La télévision ça rend con ! Michel Onfray : TF1 ? C’est Coca-Cola !, selon les mots du patron de la chaîne. La télévision n’existe que par les annonceurs privés qui font la loi.
L’argent est le maître mot et toutes les télévisions s’alignent sur TF1. Chacun sait que la télévision du type de TF1 n’est pas un instrument d’éducation populaire, comme elle le fut à ses débuts avec le Général de Gaulle, celui que la gauche présentait comme fasciste. La formule été donnée clairement par Patrick Le Lay, PDG de TF1 dans son livre : Les Dirigeants face au changement, Éditions du Huitième Jour, 2004, où, cynique, il a écrit :
“II y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective business, soyons réalistes : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola à vendre son produit. Or, pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages.
“Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau disponible. Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est par le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, dans un contexte où l’information s’accélère et se banalise.
“La télévision, c’est une activité sans mémoire. Si l’on compare cette industrie à celle de l’automobile, pour un constructeur d’autos, le processus de création est bien plus lent et si son véhicule est un succès, il aura le loisir de le savourer. Nous, nous n’en aurons même pas le temps !
“Tout se joue chaque jour, sur les chiffres d’audience. Nous sommes le seul produit au monde où l’on “connaît” ses clients à la seconde, après un délai de 24 heures.”
En clair : la télévision ça sert à vendre des produits publicitaires ! Les annonceurs font la chaîne, la chaîne doit rendre à l’annonceur qui la rend possible un bénéfice sur son investissement.
Le contenu de la chaîne vise à faire place nette dans le cerveau du téléspectateur. Par conséquent, pas question de le rendre intelligent, de le faire réfléchir, de le distraire avec des spectacles qui en appellent à sa culture et à son savoir qui seraient augmentés. La chaîne choisit le divertissement et la détente et, pour ce faire, elle cherche à reproduire ce qui marche déjà, pas question d’inventer, de créer, de produire en prenant des risques. Il suffit de copier les chaînes commerciales américaines. L’audience fait la loi, la mémoire est inutile. Les ennemis de TF1 sont la raison, l’intelligence, le savoir, la culture, la mémoire, l’histoire.
Pour parvenir à ses fins, il s’agit tout simplement pour TF1 d’inverser les choses : pas de raison, mais de la déraison, avec au choix : bêtise, folie, hystérie, sottise, idiotie, etc.
Pas d’intelligence, mais : violence, sexe, scatologie, sarcasme, rire gras, déguisements et cotillons, travestissements et ritournelles pitoyables, névroses personnelles exhibées sous couvert d’humour.
Pas de savoir, mais de l’ignorance : nul besoin d’avoir une culture ni un bagage intellectuel, car, en ce qui concerne la matière grise, on s’adresse au plus petit dénominateur commun, trois neurones suffisent.
Pas besoin de mémoire donc : pour quoi faire ? Ni de connaissance historique : à quoi bon ?
Pour obtenir un maximum de gens devant leur écran au moment où la publicité pour Coca-Cola est envoyée, il faut un programme qui retienne les gens affalés dans leur canapés : il suffit de zapper, n’importe quel jour, à n’importe quelle heure en soirée, pour voir les images qui apparaissent à l’écran : des scènes de crimes, de meurtres, de carnage, des gens qui tuent et d’autres qui se font tuer, des armes à feu qui crachent la mort, du sexe brutal, de la chair sans âme, des cris, des larmes, des scènes de guerre, des cascades bruyantes et des effets spéciaux sidérants, de la science-fiction avec scénarios apocalyptiques de fin du monde, des univers en sursis attaqués par des ennemis venus d’ailleurs, des guerres bactériologiques, des explosions nucléaires, des invasions de créatures d’outre-monde. Du sang, du sexe et de la mort.
Mais on a aussi la mise en abyme de la vie minable du téléspectateur moyen transformé en héros, bénéfice narcissique assuré : tomber amoureux, se marier, acheter une maison, faire des enfants, se tromper, divorcer, vendre la maison, se battre pour la garde des enfants, tomber en déprime, retrouver un partenaire, tomber amoureux, vivre ensemble, refaire des enfants, etc. Du banal vendu comme si c’était du merveilleux.
Sous prétexte de divertissement, TF1vend des distractions bien grasses, des chansons de salle de garde, les variations sur Quand il pète, il troue son slip chantée par Patrick Sébastien, les tartes à la crème, les jeux de mots scabreux et les plaisanteries scatologiques de Cyril Hanouna et ses rires sur commande. Du glaireux comme l’un des beaux-arts où l’on voit que TF1 donne la mesure à toutes les autres chaînes !
