Mlle Rowling, 55 ans, a été longuement et durement critiquée par les militants transsexuels et LGBT depuis qu’elle s’est courageusement opposée, a refusé de s’excuser et de se rétracter pour avoir contesté l’utilisation du terme “personnes qui ont leurs règles” au lieu de “femmes”.
Elle s’est accrochée et elle a gagné. Ne cédez jamais devant les terroristes de la pensée et les progressistes : ils n’en ont jamais assez et ils vous détruiraient. Au contraire, affrontez-le, tenez-vous droit, ne lâchez rien, et c’est eux qui se lasseront et se chercheront une cible plus malléable, plus facile à détruire.
Le dernier livre de K Rowling a atteint le sommet du classement des livres au Royaume-Uni après d’âpres attaques de la part des militants LGBT et transsexuels qui, en bons fascistes, veulent imposer leur opinion et interdire d’avoir la sienne.
La controverse a sans aucun doute fait grimper les ventes, bien que les attaques sur les médias sociaux ont effrayé certaines libraires qui n’ont pas offert le livre à la vente.
Troubled Blood*, c’est le nom du livre, publié sous son pseudonyme Robert Galbraith, met en scène un tueur homme qui s’habille en femme, et il est destiné à provoquer. Il a d’ailleurs atteint son objectif, car il a ravivé les affirmations mensongères selon lesquelles l’auteur de Harry Potter serait “transphobe”.
- Les activistes appellent à le boycotter. Ils ont failli. Le livre s’est vendu à 64 633 exemplaires en 5 jours, soit près du double des ventes de son prédécesseur dans la série.
- En tireront-ils la leçon ? Absolument pas, car ce qu’il leur importe, c’est le pouvoir d’obtenir la soumission, et ils ne renonceront pas.
Rowling dit avoir basé le nouveau personnage sur deux vrais tueurs, Jerry Brudos et Russell Williams, fétichistes de vêtements des femmes. Cependant, le personnage ne s’identifie pas comme transsexuel.
- Non seulement elle refuse de plier, mais elle contre-attaque, en clin d’œil. La semaine dernière, Rowling a fait la promotion d’une entreprise qui fabrique des articles féministes.
- Après avoir partagé une photo d’un t-shirt qu’elle portait, qui portait le slogan “cette sorcière ne brûle pas”, elle a créé un lien vers le site web de la société à laquelle elle l’avait acheté.
- Wild Womyn Workshop, qui vend des badges, des autocollants et des vêtements féministes, a une section intitulée “gender critical” (critique des genres).
Il vend des badges sur lesquels on peut lire “Protégez les espaces réservés aux femmes”, “La biologie féminine n’est pas une affaire de fanatisme” et “Soutenez les détranciateurs”.
Conclusion : le combat se situe ici : les transsexuels et militants LGBT refusent qu’il soit dit que seules les femmes aient leurs règles. Et si vous désobéissez, ils vous détruiront.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
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c’est toujours drôle de voir des gauchistes se taper sur la gueule …. trop idiot pour comprendre que c’est uniquement un livre ….. comme quoi un membre de la communauté lgbt ne pouvait pas être un tueur bref a montreal ont a eu loca maniota et a toronto il y a eu un paysagiste qui avait tuer et enterrer une dizaine de ses amants donc la noblesse intouchable lgbt existe pas
Quand on trouve un cadavre non identifiable, grâce à l’analyse ADN on peut savoir si c’est un homme ou une femme.
Que les transsexuels vivent comme bon leur semble, je n’ai rien contre eux, mais ils auront beau se déguiser, se faire opérer, prendre des hormones etc, ils ne changeront pas leur ADN, un transsexuel homme devenu femme n’est qu’un homme déguisé, (idem pour une femme qui se prétend homme), si ça lui fait plaisir de mettre un bikini et de se faire appeler Juliette, ça le regarde.
Il y a aussi des gens qui ont lourdement transformé leur corps et leur apparence dans l’espoir de devenir chat, ça n’en fait pas pour autant des félins :
https://www.youtube.com/watch?v=AKRr94ssnQo
C’est même pire que cela : si un cadavre est dans un tel état que ni l’ADN, ni le classique “os du bassin”, ne peuvent être utilisés pour déterminer le sexe, la forme de l’oreille interne permet de ce faire => même la forme des os du crane est déterminée par le sexe, n’en déplaise aux terroristes intellectuels LGBTQ.
Il est absolument fascinant de voir où aboutissent les stratosphériques constructions idéologiques associées au basique conformisme, à la bonne vieille couardise et au ras des pâquerettes amour du pognon (motivations en arrière plan peu avouables, certes). On en constate chaque jour les frasques. Merci, par exemple, aux clownesques maires écolos et à leurs imbéciles électeurs boboïdes qui ne tarderont pas à se carapater (direction une ville de “facho”?). Certains témoins ou victimes déclarent “c’était comme dans un film”. Et bien, ne vous semble-t-il pas qu’on assiste à un film de style “surréaliste”. Un long métrage où, au nom de la Paix certains professent la guerre, au nom de la tolérance certains sont sommés de fermer leur gueule, au nom du Bien on tolère les discours haineux, les appels aux meurtres. Cette période à laquelle nous assistons, est peut-être l’aboutissement d’une prise de pouvoir médiatique vieille de plusieurs décennies (une excroissance du noyautage soviétique?). Les journalistes, appuyés par leurs inénarrables experts têtes à claques, propagandistes de salons, détenteur du cool définissant le Bien et le Mal. Ce sont les influenceurs, avec le cénacle des “Artistes” et les squatters du PAF qui font la pluie et beau temps. Et, cerise pourrie sur le gâteau, qui paye ceux qui se foutent royalement de notre gueule? Et bien nous pardi! Comble de l’humiliation.
Donc en un sens, acheter le dernier livre de JK ROWLING c’est faire preuve de résistance contre le mouvement LGBT………..
Why not…