La France est une démocratie, elle respecte les droits de l’Homme et notamment la propriété individuelle reconnue par l’Article 2 de la Déclaration correspondante.
Certes. Mais la République du Bisounoursland reste cependant une Socialie Triomphante en vertu de laquelle, ce qui est à l’État est à l’État (à commencer par votre salaire dont il consent à vous laisser une partie) et ce qui est à vous est, disons, ouvert à négociation.
C’est donc régulièrement, au détour de quelques faits divers sordides, que certains Français feignent d’apprendre que leur bien immobilier est, pour la Justice et la police française, un objet de droit mal identifié au sujet duquel un flou juridique certain s’est installé depuis quelques années.
Il y a quelques semaines, certains citoyens semblaient tout outrés en découvrant la mésaventure lamentable subie par deux retraités dans les Alpes-Maritimes qui découvraient leur résidence secondaire envahie par une famille devenue résidente sans le moindre droit ni titre, impossible à expulser devant une justice et une police rigoureusement inutiles. Par un heureux coup du sort (et quelques uns portés par le mari sur sa femme), on apprendra ensuite qu’un différend familial permettra d’envoyer le père au frais et la mère en foyer, péripétie qui autorisera les propriétaires légitimes à récupérer leur bien complètement saccagé par les parasites jusque là indélogeables.
Ces dernières jours, c’est une nouvelle affaire qui alimente la même chronique (en réalité déjà grosse de douzaines d’affaires de ce genre, parfois relatées dans ces mêmes colonnes) : une habitation dans la Nièvre se trouve à son tour occupée par une joyeuse bande de cancrelats dont les connaissances juridiques et une souplesse véritablement olympique avec la moralité leur permettent de parader, toujours sans droit ni titre et sans que les forces de l’ordre ni la justice ne puisse y mettre de l’ordre.
Fait intéressant : la multiplication des cas semblent rendre quelque peu nerveux l’édile du coin, un certain Didier Bourlon, qui explique avoir « peur que quelqu’un aille dans la maison et les fasse sortir de force, voire avec violence ».
Pensez donc ! De la violence, en France ?! Mais enfin, la République du Bisounoursland ne peut l’accepter, et en tout cas certainement pas lorsqu’il s’agit de gens bien comme il faut qui entendraient protéger leurs biens et leur propriété privée. Soit, il y a des cas où la police et la gendarmerie sauront ne pas intervenir lorsqu’une troupe de joyeux drilles parviennent à expulser des squatteurs (mais peut-être certains paramètres expliquent à eux seuls l’absence de réaction des forces de l’ordre dans ce cas, allez savoir)…
Force restera donc à la loi, même quand elle n’en a aucune et qu’elle est grossièrement détournée par des racailles, des associations soi-disant humanistes, des magistrats douillettement ou trop facilement complice et des forces de l’ordre diluées dans des hectolitres de cerfas.
En réalité, c’est un problème qui ne date pas d’hier puisqu’il est lié à une loi qui fut introduite en 1991 (l’article 61 de la loi du 9 juillet 1991) et qui a depuis largement vicié tout le droit à la propriété privée en France : cette loi scélérate, sous l’habituel couvert de bonnes intentions sirupeuses propres à ce gauchisme français qui détruit toute la société depuis plusieurs décennies maintenant, a introduit la nécessité d’une décision de justice pour expulser les occupants d’un logement, quel que soit leur titre d’occupation (ou l’absence de titre).
Cette disposition a très rapidement ouvert une brêche énorme dans le droit de propriété, dans laquelle se sont depuis engouffrés toute une coterie de coquins et de copains et autres associations soi-disant humanistes qui disposent maintenant d’un véritable arsenal législatif largement à leur avantage, rendant les positions des squatteurs inexpugnables suffisamment longtemps pour que le préjudice au propriétaire légitime soit énorme.
