
« Vous aurez sans doute remarqué que depuis quelques années, les décisions judiciaires en matière pénale, qui concernent des individus délinquants tant en matière correctionnelle qu’en matière criminelle, sont particulièrement clémentes » écrit la magistrate Catherine Massaut.
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Plus concrètement, étant moi-même magistrate de profession, après une bonne douzaine d’années passées au barreau de Paris, je suis stupéfaite de constater que dans le cadre de divers et nombreux délibérés auquel j’ai pris part, ont abouti à ce que j’appellerai un déclassement des peines pénales, c’est-à-dire un manque de cohésion entre la peine ou sanction prononcée et l’acte ou les actes délinquants objet de poursuites judiciaires.
Plusieurs facteurs sont à retenir ici :
- L’explosion exponentielle de la délinquance issue je dirais à environ 70 – 75 % voire dans certaines villes à 80 – 90 % des personnes issues de l’immigration méditerranéenne et subsaharienne, qu’elle soit française ou non, dotée ou non d’un statut légal en France ;
- Le manque de moyens (en personnel et en dotation d’ordre financier) récurrent octroyé à la justice et à la police : Magistrats, huissiers d’audience, greffiers, éducateurs,
- Et enfin le plus important sur le plan pénitentiaire, le défaut cruel de places de prison : aucun gouvernement depuis 40 ans – et en dépit de l’explosion de la délinquance – n’a pris l’initiative de faire construire des prisons pour des raisons à la fois budgétaires (les anciens combattants ont eu très longtemps un budget supérieur à celui de la justice) et surtout pour des raisons idéologiques : Il ne faut pas enfermer les délinquants car la prison est criminogène et ce n’est pas leur rendre service… la prison ne constitue pas un digne outil d’une République qui se respecte…
Protection du délinquant
Nous sommes dans le droit fil de la déconstruction en matière judiciaire initiée par les nouveaux philosophes, le principal dans ce domaine étant Michel Foucault (cf “Surveiller et punir*”).
Il faut saper l’autorité et respecter La liberté individuelle dans tous les sens du terme.
La loi Peyrefitte, du 2 février 1981 dénommée «Sécurité et liberté» protégeant par définition la sécurité et la liberté des personnes,- chacun s’en souvient, avait soulevé des tollés de réprobation par L’intelligentsia socialiste qui avait, en ce temps-là, le vent en poupe… Cette loi avait notamment pour objet :
- d’étendre les prérogatives de la police et de la gendarmerie en matière de contrôles d’identité et de flagrants délits,
- de réprimer plus sévèrement les actes de violence les plus graves envers les personnes et les biens (association de malfaiteurs, menaces de mort, arrestation et séquestration de personnes, prise d’otages, enlèvement de mineurs, vols aggravés),
- de modifier les conditions de la récidive, de limiter les effets des circonstances atténuantes ainsi que les conditions d’octroi du sursis.
Le culte du progrès et de la liberté prônés par les socialistes et les communistes ont finalement eu raison de cette loi dont certains aspects ont été abrogés. Au point d’ailleurs qu’elle ne fut plus qu’une coquille vide dans son volet pénal.
Et les victimes me direz-vous ?
Eh bien les victimes ce n’est pas leur problème… à eux en tout cas :…. J’entends par-là les bâtisseurs de la déconstruction….
C’est la raison pour laquelle ce problème ressurgit aujourd’hui avec d’autant plus d’acuité : que se passe-t-il ?
Pourquoi cette réticence des juges à prononcer des peines en adéquation avec la gravité des faits reprochés ? Y compris en présence de multi – récidivistes notoires ?
La politisation des magistrats
Le rôle phare du syndicat de la magistrature, syndicat de gauche et d’extrême gauche (créé en 1968) contestataire, est hostile à toute forme de répression du délinquant considéré comme une victime de la société, et dans un moindre mal, l’influence de l’union syndicale de magistrats, créée également la même année, situé politiquement au centre mais surtout soucieux de chausser les bottes gouvernementales et à cet effet ne pas prendre de risques qui pourraient compromettre la carrière professionnelle de ses adhérents.
