pleuraient la défaite de leur pouliche. Une manipulation inédite des masses était fomentée par les Démocrates aigris, dans le plus pur style soviétique ou nord coréen. D’ailleurs, c’est à la faveur de cette élection présidentielle inédite que le monde du bon sens découvrit avec stupeur que l’Amérique n’était plus celle de Eisenhower, Kennedy ou de Reagan, mais un pays dont la capitale et les campus sont gangrénés par la gauche extrême islamo-collaborationniste depuis la présidence Clinton, malgré l’intervalle Bush Jr. Le politiquement correct règne sans partage. 

Puis, le calme revint, Trump tint ses promesses, à la grande surprise des pressetituées du monde entier qui n’avaient jamais vu qu’un Président élu puisse tenir ses promesses. Cela était hors de leur champ de compréhension.

Je rappelle ensuite le Russiagate qui a fait pschitt, mené par ce dingue haineux d’Adam Schiff, qui voulait faire croire à la terre entière que Trump est un traitre à son pays en étant le caniche de Vladimir Poutine. 2 ans de cinéma au frais du contribuable pour à la fin dédouaner le Président des États Unis. Puis, Adam Schiff, Nancy Pelosi, cette vieille raclure de 80 ans, successeur de Paul Ryan, Speaker of the House, inventèrent une nouvelle attaque contre le milliardaire new yorkais : L’IMPEACHMENT – sa destitution. Les chefs d’accusation fantaisistes d’un « lanceur d’alerte anonyme » : abus de pouvoir et obstruction au Congrès. Le Sénat acquittait le Président en février 2020. Pschitt encore une fois. Je me souviens de la déclaration de Stephen Bannon : « Ils ne s’arrêteront jamais ». Et bien non, ils ne s’arrêteront jamais. Passons donc maintenant à la seconde campagne présidentielle US.


2020, l’Amérique touchée de plein fouet par le Covid 19. Tout est de la faute de Trump qui n’a pas sut gérer la crise. Sauf que ce sont les gouverneurs des états qui sont responsables de leurs décisions concernant la pandémie. C’est ainsi, pour ne parler que de New York, que le gouverneur Andrew Cuomo, démocrate, prit mauvaise décision sur mauvaise décision. 

Ici, l’aveu même de Cuomo de ses impérities. La pandémie est partie de NYC, mais c’est la faute de Trump, bien sur.

https://www.newsbreak.com/new-york/new-york/news/1584419525220/cuomo-says-that-he-takes-responsibility-for-every-bad-decision

Nous avons vu les images et les morts qui se comptaient en nombre. Encore la faute de Trump. Ajouté qu’on lui accolait le Dr. Antony Fauci, directeur de la NIAID (National Institutes of Health) et membre de la Fondation Bill et Melinda Gates. Nous savons aujourd’hui que cette fondation, aussi bénéfique qu’un Georges Soros, veut vacciner le monde entier. L’OMC est aussi membre de cette fondation, financée généreusement par cette dernière. En lien.

https://www.gatesfoundation.org/Media-Center/Press-Releases/2010/12/Global-Health-Leaders-Launch-Decade-of-Vaccines-Collaboration

Donc, ce sera le Covid 19 qui devra faire tomber Trump et le Dr. Fauci sera son fossoyeur. Dès lors que Trump déclare son enthousiasme pour la chloroquine, il est immédiatement démenti dans les médias par le Dr. Fauci transformé en traitre du Président. Ce que tout le monde trouve normal. Si Trump s’était déclaré anti chloroquine, la chloroquine aurait été acceptée … Les rapports entre les deux hommes se dégradent. Et Trump twitte qu’il veut le virer pour avoir déclaré que les morts auraient pus être évités si l’Amérique s’était confinée. En clair, Fauci dédouanait les gouverneurs incompétents pour mettre la faute sur Trump qui avait le pouvoir fédéral d’exiger le confinement plus tôt.

