Après les expériences sanglantes de la religion communiste née des spéculations philosophiques de Marx ; après les indescriptibles drames produits par la religion fasciste/nazie, nous assistons à la naissance d’une nouvelle pratique religieuse païenne résultant de la fusion du pouvoir politique, du pouvoir médical et celui que confère l’utilisation de la haute technologie : la biocratie.
Au nom de la peur des maladies et de la mort, on soumet les populations à des rites cruels, venus d’un autre âge, tel le confinement général, le port du masque dans l’espace public, l’interdiction des relations entre les individus.
On nous exhorte à longueur de journée, à maintenir nos distances avec nos semblables.
Chacun doit multiplier les « gestes barrières » pour protéger et se protéger de l’autre, quel qu’il soit: parent, ami, collègue de travail…
Les citoyens sont mis en demeure d’obéir, sous un contrôle policier de plus en plus tatillon, à des ordres que le simple bon sens réprouve.
Les sanctions pleuvent.
Être en bonne santé et avoir été testé positif est un quasi-délit qui fait de vous un suspect, un être potentiellement dangereux qu’il faut mettre à l’écart. On vous contraint à dénoncer votre entourage. La délation devient une norme supérieure. A quand l’obligation de porter sur la poitrine un signe infamant indiquant « testé positif » ? A quand le port de l’étoile rouge du COVID-19, 20,21…
Quel virus portons-nous ? Peu importe. On ne sait même pas avec certitude si le virus COVID-19 circule encore! On ne sait même pas si ces tests sont fiables, ni s’il est utile de tester massivement les gens.
On teste massivement uniquement pour entretenir un climat de peur. Pour dire : le monstre est là, même s’il ne tue plus.
Les virus se comptent par milliards. Les biocrates pour nous maintenir en servitude, n’ont que l’embarras du choix. Il y aura toujours un virus de service pour effrayer la population.
Les organismes officiels proclameront sans cesse la venue du Virus-Nouveau.
On peut se rendre dans un supermarché mais non dans une église ou un temple.
On peut s’assoir sans masque à la terrasse d’une brasserie, mais non sur un banc.
On peut faire son jogging sans masque mais obligation d’en porter si l’on marche.
On contraint des enfants à une souffrance inacceptable, à une torture, alors que ces derniers ne risquent rien…
Les commerces sont désertés; les cinémas et les théâtres ne font plus recettes ; les hôtels sont fermés. Églises, Temples, Synagogues…sont vides. Tout ce qui donnait sens à notre existence est prohibé.
Pour protéger les personnes âgées; on les coupe de leurs proches; on les isole, on les fragilise, on abrège ainsi leur existence, on les exécute parfois sans état d’âme. On a laissé mourir sans soin un homme âgé de 40 ans, sous prétexte qu’il était obèse. Combien sont-ils, ces sacrifiés de la gestion biocratique ?
On crée artificiellement des millions de chômeurs pour conjurer une peur irrationnelle. C’est la masse des anonymes que l’on soumet à cet étrange rite sacrificiel.
La liste des incohérences de la « politique » qui se fixe comme objectif de lutter contre le COVID-19, est impressionnante.
La peur orchestrée par les nouveaux prêtres au pouvoir, nourrit la peur qui a son tour conforte les décisions aberrantes adoptées par les nouveaux gourous.
Cette dialectique étrange conduit à la destruction de notre société, à la violence et à la mort.
Comment sommes-nous arrivés à l’instauration d’un régime biocratique ?
Ce régime étrange, aux tendances totalitaires, inquisitoriales, est le fruit d’un long processus de déliquescence de l’Etat de droit classique. Dans mon livre « De Voltaire à Badinter » j’analyse comment et pourquoi on est passé du « gouvernement des hommes » à la « gestion des vivants ». Le point d’orgue de ce basculement, de cette immense révolution, est représenté par l’abolition de la peine de mort en 1981.
Le lien entre Abolition et biocratie.
Laissant « tomber la mort », le pouvoir va progressivement se focaliser sur la vie et prendre en main nos existences. Un hygiénisme obsessionnel commande: on ne doit plus fumer, boire; on doit manger ceci, prohiber cela; on doit faire du sport…
L’Abolition inaugure ainsi une nouvelle ère.
Avec Badinter, nous sortons de l’humanisme tel que la Renaissance et les Lumières l’ont créé. Nous entrons dans une période barbare fondée sur la banalisation du mal, sur la normalisation de la criminalité sous toutes ses formes.
Le criminel, y compris le plus monstrueux est notre frère, proclame Badinter.
Michel Foucault à la fin de son livre « Les mots et les choses » avait prophétisé la « mort de l’homme ».
La démocratie libérale est le régime construit sur le concept de l’homme libre et responsable, issu des valeurs bibliques.
La biocratie est le régime qui prend acte de la « mort de l’homme » et de la sortie de l’espace civilisationnel né la Bible.
In fine, pour sauver un ou deux criminels de l’échafaud, c’est toute la société que l’on sacrifie.
L’homme de la biocratie est un être abstrait, vide de toutes déterminations, qui n’est ni homme, ni femme, ni noir, ni blanc, ni frère, ni sœur, ni père, ni mère, qui ne possède ni tradition, ni histoire; qui n’est ni innocent, ni coupable… Il est une sorte de substance indifférenciée. Une simple molécule attachée à la longue chaîne du vivant.
C’est ce régime en son fond totalitaire, que l’on tente de nous imposer sous couvert de lutte contre la grippe COVID-19.
Si les nouveaux gourous qui sont aux commandes parviennent à leur fin, alors le régime des libertés n’existera plus que virtuellement. L’homme deviendra l’appendice de l’ordinateur, nouveau cordon ombilical le reliant à la mère-Etat toute puissante.
