L’idée d’un virus meurtrier circule surtout dans les cercles dirigeants. Plus vous vous élevez dans l’échelle du commandement, plus la peur liée à un virus fantasmé augmente.
Plus des décisions dramatiques pour la santé individuelle et collective sont prises, telles celles qui frappent Marseille. Le vieil adage se vérifie encore une fois : tout préfet, tout ministre, tout maire…tout détenteur d’une parcelle de pouvoir manifeste un irrésistible penchant vers l’absolutisme.
Le virus COVID-19 (ou ses différents mutants), circule certes, mais il n’est plus virulent. On ne voit plus, disent les médecins, les cas graves que l’on voyait en mars ou avril. Le taux de létalité est extrêmement faible. Il n’y a pas de deuxième vague.
Enfermés dans la peur de l’échec, les dirigeants sont en train de détruire nos économies, miner nos existences, saccager notre style de vie.
Pour comprendre la situation à laquelle nous sommes confrontés, il faut prendre un terme de comparaison.
Nous sommes comme en 1914, face à une perception délirante des réalités.
La France et tous les pays européens ont été précipités dans une guerre effroyable alors qu’aucun danger réel et imminent ne les menaçait.
La France et l’Allemagne sont entrés dans un conflit sanglant, terriblement destructeur, alors qu’aucune menace directe n’existait. Il y avait certes des tensions, des problèmes, mais ceux-ci pouvaient trouver une solution par d’autres voies que la guerre.
Lorsque l’on se penche sur les mois qui précédèrent la guerre, on constate que la France fut la proie d’un fantasme alimenté par les milieux nationalistes agressifs.
Pendant quatre longues années, des millions d’hommes ont péri pour satisfaire une soif irrationnelle de revanche liée à la défaite de 1870 et à la perte de l’Alsace-Lorraine.
Pour régler la question du rattachement de l’Alsace-Lorraine, une solution simple existait: le référendum. Il suffisait de poser la question aux lorrains et aux alsaciens et l’affaire était réglée.
On a opté pour une guerre totale qui allait déclasser et in fine affaiblir durablement l’Europe, au profit des puissances émergentes, principalement les Etats-Unis.
Avec le virus COVID-19 nous sommes dans une démarche semblable. Un danger sanitaire limité existe. Le risque qu’il fait courir à la santé publique peut être combattu sans mettre en péril nos sociétés. Il suffit de laisser faire les médecins; de faire confiance aux chercheurs et d’une manière générale, aux citoyens. En démocratie, la confiance est la règle. Nous avons toujours dans le passé triomphé de toutes les épidémies. Il est possible que nous périssions, non du virus COVID-19, mais de la gestion politique de l’épidémie.
Le pays peut encore être sauvé du désastre.
A une condition. Que le pouvoir exécutif renonce à exercer directement le pouvoir médical. C’est pure folie que de vouloir mettre sous tutelle l’ensemble des acteurs sociaux.
Le pouvoir cède à une illusion délirante. Il fait penser à la mouche du coche. Il pense être capable de contrôler tous les citoyens et tous les organismes publics et privés au nom de la lutte contre une épidémie aux dangers démesurément grossis. Il peut certes le faire, la technologie lui en donne les moyens.
Mais, le contrôle total, la mise sous assistance autoritaire et agressive des acteurs sociaux, a un coût phénoménal et des conséquences destructrices. A terme, les remèdes politiques mis en œuvres sont bien plus terribles que le mal.
Le pouvoir exécutif n’a tout simplement pas les moyens de sa politique. Pour la mettre en place, il ouvre grand les vannes du crédit. Il place ainsi la France entre les mains de ses « généreux créanciers ». Il plonge le pays dans un semi coma artificiel, puis le met sous le respirateur-artificiel du crédit.
Le taux de la dépense publique s’élève à 58,3% du PIB et la dette publique atteint 120% du PIB. C’est énorme. Vertigineux. Bruxelles a renoncé à ses règles de prudence budgétaire. Plus personne de responsable n’est aux manettes du navire France. Si la gestion délirante actuelle perdure encore quelques mois, la dette atteindra 130%…140%…du PIB. A ce stade, on peut dire sans exagérer, que la logique Vénézuélienne sera enclenchée de manière irréversible.
Il importe ici de rappeler que ce pays qui fut l’un des plus riches d’Amérique latine est devenu l’un des plus pauvres et des plus violents : 90% de la population y est réduite à la misère.
