
Une fois encore, le monde libre se trouve au carrefour de son propre destin. Jamais l’histoire de l’Occident n’avait connu un environnement aussi sombre et instable.
Il faut remonter au délitement de l’Empire romain d’Occident pour retrouver des états de décompositions et de confusions politiques semblables. Néanmoins ces soubresauts avaient accouché d’un renouveau faisant entrer les populations germaniques dans la civilisation judéo-chrétienne et gréco-romaine. Les tensions avaient laissé place à un Moyen Age fructueux tant sur le plan de l’organisation que de l’intelligence. Au point que les dissensions polythéistes, païennes, et chrétiennes de l’Antiquité tardive semblent aujourd’hui dérisoires devant un monde en proie à une déliquescence généralisée. Tous les héritages de notre civilisation sont minutieusement déconstruits par une caste politique, médiatique, intellectuelle et culturelle qui détient les organes vitaux de la communication de masse. Au point de rendre tout débat impossible, tétanisant une population plongée dans un schéma d’inversion des valeurs, de relativisme et de confusion intellectuelle. Une finalité funeste s’élabore de manière perverse. Ces pourfendeurs de liberté peuvent agir de l’intérieur afin de démolir les fondements de leur propre culture et coopérer avec ceux qui obtiendront victoires et suffrages, au risque de détruire ce qui fut le plus fécond. Lentes et sournoises sont les séries de frustrations, d’acceptions, d’impositions, de réglementations, de trahisons et de renoncements. Car ce que les tyrannies et les fascismes ont réalisé en quelques années, les humanistes autoproclamés l’ont patiemment élaboré en plusieurs décennies.
Mais pour l’heure, à quel enfant l’Occident contemporain est-il prêt à donner naissance ?
L’année 2020 pourrait être celle du basculement vers le despotisme ou bien celle de la préservation de la civilisation. Tout comme l’économie et la politique, la société n’est pas exempte de crises. Et c’est bien à une profonde crise morale que le monde libre doit faire face.
Alors que depuis cinquante ans les tensions de la Guerre Froide semblent bien loin de nos préoccupations quotidiennes, des forces souterraines issues des marxismes d’après-guerre sont à l’œuvre dans les universités et les hautes écoles d’Europe et d’Amérique du Nord. Le Dr Anatoly Livry de Bâle décrit parfaitement cet engrenage mortifère : «Si un Français actuel a perdu quatre points de QI en quelques années, si un Français adulte sur dix est totalement illettré – selon une enquête officielle réunissant des données depuis devenues encore plus catastrophiques et donc dissimulées au large public -, c’est l’œuvre de l’arriération des cadres universitaires eux-aussi totalement incultes jusque dans le domaine de leur «spécialité» académique, arriération violemment désirée et préparée par Pierre Pascal, un ancien collaborateur de Trotski à Moscou qui avait suivi son maître après son expulsion clémente vers l’Occident.»
Les efforts d’endiguement militaires menés par les Etats-Unis dès 1945 ont pu maintenir un statu quo territorial sur tous les continents. Il n’en est fut pas de même pour le monde libre constamment attaqué et dénigré ouvertement par les mouvements communistes, anticoloniaux et nationalistes arabes. Si la révolution conservatrice de Reagan a ramené l’Amérique à sa place de puissance totale, l’Europe s’est engouffrée dans le confort de l’Etat Providence et de la démocratie sociale. De vertigineuses migrations de masse se sont abattues dans des Etats où le vieillissement s’est accentué et s’est accompagné d’un chômage structurel. Hormis l’Angleterre thatchérienne qui s’est réformée en renouant avec son esprit de première démocratie occidentale, le reste de l’Europe a ouvert la porte de son déclin.