C’est donc l’argent qui fait la loi à TF1 et TF1 qui fait la loi dans le service public. Par conséquent, l’argent fait désormais la loi à peu près partout comme sur LCI le pire de TF1 avec BFM-Macron où l’on invite les bons clients incapables de débattre, mais ceux qui ont de la repartie, qui font le spectacle, au détriment de ceux qui, non bateleurs, mais plus et mieux informés, ne sont pas invités à faire le spectacle de la médiocrité.
Après la télévision, la presse écrite n’est pas en reste. La presse collabo fait la plupart du temps la loi avec Libération, Le Figaro, Le Monde, Le Point, L’Express, L’Obs, qui vendent tous le même produit !
On fait semblant d’être opposés, mais le propos reste le même : l’argent fait la loi là-aussi. La presse collabo fait l’éloge de ce qui la rend possible : le monde libéral de Macron dans lequel le marché fait la loi et rien d’autre. Toute cette presse va dans le même sens : éloge de Macron, de l’euro, de l’Europe libérale, des marchés libres et de la dérégulation, de la révision du droit du travail comme horizon de la politique, du monde libéral et de l’entreprise, stigmatisation des fonctionnaires et aujourd’hui intensification des sanctions contre ceux qui ne portent pas de masque mais pas dans le Califat du 93, et instauration de l’état d’urgence sanitaire pour tous, sauf pour les assistés Une chance pour la France et les profiteurs dans le Califat du 93 !
Philippe Arnon, Riposte laïque : “La naïveté de Michel Onfray et la Boétie. La Boétie est un Français qui a écrit un livre extraordinaire intitulé Discours de la servitude volontaire qui démontre, en termes simples, que “si nous sommes asservis par des tyrans (Macron), c’est parce que nous avons consenti à le devenir“.
“Il y a d’abord la peur des faibles vis-à-vis des forts qui les dissuade de remettre en cause le pouvoir du tyran. Il y a aussi et surtout l’habitude qui se répète instinctivement dans l’histoire, bien sûr !
“Michel Onfray crée un faux espoir chez les Français, car ce n’est pas parce que demain les gens ne seront pas résolus à servir le tyran Macron qu’on aura enfin le paradis sur terre. Les Gilets jaunes en savent quelque chose ! Macron est toujours là et ils n’ont même pas réussi à obtenir le référendum d’initiative civique (RIC). Michel Onfray devrait lire un livre fondamental Psychologie des foules écrit en 1895 par Gustave Le Bon, bien avant les apocalypses des Guerres mondiales, quand les pacifistes du genre Jaurès s’adressaient à tous les peuples des belligérants, leur demandant d’être résolus à ne plus servir pour devenir libres !
“Il faut lire Gustave Le Bon pour saisir la naïveté de La Boétie et d’Onfray : “Ce n’est pas le besoin de la liberté, mais celui de la servitude qui domine l’âme des foules. Les foules ont une telle soif d’obéir qu’elles se soumettent d’instinct à qui se déclare leur maître“. La Boétie déplore “de voir des millions d’hommes, misérablement asservis, et soumis tête baissée, à un joug déplorable, non pas qu’ils soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et comme ensorcelés par le nom d’un seul (comme Macron) qu’ils ne devraient pas écouter, puisqu’il est seul, ni chérir, puisqu’il est, envers eux, inhumain et cruel”.
TF1 avec les sous-fifres de LCI, c’est la machine à décerveler les abrutis, mais pas que !
Thibault Roques, Acrimed : “Patrick Le Lay, TF1 et la culture”. Comme chacun le sait, la disparition de Patrick Le Lay, emblématique PDG de TF1 pendant 20 ans, n’a pas suscité le bilan qu’il méritait.
Rapidement propulsé à la tête de la chaîne par Francis Bouygues, il fut en première ligne dès sa privatisation en 1987. On a trop vite oublié combien il avait promis en matière de culture. Et surtout, combien il a déçu. Retour sur un mirage et une méprise. Lors de l’audition devant le CNCL qui décida qui présiderait aux destinées de TF1, Bouygues déclara bien imprudemment : “Il n’est pas vrai de dire qu’une télévision privée soit condamnée à être une télévision mercantile. Cette télévision-là, elle n’a pas d’avenir” avant de dérouler le programme : “informer, divertir, cultiver“. Tapie, appelé à la rescousse, affirma vouloir “relever la production française“, refusant “d’acheter les feuilletons à l’étranger” et de “gaver les enfants de séries débiles“.