La biocratie inaugure le règne du citoyen-enfant qu’il faut surveiller et punir en permanence.
Le culte de la Mère-nature trouve un prolongement dans celui de la Mère-Etat, qui nourrit, protège, contrôle le citoyen-enfant.
Après la Mort de Dieu annoncée par Nietzsche, voici la Mort de l’homme prophétisée par Michel Foucault, qui marque en réalité la fin de la religion du Père, celle de la Loi et de l’amour.
Sur les décombres de la Culture occidentale, commence ou plutôt recommence le règne païen des instincts débridés, des passions, des pulsions.
La Civilisation est plus que jamais menacée par la barbarie.
L’Empire européen va-t-il connaître le même sort que l’Empire romain dont il est l’héritier ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Tout à fait d’accord avec vous, Me Touati. Dans des articles précédents, vous parliez de bétail à propos de la façon dont les dirigeants politiques traitent la population, et je trouve cette comparaison très adaptée. À L’évidence, ces gens sans scrupules, sans moralité, guidés uniquement par leurs intérêts propres (sales, devrais-je dire), veulent faire de nous leur bétail. Le bétail, ça obéit sans discuter. Le bétail, ça travaille pour vous : ça vous fournit tout ce dont vous avez besoin. Ce sont des animaux-esclaves sur lesquels vous avez tous les droits : les exploiter de leur vivant, leur dire où et quand ils peuvent se déplacer, comme les mettre à mort quand ils ne vous sont plus utiles.
Les gens sont en train de devenir du bétail : ils en souffrent, à la fois parce qu’ils voient leurs libertés toujours plus réduites, et qu’ils doivent travailler de plus en plus pour un revenu de plus en plus limité, mais ils ne savent pas comment en sortir. Et nos politiciens machiavéliques savent remarquablement diviser les gens, de sorte que la révolte ne soit pas possible et que leur position ne soit pas menacée.
Les gens ne savent pas comment en sortir, aussi parce que à la fois leur culture générale a baissé sans discontinuer depuis des décennies (merci l’Éducation Nationale), et parce qu’ils ont, pour beaucoup, perdu leurs repères spirituels et moraux, confortablement adonnés qu’ils se sont à un matérialisme fortement empreint de relativisme. Le travail de sape engagé depuis Mai-68 a payé. Mais beaucoup de Français en ont été les victimes consentantes, et ils vont le payer (et le paient déjà) cher.
Effectivement la soi-disant Education Nationale a une immense responsabilité dans l’abêtissement et la déculturation de la majorité de la population, et je suis bien placée pour le dire : formée à l’ancienne avec porte-plume et leçon de morale tous les matins, par l’un des derniers hussards noirs, chrétien et laïc évidemment, j’ai été institutrice en écoles maternelles et primaires, puis professeur certifié, puis agrégé, j’ai assisté à la perversion du système d’enseignement et à l’effondrement du niveau, j’ai fait ce que j’ai pu pour me battre contre cette catastrophe et tenu 35 ans avant de faire un burn-out et de jeter l’éponge il y a quatre ans. Quel désastre…
Le Covid-machin est le moyen le plus simple de prendre la mesure du désarroi des paranoiaques du PC chinois : tout contact leur est insupportable, toute personne, un danger potentiel sauf s’il se soumet à des mesures qui l’emprisonnent, etc. Ce qu’ils ressentent confusément, ils l’ont imposé à tous.
Les hygiénistes radicaux s imposent en force .
Une nouvelle religion venue de Chine convertissant le
monde entier !
Le covid19 devient un gosse capricieux sous le règne de Macron
et les luttes contre les zinégalités disparaissent avec Covid19 .
A Marseille a 22 heures , faut pas trainer dans les bars ,Covid19
a une Rolex , il contamine tout les clients , aprés l happy hours,
22 heures ça devient panique hours .
A Paris c est différent , Covid19 lui il négocie avec Hidalgo ,
il flippe un peu avec la bobo de notre drame !
Covid19 il est nul en jogging il arrive même pas a choper ceux qui
courent sans masque ,par contre les marcheurs de la république en
marche justement , ceux la sans masque il sont fichues !
Pour notre santé a toutéatoussss courez !
Maintenant on connais mieux Covid19 ? OUAIS !
dans les bistrots on peut s agglutiner comme des n abeilles
sans masque , car a l interieur Covid19 prends une pause café .
Aprés plusieurs pintes ,il est bourré , il attaque plus personne !
Attention ! fumeur …. faut pas fumer , la nicotine donne des ailes
a covid19 ? c est comme Raid bull ,
Covid19 épargne les enfants ,mais les hygiènistes radicaux les
bâillonnent , le masque c est la burqa des hygiénistes !
Une chose est sûr , il y a plus de stupidités chez les hygiènistes
que chez COVID19 !
Très juste analyse.
Merci de cet éclairage.
Les progressistes s’emploient à évacuer tous les interdits et les tabous de notre civilisation judéo-chrétienne.
Et comme l’homme a besoin d’interdits pour vivre, on s’en invente de nouveaux.
Beaucoup de passages dans ce texte à retenir et à méditer. L’homme indifferencié qui est le jouet de ses pulsions et de ses instincts….Effectivement, on peut parler de barbarie et d’effondrement du christianisme (européen). On a pu détruire communisme et nazisme. Pensez-vous que la destruction du nihilisme islamo païen soit hors de notre portée ?
L’homme indifférencié doit surtout être… un consommateur docile. Et biocrates + écolocrates… on va être gâtés !