Les Nord-Coréens n’ont plus le droit de garder des chiens de compagnies qui étaient devenus des symboles du luxe et d’élégance à l’occidentale. La Corée du Nord fait face à une pénurie alimentaire suffisamment grave pour amener le dictateur Kim Jong-un à confisquer les chiens et à les vendre dans les restaurants nord-coréens où leur viande est demeurée un mets délicat.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article de Julian Ryall, paru dans le Daily Mail et repris par le National Post, le 17 août.
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Les Nord-Coréens ont reçu l’ordre de livrer leurs chiens de compagnie
Les Nord-Coréens ont reçu l’ordre de livrer leurs chiens de compagnie afin d’approvisionner en viande les restaurants, car le pays fait face à une grave pénurie alimentaire.
Le dictateur Kim Jong-un a annoncé en juillet que la possession d’un animal de compagnie était désormais interdite par la loi. Les autorités ont identifié les foyers de Pyongyang qui possèdent des chiens de compagnie et les confisquent. Certains de ces chiens sont envoyés dans des zoos publics ou vendus à des restaurants qui servent de la viande de chien.
Kim Jong-un a déclaré que les chiens de compagnie sont un symbole de la « décadence » capitaliste et a ordonné que les chiens de Pyongyang soient saisis. Les propriétaires des chiens craignent que leurs animaux de compagnie bien-aimés soient utilisés pour résoudre la pénurie alimentaire de la nation.
Le dictateur Kim a annoncé en juillet que la possession d’un animal de compagnie était désormais interdite par la loi, dénonçant le fait d’avoir un chien à la maison comme étant « un geste corrompu de l’idéologie bourgeoise ».
Les autorités ont identifié des foyers possédant des chiens de compagnie et les forcent à les abandonner ou les confisquent de force et les abattent, a déclaré une source au journal sud-coréen Chosun Ilbo.
Certains de ces chiens sont envoyés dans des zoos gérés par l’État, d’autres sont vendus à des restaurants servant de la viande de chien.
Un récent rapport des Nations unies a déclaré que jusqu’à 60 % des 25,5 millions d’habitants de la Corée du Nord sont confrontés à une « pénurie alimentaire généralisée », aggravée par les sanctions internationales imposées au régime à cause de son programme de missiles nucléaires.
La viande de chien a longtemps été considérée comme un mets apprécié dans la péninsule coréenne, bien que la tradition de manger des chiens disparaît progressivement en Corée du Sud. Pourtant, on estime qu’un million de chiens y sont élevés dans des fermes pour être consommés chaque année.
Le meilleur ami de l’homme demeure un aliment de base sur les menus en Corée du Nord. Cependant, seuls un certain nombre de restaurants sont spécialisés dans la viande de chien à Pyongyang.
La viande de chien est la plus populaire pendant les mois d’été chauds et humides, car on pense qu’elle fournit énergie et endurance.
Souvent servie dans une soupe épicée ou un ragoût de légumes, elle est également connue pour augmenter la température du corps pendant les froids mois d’hiver.
Le Chosun Ilbo a rapporté que les propriétaires d’animaux de compagnie « maudissent Kim Jong-un en privé » – mais ils ne peuvent pas faire grand-chose, car refuser de se conformer aux ordres pourrait être interprété comme un acte de défi à l’égard d’un dirigeant qui aime être appelé la Dignité Suprême.
L’interdiction des animaux de compagnie aura également surpris de nombreux habitants de Pyongyang de la classe moyenne, qui ont commencé à adopter des chiens de compagnie après que le régime ait tenté de redorer son image à l’approche du Festival mondial de la jeunesse et des étudiants de 1989.
Illustrant le développement économique et la vie élégante, les familles riches se montraient en train de promener leurs animaux de compagnie, lesquels ont même fait des apparitions dans des feuilletons télévisés de l’État.
En octobre 2018, Kim lui-même a offert une paire de chiens de chasse indigènes « pungsan » à Moon Jae-in, le président sud-coréen, comme symbole de la détente entre les deux nations.
Les « chiots de la paix » l’ont échappé belle puisque leur départ pour le Sud a coïncidé avec une demande faite aux Nord-Coréens ordinaires de payer une taxe sur la fourrure de chien, qui sera transformée en manteaux, pour marquer la fondation du Parti des travailleurs.
