Publié par Magali Marc le 2 août 2020

En plus d’être aux prises avec une pandémie, les États-Unis sont en campagne électorale.

Les Démocrates ont décidé d’utiliser la pandémie pour déloger le Président Trump de la Maison Blanche. Ils s’appuient stupidement sur l’idée que plus les Américains seront confinés, masqués et malheureux, et plus leur chance de remporter l’élection augmentera. Ils pensent que plus les Américains souffriront de la pandémie (et des émeutes), plus ils seront portés à blâmer le Président sortant et à voter pour Joe Biden. La pandémie sert aussi à justifier une éventuelle généralisation du vote par correspondance dont il est bien démontré qu’il augmente considérablement la fraude électorale.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Michael Thau, paru sur le site de Red State, le 31 juillet.

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Nous savons depuis des mois que 3 facteurs contribuent à gonfler considérablement le nombre de morts dus au virus de Wuhan

Comme l’a fait remarquer Tucker Carlson il y a quelques jours, il est évident que les Démocrates essaient d’améliorer leurs chances de gagner l’élection en novembre en utilisant le virus de Wuhan comme excuse pour infliger le plus de détresse possible aux électeurs.

Les Démocrates pensent que plus les Américains seront malheureux, plus ils auront de chances de gagner. Leur raisonnement est simple : les gens malheureux veulent du changement. Ainsi, chaque gros titre de mauvais augure sur l’état du pays rend plus probable l’idée que Donald Trump va perdre son poste. Plus les gens souffrent, plus l’avantage de Joe Biden est grand. Les Démocrates sont donc fortement incités à infliger le plus de douleur possible, et c’est ce qu’ils font.

Les mêmes personnes qui disaient que nous aurions plus de 2 millions de décès si rien n’était fait affirment aujourd’hui que Trump a échoué lamentablement parce que le nombre officiel de décès dus au virus (en fait inférieur à un dixième de ce chiffre) est d’environ 15 000.

Mais nous savons sans l’ombre d’un doute que même ce chiffre représente un mensonge flagrant qui surestime le nombre d’Américains morts du virus de Wuhan.

Et nous devons connaître le chiffre exact.

Ce qui nous importe, c’est de savoir combien de personnes seraient encore en vie si elles n’avaient pas contracté le virus.

Ce que nous obtenons, c’est quelque chose d’entièrement différent.
Peu d’Américains savent qu’une filiale locale de CBS a examiné 589 décès présumés à Palm Beach, en Floride, et a découvert que bien moins d’un tiers (169) étaient en fait morts à cause du virus.

La plupart ne savent pas que le bilan des décès dus au virus de Wuhan, qui les terrorise depuis des mois, inclut les décès à moto et les victimes de coups de feu.

Mais nous avons plus qu’une preuve anecdotique que le nombre réel de décès dus au virus de Wuhan est bien inférieur à celui que les Démocrates et les médias utiliseront pour saper les chances de Trump en novembre.

Trois facteurs rendent les preuves anecdotiques que nous avons vues tout à fait prévisibles

Facteur 1: Toute personne qui meurt et qui est diagnostiquée avec le virus de Wuhan est inscrite sur la liste des victimes, même si ses symptômes étaient bénins ou s’il existe une preuve que la cause de mortalité était toute autre.

Selon la coordinatrice du Groupe de travail sur le Coronavirus, le Dr Birx elle-même :

Si quelqu’un meurt est est atteint du virus de Wuhan, nous comptons cela comme un décès à cause du virus de Wuhan.

Le chef officieux de notre réaction au virus de Wuhan, le Dr Fauci, a déclaré:

Je ne peux pas imaginer qu’on puisse dire d’une personne qui arrive avec un coronavirus, qui se rend dans une unité de soins intensifs, qui a une maladie cardiaque sous-jacente et qui meurt : « Cause de la mort : crise cardiaque ». Je ne peux pas imaginer que cela se produise.

Pour une raison quelconque, les bureaucrates responsables ont décidé d’établir des directives qui ne manqueront pas d’ajouter au décompte des décès du virus de Wuhan un grand nombre de personnes qui seraient mortes de toute façon d’une autre cause. Ils ne l’ont pas seulement admis, ils s’en sont vantés.

Ainsi, étant donné que 80 % des infections dues au virus de Wuhan ne provoquent pas de symptômes graves et que 40 % n’en provoquent pas du tout, vous allez bien sûr trouver des personnes qui sont mortes de blessures par balle, d’accidents de la route et de toute autre cause de décès normale dans le décompte officiel des décès par virus de Wuhan, voire dans la grande majorité des cas.

Mourir AVEC le virus est intentionnellement confondu avec mourir DE celui-ci.

Tout comme mourir SANS lui.

Facteur 2: Le Center for Disease Control (CDC) a officiellement demandé aux médecins d’inscrire le virus de Wuhan sur les certificats de décès, même sans test de confirmation, en autant qu’ils « supposent » que la personne décédée en était porteuse.

Le 24 mars, le CDC a publié une note de service sous forme de questions-réponses indiquant aux médecins comment remplir les certificats de décès :

Q : Faut-il indiquer « virus de Wuhan » sur le certificat de décès uniquement après un test de confirmation ?

R : « virus de Wuhan » doit être indiqué sur le certificat de décès pour tous les défunts dont la maladie a causé ou est supposée avoir causé ou contribué au décès.