Je parlais donc de la politisation des magistrats : à partir du moment où l’on considère que le délinquant est une victime de la société, on est enclin naturellement à diminuer sa responsabilité pénale et partant, prononcer une sanction plus douce que celle qui serait méritée en temps normal. Pour faire simple, aujourd’hui, on peut constater que l’échelle des peines n’est absolument plus en harmonie avec les profils des délinquants présentés au juge pénal, qui sont, la plupart du temps, issus de minorités diverses et variées provenant d’outre-Méditerranée, des individus de plus en plus jeunes, de plus en plus violents, des jeunes gens entre 12 et 25 ans qui évoluent au sein de système mafieux mis en place dans de nombreux quartiers (trafic de drogues, armes, prostitution et j’en passe), des quartiers où le terme «république» est devenu une abstraction… laquelle se caractérise concrètement par une forme d’auto exclusion de la société… Et bien sûr des jeunes gens qui têtent au sein de leur mère la haine du pays d’accueil, comme la haine des juifs, d’ailleurs, soit dit en passant,
De fait, la justice a perdu en crédibilité depuis bien des années pour les raisons si avant que j’ai dénoncées à savoir, la politisation à la gauche de la gauche de bon nombre de magistrats, le manque de moyens, le tout étant chapeauté/dominé/transcendé par ce que l’on appelle communément la Doxa bien pensante qui incite les magistrats, déjà peu enclins à prononcer des peines de prison fermes, les incite – de façon subliminale mais non moins persuasive -, à dédouaner cette classe de la population par peur également de déclencher des représailles dans les quartiers sensibles.
- À titre d’exemple, j’évoquerai l’ordonnance du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante qui fixe les règles de procédure pénale, spécifiques aux mineurs : cette ordonnance a été signée sous le premier gouvernement de De Gaulle, le gouvernement provisoire De la République française ;
On peut aisément imaginer l’évolution spectaculaire de la délinquance, les jeunes de 2020 ne correspondant absolument plus à ceux de 1945 qu’il convenait de protéger par cette ordonnance spécifique, du fait de la guerre dont ils avaient profondément souffert.
Cette ordonnance prône en premier lieu la prévention et le cas échéant la sanction lorsqu’un mineur est concerné par une affaire pénale.
À n’en point douter, de nombreux jeunes gens ou jeunes filles sont en déshérence, pour des raisons familiales multiples, et commettent des faits délictueux (vol à la tire vol avec violence bagarre rixe vol avec arme ou pas, etc.) et tombent progressivement dans un engrenage mortifère ; Il est bien évident que nombre de ces jeunes gens – parce qu’ils sont en danger – doivent faire l’objet d’une protection particulière, d’un regard et suivi bienveillant, mais ferme aussi, et qu’ils doivent apprendre à respecter l’autorité, à commencer par celle de la justice incarnée à la fois par le juge, par l’avocat et par l’éducateur qui le prendra en charge dans le cadre de la sanction préventive.
Pour autant, si la prévention est une excellente chose, il demeure qu’elle doit se transformer en condamnation à de la prison ferme, dès lors qu’après un certain nombre d’avertissements (remise à parents, rappel à la loi, sursis simple, sursis sme, bracelet électronique), le jeune justiciable n’a toujours pas compris qu’il doit rentrer dans le rang.
Et d’ailleurs, la police a raison quand elle dit mais «que fait la justice ?»
À cet égard, on peut bien comprendre l’amertume des policiers et des gendarmes qui voient remis en liberté ou avec un bracelet électronique en guise de sanction, un individu qu’ils ont mis des jours des semaines ou des mois voire des années à rechercher, à traquer pour enfin l’interpeller…
Alors que faire ?
Il faut que ces petits caïds des banlieues comprennent une bonne fois pour toutes qu’ils ne peuvent plus impunément voler, violer, égorger, défenestrer
Que faire face à cette justice qui n’en est plus ou en donne en tout cas l’impression ?