Le pays est confronté à une pénurie alimentaire, aggravée par la décision de fermer la frontière avec la Chine en raison du coronavirus. Pékin est traditionnellement le principal soutien de Pyongyang et la source d’une grande partie de la nourriture nécessaire pour nourrir le peuple de Kim.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources :
Abject !!!!!
Il y a une personne dans les commentateurs qui reprend mon nom pouvez vous me fournir une explication ?
Le bougre de barbare, Magali !
C’est à leur manière de traiter les animaux, que je juge
du degré de civilisation atteint par les peuples.
Je vais contacter la FBB ( Fondation Brigitte Bardot) pour
signaler cette horrible nouvelle, et aviser d’une action à
mener en faveur des chiens menacés par l’ogre nord-
coréen.
La FBB, j’en informe vos lecteurs, a initié un referendum
pour les animaux, il y a qqs semaines.
C’est une abomination.
De mon côté, je vais envoyer un mot à Trente Millions d’Amis, également très actif et efficace dans ce type d’affaire.
J’ai la nausée.
Fox69, je vous suggère une nouvelle formidable!
Ecrite par B. Traven en 1966, elle figure dans le livre ( de
poche), avec qqs autres nouvelles ciselées, sous le titre
“Le Visiteur du Soir”.
“Histoire d’une amitié”, tel est le titre de la nouvelle.
C’est une histoire de chien. Je ne vous en dis pas plus.
A l’occasion, vous me ferez savoir comme vous avez été
emballée.
L’on ne sait pas grand chose de la vie aventureuse de
Traven. C’était, en tout cas, l’auteur préféré d’Einstein.
Si un missile nucléaire nord-coréen frappe St Tropez,
vous saurez que c’est à cause de Saskia ! 🙂
Il y a un quart de siècle, ce pays connaissait une famine meurtrière, peut-être plus d’un million de morts. Des Chinois qui l’ont parcouru alors ont reconnu les signes (oedèmes etc.) qu’ils avaient déjà vus chez chez eux lors de la terrible famine du “Grand Bond en Avant” (la plus meurtrière de tous les temps). http://bouquinsblog.blog4ever.com/la-grande-famine-de-mao-jasper-becker
Dans cette région du monde, en particulier les coréens, les asiatiques ont toujours mangé le chien. Ce n’est malheureusement pas nouveau. Même en Corée du sud plus évoluée et ayant moins de pénuries alimentaires, lors des jeux olympiques, les pressions internationales pour faire cesser cette pratique choquante pour les Occidentaux n’ont pas abouti. les Viet-Namiens continuent de manger des chiens. Les Chinois ont un temps importé des Saint-Bernards parce qu’il y avait plus de viande que sur d’autres races canines…Les autorités suisses ont interdit ces exportations.
Félicitations à la Suisse.
Si le chien est le meilleur ami de l’homme, l’homme peut être son pire prédateur …
“[…] Même en Corée du sud plus évoluée et ayant MOINS de pénuries alimentaires […]”
FAUX, il n’y a PAS de pénuries alimentaires en Corée du sud.
“« […] Même en Corée du sud PLUS ÉVOLUÉE et ayant moins de pénuries alimentaires […] »
FAUX, cher Abbé vous parlez d’un sujet pour lequel vous êtes dramatiquement incompétent.
La Corée du sud et la Corée du Nord, c’est le jour et la nuit.
La Corée du Sud ressemble beaucoup plus à la Suisse qu’à la Corée du Nord… y compris au niveau de la liberté religieuse. Les chrétiens de Corée du Sud envoient des missionnaires dans différents pays.
Le niveau de vie des Sud-Coréens ressemble de en plus à celui des Suisses.
Exact, j’y suis pour le moment, un niveau au dessus des japonais. Les sud coréens sont des travailleurs et veulent le meilleur pour leur pays.
consulter la vague à Séoul (the Wave), c’est magnifique. Ils se sont américanisés tout en gardant leurs spécificités. Un régal. Ils ont fait un bond de géant en 15ans. Le chien en en voie d’être banni de la chaîne alimentaire car de plus en plus de coréens embrassent les chiens comme animal de compagnie et il y a un business énorme en cours. Vous pouvez perdre votre portefeuille en rue, il vous sera rapporté.
le K pop est le Rock&roll américain, ils importent les choses les plus belles du monde entier, les magasins sont remplis avec un choix incroyable.