Encore plus fort : “Tapie souhaitait que TF1 célèbre l’année Ravel ou l’anniversaire d’Olivier Messiaen dans le souci d’associer la noblesse du son et de l’image sur TF1”. Ben voyons ! TAKAYCROIRE !
À l’époque, le ministre de la Culture François Léotard attend de la privatisation de TF1 qu’elle incarne le mieux-disant culturel. Il n’en sera évidemment rien et les promesses passeront vite par pertes et profits !
“J’ai un peu honte” avouera François Léotard près de 20 ans après devant l’inanité des programmes culturels ou éducatifs proposés. Car le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola à vendre son produit !
Le mieux-disant culturel céda rapidement la place au plus offrant économique(ment). La promotion en trompe-l’œil de la culture sur TF1 s’apparenta à une immense tromperie sur la marchandise. Dans la course à l’audimat, pas deplace pour la quête de sens pour un public à qui l’on a promis monts et merveilles culturels, à un téléspectateur assailli et abruti de publicités entrelardées de programmes sans ambition culturelle…
Marie Bénilde, Acrimed : “Publicité, l’industrie du boniment !” Dans On achète bien les cerveaux, Marie Bénilde expliquait comment la publicité entretient une culture de l’avidité qui perpétue l’ordre marchand.
Pour Marie Bénilde : “La pub, c’est d’abord un marché de 66 000 annonceurs qui a représenté 15 milliards d’euros en France en 2019, en hausse de 2,6 % par rapport à 2018. Les annonceurs rémunèrent les médias comme supports publicitaires, les médias traditionnels (télévision, etc.) mais surtout les géants de l’Internet, Google, Facebook, et Amazon. Et la publicité ne se déploie pas seulement dans les médias…
“Au-delà des médias, le marché de la communication en général est évalué à 33 milliards d’euros en France avec les promotions, les foires commerciales, les relations publiques, les courriers publicitaires, le mécénat. Et les sites et les comptes des réseaux sociaux des marques qui ciblent de plus en plus directement “le consommateur“. Dans tous les cas, une marque recourt à une agence de relations publiques qui conseille ses clients dans leur stratégie, conçoit les campagnes ou achète des espaces. Elle joue les intermédiaires entre les annonceurs et les supports (presse, radio, télévision, affichage, Internet…). Six multinationales de la publicité et leurs filiales se partagent l’essentiel des profits de cette activité : deux américaines, Omnicom et Interpublic, une japonaise (Dentsu) une britannique (WPP) ainsi que les françaises Publicis et Havas.”
Et comme toujours en France, Publicis et Havas se mêlent de politique ! Une agence de relations publiques achète et vend des sondages politiquement améliorés pour conforter l’image de ses clients.
Le Monde avec AFP : Philippe de Villiers dénonce le “système de corruption” des sondages ! “Avec leur argent, les candidats à l’élection présidentielle ont acheté des sondages avec toujours des redressements favorables, j’allais dire avec des blanchiments favorables“. Philippe de Villiers a dénoncé “le système pourri, le système de corruption” des sondages, comparable à de “la fraude électorale“. Il a accusé les partis de payer pour obtenir des résultats favorables. “Les médias croient payer les sondages” qu’ils publient, mais “en réalité ils n’en payent qu’une toute petite partie : la plus grande partie est payée par les partis directement ou via des intermédiaires“. “On reprochait aux communistes de bourrer les urnes, je reproche aujourd’hui aux sondeurs et à leurs acolytes des partis politiques de bourrer les crânes avec de fausses informations“.
Marie Bénilde, Acrimed : “Publicis a joué un rôle significatif dans l’ascension de Sarkozy, via sa branche conseil et l’influence de son ancien patron Maurice Lévy sur tous les médias. Publicis est toujours présent dans le monde politique, comme on a pu le voir lors de la désastreuse affaire Griveaux, dans laquelle l’agence a tenté de jouer les pompiers. Les publicités à la télévision vendent un univers ouaté, amorti, où l’on rebondit. Vous pouvez avoir les pires problèmes, la publicité vous offre la vision d’un monde rassurant, où tout est à sa place, depuis toujours (et pour toujours et surtout pour croire que rien ne change ni ne changera !).