Il n’y a pas quatre chemins : il faut changer le logiciel pénal :
- modifier toute l’échelle des peines
- rétablir les peines planchers
- alourdir les peines dès lors qu’il s’agit d’atteinte physique qui ont été commises sur une victime,
- supprimer les réductions de peines notamment conditionnelles pour les assassins djihadistes
- en ce qui concerne les mineurs, modifier la garde à vue, donner la préférence à la prison lorsque manifestement le seuil de tolérance a été dépassé,
- supprimer la double nationalité,
- expulser les délinquants étrangers pour leur faire purger leur peine dans leur pays d’origine,
- s’ils sont français, ne pas hésiter à avoir recours à des sanctions plus fermes de sorte qu’il comprennent que la vie en société implique un savoir-vivre, un savoir être à l’autre, à commencer par le respect et la dignité de son voisin.
Au diable cette doxa puritaine, souffreteuse, tubarde, victimaire, lancinante, et plus que tout, dangereuse pour notre société
Il faut que ces petits caïds des banlieues comprennent une bonne fois pour toutes qu’ils ne peuvent plus impunément voler, violer, égorger, défenestrer, en bref, agresser seuls ou en réunion, avec un couteau ou une arme de poing, une Kalashnikov, etc.
Et ils doivent savoir qu’ils vont en payer le prix et le prix fort.
Les bonnes âmes bien-pensantes vous diront que vous n’êtes pas charitable, qu’ils sont pauvres et malheureux, qu’ils ont des soucis de santé mentale, qu’ils ont consommé trop de shit ou fumé la moquette, qu’ils ne connaissent pas les codes…. Mais au diable cette doxa puritaine, souffreteuse, tubarde, victimaire, lancinante, et plus que tout, dangereuse pour notre société.
- Il ne faut plus qu’une femme de 80 ans soit violée,
- Il ne faut plus qu’une femme – parce que juive – soit rouée de coups puis défenestrée,
- Il ne faut plus qu’un chauffeur de bus soit matraqué à mort,
- Il ne faut plus qu’une jeune femme gendarme soit écrasée par un chauffard,
- Ni qu’une jeune aide-soignante soit également écrasée par deux soudards en voiture qui l’auront traînée sur 800 mètres, la laissant pour morte et démembrée à l’issue de leur rodéo…
- Il ne faut plus qu’un jeune docteur en sciences sénégalais soit poignardé à mort devant sa femme et sa petite fille,
- Il ne faut plus tout simplement que les citoyens se sentent en insécurité, ou, dit en d’autres termes : il faut que l’insécurité change de camp.
Mais pour cela, il faut une réelle volonté, une volonté politique, une volonté qui vient d’en haut, qui vient des pouvoirs publics, qui vient du ministre de la Justice, qui décide de la politique pénale mise en place par les juridictions de l’ordre judiciaire.
Et bien sûr il faut que les magistrats appliquent cette politique pénale qui soit à la fois juste et ferme car ne n’oublions pas, force doit être à la loi.
© Catherine Massaut
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Chère Madame, vous parlez d’or, mais malheureusement vous êtes bien esseulée
Le problème est qu’il faudrait, dans notre société bisounours, habiller votre discours en conséquence, montrer que les décisions rudes que vous préconisez sont également pour le bien de ces individus en les éduquant et en les maintenant dans le droit chemin.
Pour casser la chaîne des générations, ouvrir des internats ou seraient placés, pour leur bien, les futurs délinquants, dès 10/12 ans lorsque l’école, la police ou l’assistante sociale détecteraient un commencement de dérive.
Après tout la bourgeoisie a aussi placé ses enfants dans des internats.
D’autre part les peines avec sursis prononcées dès le premier acte devraient s’accompagner d’une semaine ferme afin que le délinquant découvre, pour son bien,ce qui l’attend à la prochaine condamnation
Et pour lutter contre la récidive emprisonner plus tôt car aujourd’hui, contrairement a ce qui est dit, la prison n’est pas l’école du crime mais son université
Vu le nombre de délits nécessaires pour être emprisonné, la personne a largement fait ses classes préparatoires préalablement.
Continuez le combat.
Quelque part, vous vous pliez encore aux injonctions et à la doxa gauchiste, à la culture de l’excuse. On s’en fout de son bien. C’est le bien commun qui importe, le bien-être de la société, des honnêtes gens sociables, policés, qui ne doivent pas avoir à craindre de se faire agresser pour ou oui ou pour un non par des individus asociaux.