Je suis impatient d’entendre nos écolos français qui vomissent sur la chasse et les chasseurs français commenter l’attitude du triste clown nord coréen auquel ils ressemblent de plus en plus!
Je ne suis pas écolo au sens où vous l’entendez.
J’exècre la chasse et les chasseurs qui font de cette tuerie une distraction.
Des viandards qui se prennent pour des régulateurs de la nature.
Fox 69 en l’absence de grands prédateurs en Europe, les animaux tels que les sangliers se multiplient en grand nombre. La chasse est donc utile pour réguler ces animaux. Si les chasseurs ne le faisaient pas, il faudrait payer des fonctionnaires pour cette tâche, est ce cela que vous souhaitez ?
Il est vrai que pendant longtemps la chasse a été pratiquée surtout par des paysans, qui d’une certaine façon ce faisant “récupéraient leur bien”, puisque lapins, chevreuils, sangliers, pigeons et autres cailles se nourrissent aux dépens des cultures, bien souvent. D’ailleurs, par endroits, les dégâts sur cultures sont tellement importants qu’on pourrait presque parler d’élevage involontaire d’animaux sauvages… et protéger ses champs efficacement a un tel coût que c’en est prohibitif, surtout à l’époque actuelle où l’agriculture française est si malmenée.
Cela dit, aujourd’hui les chasseurs sont surtout des citadins, qui ne font pas toujours le lien entre les nuisances représentées par certains animaux sauvages et leur activité de chasseurs ; au point qu’ils ne respectent eux-mêmes pas toujours les champs et les cultures dans lesquels ils chassent. Pour ces gens, la chasse n’est pas une nécessité (protéger ses cultures voire se nourrir) mais un loisir champêtre… cela dit vous avez raison, il est indispensable de réguler les animaux sauvages vivant en concurrence et/ou aux dépens des agriculteurs.
Je n’y connais pas grand chose, alors simple question : si les animaux sauvages s’attaquent aux cultures, ce ne serait pas dû à la disparition de leurs proies habituelles (du fait de la sur exploitation des terres, de la suppression des habitats, des pesticides etc.) ? J’ai toujours entendu dire qu’il était préférable de laisser l’écosystème se réguler tout seul.
On parle ici d’animaux herbivores, ou granivores, pas de carnivores : le terme “proies” n’est donc pas adapté.
La réponse est on ne peut plus simple : c’est une solution de facilité pour les sangliers d’aller se gaver de maïs dans les champs, pour les pigeons de se gaver de blé dans le champ avant la récolte, pour les lapins idem. Bien sûr si on raisonne sur des siècles, au temps où la forêt recouvrait la plus grande partie du pays (la Gaule puis l’époque des Francs, le Moyen-Âge…), les animaux sauvages avaient davantage de place qu’aujourd’hui. Mais il faut savoir ce que l’on veut : vivre, faire vivre sa famille, se développer, en conquérant l’espace sauvage pour le domestiquer et y cultiver des plantes qui nourriront l’homme, ou laisser les animaux sauvages vivre leur vie, ce qui revient à s’effacer devant eux. Au fond, c’est toujours la même histoire : priorité à l’homme, ou à l’animal ? Les écolos actuels répondent : l’animal. Les gens responsables répondent : l’homme. Ce qui ne signifie évidemment pas détruire la nature, car sans la nature, nous n’existerions pas…
Sur l’équilibre écologique, qui est en soi une notion relative dès lors que l’homme est concerné, dans le temps les loups étaient un prédateur naturel des sangliers et autres chevreuils. Depuis sa disparition du territoire (mais les écolos veillent à le faire revenir, et tant pis pour les moutons et autres volailles qui en feront les frais – certaines vies comptent manifestement plus que d’autres, pour les écolos), le seul prédateur restant est l’homme…
Une remarque (quelque peu amusée) : ceux qui parlent d’écosystème – j’ai eu des cours d’écologie dans le cadre de mes études, je sais ce que signifie ce concept – ont très souvent curieusement tendance à en exclure l’homme. Comme si l’homme ne comptait pas (mais alors, que font-ils là, ces gens ?), comme si l’homme n’était pas une sorte de “super-prédateur” à inclure dans l’équation – super-prédateur tout à fait capable de raisonner sa prédation, d’ailleurs, sachant que sa survie dépend de la bonne gestion de son écosystème…
Merci Jacques Ady, c’est très clair, j’abonde dans votre sens…même si j’avoue ne pas résister devant la bouille d’un petit lapinou, même s’il a saccagé tout un champ !
