Les Never-Trumpers sont des Républicains qui se sont opposés à la candidature et à la présidence de Donald Trump depuis le début.
Ils s’opposent aujourd’hui à la réélection du Président Trump. Tandis qu’ils reprochaient à Donald Trump de n’être pas réellement conservateur, ils jettent maintenant par la fenêtre toute prétention de conservatisme et dénigrent le Président quoi qu’il fasse. Ils appuient Joe Biden ! Ils ne se rendent même pas compte qu’ils deviendraient complètement inutiles si le tandem Biden/Harris remportait les élections.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Biren C. Joodeph*, paru sur le site d’American Thinker, le 21 septembre.
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Les « Never-Trumpers » prennent mal leur manque de pertinence qui va en augmentant
Washington D.C. a toujours été un club, avec un décorum et des règles d’adhésion strictes. La plupart d’entre nous ne font pas partie de ce club et n’auraient aucun désir d’y adhérer si on leur proposait une adhésion basée sur leur morale, leur éthique et leur désir de se regarder dans le miroir tous les jours sans ressentir du dégoût.
George Carlin (un humoriste) l’a bien dit : « C’est un grand club, et vous n’en faites pas partie ».
Le club porte divers noms – État Profond, Marécage, Parti Unique – et la charte du club est claire, et ironiquement, a été écrite par quelqu’un qui ne faisait pas partie du club, et a été blackboulée par le Comité des membres.
Le Président Trump, avant l’élection de 2016, a décrit le club comme suit (tout en proposant une alternative pour les « déplorable s» qui ne font pas partie du « grand club ») :
Notre mouvement vise à remplacer un Establishment politique corrompu et en faillite par un nouveau gouvernement contrôlé par vous, le peuple américain. Il n’y a rien que l’Establishment politique ne fera, et aucun mensonge qu’il ne dira, afin de s’accrocher à son prestige et à son pouvoir à vos dépens. L’Establishment de Washington, et les sociétés financières et médiatiques qui le financent, n’existent que pour une seule raison : se protéger et s’enrichir.
Les Never-Trumpers représentent le côté républicain du Parti Unique.
Ils se sont opposés à la candidature, à la présidence et à la réélection prochaine de Donald Trump.
À l’approche des élections de 2020, leur démence anti-Trump s’accentue. Toute prétention de conservatisme est jetée par la fenêtre pour dénigrer le Président Trump et empêcher sa réélection.
Le décès récent de la juge de la Cour suprême, Mme Ginsburg ne fera qu’augmenter leur tendance à pousser des cris d’orfraie.
Les soi-disant « Never-Trumpers » sont tout sauf d’authentiques Républicains.
Le Président Trump a mis en œuvre tout ce que les Républicains ont préconisé dans leurs chroniques, livres, bulletins d’information, groupes de réflexion et blogs.
Il a réduit les impôts et taillé à la hache dans des règlements onéreux. Il a été fermement pro-vie et a nommé deux conservateurs constitutionnalistes à la Cour suprême, et il a une chance inespérée de faire un tour du chapeau avant les élections de novembre.
Le Président Trump a apporté la paix au Moyen-Orient, ce que tous les présidents de mémoire récente ont essayé d’accomplir sans y parvenir. Il a renforcé l’armée et réduit les excursions militaires à l’étranger tout en ne déclenchant pas une seule guerre.
Pourtant, malgré la mise en œuvre du programme le plus conservateur depuis Ronald Reagan, et peut-être même au-delà, les Never-Trumpers continuent d’agir comme s’ils croyaient que Trump est un nouveau Staline et soutiennent ironiquement un candidat démocrate dont les politiques et les partisans de base sont réellement proches du Stalinisme.
Jennifer Rubin est une chroniqueuse du Washington Post, une fausse « conservatrice » dans un journal par ailleurs d’extrême gauche. Se décrivant auparavant comme étant une « rédactrice d’opinion conservatrice », elle se décrit désormais comme étant devenue « une rédactrice d’opinion pro-démocratie, Never-Trump » et elle appuie Joe Biden.
Elle a écrit (dans le Washington Post) :
Bien que je continue de croire que des conservateurs décents et honorables tels que George H.W. Bush, John McCain et, oui, le sénateur Mitt Romney étaient ou sont des patriotes sincères, je suis forcé de concéder que l’élément raciste, xénophobe et anti-intellectuel du parti est bien plus prononcé que je ne voulais l’admettre.
Elle est utilise les termes « décent » et « honorable » pour les trois personnes ci-dessus, mais comme deux d’entre elles sont décédées, je n’en dirai pas plus pour éviter de dénigrer les morts.
Mme Rubin a oublié que de son vivant, des Républicains ont défendu une loi sur les droits civils dans les années 1960, à laquelle s’étaient opposés les Démocrates, le parti de la ségrégation et du Klu Klux Klan.
Elle choisit de s’arrimer au parti des marxistes, supporters de Black Lives Matter et d’Antifa.