La période post 1991 de l’empire soviétique pouvait laisser entendre que la Guerre Froide s’écrivait au passé. Mais en Europe et en Amérique du Nord, les infiltrations marxistes ont poursuivi méticuleusement leur travail de sape dans les universités mais aussi dans l’enseignement secondaire. Au point qu’un manuel d’histoire de collège ou de lycée ressemble davantage à un journal de propagande de gauche qu’à un outil d’appréhension du passé.
Dès le début des années 2000 la révolution numérique modifie les échanges du commerce, des hommes et des capitaux. La Chine communiste ayant tiré les leçons de sa grande sœur russe, s’apprête à entrer dans une ère globalisée en adoptant le système capitaliste tant décrié par les tenants du marxisme. Et pourtant, là se trouve la pierre angulaire du mal qui impacte aujourd’hui le monde libre.
En mars 2020, la pandémie de grippe à coronavirus venue de Chine communiste se propage sur l’ensemble de la planète. Cette grande cour de la mondialisation dans laquelle jouent tous les pays du globe doit nous rappeler avant tout que plus de 65 % de ces pays ne sont pas démocratiques, et que 90 % des votes à l’ONU se font contre les Etats-Unis qui couvrent par ailleurs le tiers du financement de cette structure supranationale. Nous avons négligé que la Chine était communiste, que ses produits bon marché et high-tech ne sont que la façade d’un régime dont le parti maintient sous sa coupe l’ensemble de la population. Le pays du Milieu demeure un Etat totalitaire impitoyable qui asservit économiquement les pays occidentaux et soutient surtout d’autres régimes dangereux tels que la Corée du Nord et l’Iran.

Les secousses du terrorisme islamique du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis et des années 2010 en Europe semblent faire partie du passé pour des populations préoccupées essentiellement par l’emploi et le pouvoir d’achat. Partout dans le monde des mouvements dits «populistes» s’opposant aux élites économiques et politiques voient le jour, alors que dans un même temps les minorités homosexuelles et transgenres, artistiques, raciales et écologistes issues des anciens courants gnostiques et millénaristes rivalisent d’ingéniosité pour imposer leurs manières de voir le monde.
William Burroughs a clamé sa «détestation du christianisme et prophétisé la fin de la différence des sexes”
Figure majeure de la gnose gauchiste américaine, William Burroughs a clamé sa «détestation du christianisme et prophétisé la fin de la différence des sexes”.

Tous partagent une détestation pour le système occidental arrimé au droit, à la libre entreprise et aux valeurs éthiques. Au-delà de la haine qu’ils vouent au christianisme et au judaïsme, matrices du monde libre couplées à la raison grecque et à l’organisation romaine, ces avatars de l’hédonisme débridé se font compagnon de route de l’islamisme et de l’antisémitisme. Ils poursuivent sans relâche une quête destructrice d’eux-mêmes élaborée patiemment par le gauchisme universitaire, le lobbying progressiste, et l’écologisme. Le Professeur Samuele Furfari évoque très bien ce radicalisme montant :
Deux aspects dominent l’environnementalisme religieux. D’une part le rejet de la société de consommation, d’autre part l’émergence d’une nouvelle religion qui marque l’avènement d’un nouveau paganisme.

En Europe, la situation devenue dramatique en raison de la volonté délibérée de l’Etat de refuser le réel pour créer un réel plus conforme à ses préceptes clientélistes, la vulnérabilité intellectuelle et matérielle des peuples laisse entrevoir un délitement des structures sociales dans lesquelles les populations indigènes doivent faire face à des populations exogènes aussi prédatrices que parasitaires.
Aux Etats-Unis la situation intérieure atteint depuis l’élection de Donald Trump en 2016 un degré de violence invraisemblable de la part de minorités ethniques et de courants de la gauche radicale. Certes une grande partie des Américains a conservé ses valeurs morales, son attachement à la Constitution. Mais c’est justement sur ce terrain que se jouera la question cruciale de la civilisation face à une sinistre vague que relaient les Démocrates pour l’élection présidentielle de novembre 2020.