J’ai des chats (enfin, une chatte), et qu’y a-t-il de plus attendrissant qu’un petit chaton ? Pourtant, le chaton n’héite pas un 1/10 de seconde s’il a une souris, ou un petit oiseau, en face de lui (expérience faite pas plus tard qu’hier)… c’est la nature, cruelle parfois, belle malgré tout.
@ Fleur de Lys
“Laisser l’écosystème se réguler tout seul”, c’est loin d’être aussi simple… Dans les années 1800, un Anglais a débarqué en Australie avec douze lapins en cage. Aujourd’hui, il y en a là-bas environ 2 milliards (des lapins, pas des Anglais). Vous pouvez en tuer 100 ou même 500 millions (des lapins, pas des Anglais), personne ne verra la différence et le problème ne sera pas solutionné pour autant.
En France, la population des sangliers – qui pullulent sans cesse à vitesse grand V – est estimée à 2 millions d’individus, occasionne des dégâts considérables dans les champs et sur les routes, et coûte très cher aux assurances, donc à vous et moi.
L‘Espagne, l’Italie, l’Allemagne et la Belgique sont aussi très touchés par ce fléau.
Aux Etats Unis, il faut éradiquer les sangliers par hélicoptère, sans quoi ils dévastent les champs et les cultures :
https://www.youtube.com/watch?v=RCq_a27kwuA
https://www.youtube.com/watch?v=F699DW1ZhLs
Toujours en France, le renard étant classé nuisible, ce sont les mairies et les communes qui mandatent les chasseurs pour l’éliminer dans une proportion prédéfinie selon les départements.
merci Rico
Avec un fou rire en plus en vous lisant.🤣
Toujours sur cette question de “l’esprit de facilité”, ou plus simplement de l’adaptabilité des animaux à leur environnement : c’est Magali Marc qui, si j’ai bonne mémoire, parlait des ratons laveurs qui pullulent dans les villes canadiennes, attirés qu’ils sont par la nourriture jetée dans les poubelles, au point qu’ils en deviennent une nuisance. Dans un reportage sur les loups et les éleveurs de moutons, l’un de ces derniers expliquait la remarquable intelligence du loup, qui finit presque toujours par trouver ue solution pour contourner les obstacles posés entre lui et les moutons (fils électrifiés, barrières, etc.). Il faut croire que les proies sauvages sont bien plus difficiles à attraper que les animaux domestiques ! De tout temps, les paysans ont eu à combattre la concurrence des animaux sauvages, qu’ils soient herbivores, granivores ou carnivores. Les citadins modernes ont hélas très souvent oublié ces fondamentaux, déracinés qu’ils sont…
PS : pour autant, nos ancêtres n’ont jamais mangé de chiens, ni des chats (ni de chauve-souris) ! pour en revenir au sujet de l’article 😉
Dans le Vercors des bergers (moutons à l’estive) me disaient que la nuit les loups se séparent pour tromper la vigilance des Patous.
Un groupe de loups attaque d’un coté pour que les Patous viennent défendre le troupeau , et pendant ce temps le reste des loups tue des brebis de l’autre coté.
Les écologistes politiques sont des marxistes 2.0 style Ecole de Francfort dont le seul but est de détruire les économies libérales.
Une partie de leurs électeurs est faite de citadins bien intentionnés mais ne comprenant plus la nature : belle certes , mais sans sentiments , sans pitié . Alors ils gobent tout , l’appat , le pecheur et sa canne à peche : “pauvres loups , pauvres ours , laissez les vivre”.
Ben non . Sur nos prédateurs c’est simple : il faudrait avoir le droit de tirer quand ils attaquent !
Pas étonné du tout par votre exemple de diversion de la part des loups, Winston : le loup est un animal très intelligent. Remarquablement bien organisé socialement, superbe à observer… mais il reste le concurrent de l’homme dans tous les endroits où les deux espèces cohabitent, et comme il défend ses intérêts, nous devons défendre les nôtres ! Étrange que les écolos ne comprennent pas cette logique élémentaire… à moins que ?… ces gens ne soient en réalité animés d’intentions anti-humaines, nihilistes – tout comme les marxistes, effectivement.