“C’est cela l’idéologie publicitaire : faire croire que notre univers social n’est pas régi par des intérêts et des luttes, ou par la violence, pousser le consommateur à se sentir déterminé moins par l’appartenance à son groupe social que par les aspirations collectives véhiculées par les médias. Cette idéologie est coupable quand elle pousse à consommer des objets non essentiels. On a cherché depuis quarante ans à créer une économie sans usines où l’on ne fabrique plus que du désir d’acquérir des biens matériels. Cela favorise surtout la consommation de biens importés, donc des dépenses superflues de transport, d’énergie, etc.
“La publicité entretient la mondialisation des échanges par un déferlement publicitaire. Pourtant, si les techniques de captation de l’attention se diversifient, c’est en grande partie, en raison d’un rejet grandissant…
“Et les études d’opinion montrent qu’une grosse part des Français ne porte pas plus dans son cœur la publicité qu’elle n’apprécie les médias dominants dans leur ensemble”. (Marie Bénilde, Acrimed)
C’est dire si tout cela est fait par TF1 et Macron-le-petit, avec le plus grand sérieux !
Que peut-on attendre de ces gens-là, ces publicitaires nantis et ces repus bien souvent de la gauche caviar et Macron gay-friendly incompétent, mystificateur, lâche et manipulateur ?
La France soumises aux publicitaires et à TF1 brûle, et pas seulement avec ses églises.
Comme le dit si bien h16 : Ce pays est foutu !
Assurément, tout ça va mal finir !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
voila pourquoi je n’ai plus de poste de télé depuis 15 ans. la pub m”exaspère.
Moi c’est seulement depuis deux ans.
Incroyable comme il est facile de s’en passer.
vous êtes battu sur l’absence du tracassin télévisuel, chez nous ça fait 35 ans de bonheur !
À Michel Perin
À la télé, certaines pubs sont ce qu’il y a de plus artistiquement intéressant.
Tout le reste est à jeter à la poubelle.
C’est ce que j’ai fait il y a 30 ans.
Ne confondez pas matraquage publicitaire et publicité. Sans la publicité, ceux qui dominent un marché sont assurés d’y conserver leur domination. Dans le commerce, la publicité permet petit à petit à un nouveau challenger de sortir de l’anonymat face aux entreprises déjà installées et disposant d’une image de marque, de nombreux canaux de distribution et points de ventes. Les produits et modèles innovants peuvent émerger plus rapidement et bousculer le marché, au bénéfice du consommateur.
Le nivellement par le bas que l’on observe à la télévision (tnt), à la radio, sur le net est le miroir de la société dans son ensemble. On n’a jamais empêché quelqu’un d’ouvrir un bon bouquin.
Exactement ! C’est de loin le moins bon texte de l’auteur. J’ai remarqué quelques incohérences et inexactitudes.
Exemple 1: “la télévision du type de TF1 n’est pas un instrument d’éducation populaire, comme elle le fut à ses débuts avec le Général de Gaulle, celui que la gauche présentait comme fasciste”. On est où ici, en Corée du Nord avec la télé publique qui éduque les masses sous l’égide d’un De Gaulle il-Sung?
Exemple 2: “C’est donc l’argent qui fait la loi à TF1 et TF1 qui fait la loi dans le service public”. TF1 ne nous vole pas, elle, car ce n’est pas un service public qui enfume avec nos impôts. On regarde ou on ne regarde. On aime ou on n’aime pas. Même s’il est dommage que la première chaîne française soit devenue une poubelle anti-culture.
Exemple 3 qui est encore plus terrible: “La presse collabo fait l’éloge de ce qui la rend possible : le monde libéral de Macron dans lequel le marché fait la loi et rien d’autre. Toute cette presse va dans le même sens : éloge de Macron, de l’euro, de l’Europe libérale, des marchés libres et de la dérégulation, de la révision du droit du travail comme horizon de la politique, du monde libéral et de l’entreprise, stigmatisation des fonctionnaires”.
Tiens, je pensais que c’était exactement le contraire. En fait, le monde libéral de Macron, l’auteur a vu ça où en France avec le marché qui fait la loi?
D’abord, Macron n’est pas un libéral et en France c’est l’état qui fait la loi et c’est d’ailleurs là tout le problème. A quand l’éloge du libéralisme, de la dérégulation, des marchés libres, de la liberté économique, de la subsidiarité, de l’entreprenariat non-crooner, de l’opprobre, voire du rejet total, des fonctionnaires en France? On attend ça avec grande impatience.
Oui.
Sans compter que l’auteur, après avoir tartiné son opposition au libéralisme, longuement cité acrimed (association d’extrême gauche), conclut en se réclamant de H16, héraut du libéralisme s’il en est !