La pandémie du début d’année nous a révélé les velléités d’une Chine qui ne cache plus son idéologie totalitaire qui n’était pas morte loin s’en faut en 1991. Et la gauche américaine n’est plus celle de Kennedy réagissant aux missiles soviétiques basés à Cuba en 1962. Au contraire, jamais son aile gauche n’a été aussi présente et influente. Sous fond de crise du covid 19 entretenue par les gouverneurs et les maires démocrates qui comptent détruire l’économie américaine et rendre responsable le Président des Etats-Unis, les émeutes et les manifestations anti-Trump et anti-Blancs ne cessent de se multiplier. Thomas Sowell était avant-gardiste lorsqu’il écrivait «Si vous n’êtes pas prêts à utiliser la force pour défendre la civilisation, alors soyez prêts à accepter la barbarie».

Les pires turpitudes sont désormais légion pour faire perdre le candidat sortant, conservateur et attaché aux principes constitutionnels qui pourraient mettre en danger les projets et mettre en lumière les malveillances passées de ceux qui s’accrochent au pouvoir et refusent le changement démocratique. Appuyés par les réseaux sociaux comme Twitter et YouTube, qui ne camouflent même plus leur censure, les Démocrates sont également soutenus par le milieu mondain de Wall Street, d’Hollywood et des médias de gauche farouchement majoritaires.
Pourtant, cette civilisation qui aura procuré tant de bienfaits à l’humanité, reste toujours représentée par une majorité probablement endormie face à une caste de dirigeants progressistes, de minorités dont le nom reflète bien le nombre, d’écologistes prétendant sauver la planète et le climat, de lobbies financiers, de racistes convertis au marxisme, tolérants à l’égard des islamistes qui auront tôt fait de se retourner contre eux au moment opportun. Bien qu’une telle alliance soit antinomique, elle fait front commun au système qu’elle exècre, la démocratie libérale.

Le 3 novembre 2020 sera, si l’élection n’est pas repoussée, le tournant majeur de l’Amérique et du monde libre. Car il n’est pas de pays aussi puissant et aussi influent pour la liberté que les Etats-Unis. Si les forces supranationales évoquées précédemment, qu’elles soient privées ou étatiques, triomphaient, il est à craindre que les valeurs de la civilisation seraient durablement affectées. Bien plus encore si une population docile et conditionnée depuis plusieurs décennies de propagande anti-occidentale accorde son suffrage à des dirigeants qui en sont arrivés à tomber les masques sans scrupules depuis la mascarade organisée du coronavirus et le terrible sort que réservent les technocrates de la santé à la liberté de choix des êtres humains. Alors oui, le combat qui se mène aujourd’hui est celui de la préservation de la civilisation. Le sort de l’Amérique et du monde libre est à présent entre les mains d’une majorité anonyme.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mathieu Cazal pour Dreuz.info.
L’avenir de l’Occident Chrétien est aussi sombre que l’occultisme le plus noir !!!
quand on pense que l’assemblée nationale vient d’autoriser l’avortement jusqu’à 9 mois pour raisons sociales et psychologique, et que la nation ne dit rien de cette autorisation d’infanticide ! les chrétiens vont ils continuer à s’abstenir de voter ?
On n’a même pas besoin d’être chrétien pour dire que c’est un infanticide, un meurtre, je suis athée et je le pense.
Les peuples occidentaux sont les plus bètes du monde parce qu’ils veulent se faire plus juste que juste ..Ils en deviennent hypocrites et laches .
«Si vous n’êtes pas prêts à utiliser la force pour défendre la civilisation, alors soyez prêts à accepter la barbarie». (Thomas Sowell)
Excellent article.
Clair et édifiant. Bravo !
“<i>la mascarade organisée du coronavirus et le terrible sort que réservent les technocrates de la santé à la liberté de choix des êtres humains</i>”
Il y a des phrases qui risquent de discréditer tout le reste du texte…
Il est un fait irréfutable que quelque chose se prépare pour l’après élection de novembre, le premier pays qui se réjouira de la défaite de D. Trump sera a coup sûr la CHINE COMMUNISTE DE XI JING PING suivis de ses alliées.