Pour elle, être pro-démocratie signifie s’attaquer à la Déclaration des droits et promulguer des lois qui renforcent la liberté, comme le Greeen New Deal et l’assurance maladie pour tous. Rien n’est plus pro-démocratie que d’armer le gouvernement contre ses ennemis politiques, comme l’ont fait Biden et Obama en espionnant la campagne de Donald Trump.
Attendons qu’elle se prononce sur le remplacement de la Juge Ginsburg.
Il y a aussi le Lincoln Project, formé par des Never-Trumpers bien connus tels que George (le mari de Kellyanne) Conway, Steve Schmidt et Rick Wilson.
Ces soi-disant conservateurs, comme Mme Rubin, ont conseillé les candidats ratés à la présidence John McCain et Evan McMullin.
Ils boudent comme des adolescentes qui n’ont pas été invitées au bal de fin d’année, et leur objectif est de « vaincre le Président Trump et le Trumpisme » en « élisant des Démocrates qui respectent la Constitution plutôt que des Républicains qui ne la respectent pas ».
Je ne connais aucun Démocrate de premier plan qui respecte la Constitution. En fait, c’est tout le contraire.
L’interdiction des armes à feu, la menace d’éliminer le Collège électoral et de contester en cour les prochains résultats électoraux ne semblent pas être des positions favorables au respect de la Constitution.
Ils sont froissés parce que M. Trump, soit en tant que candidat, soit en tant que président, ne les a jamais consultés pour avoir leurs avis ou leurs conseils.
En fait, M. Trump a fait comme s’ils n’existaient pas.
Ils ont essayé de le battre en 2016, mais les électeurs républicains les ont ignorés, tout comme ils le font maintenant.
C’est ça qu’ils ne peuvent pas supporter.
Si les Never-Trumpers pensent qu’ils ne sont pas pertinents maintenant, comme des enfants boudeurs auxquels ont interdit d’aller jouer dehors, ils n’ont qu’à attendre ce qui se passera sous une présidence Biden.
Les Never-Trumpers se rendent-ils compte qu’ils deviendraient rapidement inutiles si Biden gagnait les élections et que Kamala Harris, la Sénatrice américaine la plus à gauche, devenait le président de facto ?
Si Sous-Sol Biden gagne d’une manière ou d’une autre, que ce soit par des votes réels, par la tricherie ou par une décision de justice, il y a de bonnes chances que les Démocrates conservent la majorité à la Chambre des Représentants et obtiennent une majorité au Sénat.
En éliminant le « filibuster » (l’obstruction parlementaire), comme ils le promettent, les Démocrates auront un génie dans une bouteille capable de leur accorder tous leurs souhaits.
Dites bonjour à l’amnistie pour le vote des électeurs illégaux, à la collecte des bulletins de vote postaux à l’échelle nationale, à la suppression du Collège électoral, au renflouement des villes dirigées par les Démocrates qui n’ont rien fait pendant que les émeutiers détruisaient leurs villes. Ça ce sera le premier jour.
Le deuxième jour, le Green New Deal et l’assurance maladie pour tous seront adoptés et signés par Biden, à supposer qu’il n’ait pas encore démissionné.
Le troisième jour, Porto Rico et Washington, D.C. deviendront des États, ce qui signifie quatre sénateurs démocrates de plus, et la Cour suprême sera élargie avec des juges d’extrême gauche qui seront rapidement confirmés sans audience ni discussion.
L’amnistie des illégaux rendra le Texas et la Floride démocrates, mettant fin à tout espoir de voir un Républicain remporter la Maison Blanche grâce au Collège électoral.
Les bulletins de vote par correspondance prendront en charge les États restants. Chaque élection amènera un raz-de-marée démocrate.
Les médias acclameront cette prise de pouvoir tandis que les Démocrates créeront un pays à parti unique, avec des Républicains devenus aussi peu importants que le Parti Vert.
Les Never-Trumpers se plaindront, comme ils le font actuellement contre Donald Trump, lui qui est le seul rempart contre la transformation de l’Amérique en Californie.
Les Never-Trumpers claironneront leur politique à ceux qui seront encore assez stupides pour financer leurs croisières et leurs bulletins, en promettant de mettre leurs idées sur le bulletin de vote pour 2024.
Mais 2024, 2028, ou toute autre élection future n’aura pas d’importance.
L’élection ne sera qu’un spectacle, comme ce fut le cas dans l’Irak de Saddam Hussein.
La Californie et d’autres États démocrates similaires auront une règle de parti unique, sans changement en vue, car les élections seront en permanence truquées pour les Démocrates.
Les Républicains ne gagneront plus jamais d’élections nationales, certainement pas de notre vivant.
Après des décennies, le Venezuela et Cuba seront toujours communistes, malgré les assurances que le communisme ne fonctionne pas et que le peuple finira bien par se rebeller.
Une fois que les gauchistes auront pris le pouvoir, ils ne le lâcheront plus jamais.