Cela peut effectivement avoir ensuite pour effet collatéral de récupérer ceux qui peuvent l’être. Mais il faut bien avoir conscience que beaucoup ne sont déjà plus récupérables.
Cela aura surtout un effet dissuasif et donc préventif sur les autres, avant de démarrer une carrière dans la délinquance. Comme pour la drogue, la cigarette, le fait de commencer est le plus souvent irréversible : une fois qu’on a basculé dedans on ne peut plus s’arrêter et revenir en arrière.
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Vous avez raison pour l’université. Aujourd’hui, la vraie école du crime c’est sont les « quartiers » ou « cités », devenues des « zones » comme on disait à la Belle Epoque (ou des « forêts » au Moyen-Age, étymologiquement for-est, « ce qui est en-dehors », i.e. en-dehors de la loi et de la civilisation), des lieux truffées d’enseignants très compétents en matière de délinquance, « grands frères » et caïds en tous genres, présents dans presque toutes les fratries.
Certains sont déjà de délinquants chevronnés et formés à 12, voire 10 ans. A 15 la plupart ont leur brevet en poche.
Avec leur « prison école du crime », les bien-pensants et les gauchistes ont comme toujours trois trains de retard. Ce n’est plus là que cela se passe.
Aujourd’hui, la prison est plutôt l’école du djihad et du terrorisme.
D’où la nécessité de LA mesure que je préconise en priorité : construire des prisons! Massivement. C’est la SEULE solution aujourd’hui pour casser le système que les délinquants ont mis en place, le reste c’est des discussions byzantines sur le sexe des anges, des discours fumeux fondés sur des vues de l’esprit déconnectées de la réalité, des théories fausses sur la « faute à la société ». Non, les délinquants ne sont pas des « victimes de la société ».
Aujourd’hui, ils ont droit à de l’argent gratuit via les aides sociales, à l’école gratuite, à la santé gratuite, à des logements gratuits, et ils sont opprimés, laissés pour compte, rejetés de la société? De qui se moque-t-on?
La preuve que ces explications, si elles ont pu être vraies dans le passé, sont devenues fumeuses et ne tiennent plus aujourd’hui avec tous les filets sociaux mis en place, c’est que les gauchiasseux sont obligés d’inventer des « oppressions » imaginaires, le « racisme » (qui ayant été à peu près éradiqué de la pensée commune est décrété « systémique », c’est-à-dire invisible, silencieux, impalpable – autant dire fantasmatique), la « discrimination » et autres fables pour continuer à « expliquer » fallacieusement que les délinquants sont de pauvres petites victimes. Non, aujourd’hui c’est devenu une voie professionnelle, grâce aux « idées » de gauche.
Ma réponse est partie intempestivement, elle semble donc contenir une contradiction quand je dis que la prison est l’école du djihad et qu’il faut en construire. En fait non.
Il faut construire massivement des prisons modernisées, repensées qui permettent d’emprisonner plus et mieux que les prisons actuelles hors d’âge, obsolètes, inadaptées. Avec cellules par deux maximum (la solitude n’est pas bonne pour tous), sanitaires convenables, un centre de réadaptation par le travail, des cours et un encadrement de type militaire par exemple, avec activités physiques et disciplinaires, etc (ce sont des suggestions)
Le problème principal actuel est le manque de places : plus on aura de places, plus on pourra dissuader, car les délinquants auront alors la certitude du risque d’y aller. On pourra aussi emprisonner pour de courtes périodes dissuasives les primo-délinquants (même 2-3 jours comme on le fait dans d’autres pays) pour arrêter la pente glissante.
Mais on pourra aussi mieux surveiller et isoler les djihadistes, les dispatcher, les bouger, les confiner et empêcher les « clusters ».
Car bien sûr il n’y a pas d’autre solution que de les garder en prison si on ne peut pas les expulser.
Il faudrait rapidement construire au moins 100000 places neuves, et ensuite plus si nécessaire, en fermant ou réaménageant les établissements pourris actuels (ou en les gardant pour les djihadistes irrécupérables).