Pourquoi donc “laisser les loups vivre” et pas les moutons, leurs proies ? sans parler des humains, évidemment…
La nature est belle, mais elle a ses règles (ce qu’oublient les écolos, par ignorance ou volontairement).
+1
@dj86, ceux qui contestent vos dires sont des incompétents+++
Je vis à la campagne et je connais la nature. Je confirme les propos de Jacques Ady, il a très bien expliqué la situation. J’ajoute que pour réguler les loups, les Rois de France avaient créé un groupe d’hommes experts dans l’art de la chasse : les louvetiers. Ce groupe existe toujours, sous l’autorité des préfets, ce sont les lieutenant de louveterie. Vous n’imaginez pas la force, l’endurance, la vitesse et le pouvoir de destruction d’un loup, cela n’a rien à voir avec un chien. Quand, grâce aux écolos, les loups sortirons des montagnes, ce qu’ils sont en train de faire, il y aura forcément des dégâts collatéraux sur les humains. Il suffit d’attendre, cela arrivera croyez moi.
On savait que le socialisme était mauvais pour les hommes. Le voilà même mauvais pour les chiens.
Plus je regarde les hommes, plus j’aime les chiens.
Regretté Pierre DESPROGES !
Si on devait abattre, ouvrir, vider, débiter… soi-même les animaux que nous mangeons, nous trouverions le tofu savoureux!
Il y a quelque chose qui heurte notre conscience, pour peu qu’on en ait une, quand il s’agit d’ingérer certains animaux qui semblent en avoir une. Chiens, chats, chevaux ont une relation à l’humain dérangeante quand on la retrouve dans notre assiette. Pas facile de manger même le dindon qu’on a gâté toute une année.
Sentimentalisme? On évite généralement de s’alimenter avec des bêtes susceptibles d’avoir manger des humains, requins, loups, ours…
La bonne nouvelle c’est qu’il y a encore des restaurants en Corée du Nord, bien qu’il n’y ait plus rien aux menus. Doivent pas être bien grasses les pauvres bêtes nord-coréennes. Il faut probablement leur faire un nœud dans la queue pour ne pas qu’elles passent entre les barreaux de leur cage.
“… Parce que j’avais pas de manteau, j’ai pris la peau de mon chien, tu vois qu’y’a pas plus salaud que moi qui t’chante ce refrain…” (Félix Leclerc)
Même les soldats de l’armée de Kim Jung Un sont carencés et n’ont plus rien à bouffer depuis des lustres. Ils en sont réduits à voler des poules et des biquettes dans les fermes, et envoient des gamins voler à leur place dans les magasins.
Le plus riche nord-Coréen, c’est celui
qui a une Rolex autour de la taille. 🙂
Le gros tas de suif qui règne en Corée du Nord n’agirait pas autrement s’il cherchait à décupler le dégoût qu’il suscite partout dans le monde civilisé. Même les chiens ne voudraient pas de ses restes s’il avait enfin débarrassé la terre de sa présence nauséabonde.
@ Atikva
Ne vous méprenez pas sur le gros tas de suif. Même s’il prend le peuple nord-coréen pour des imbéciles hermétiquement enfermés, lui n’est pas seulement dangereux ni complètement idiot: il a fait ses classes à Berne, en Suisse, et connaît très bien le monde occidental.
Je ne le prends pas pour un idiot, mais pour un de ces tyrants particulièrement répugnants dont l’Histoire a conservé la mémoire – qu’il ait fait ses classes, en particulier pour ce qui est du lavage de cerveau en douceur, dans une Europe en pleine déliquescence n’a rien d’étonnant.
Ce qui est effroyable, est la famine qui sévit depuis des décennies dans ce pays et la situation actuelle n’a fait que l’empirer.
Quelle tristesse pour tous ces maîtres, qui vont devoir “manger ou faire manger leur ami fidèle, afin de sauvegarder la population….
C’est tout de même mieux, en un sens, que le cannibalisme….