La France en tant qu’Etat est en train de perdre le dernier pan de sa souveraineté économique. Le contrôle de l’économie interne qui occupe 80% des Français est en train de passer directement sous la tutelle de l’économie trans-nationale.
Le mécanisme qui permet ce transfert massif de souveraineté est simple: en mettant en panne une partie de l‘économie interne, le pouvoir exécutif appauvrit les classes moyennes.
La masse de ceux qui ne peuvent subvenir à leurs besoins fondamentaux, augmente au prorata de l’endettement public. Tous tendent la sébile. Tous remplissent des dossiers pour obtenir une aide. Tous prennent la mentalité d’assistés. Pour simplement survivre, tous deviennent des mendiants.
En attendant le krach final, la France prend des allures de camp de concentration « de luxe », géré par des ditigeants-kapos, diplômés en gants blancs, totalement inconscients.
L’aumône publique se généralise à tous les secteurs d’activités. Pauvres, riches…de la caissière au PDG, tous y ont recours. Elle accompagne pour le rendre indolore, le vaste processus de mise sous tutelle de la majeure partie de la population.
Il y a eu hier les « profiteurs de guerre ». Il y a aujourd’hui les « profiteurs du drame sanitaire ». La paupérisation de la grande masse s’accompagne d’un enrichissement démesuré des castes qui en tirent profit et d’une concentration sans précédent, des pouvoirs.
Pour mettre un terme à la spirale du désastre, au totalitarisme politico-sanitaire, Il est urgent que les Français reprennent en main la maîtrise de leur santé et la conduite de leur vie. En rejetant la tutelle de la bureaucratie étatique, en défendant le libre accès aux soins, ils combattront efficacement l’épidémie, sauveront leur emploi, l’économie du pays et leur art de vivre.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
J’ai le sentiment qu’en Israël , c’est le même processus.
Une video à voir et à partager pour comprendre l’inexistence de cette “seconde vague”
https://www.youtube.com/watch?v=8UvFhIFzaac&feature=youtu.be
Excellent, merci. Je n’en suis qu’à la moitié, mais déjà, que d’infos ! – qui au passage confirment ce que nous savions déjà.
Ce qui est fou, c’est que des évidences (au sens français comme au sens anglais : preuves) comme celles-ci ne sont absolument pas prises en compte par les imposteurs qui nous gouvernent. Et que les médias trompent massivement les Français en leur faisant croire au grand méchant loup alors que nous sommes face à une épidémie finalement classique.
Malheureusement, trop de Français en redemandent. Trop de Français attendent tout de l’État, trop de Français sont terrorisés en pensant à un virus somme toute banal, et trouvent normal d’imposer leur pétoche aux autres – signe d’une conception totalement dévoyée de la démocratie et de la liberté, au passage. La responsabilité individuelle, vous n’y pensez pas ! Dès lors, les
clowns à roulettespoliticiens qui gouvernent le pays jouent sur du velours.Et comme beaucoup sont fonctionnaires et ne risquent pas de perdre leur emploi, ils ne voient aucun inconvénient à tout fermer pendant des semaines ou des mois : ils seront payés de toute façon, et en plus auront le temps de s’occuper, de leur jardin, leurs enfants, etc etc.
Quant à l’argent magique et les centaines de milliards sortis du chapeau par les pieds nickelés actuellement aux manettes, il faut être fou pour y croire, fou à lier.
Sur le virus lui-même, il faut écouter Raoult, Toussaint et les autres médecins ayant conservé leur bon sens et qui font encore de la vraie science et de la vraie médecine. Le virus a muté, il est nettement moins agressif, et on assiste, au moins à Marseille, à de mini-épidémies de ces mutants, qui s’éteignent très rapidement. C’est un phénomène classique en maladie virale, selon eux.
Donc les masques partout (même en intérieur, dans beaucoup de cas) et les restrictions de rassemblements, c’est du grand n’importe quoi, de la folie furieuse. Les clowns à roulettes aux manettes cherchent juste, en dramatisant la situation à outrance, deux choses :
1- se couvrir en cas de procès fait par des mauvais coucheurs qui veulent absolument trouver un coupable si eux-mêmes ou leurs proches sont tombés malades voire sont décédés, au nom du fumeux principe de précaution,
2- justifier a posteriori le désastreux bilan de leur gestion de l’épidémie au printemps, en faisant croire à la population que nous avions affaire à un monstre (alors que ce n’est pas le cas, cf par exemple la grippe dite de Hong Kong en 1958)
Si les Français ne se réveillent pas et ne virent pas les malpropres au pouvoir, qui sont partis en roue libre, tout cela va très mal finir.