Les Never-Trumpers hurleront à la lune, en souhaitant quelque chose qui n’arrivera pas de leur vivant.
Le Parti Républicain cessera d’exister, et le manque de pertinence des Never-Trumpers sera cimenté pendant des décennies.
Ils redoubleront de stupidité, avec leur bouderie.
Ils auront ce qu’ils méritent, mais pourquoi le reste d’entre nous devrait-il payer pour leurs erreurs ?
* Brian C. Joondeph, M.D., est un médecin qui vit à Denver et un écrivain indépendant dont les articles ont été publiés dans American Thinker, Daily Caller, Rasmussen Reports.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Americanthinker
Les progressistes veulent instituer un nouvel ordre mondial dont la Chine serait la tête et Donald Trump est une grosse épine dans leurs pieds . Je vis en Israël et je précise que Natanyhou fait partie de ces gens . Nous subissons actuellement notre deuxième confinement et beaucoup comme moi sont au chômage . Énormément de société dépose le bilan ou vont le faire.
John, combien j’ai une grande compassion pour vous qui subissez cela une seconde fois! J’espère que la solidarité internationale des JUIFS et CHRETIENS pourra vous soutenir durant cette épreuve….
Si une victoire des Démocrates, c’est l’assurance qu’ils ne rendront jamais le pouvoir, j’en déduis qu’il faudrait que les Républicains dirigent les Etats-Unis jusqu’à la fin des temps ?
les anciens commence a paniquer car les enquêtes et les accusations du pizza gate , de Uranium one , de la corruption avec l’Ukraine seront rendu public en 2021 + bientôt la liste de tout les gens qui ont visiter Edwards Island de epstein sera aussi rendu public et c’est la raison pour le quelle la panique est très élever chez TOUT les never-Trumpers
Ça va au delà de ce que l’on peut imaginer. (Documentaire long qu’il faut consommer comme une pizza : par tranche 😉)
https://www.youtube.com/watch?v=WTk-Ra9YdV8
“et dénigrent le Président quoiqu’il fasse”
quoi qu’il fasse, pleeaase !
‘Quoique’ signifie ‘bien que’, rien à voir avec ‘quoi que’ qui signifie ‘quel que soit le’.
Quoique cette faute revienne constamment, restons zen, quoi qu’il arrive…
Bien que cette faute revienne constamment, restons zen, quelles que soient les circonstances…
Ils dénigrent le président, quoi qu’il dise, quoi qu’il fasse, c’est-à-dire :
quel que soit son discours, quelles que soient ses actions.
le putsch mou a déjà réussi… en europe!… où règne en maître le parti unique… désormais, il n’y a plus que la violence qui permettra d’en sortir…
Bonjour Madame,
“Ils appuient Joe Biden ! Ils ne se rendent même pas compte qu’ils deviendraient complètement inutiles si le tandem Biden/Harris remportait les élections.”
Je en sais pas s’il faut cataloguer les Never-Trumpers parmi les idiots utiles ou les imbéciles complices. J’hésite…
La possibilité de la nomination d’une femme à la Cour suprême crée la panique parmi les “démocrates”.
” Les médias s’en prennent déjà à la candidate possible de Trump, Amy Coney Barrett, dénonçant sa foi catholique et ses « opinions anti-avortement ». Par contre pour Rashida Tlaib et Ilhan Omar (qui se sont vues refuser l’entrée en Israël) en font-ils de même, dénoncent-ils leur haine des juifs?
«Une femme pourra désormais avoir recours à l’avortement jusqu’au dernier jour de sa grossesse, si sa santé ou celle de l’enfant est en danger, ou encore si le fœtus n’est pas jugé viable».Il ne concerne désormais plus seulement les médecins, mais aussi les infirmières praticiennes, les sages-femmes habilitées, et les assistants médecins. la nom
Une infirmière, un assistant seraient ils capables de juger si la mère ou l’enfant sont en danger? L’infanticide présenté comme un “progrès”…
Cordialement
“une femme pourra avoir recours à l’avortement (…) si la santé de l’enfant est en danger”
C’est vraiment dans la loi ? Tuer un enfant parce que sa santé est en danger ?
La bêtise de ces never-machins est certaine car il est certain comme un intervenant ici le dit que le modèle social et politique des démocrates au pouvoir serait d’implanter le fonctionnement de l’Union Européenne aux États-Unis.
Un pouvoir central comme jamais connu dans le passé ne laissant aux États que les pouvoirs d’administration municipale. L’autre modèle serait celui de la continuité du socialisme français de Macron faisant des minorités la seule citoyenneté qui compte rendant possible demain des gilets jaunes américains.
Sans oublier la mise en place d’un individualisme absolu faisant de l’euthanasie un droit individuel, une vision de la vie morbide dont l’accident eugéniste plausible. De la liquéfaction de la famille une pseudo évolution faisant de l’avortement une formalité ne visant le collectif que par des identités communautaires morcelées et conflictuelles. La Californie d’Apple sans aucune limite.