Là commencera la descente en enfer pour les USA et la démocratie ainsi que du monde libre. Je vois déjà le triomphaliste des ennemis héréditaires des USA. L’ex URSS n’aura pas réussi mais la CHINE COMMUNISTE elle aura fait ses devoirs en apprenant des erreurs de L’URSS de propager le COMMUNISME partout dans le monde. De grands malheurs attendent les quelques pays libre et démocratique qui n’auront pas appuyer le seul pays garant de nos LIBERTÉS individuelle et collective. .
À Alain Finie et Laser :
Merci pour vos commentaires.
Amitié.
Mr. Cazal. Je n’ai vraiment rien à rajouter, vous avez dit tout ce qui devait être dit dans cet excellent article. Je voulais juste le commenter et vous poser qq questions.
Vous avez raison quand vous dites “C’est une crise morale”. Une crise morale de grande ampleur dans le monde occidental, mais comme vous l’avez remarqué, cette crise morale n’est pas présente dans les pays asiatiques libres, ni en Afrique.
Dans les pays du Moyen-Orient, les femmes ne défilent pas en portant des chapeaux style vagins roses tout en exigeant l’avortement jusqu’au 9e mois, ou des toilettes publiques sans gendre ! Pourquoi ?!
J’ai lu que la gauche a tellement bien réussi à changer la société grâce à ses idées socialo-communistes de lutte des classes qu’elle a fait avancer ce mouvement maléfique en englobant la lutte des races, des gendres, et de l’homosexualité. Pourquoi se limiter à la lutte des classes, quand on peut foutre en l’air la société occidentale à tous les niveaux ?!
On ne peut pas faire venir des millions d’étrangers dont les valeurs morales sont radicalement différentes des nôtres et nous attendre à ce que l'”intégration” se fasse en douceur.
Ne pensez-vous pas que ceci a également joué un rôle dans la crise morale que vous décrivez ? Et si oui, ne pensez-vous pas que l’interdiction d’exprimer cette vérité contribue également à la suppression de notre sens moral ? Une sorte de cercle vicieux dans lequel l’occident tombe de plus en plus bas.
On nous oblige à d’abord contrôler notre discours, ce qui tue la communication, altère la vérité, frustre les esprits ; puis (en France) la vérité devient alors un acte criminel.
Je pense que le président Trump est entré au cœur de cette question en disant publiquement la vérité, à sa manière glorieusement politiquement incorrecte, il a affronté un élément central sur lequel la gauche compte pour tous nous subjuguer – le contrôle de la liberté d’expression. C’est surement une des raisons pour laquelle la gauche s’en prend au président Trump avec une telle passion diabolique – a coup de 5 ou 6 articles anti-Trump par jour dans le seul NewYorkTimes — depuis 2015.
PS : Je voulais en profiter pour poster ce lien en anglais qui date de 1964. G. Edward Griffin sur le communisme, les conflits raciaux et la prise de contrôle de l’Amérique. En fait, cet expose peut aussi bien s’appliquer a l’Europe de l’ouest. “Les différences raciales entre nos peuples constituent le point le plus vulnérable de notre tissu social. En forçant constamment à ce niveau, le tissu peut se déchirer, et les Américains peuvent être divisés, affaiblis, et peut-être même s’affronter dans un combat physique à ciel ouvert (…) Les communistes veulent que la haine, la violence et le sang soient versés entre les races (…) Les communistes appellent au chaos dans les villes (…) le plan est de déclencher des émeutes et feux d’une ville à l’autre.” https://www.youtube.com/watch?v=UeHc280V9AY
“cette crise morale n’est pas présente dans les pays asiatiques libres, ni en Afrique.” Je suis d’accord, c’est la raison pour laquelle je précise bien dans cet article qu’il s’agit d’un combat pour la préservation du monde libre et non celle des pays d’Afrique ou d’Asie dont le degré de démocratie est très faible.