Certes, cela a un coût : mais quel est le coût de la délinquance et de l’ensauvagement? Aujourd’hui, ce coût est un investissement.
Bravo,
Je vous suis à 100%
Depuis bien longtemps on entend tous les « politiques » nous dirent :
ça va changer, nous allons envoyer des policiers (mais sans pouvoir réel).
Vous devriez être la nouvelle garde des sceaux !
Bien à vous
Cher Auguste,
Je dis « pour leur bien » comme argument de présentation des mesures afin de ne pas heurter les beaux esprits que toute contrainte révulse.
D’autre part c’est parce qu’ « il faut bien avoir conscience que beaucoup ne sont déjà plus récupérables » que je préconise des internat, dès 10/12 ans, ou le sens de la discipline, du bien commun leur sera inculqué.
Prenez également en compte que le « bien » de ces individus participe au « bien commun » en positif ou en négatif.
Cordialement
Sarko le traitre a créé ce que vous proposez : les centres éducatifs fermés.
Il y en a un près de Bordeaux, un des premier « joyeux drilles » à l’avoir inauguré avait, à 14 ans,tué une grand mère pour lui piquer son porte monnaie. Sans doute un jeune défavorisé ne connaissant pas les codes …
Il faudrait s’interroger sur ces centre fermés, très discrets, où l’internat de ces joyeux bambins doit nous couter entre 600 et 800 euros PAR JOUR !
CHUT ! ne le répétez pas, ça pourrait faire » hurler les retraités qui ont la moitié moins PAR MOIS …
Alors, l’internat éducatif pour la racaille, excusez-moi, sur une ile déserte alors.
des internats
Bien sûr. Aux USA si on ne paye pas son PV de stationnement, on peut passer quelques jours dans la geôle « du shériff ». Le PV suivant… on le paye !
bien dit, bien approuvé
La meilleure peine qui soit pour les tire-au-flancs parasitaires de civilisation, ce sont « les travaux forcés » afin qu’ils participent équitablement à leur incarcération et découvrent les bienfaits du travail.
Ça ne se veut pas « pédagogique », ça se veut « pragmatique », réaliste et équitable.
Quand la moitié d’une population est en prison, c’est l’autre moitié qui est au travaux forcés!
Quels travaux forcés? Ce ne sont pas les besoins qui manquent : réfection des églises et des monuments historiques, entretien des voies urbaines, des cimetières, des édifices publics…
En sortirait peut-être un nouveau Blues ou Jazz de circonstance au lieu du Rap de la délinquance?
Euh !!! cette magistrate dans un panier de crabes qu’est sont métier, est toujours en place??? ou alors ça ne saurait tarder, elle a beaucoup de courage pour dénoncer ce que tous les bon citoyens dénoncent depuis très longtemps, elle devrait se rapprocher d’Eric Zemmour.
Mais la surveillance de travaux forcés en extérieur, ça demande 4 fois de monde… Et des fonctionnaires, on en a peut-être assez, non ?
Soyons moderne ; remplaçons les bracelets de rétention par des colliers de strangulation : s’ils s’éloignent de la borne, ça leur sert le kiki, et une dose de rivotril s’ils la quittent. S’ils refusent d’œuvrer, ils ont droit à un ramadan de 24 heures cumulable à l’infini!
Je parle des détenus bien sûr, pas des fonctionnaires.
AH ! Je savais bien qu’on finirait par être d’accord !
Juste un détail, je remplacerais le Rivotril par le C4 …
Je ne connais pas le C4? Je ne suis après tout qu’un novice.
Mais c’est un début qui me parait prometteur! 😉
Bien sûr qu’il faut une forme de travaux forcés : cela suffit d’entretenir des criminels, ce qui revient à une double nuisance : les crimes et délits commis, ET l’obligation à la fois de leur construire un logement (la prison), de les nourrir et de les blanchir.
L’auteur, dont le propos est évidemment plein de bon sens, incrimine la magistrature, qui penche sérieusement à gauche donc du côté des criminels puisque fondamentalement elle nie l’existence du mal et le principe de responsabilité individuelle, et plus globablement la « Doxa bien-pensante » : c’est vrai, mais il ne faudrait pas oublier les politiciens, car ce sont eux qui votent les lois, ce sont eux qui votent les budgets, dont celui de la Justice **.