Depuis 1991, de rares esquisses de révision de cette loi furent tentées ; saluons le ratage de 2010 où les parlementaires avaient réussi à faire modifier la loi en redonnant un peu de marge de manoeuvre au propriétaire, pour voir malheureusement ces changements purement et simplement supprimés par les sénateurs communistes (quelle surprise !)… Mais au final, cette loi a, de majorité en majorité, toujours tenu bon depuis maintenant près de 30 ans, pour le plus grand bonheur des squatteurs et le malheur des propriétaires concernés, tous de la classe moyenne que la République a toujours su considérer comme un confortable paillasson ; par contraste à cette classe moyenne, on pourra d’ailleurs essayer d’aller squatter des résidences secondaires de célébrités (celles qui appellent bruyamment à l’accueil de toute la misère du monde, par exemple, mais jamais chez elles) ou de personnes ayant l’oreille du gouvernement, de la justice ou de la police, pour constater alors leur efficacité redoutable à faire revenir les choses dans leur ordre naturel…
Ici, on doit comprendre que ces affaires, ces faits divers scandaleux continueront de s’accumuler, nonobstant les petits bricolages actuels vantés par les habituels clowns gouvernementaux et dont on sait déjà qu’ils ne changeront rien à la déliquescence actuelle.
Et cela continuera ainsi car en trente ans s’est véritablement organisé toute une économie, une vie parallèle à toute légitimité, tout respect des droits fondamentaux des individus, que cette économie ne doit pas être trop perturbée au risque de briser sinon un vivrensemble, au moins un survivracôté encore suffisamment calme, et surtout que des dizaines de milliers d’individus, d’associations et de sociétés ayant pignon sur rue profitent maintenant directement de cet état de fait.
Cette loi de 1991, l’accumulation de principes gauchistes qui minent l’interprétation pourtant simple de « domicile », les décisions lamentables de la parodie de justice française en la matière ont, toutes, participé à éroder durablement le droit de propriété en France.
Mais est-ce vraiment étonnant dans le pays qui se gargarise tant des Droits de l’Homme ou n’est-ce pas plutôt l’illustration parfaite de toute l’hypocrisie de ses institutions ?
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Et la loi de 1948 …. toujours pas abrogée !
France ?
Pays où il n’est pas bon d’investir !
le nobre de propriétaires qui vendent leur bien pour ne pas louer et prendre le risque de n’être pas payé, provoque une pénurie de logements, ce sont les classes laborieuses qui sont affectées en premier
la loi donnant des droits aux squatteurs a été proposée par christine boutin, une dame au grand coeur avec les affaires des autres
Il serait excellent qu’elle en ait chez elle!
Si vous tapez dans la recherche de Gogol ou autre “manuel à l’usage des squatteurs”, vous allez tomber de haut !
Tout est organisé, répertorié, méthodique. Les petits mariolles qui jouent à ça ne le font pas au hasard et prévoient tout.
Celui qui se fait avoir n’a aucune chance s’il appelle les farces de l’ordre et de la justesse !
Il faut donc user des mêmes méthode avec détermination.
Repérer. Préparer le matériel nécessaire au blocage des portes ouvertes et pour la neutralisation des bandits.
Avoir des troupes déterminées, discrètes et silencieuses.
Frapper au bon moment et frapper fort. Agir vite comme le font les troupes de choc (GIGN ou RAID), neutraliser les bandits (colliers Rilsan) et les transporter à perpète dans la campagne.
Vider et refermer la maison, changer les serrures, barricader, clore dangereusement (barbelés si besoin).
Et après … fermez là, ne dites rien, ne vous vantez pas !
Le matériel et les méthodes sont assez faciles à trouver, les copains déterminés c’est peut-être plus dur mais il vaut mieux être peu nombreux mais efficaces.
La guerre contre les gauchistes c’est comme la guerre contre l’islam, ça ne se fait pas avec des bougies et des bisous …
J’ai pratiqué à deux reprises. Cela nécessite une grande “fraternité” avec ceux avec lesquels on “part à la guerre”.
Cette loi date de Mitterand. J’en ai fait les frais, il y a … 35 ans !!!!! J’avais un squatteur qui s’était installé dans un studio dont je payais la location, studio que je voulais rendre. Comme il refusait de s’en aller, je suis allée voir un huissier, qui m’a dit (sic !): “pas d’autres moyens que d’attendre que le squatteur soit absent, de mettre ses affaires dehors, et de changer la serrure ! “
Il m’a raconté comment un ambassadeur français, rentrant d’une mission de plusieurs mois, avait trouvé son appartement occupé par une famille d’immigrés clandestins (déjà !). Il était allé en justice et attendait depuis DES MOIS, à grands frais d’avocats, car comme il y avait un bébé, ces squatteurs étaient quasiment INDÉLOGEABLES !