Fox 69, faut s’informer régulièrement sur le site “Vigilance halal” de notre ami vétérinaire De Peretti pour bien comprendre qui sont les “viandards” sur le territoire français. Ce sont les musuls qu’il convient de stigmatiser, également les abattoirs qui pratiquent l’abattage halal en reversant 0.37 euros aux imams par kilo de viande.(pour construire des mosquées et des écoles coraniques). Les chasseurs français n’élèvent pas des animaux pour les égorger dans la souffrance.Si vous consommez un peu de viande, vous mangez de la viande halal sans le savoir! Demandez à votre boucher l’adresse de son abattoir et vous serez surpris. Vigilance halal tient à votre disposition la liste des abattoirs et des bouchers qui refusent le halal, c’est surprenant !
Si vous mangiez moins et depensiez moins , le Peuple pourrait peut être manger à sa Faim.
Mais quand est un Dictateur
Sauvage
Elle est extraordinaire, cette levée de bouclier venue de ces français bien pensants qui ne supportent pas que l’on puisse considérer le chien comme un animal d’élevage.
Quid des conditions d’élevage des porcins, bovins et ovins élevés, puis abattus dans des conditions immondes, cela pour qu’ils puissent bouffer leur bidoche du dimanche en famille ?
Ces mêmes braves français choqués ne savent pas (refusent de le savoir plus exactement) que la Corée-du-Nord est sous embargo depuis des décennies, à l’instar de Cuba, de l’Iran, de la Syrie, du Venezuela, etc.
Ces gentils français écœurés devraient s’informer dignement, plutôt que de continuer de s’imaginer que la civilisation occidentale (dans laquelle on ne mange pas de chiens, dieu merci !) est la meilleure de toutes (vos médias subventionnés puent le mensonge). Alors que l’Occident est responsable du plus grand nombre de morts civils (guerre et famine confondues) de toutes les civilisations humaines connues.
Je ne mange pas de chien, j’adore les animaux domestiques d’une manière générale, mais je considère qu’il s’agit en effet d’un luxe. En particulier, et comme indiqué dans cette publication, pour les coréens-du-Nord.
Quand on crève de faim, on mange ce qu’on peut. Durant l’occupation, les animaux des zoos, les chats, les chiens, les rats, ont été bouffés par les parisiens affamés…
Réfléchissez bon sang, au lieu de ne vivre que dans l’émotion la plus primaire !
Nous réfléchissons, merci, ce qui fait que nous savons :
Tu peux dégager vendre ta propagande gauchiste ailleurs.
selon des experts, l’assassinat collectif des hindous par l’islam en trois invasions successives de l’Inde serait déjà de 600 à 700 millions de morts sur place…+ tout le reste.
À quand faites-vous remonter la civilisation occidentale ?
” Tu peux dégager vendre ta propagande gauchiste ailleurs. ” Merci pour cette démonstration de votre ouverture d’esprit.
Mais bon, avec le drapeau israélien comme avatar, toute réponse est inutile.
Bonne continuation dans votre fanatisme car, pour ma part, je continuerai à décourvir ce qu’on nous a caché depuis des lustres. En l’occurrence, vous devriez vous penchez sur le cas Ron UNZ. Il s’agit d’un juif américain, je vous rassure. Mais il est un tantinet antisioniste, et ça… ;-D
Vous pouvez donc continuer à vous vautrer dans ce marais que Trump est en train d’assécher.
“À quand faites-vous remonter la civilisation occidentale ?”
Mais lol la pitoyable tentative d’esquive 😀 Tu veux aussi qu’on parle des civilisations sud américaines qui arrachaient le cœur de leurs ennemis ? De Tamerlan et du presque quart de l’humanité qu’il massacra ? Pauvre clown inculte qui s’imagine que ses pauvres connaissances en histoire vont lui permettre d’éviter de se faire étriller 😀
“Merci pour cette démonstration de votre ouverture d’esprit.”
Je t’en prie. Il me semble que tu t’exprimes ici, alors que sur le genre de sites où tu t’abreuves en poison, toute personne tentant de démentir ledit poison en rappelant les faits se ferait bannir, n’est ce pas ?
“Mais bon, avec le drapeau israélien comme avatar, toute réponse est inutile.”
Oh, un antisémite / antisioniste, c’est fou ce que cela m’étonne…
“Bonne continuation dans votre fanatisme”
Quel fanatisme ? Celui des faits ?
Tu t’imagines que tes éléments de langage tout fait (vu que tu ne sais strictement rien de moi hormis, en raison de mon avatar, le fait que je sois juif) te grandissent, crétin ?