Ce ne sera pas le premier psychiatre à délirer…
Exact ! Il y a incohérence et c’est assez irritant. Je trouve les textes de Dr Ferjeux Michaud-Nérard généralement excellents, percutants, pleins de verves et de bon sens, mais ici ça ne va pas du tout, mais alors pas du tout, même si je comprends bien son agacement certain quant à TF1 et la télé en général. Tout le texte n’est donc pas à jeter mais cette aigreur envers le libéralisme et la liberté ne passe pas, d’autant plus qu’elle est basée sur le mensonge. En ce sens, l’auteur est complètement à côté de la plaque. Une indigestion de TF1 sans doute. Bref, considérons ce texte comme un accident et oublions-le au plus vite. Je garde ma confiance en l’auteur. Mais là, c’était raté.
Je répond a votre dernière interrogation quand tout auras fait boum!Pardon.
C’est ce que je pense et dis depuis de nombreuses années : “la télé, c’est de la pub débile entrecoupée d’émissions tout aussi débiles…” Mais aussi en ce qui concerne ce qui a connotation d’infos : “ah ! qu’est ce que je dois absolument croire aujourd’hui ! ” car il est évident que nos journaleux ne nous abreuvent que de vérités avec l’aplomb qui les caractérisent… Arrêtons la consommation d’images que nous regardons à peine, souvent les télé fonctionnent sans téléspectateur ou endormis ou zappeurs, c’est aussi l’effet souhaité… mais elles nous imprègnent de mots et de sons habilement choisis… Fermons les télés définitivement.
Prenez un quotidien national est regarder ce qu’ils “pensent” de Trump et d’Israël. Vous ne lirez aucune différence même sur la forme.
Merci pour cet intéressant article, mais je pense qu’il est en dessous de la vérité quant a l’influence des médias de masse sur les choix politiques.
Car la publicité produit une image rassurante, mais elle propose (impose) également un idéal. J’ai profité de mes congés pour regarder quelques spots publicitaires, je me suis appercut que les familles représentés cadrait parfaitement à l’idéal multi culturel multi ethnique prône par la doxa. Il y a par exemple une publicité pour un site de vente d’objet d’occasion où l’on met en scène un couple, formé de deux jeunnes femmes, dont une forcément “issue de la diversité” se mettant en ménage.
Je ne parle même pas des spots gouvernementaux du “village bon reflexe” (votez Lrem)…
Cette représentation d’un monde idéalisé, conforme à la vision des amis de Sauros, n’est ni hasardeuse ni anodine.
Et sur tout celà, en france, le très puissant ministère de la culture, avec ces annesxes (ina) veille…
On prépare des cerveaux disponibles, pour CocaCola, mais aussi et surtout, pour Lrem et consorts…
Pas la boetie la beotie. J ai quand même le droit de regarder les feux de l amour et les douze coups de midi non mais ! En ce moment archipel du goulag et 2 cd Liszt at thé opera qui a enregistré tout Liszt (100 cd)
J’ai ajouté “caca cola” à ma longue liste des produits à boycotter ! En ce moment, sur les télés belges, la marque joue à fond la carte du black power et des voilées muzz ! Perso, je maintiens la télé surtout pour les docs, qu’ils soient animaliers, historiques ou politiques mais ces derniers doivent être sans cesse analysés avec beaucoup de vigilance vu que, la plupart du temps, ce sont des gauchiasses qui les réalisent !
Je ne pense pas que de nombreux Français soient devant leur poste de TV pour regarder TF1…..peut-être les personnes âgées, les adolescents pour suivre certaines séries et ceux qui ne veulent absolument pas réfléchir à ce qu’il se passe dans la société Française
Je ne comprends absolument pas pourquoi l’auteur de l’article s’en prend à TF1, parmi tant d’autres chaines véritablement nocives.
Je ne sais pas – mais peut-être faut-il avoir regardé les informations délivrées par J.P. Pernaud – Il est évident que c’est le journaliste le moins inféodé à l’idée gauchiste à propager. Il se fait d’ailleurs régulièrement taper sur les doigts et est menacé d’être éjecté… C’est grâce à sa popularité que les Pouvoirs n’arrivent pas à le licencier.
Quand il évoque la politique il n’a pas la langue de bois et on lui a reproché souvent de dire ce que beaucoup pensent tout bas.
Alors il s’en tient à des documentaires sur la France et les Français, les régions, et tout ce qui est hors politique. Il lance des actions diverses : par exemple trouver des professionnels de tous ordres pour des régions qui se désertifient, en perdant cafés, commerces, médecins, boulangers, etc. etc.