Ces politiciens, qu’ils soient de gauche ou même de « droite », sont les premiers responsables de cette dérive de la Justice, qui a commencé sous Mitterrand et n’a depuis lors fait que s’aggraver.
On me dira : mais ce sont les Français qui les élisent, scrutin après scrutin. C’est vrai : nos grands-parents n’auraient jamais accepté le quart de ce qui se produit aujourd’hui. Nos contemporains sont devenus pour beaucoup des chiffes molles, des imbéciles heureux. La faute à l’Éducation Nationale et aux médias certes, ces hussards noirs de la bien-pensance « progressiste », mais la faute aussi à leurs parents, qui se sont laissé influencer et ont baissé la garde : l’abandon des repères moraux et spirituels ancestraux a conduit au relativisme, et logiquement à se soumettre à la Doxa de la bien-pensance, à accepter de se laisser culpabiliser, à accepter l’inversion progressive des valeurs qui a été distillée dans la société par les agents de la gauche anti-occidentale et anti-judéo-chrétienne.
Beaucoup de gens ont une responsabilité ici : nombre de magistrats, journalistes, syndicats, enseignants certes, mais il ne faut pas oublier des politiciens soit malveillants, soit lâches, qui n’ont souvent pas hésité à renier leurs promesses et à trahir les Français ; ni la veulerie, la mollesse et l’indécision de beaucoup de nos compatriotes.
** le budget de la Justice en France, c’est 9 milliards d’euros en 2019, soit à peine plus que les sommes engagées annuellement par l’État pour les énergies renouvelables (éolien et solaire) sur les décennies à venir, selon la Cour des Comptes :https://www.lemonde.fr/blog/huet/2018/04/19/la-cour-des-comptes-alerte-sur-le-cout-des-enr/
Aucun argument pour contrer Mme Massaut.
L’ensemble de ses propositions sont, grosso modo,
celles de l’Institut pour la Justice.
Ce sont précisément celles qu’il nous est interdit
d’espérer, tant qu’une majorité d’électeurs votera
pour les socialo/écolo/communistes.
Je ne suis pas du métier, mais la fin du service militaire aurait pu, à mon sens, permettre à peu de frais de reconvertir nombres de casernes en lieux de détention « allégés » pour une classe de délinquants a priori non violents (cols blancs, courtes peines, chauffards, etc.) à risque d’évasion très faible, ce qui aurait libéré des places dans les prisons classiques…
Le Général Martinez candidat aux élections présidentielles.
https://volontaires-france.fr/le-general-martinez-candidat-aux-elections-presidentielles/
Tout le monde a compris à quel niveau de partialité était tombé notre magistrature. Mais comment en est-on arrivé là ? De même qu’en 1945, de Gaulle a concédé la culture et l’éducation aux communistes, mai 68 a mis la justice entre les mains des divers avatars du gauchisme. Si le Centre national d’études judiciaires ne deviendra l’École nationale de la Magistrature qu’en 1970, plusieurs de ses enseignants sont issus du Syndicat de la magistrature fondé dès 8 juin 1968… Des rapides, ceux-là ! La place manque pour reproduire les perles ahurissantes de ceux dont il ne faut jamais oublier qu’ils ont formé ceux qui nous jugent aujourd’hui. Comme cette déclaration prophétique de Dominique Charvet en 1973 à l’occasion d’une table ronde à l’ENM, où il semble déjà appeler la charia de ses vœux : « Le problème est de savoir si les magistrats et les avocats auront le courage de saborder leur profession, pour faire place à cette justice spontanée qui a surgi dans les favelas du Chili ou dans certains grands ensembles de nos régions. Il y a dans les arrière-salles des cafés de Bobigny ou de Nanterre des juges qui se lèvent pour rendre la justice dans leur propres milieux : ce devrait être la magistrature de demain. » Du même visionnaire : « Il faut choisir parmi les lois contradictoires celles qui sont au service des travailleurs, des opprimés. Il faut faire un choix entre deux camps ». C’est bien ce que font généralement les prud’hommes… De Louis Joinet : « La loi, nous la violons. C’est ce qui permet de la faire avancer. » A noter que ce conseiller de plusieurs ministres de Mitterrand entre 1981 et 1993, trouvera en 1996 à exercer sa clownerie en tant que président du Centre national des Arts du Cirque, ça ne s’invente pas ! Autre comique à la limite du phénomène de foire, Oswald Baudot annonce au congrès du SM de 1985, la tranquille absence de vergogne du désormais célèbre mur des cons : « Soyez partiaux. Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la Justice ». Flatulences langagières en moins, ne dirait-on pas du Taubira ? Enfin pour la bonne bouche, ce monument de podosuccion d’Hubert Dalle, directeur de l’ENM sous Mitterrand : « il faut, en se basant sur une véritable analyse en termes de lutte des classes, trouver sur le terrain judiciaire les modes d’expression de celle-ci, participer à la création de contre valeurs qui permettent aux juges de rendre des décisions dans un sens socialiste« . Un si bel exercice de reptation et même pas de poste de ministre… Vraiment, il n’y a pas de justice !