“Pourquoi se limiter à la lutte des classes, quand on peut foutre en l’air la société occidentale à tous les niveaux ?!” Effectivement vous avez raison. La gauche a perdu son électorat de base, l’ouvrier, avec l’apparition de la classe moyenne. Depuis les années 60 et 70 elle cherche de nouveaux suffrages en faisant appel aux minorités sexuelles, raciales, étrangères… Elle pense que le cumul de ces petites quantités d’électeurs pourra faire une majorité électorale car entre temps elle impose sournoisement cette façon de penser à la majorité.
“Ne pensez-vous pas que ceci a également joué un rôle dans la crise morale que vous décrivez ? Et si oui, ne pensez-vous pas que l’interdiction d’exprimer cette vérité contribue également à la suppression de notre sens moral ?” C’est aussi une opinion que je partage. Hélas les sociétés de droit dans lesquelles nous vivons ont laissé place belle à des comportements et des idées contraires à nos valeurs. Sur le plan démocratique, la possibilité d’exprimer des propos contraires est signe de bonne santé. En revanche, le fait que les pays libres n’aient pas suffisamment permis aux idées des indigènes de s’exprimer a engendré un déséquilibre sur le plan du débat politique. De vastes campagnes de culpabilisation de l’homme blanc colonisateur et raciste ont joué en défaveur des populations d’accueil. Cette manipulation de l’opinion par le biais des médias et du système éducatif a été un franc succès pour l’ensemble de la gauche.
« On nous oblige à d’abord contrôler notre discours, ce qui tue la communication, altère la vérité, frustre les esprits ; puis (en France) la vérité devient alors un acte criminel. » C’est joliment dit «la vérité devient alors un acte criminel ». L’antiracisme et l’immigrationnisme sont à court d’idées depuis quelques années. Les Occidentaux comprennent bien que leur niveau de vie stagne ou régresse alors que des populations migrantes parasitaires bénéficient de leurs efforts. Pour la gauche il était temps de trouver de nouvelles stratégies. Quoi de mieux que la nature ! Les écologistes culpabilisent les consommateurs les accusant de détruire la planète. Qui aimerait vivre dans une planète polluée, altérée ? « Pensez à vos enfants et à ce que vous allez leur laisser ». On touche le cœur des parents. La culpabilité est une rente pour les gauchistes qui se font les gardiens de la morale républicaine. La suite, nous la connaissons, si l’écologie est motrice, le féminisme l’est aussi tout comme les différences sexuelles, et pourquoi pas l’islamisme. Mais je précise bien dans l’article que les islamistes sont de mauvais compagnons de route qui se détacherons allégrement de la gauche.
« Je pense que le président Trump est entré au cœur de cette question en disant publiquement la vérité, à sa manière glorieusement politiquement incorrecte ». Donald Trump a eu beaucoup de courage et il a mis sa passion au service des Etats-Unis en 2016. Il a été lynché par les médias, sali par les Démocrates et lâché par son propre parti. Et pourtant il a gagné les élections car il a parlé à cœur ouvert aux Américains. Ce qui était pensé tout bas par le peuple, il n’a pas hésité à le dire tout haut avec une verve nouvelle qui n’obéit plus aux canons de la politique classique. Qu’il gagne ou perde l’élection de novembre 2020, se pose déjà la question cruciale de savoir quel homme de droite se présentera pour assurer l’avenir du Parti républicain, car Donald Trump a placé la barre très haut.
La vidéo que vous nous joignez est déjà indisponible. « Cette vidéo n’est plus disponible en raison d’une réclamation pour atteinte aux droits d’auteur envoyée par G. Edward Griffin. ».
Le combat pour la vérité et la liberté est déjà bien entamé.
Bien à vous Annika.