Il agit au mieux pour son pays : LA FRANCE.
Pour le reste je préfère regarder des émissions bêtifiante (c’est l’auteur qui le dit) plutôt qu’être dans la propagande perpétuelle de toutes les autres chaines.
Bien entendu les séries vont dans le sens du vent et intègrent toutes les idées gauchistes…. Mais il s’agit là, justement du travail de gens prétendument intelligents… Ce qu’on appelle les zélites…. Et que produisent les élites aujourd’hui ? Eh bien évidemment du gauchisme !
Des personnes âgées et alitées sont contentes de suivre les feux de l’amour… même si ceux-ci ont intégrés les nouveaux codes sociologiques que la gauche désire nous faire avaler de force….
Mais quoi faire ? Enlever toute forme de détente aux personnes âgées ou malades.
Toutes les autres chaînes ont les mêmes publicités, si ce n’est pire !
Dans cet article Thierry Ferjeux Michaud-Nérard, n’est absolument pas pertinent.
Votre article est intéressant. L’ancien patron de TF1 n’a jamais caché que sa télé était une machine à abrutir pour rendre les cerveaux malléables à la pub.
OK.
Les télés – et TF1 – sont aussi des organes de propagande et de formatage.
Quand vous écrivez dans votre titre “mais pas que”, vous utilisez cette locution virale détestable qui est une grave faute de français propagée par tous les perroquets de Panurge ignares des médias.
En cédant à cette mode inepte, vous révélez que vous êtes touché par le mal. C’est un test de contamination, il est malheureusement positif.
Prenez garde cher ami, décontaminez votre ordinateur et votre stylo !
Bien cordialement.
Une bonne télé 📺 c’est une télé éteinte.
Au vu du titre de l’article, je me suis interrogé.
Mais j’ai vite été rassuré : 9 occurrences de Macron dans le corps de l’article.
A propos de decervellement, j’ai une question qui peut paraitre un peu bete: Je n’ai pas de tele ni de radio (il y en a une dans la voiture mais je l’ai debranche parce qu’inutile) et je lis les faits divers sur le site gauchiste actu 17. J’ai constate qu’en de nombreuses occasions (sinon en toutes occasions) quand il y a des coups de couteaux qui pleuvent et que l’article ne mentionne pas le nom ni l’origine du “saigneur”, en fin d’article il est ecrit que le protagoniste est (etait – sera) schyzophrenique. Pour en venir a la question, est – ce que schyzophrenie est (a ete – sera) le nouveau nom pour islam?
On ne peut pas en vouloir à TF1, qui est une entrprise privée qui doit gagner de l’argent pour vivre, de diffuser de la merde pas chère, car si elle avait diffusé des programmes culturels, elle aurait coulé depuis longtemps. Le français est un faux cul qui plébiscite le culturel, mais ne le regarde pas quand il est diffusé à la télévision. Le français veut des jeux, des émissions de divertissements, des séries policières et les grandes messes de 13h et 20h. Par contre on peut en vouloir au service public d’avoir choisit la même voie alors qu’il vole, toujours plus, à tous les français des milliards d’euros chaque année via la redevance. Mais la c’est sûrement délibéré afin d’enrichir les sociétés de productions qui n’existaient pas avant.
Oh si il n’y avait que TF1!Maintenant a mon avis “quand ont décerveles des abrutis” je me demande ce qu’il en reste.!
Oh j’ai oublier de préciser moi et une grande majorité de mes compatriotes ne regardent plus C.N.N,,,M.S.N.B.C.Et cela depuis longtemps quand aux “infos”de C;B.S et A.B.C ont zappes.Les Américains moi Franco-Americains inclus savent très bien trouver LES INFOS ont est pas des tocards,ont aiment pas le bo…el ont aiment pas que l’ont dises ce que l’ont voient penser même,helas,si des dizaines de millions d’américains sont franchement plus que limites, je en parle même pas des super mégas abruti(e)s..Ils existes des petites chaines câbles d’infos fort interresantes,Fox News,Tweeter est utiles mais ils débloques un peut en se moment,Facebook,certe c’est nettement mieux.Vous savez Zuckerberg n’as pas apprécier du tout de ce faire incendier par la grande gu..le de Cortez lors d’une audition a la House.
Je ne savais pas qu’on pouvait décerveler des abrutis, je pensais que les abrutis n’avait pas de cerveaux