J’étais suffoquée devant ce déni de justice… et de simple bon sens. À l’époque, je n’avais pas encore compris que la pensée unique gauchiste avait pour caractéristique principale de tout inverser, le bon devenant le mal et vice versa !
Donc j’ai suivi le bon conseil de l’huissier !
Le soir même, c’est moi qui étais embarquée au commissariat: mon squatteur avait porté plainte pour “VIOLATION DE DOMICILE”. Il avait pour preuve des courriers qu’il s’était fait adresser là !
Je m’en suis sortie, au commissariat, par le fait que, ce squatteur, homosexuel, vivant avec un mineur (18 ans moins un mois ! à l’époque on appelait encore cela “détournement de mineur”), c’était lui qui était passible de poursuites pénales. Ça a été du donnant donnant: où il retirait sa plainte et fichait le camp, ou je le dénonçais !
Sinon, j’en avais pour des mois à payer ce loyer alors que je n’en avais vraiment pas les moyens ! Je créais une entreprise et toutes mes économies d’une vie de travail y passaient. En sus, il me menaçait physiquement, le studio étant tout proche de mon domicile.
Alors, cette loi gauchiste aberrante, j’en connais un rayon ! Combien de victimes depuis 35 ans ? Des milliers, PEUT-ÊTRE DES DIZAINES DE MILLIERS. Mais toutes les victimes se sont tues: face au bunker gauchiste qui se pense bon en laissant spolier les gens qui bossent par des parasites… Oh, comme ils se sentent généreux de défendre ces pauvres petits squatteurs contre les affreux capitalistes… du moment que ce n’est pas eux qui en sont les victimes. Et les médias gauchistes (c’est-à-dire tous les média mainstream) de se faire l’écho de la détresse des pauvres petits squatteurs…
Alors, les victimes se taisaient.
Le revers de la médaille s’est vite fait sentir, et ce sont les jeunes qui paient les pots cassés: tous les propriétaires qui veulent louer un logement (parfois, la seule ressource complémentaire d’une bien faible retraite), sont contraints de demander quantités de garanties, car s’ils ne sont pas payés, il mettront un temps fou à récupérer leur bien.
Evidement, l’investissement immobilier pâtit largement de cela ! Pas de problème pour les socialistes: ils font des logements sociaux à gogo, payés par le contribuable.
Quant aux agences immobilières, elles ont des codes, à la demande des propriétaires, pour ne pas louer à des familles avec enfants en bas âge, surtout familles africaines ou nord-africaines. Rien à voir avec du racisme: les propriétaires africains sont les premiers à demander que ce code soit appliqué, en raison du droit au “regroupement familial”. Dès qu’un Africain a un logement, ce n’est pas la famille seulement qui rapplique, c’est tout le village. Et les femmes viennent y accoucher en France pour bénéficier du “droit du sol”. Donc les logements deviennent IRRÉCUPÉRABLES !
Ce n’est pas qu’une loi qu’il faut modifier pour assainir le système, c’est 40 ans de lois socialistes !
Socialiste, ça rime avec irréaliste, utopiste,
idéaliste, …C..(pardon, je suis bien élevée !). Je laisse à tout un chacun le choix des adjectifs !Ce qui est remarquable en France, c’est que les victimes ne sont pas les vraies victimes…. Ce sont la plupart du temps les “bourreaux” qui sont victimisés par la société gauchiste en France. Tout est excusable, excusé…
Vous avez aujourd’hui toute la compation, la complaisance de nos gens de gôche qui inversent le bien et le mal ! Nos génies de notre société !
D’ailleurs Hollande c’est fait une joie de tout detricoer les lois précédentes sous Sarkozy. Taubira a modifie une loi sur la récidive… Ceux qui récidivent ont droit eux aussi à des remises de peine….
Demander à Macron combien de place de prison il créé… RIEN. Pourtant il s’y était engagé….
Une fois de plus la France est championne, le seul pays au monde où on vient te prendre ta maison et tu ne peut rien faire !
C’est à l’image de la politique d’immigration où on rentre de force en France et personne ne peut te faire sortir.
Pourtant je pensais que le droit à la propriété faisait partie de la déclaration des droits de l’homme de la révolution française ???
Mais peut-être que c’est la fin de la république…
Voici une pétition pour protéger tout un chacun de ces squatters :
https://damocles.co/petition-stop-impunite-squatteurs