Les pressetituées occidentales suivistes de leurs consoeurs américaines s’en donnaient à chœur joie sur ce gros incompétent, ignorant, imbécile qu’est ce peroxydé, vulgaire, au mauvais goût insupportable ! La manœuvre ici, est de lui faire perdre le second terme. L’économie US est au ralenti, le chômage a reprit gravement, tout ce qui fit le succès du 45ème Président des États Unis était en train de s’effondrer. Le Gargantua Trump tient bon, il rend coup pour coup et, comme pour la première campagne, les sondages donnent le fossile, corrompu, Joe Biden gagnant des élections. Il est vrai que la pandémie n’arrange pas les affaires de Trump, puisque l’économie s’épuise dangereusement. Mais lui le dit, que l’Amérique remontera la pente et sera plus forte qu’avant. Il promet un vaccin avant l’élection. Sauf que la Russie vient quelque peu contrarier son projet en déclarant la première avoir trouvé un vaccin. Nous voilà revenus au bon vieux temps de la conquête de l’espace entre l’URSS et les USA, sauf qu’il s’agit aujourd’hui de vaccins. Il entame une guerre économique avec la Chine sur l’application adorée par les jeunes : « TikTok ». Il accuse la Chine, à travers TikTok de vouloir récolter des données sur les Américains et pour arrêter net ce projet, il demande que l’application soit rachetée par une entreprise américaine.

Devant cette résistance hors du commun de Trump, les Démocrates commencent à douter de leur champion Biden, qui s’égare souvent lorsqu’il s’exprime devant les caméras. Il a tendance à confondre un grand nombre de sujets, ce qui laisse supposer Alzeimer en marche. Et pour en rajouter dans l’ignominie, on lui choisi Kamala Harris, corrompue tout autant et protectrice des pédophiles de l’église catholique, comme vice-présidente.

L’ancien maire de NYC, qui a remis la ville en ordre, le célébrissime Rudy Giuliani, dit aussi « Le Sheriff de l’Amérique », toujours bien informé, vient d’annoncer de source services secrets que l’Iran et la Chine conjointement s’ingèreraient pour empêcher la réélection de Trump. Ce qui serait logique, puisque Biden est leur caniche. Je rappelle le cas de corruption avec la Chine où Biden et son fils ont reçu jusqu’à plus d’un milliard $. Toute la presse US en a parlé l’année dernière. Mais CNBC anti Trump, anti Poutine, veut mêler la Russie dans ce complot anti Trump. Rien de nouveau sur la Russie. On ne prête qu’aux riches …

https://www.cnbc.com/2020/08/07/us-intel-russia-trying-to-hurt-biden-but-china-iran-dont-want-trump.html

Le plus marrant dans cette affaire, que les pressetituées françaises dissimulent, ce sont les doutes qui envahissent les Démocrates, au point qu’un think tank préconise que, si Trump devait être réélu, il faudrait organiser une « Révolution des Couleurs » dans tout le pays. Cela signifierait-il que Trump remporterait encore une fois, contre vents, marées et tsunamis son second mandat ? Il le pourrait bien car, selon lui, l’économie remonte la pente.

https://ussanews.com/News1/2020/08/08/democrat-think-tank-calls-for-color-revolution-if-trump-wins-election-video/

Pour ma part, je le souhaite car une élection Biden signifie le suicide des Etats Unis, la soumission à la Chine, une corruption endémique qui reprendrait et finalement l’enrichissement des kleptocrates du Deep State et de la Clinton Machine. Sans oublier l’affaire du pédophile « suicidé » Jeffrey Epstein, où Clinton est impliqué puisqu’il a voyagé, c’est prouvé, 26 fois sur le « Lotita Express » vers l’ile de rêve de l’affairiste pédophile. Car, c’est bien de ces enjeux là qu’il s’agit et non du peuple américain, dont les Démocrates fossilisés, dépassés par leur extrême gauche islamo-collaborationniste, n’ont rien à faire.

Aucune élection n’aura été aussi intéressante, passionnante et peut-être dangereuse pour le monde en cas d’élection Biden. Je n’y crois pas.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sylvia Bourdon pour Dreuz.info.

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