Il n’est pas nécessaire de justifier cette « présomption ». Et la partie de la phrase mise en gras n’est même pas de moi. C’est l’œuvre du CDC.

On notera que les médecins n’ont même pas besoin de « supposer » que le défunt ne serait pas mort s’il n’avait pas contracté le virus. Supposer qu’il s’agissait simplement d’un facteur contributif est suffisant pour signifier non seulement qu’ils peuvent mais qu’ils doivent le citer.

Ainsi, la simple supposition que virus de Wuhan a accéléré de quelques jours ou même de quelques minutes la mort d’une personne souffrant d’une autre maladie mortelle est suffisante.

L’ajout des personnes qui meurent au décompte de virus de Wuhan est encouragé non seulement sans test mais aussi sans aucune justification médicale.

C’est également fortement récompensé.

Facteur 3: Les hôpitaux sont remboursés pour le traitement de tout patient non assuré qu’ils diagnostiquent comme étant atteint du virus de Wuhan. L’assurance-maladie paie également davantage lorsque la case du virus de Wuhan est cochée.

Ainsi, en plus des directives qui garantissent que de nombreux certificats de décès identifient le virus de Wuhan comme une cause de décès, même si le patient serait mort sans lui et, dans de nombreux cas, ne l’aurait probablement jamais eu, il existe également d’énormes incitations financières à attribuer un décès au virus.

Comme l’a dit le Dr Scott Jensen à Laura Ingraham le 9 avril dernier :

Si un patient atteint du virus de Wuhan passe sous respirateur, vous obtenez 39 000 dollars, soit trois fois plus.

Personne ne peut me dire, après les 35 ans que j’ai passés dans le monde de la médecine, que ce genre de choses [n’a pas] d’impact sur ce que nous faisons.

En d’autres termes, lorsque vous encouragez quelque chose – que ce soit l’énergie solaire, l’illégitimité ou les faux diagnostics médicaux – vous en obtenez forcément davantage.

La question n’est pas de savoir si le nombre de décès de virus de Wuhan est gonflé. Il s’agit de savoir de combien.

Compte tenu des facteurs énumérés ci-dessus – tout comme les résultats de l’examen de ces 589 décès en Floride l’ont suggéré – le vrai chiffre ne peut pas être très proche de ce que nous entendons.

De plus, certaines données négligées concernant la ville de New York – qui représente actuellement environ 15 % de tous les décès signalés aux États-Unis – fournissent une autre raison de penser que le nombre de faux décès signalés éclipse probablement le nombre de décès réels.

Pendant un certain temps, la ville de New York a examiné sa liste de décès pour déterminer si les personnes décédées présentaient d’autres problèmes médicaux graves et a publié des résultats mis à jour quotidiennement.
Pour une raison quelconque, le dernier jour où ils l’ont fait semble être le 17 mai. Mais à cette date, sur les 12 667 décès virus de Wuhan signalés pour lesquels ils ont pu déterminer si d’autres comorbidités étaient présentes, seuls 96 n’en avaient aucune.

Cela signifie que plus de 99,2% des gens souffraient d’au moins une des affections suivantes : diabète, maladie pulmonaire, cancer, immunodéficience, maladie cardiaque, hypertension, asthme, maladie rénale, maladie gastro-intestinale ou hépatique, ou obésité.

Il est probable que beaucoup d’entre eux en avaient plusieurs.

Afin de savoir ce qu’il faut faire exactement de ces résultats, il faudrait savoir combien d’entre eux souffraient de maladies suffisamment graves pour causer la mort à court terme, indépendamment du virus de Wuhan.
Mais, étant donné qu’il y a forcément des cas où les comorbidités n’ont pas été détectées, 99,2 % d’entre eux sont pratiquement tous les cas.

En plus d’indiquer que le virus de Wuhan ne constitue pas une menace pour ceux qui ne souffrent pas déjà d’une autre maladie relativement grave, cela signifie également que, lorsque tous les décès signalés aux États-Unis sont examinés pour déterminer si le virus est réellement responsable, nous pourrions facilement découvrir que son nombre de décès est gonflé par un facteur de 10 ou plus.

En effet, un seul des trois facteurs énumérés ci-dessus suffirait à lui seul à rendre un tel résultat pas vraiment surprenant.

À ce stade, nous ne pouvons qu’être sûrs que, combinés, ils doivent gonfler le nombre de morts de beaucoup.

Il est temps de savoir exactement combien et de mettre un terme à cette mascarade écœurante. Le peuple américain a le droit de savoir combien de vies ont été perdues à cause du virus dont on nous a appris à avoir une peur obsessionnelle.

Le président Trump doit nommer une commission pour déterminer le nombre réel d’Américains qui ont été tués par le virus de Wuhan.

Chaque certificat de décès mentionnant cette cause doit être examiné ainsi que toute information supplémentaire nécessaire pour déterminer si le virus est vraiment la cause du décès.

En plus d’être la bonne chose à faire, déterminer le nombre réel de morts dus au virus désarmera les attaques malhonnêtes des Démocrates, fera tomber le rideau sur leur projet répréhensible d’infliger des souffrances au public pour des gains électoraux et aidera à mettre fin à l’état injustifié de terreur implacable qui affecte la plupart des Américains depuis des mois, afin que nous puissions enfin retrouver un semblant de vie normale.

Les mensonges doivent cesser.

Il faut mettre fin à la panique.

Les ennemis de l’Amérique doivent être stoppés.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : redstate.com

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