Voilà une Magistrate qui parle bien …..maintenant il faudra qu’elle agisse bien car avec Mme Taubira puis Mme Belloubet, ces deux femmes particulièrement laxistes, les voyous de tout gabarit étaient assurés d’être très très très rapidement libérés. Il faudra faire goûter à ces deux -là, les charmes de la prison, pour avoir permis que des criminels sortent et recommencent !!!!
Taubira et Belloubet sont parti! Mais Dupont-Maureti veille!
Et les magistrats restent aussi!
Aujourd’hui les forces de l’ordre (gendarmes, policiers et j’ajoute douaniers) ont les moyens d’apporter des preuves irréfutables de délits majeurs.
Leurs équipe en action peuvent être accompagnées de magistrats.
A partir de là, il y a des malfrats qui doivent être ÉLIMINÉS sur le champ en fragrant délit.
Un point c’est tout !
Trafic de drogues, trafic d’humains, trafic d’animaux, grand banditisme, terrorisme, prostitution (maquereaux), viols, vols avec violence, etc
L’élimination physique évite la saturation des prisons et la promiscuité, soulage les prétoires, éduque les populations concernées et les magistrats gauchistes.
La loi s’applique également à tout ceux qui se hasardent à défendre les délinquants ou les justifier ou en faire l’apologie.
Quand à ceux qui trouvent refuge à l’étranger, il y a des services spéciaux qui savent très bien faire discrètement le travail d’élimination en tout lieu.
Le peloton d’exécution est une méthode radicale, propre et écologique.
Le candidat porteur de ce programme serait élu et proclamerait la « démocratie nettoie les écuries d’Augias ».
« » »expulser les délinquants étrangers pour leur faire purger leur peine dans leur pays d’origine, » » » Et déchéance de nationalité immédiate pour les français qui ne sont pas de souche prouvée avec décollage immédiat.
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: « vous voulez la justice ? Il faut que l’insécurité change de camp »
EXACTE !
L insécurité doit aller dans le camp des bobos de gauche .
Il est temps qu ils récoltent les fruits pourris qu ils ont semé .
Les attaques ne toucheront pas seulement les maires .
bientôt ,Magistrats , avocats du style Moretti vont aussi subir des
représailles,Si une sentence est jugée trop lourde par une
islamo racaille : exemple 2 mois ferme de prison pour un double
meurtre , il y aura vengeance !
La magistrature devra masqué nom et adresse , voir être masqué
comme le GIGN .
Leurs yeux vont s ouvrir quand ils verront leur voitures bruler, leur
gosses se faire attaquer, et leur maison pillée .
Leurs yeux vont s ouvrir quand leurs quartiers seront
saturé de migrants toxicos qui hurlent jour et nuit ;
Quand le poney préféré du fils de la famille bobo sera retrouvé
mort les oreilles coupées ect…ect ….!
Seul une situation extrème obligera a une intervention efficace !
Je suis de votre avis, mais il y a un problème.
La courbe des « délicieuses incivilités attribuables aux joyeux allogènes importés » est en retard mathématique sur la courbe de population desdits allogènes.