LE COVID19 EST UN ALIBI C’EST LE PLAN KALERGI QUI S’ACCELERE!
MESSAGE à M. Olivier VÉRAN, Ministre de la “Santé” – de Jean-Dominique Michel, un des plus grands spécialistes mondiaux de santé publique :
https://www.youtube.com/watch?v=baRauK8yV04
Juste analyse.
En route pour le crématorium
Cher Ami,
si je partage vos idées sur le plan politico économique je ne peux pas vous suivre sur le plan historique et médical ou sanitaire.
Sur le plan historique vous commettez une grossière erreur en avançant que l’Alsace-Lorraine aurait pu revenir dans le giron français par un référendum , car jamais l’empire allemand n’aurait organiser un vote pour se séparer d’une partie de leur territoire.
Sur le plan socio-économique la crise sanitaire n’est qu’un élément très minime dans la ruine et la dette de la France qui résulte surtout de la gabegie et de la gestion honteuse de l’administration actuelle mais aussi des précédentes.
Cordialement
Le bilan hebdomadaire du Pr Raoult : https://www.youtube.com/watch?v=dOZcxWw1N3c
À Marseille, la deuxième vague(lette) est en train de retomber : le nombre de gens hospitalisés diminue à nouveau, le taux de positivité des tests a également bien baissé, et le taux de létalité est 3 à 4 fois moins élevé qu’au printemps. Il est temps de laisser ceux qui ont une activité économique l’exercer librement – et pan dans les dents, Véran !
Ceux qui maintiennent la population dans la peur (pseudo journalistes) et gouvernent par la peur (politiciens) paieront cher ce qu’ils sont en train de faire au pays.
Le lien vers la tribune signée par 250 personnes – dont des gens comme le Pr Toussaint ou la généticienne Alexandra Henrion Caude – qui critique la politique du gouvernement, et qui a été refusée par le JDD : https://www.europe-israel.org/2020/09/tribune-censuree-de-250-scientifiques-qui-critiquent-le-gouvernement-a-la-place-le-jdd-publie-une-tribune-de-medecins-qui-touchent-de-largent-des-labos/
Tests: https://www.marianne.net/societe/sante/tests-pcr-selon-plusieurs-biologistes-des-laboratoires-americains-reduisent-leurs-livraisons-de-reactifs-a-destination-de-la-france
Il me semble que ces “petits bourreaux totalitaires” obéissent en premier, aux ordres donnés de haut lieu non ? Je pense à M. Macron pour les préfets qui à leur tour donnent ses ordres aux maires etc etc etc.
Donc il vaut mieux remonter “la chaîne de commandement” pour voir que tout part toujours de “là-haut” c’est à dire de l’Elysée et encore au-dessus des milliardaires banquiers dont on ignore les noms……….
“Il suffisait de poser la question aux lorrains et aux alsaciens et l’affaire était réglée.” Vous plaisantez ! Bismark se serait étranglé de rire à l’énoncé de cette idée saugrenue.
Dans la première moitié du vingtième siècle, aucun pays démocratique en Europe n’imaginait d’envoyer le peuple aux urnes autrement que pour élire son gouvernement. Les frontières étaient redessinées, comme par le passé, en fonction de l’annexation suivant la conquête ou l’épreuve de force, que ce soit en 1870, en 1914 ou dans les années 1930.
Même un siècle plus tard, les pays démocratiques ne se soucient de demander l’avis de la populaton sur un sujet donné que lorsqu’ils croient pouvoir s’abriter derrière “la voix du peuple” pour n’en faire qu’à leur tête – et quand le résultat ne répond pas à leur attente, ils l’ignorent simplement et passent outre ; comme ce fut le cas pour le “mariage pour tous” et leTraité de Rome, par exemple.
Pour éviter la banqueroute de l’Etat, il faut redonner aux Français toutes leurs libertés individuelles en commençant par celle de l’assurance maladie en reconnaissant que le monopole de la sécurité sociale est illégal.
signez ma pétition en ligne si vous ne voulez plus être traité comme des Untermensch (sous-hommes)
https://www.petitions.fr/pour_labolition_du_monopole_de_la_securite_sociale_en_france