“je continuerai à décourvir ce qu’on nous a caché depuis des lustres. En l’occurrence, vous devriez vous penchez sur le cas Ron UNZ”
Antisémite ET négateur de la Shoah, grand schelem. Tu t’imagines que j’ai attendu une caisse de resonance d’E&R (et oui mon con, t’es transparent) pour savoir à quoi m’en tenir avec cet imbécile ? Le genre d’outre vide qui vient nous sortir la vieille et ultra usée rengaine des “protocoles des sages de Sion” (Ron UNZ, juif antisémite, se ridiculise sur ce sujet) et prétend “chercher ce qu’on lui a caché”……….
“Vous pouvez donc continuer à vous vautrer dans ce marais que Trump est en train d’assécher.”
Tu parles de TON marais, c’est bien cela ? Le marais que Trump, pro-israélien, ayant une famille juive, défendant bec et ongle la civilisation occidentale contre les excréments dans ton genre tente de purger, à mon grand plaisir ?
Pauvre clown, qui s’imagine qu’en récitant ce qu’on lui a bourré dans le crâne, il a la moindre chance de briller…
Euh, propagandiste marxiste à deux balles, si les Nord-Coréens et autres habitants de paradis communistes crèvent de faim, c’est avant tout “grâce” à la gestion collectiviste totalitaire de leur économie ; et non à cause de l’embargo (à l’efficacité aléatoire) pratiqué à leur endroit.
Ensuite, quand on parle de s’informer et de ne pas écouter les médias subventionnés (assez cocasse de lire ça quand on sait à quel point ici on abhorre le principe même ainsi que le message bien-pensant véhiculé par lesdits médias subventionnés), vous feriez bien de vous appliquer cette sentence à vous-même, et de cesser de répandre la désinformation selon laquelle les animaux d’élevage seraient “élevés, puis abattus dans des conditions immondes”.
Quant à l’affirmation selon laquelle l’Occident serait tellement criminel – le crime serait dans son ADN, sans doute, comme le racisme serait systémique parmi les Blancs – que Gally a bien démontée, je vous suggère de mettre vos actes en conformité avec vos paroles, et d’aller vivre dans un de ces paradis marxistes que vous défendez.
Comment dites-vous déjà : réfléchir, et ne pas vivre dans l’émotion la plus primaire ?
Pourquoi vous obstiner à vivre au sein d’une civilisation que vous considérez comme inférieure ? Personne ne vous empêche d’aller vous épanouir alleurs, dans celle que vous jugez supérieure. La porte est grande ouverte, et si besoin est, nous nous ferons un plaisir de l’agrandir pour vous laisser passer.
A tous ces Occidentaux qui dénigrent leur environnement et leur culture : au lieu de nous assommer avec vos récriminations et vos exhortations à changer notre mode de vie pour vous plaire, allez donc voir ailleurs si j’y suis. Allez, un peu de courage, agissez au lieu de bavocher, faites la valise, quittez cette vallée de larmes occidentale qui vous a infligé tant de misères. Bon voyage, et bon vent.
En Sibérie il y a des vestiges montrant une domestication du chien qui datent de 32000 ans estimés.
La “décadence capitaliste ” a commencé bien tôt , mon pauvre Kim !!!
Quand les premiers hommes ont apprivoisé des petits loups il y a 15 ou 20000 ans, ce n’était sûrement pas pour les manger, mais pour en faire l’ami de l’homme et le complice dans la chasse au gibier.
Des cas de cannibalisme avérés en Corée du Nord…
Certains témoignages de réfugiés nord-coréens citent des cas où les personnes ont mangé et vendu de la chair humaine sur les marchés en la faisant passer pour de la viande de mouton.
Un habitant de la ville de Hyesan, au nord-est du pays, exécuté en décembre 2009, pour avoir tué et mangé une fillette. Un père et son fils, condamnés à mort en 2006 dans la ville de Doksong pour avoir mangé de la chair humaine…
En 2011, la mission Caleb, un groupe de missionnaires sud-coréens, était parvenue à récupérer un document de la police nord-coréenne, daté de 2009, relatant d’autres cas de cannibalisme et laissant entendre que le phénomène était plus étendu et récurrent dans un pays confronté à un contexte de situation de pénurie alimentaire.
Source : Le Monde 18 mai 2012