Ce qui fait que mathématiquement ils seront majoritaires avant que la situation soit devenue insupportable pour la gauchaille massive responsable de ladite situation.
Il nous faut donc agir AVANT et de manière drastique et éliminatoire comme je l’indique plus haut.
Bien cordialement vôtre.
Une solution : dépénaliser les agressions de bobos – et de leurs familles – par les « jeunes » « racisés » pour leur faire goûter aux « incivilités », histoire d’orienter celles-ci vers la bonne cible.
Le
squatpardon, la réappropriation d’un logement de bobo par desmigrants clandestinsdes réfugiés sera quant à elle validée par l’administration, les dits bobos étant en outre assujettis à l’entretien financier des nouveaux occupants légitimes (et à payer leur loyer s’il s’agit d’une location).Vous verrez que leurs Grrrands Principes inébranlables, leurs Droits de l’Homme Intouchables et Fondamentaux voleront vite en éclat, quand il s’agira d’être généreux avec leur argent et pas celui des autres.
La prison vient rajouter aux torts causés à la société (et aux victimes) le coût de l’entretien,de la surveillance, etc…, etc …
Il faut que ces coupables payent par le manque de liberté, mais aussi par leur travail pour ne plus côuter à la société. Donc des travaux forcés à l’ombre, si refus on peut : couper l’électricité dans la cellule, ne fournir comme repas que du pain, limité, et de l’eau, pas trop. Et si entémètetement, pas de sortie pour se dégourdir les jambes, refus de laver les habits, pas de visite autorisée, et plus à l’imagination de faire le reste.
Qu’en pensez-vous ?
Cela fait partie de ma proposition de prison modernisées : elles devront être pourvues d’ateliers en quantité suffisante où ils travailleront obligatoirement, histoire de leur apprendre à le faire. Accessoirement, cela pourra dans l’idéal leur apprendre un métier.
Ces ateliers seront sous-traités à des opérateurs privés, ainsi pas de financement public nécessaire, ni d’encadrement autre que celui de quelques gardiens (payés par l’entrepreneur pour partie).
Eh bien, je ne peux que souscrire à ce programme. Maintenant comment le met-on en place ?
Le problème, c’est qu’on veut traiter comme des affaires pénales relevant de la justice d’un pays civilisé, vieillissant et plutôt ramolli, des actes qui sont en réalité des actes de guerre. Les magistrats, même s’ils n’étaient pas gauchistes, risqueraient leurs vies à agir autrement. Ils n’ont pas en face d’eux des individus dangereux mais des populations dangereuses.
Excellente remarque Freddie ! Et oui, on nous a déclaré la guerre mais nous refusons de l’accepter. Quant à la crainte de représailles de la part des magistrats, je pense en effet que cela doit peser chez certains. Absolument rien dans nos institutions conçues pour un peuple démocratique et civilisé ne convient pour faire face au djihad intérieur.
En ce qui concerne les prisons, d’après le chiffre que j’avais déduit du cout total d’une prison divisé par le nombre de places disponibles, cela faisait je crois 100 000 euros par détenu. Il faudrait au moins 100 000 places pour metre derrière les bareaux tout ceux qui devraient y être. Cela ferait donc au bas mot, 100 milliards d’euros à débourser. Quel candidat à l’élection présidentielle est prêt à mettre dans son programme la dépense de 100 milliards d’euros dans les prisons ? Personne !
En ce qui concerne la Justice, c’est simple, faisons élire les juges comme aux USA, et cela va vite changer, les juges laxistes vont disparaître très vite. Les français n’ont pas la mansuétude des juges français gauchistes.
Erreur de calcul : 100000×100000 cela ne fait que 10 milliards! Répartis sur quelques années, quelques milliards chaque année.
En regard du coût exorbitant de la délinquance, une goutte d’eau! En réalité on ferait des économies.
Et en faisant la chasse à la fraude sociale qui nous ruine (50 à 100 milliards par an), on aurait largement de quoi construire 200000 places et payer le personnel nécessaire.
En passant on voit bien que le coût n’est pas l’obstacle. Le seul obstacle est politique et idéologique.