Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 11 septembre 2020

Sébastien Ménard, France Soir : “Nous sommes français ! Il est des vérités qu’il est bon de rappeler. La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : “Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.”

On doit s’interroger sur les dérives de notre temps. En démocratie, la liberté d’expression qui pose les bases de tous nos droits est-elle devenue périssable ? Je ne le crois pas. En démocratie, la liberté d’expression qui induit la liberté de la presse est-elle aujourd’hui dangereusement menacée ? Je le crois. Quinze ans déjà que le monde moderne mondialisé et ultra connecté s’est définitivement divisé. La bienséance intellectuelle et la pudibonderie morale nous pousse à nous méfier de tout, de toutes et de tous, et pire encore, de nous-mêmes. Plus personne dans le monde réel, et dans la sphère virtuelle, n’ose penser, tâtonner, dire, critiquer, écrire, assumer et publier ce qu’il pense vraiment, profondément. Pour toutes ces raisons, nous nous battons tous ensemble pour que nos libertés fondamentales ne reculent pas, jamais. Pour toutes ces raisons nous défendons sans réserve, ces mêmes libertés fondamentales qui nous permettent en démocratie de croire ou de ne pas croire, d’aimer ou de pas aimer, de prier, de penser, de critiquer, de publier, de caricaturer ou de blasphémer. Pour toutes ces raisons nous condamnons les extrémistes, les séparatistes et les fanatiques, quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent. Pour toutes ces raisons nous appelons Macron à défendre sans réserve une Charte de la laïcité et des valeurs de la République. Pour toutes ces raisons mais plus encore : Nous sommes français !”

Une remarquable renaissance, France Soir a pu renaître de ses cendres pour proposer un vrai retour du journalisme d’investigation. Enfin une vraie presse libre d’information ! France Soir a su se débarrasser de la clique des anarcho-gauchistes antifas qui foutaient en l’air toute une rédaction politiquement transformée en syndicat d’extrême gauche par leurs magouilles partisanes contre le droit des lecteurs à l’information.

En clair, des activistes journaleux d’extrême gauche antifas avaient pris le pouvoir de la rédaction !

Jean François Revel, ancien directeur de la rédaction de L’Express, a décrit le métier de journaliste, dans les mémoires du Voleur dans la maison vide, comme le plus jeune métier du monde, destiné à tromper, manipuler, propager des rumeurs, mentir : “Je n’ai vu aucune profession plus aveugle sur l’écart qui sépare sa pratique de ses principes, plus mal renseignée sur elle-même, plus incurieuse et plus dissimulatrice de son propre fonctionnement. Chaque rédacteur d’un journal est à ce point ébloui par le pouvoir, réel ou supposé, qui lui est échu, qu’il perd tout sens critique sur son propre talent, sa propre compétence, sa propre probité.

Les plus médiocres versent d’autant plus dans ce défaut qu’ils répugnent à être jugés sur la qualité (inexistante) de leurs articles, sachant que ce critère leur serait fatal. Dans certaines rédactions dégradées par une longue incurie et lacérées par les intrigues, on voit les mauvais journalistes dénigrer et persécuter les bons, tant ils craignent que l’accent mis sur la qualité de leurs articles ne menace leur emploi

“J’ai donc voulu définir la rédaction (que j’ai connue) en très mauvais état de marche (comme) une anarchie haineuse. Un journal peut glisser dans un chaos incurable s’il cesse d’être dirigé avec cette vigilance quotidienne qui prévient les abus des chapelles, les embauches d’incapables et les guérillas entre coteries (jalouses). L’humeur (malveillante) où se convulsait la rédaction me fit comprendre que toute considération sur le journalisme en général et, à plus forte raison, sur la communication en soi, n’est que bavardage creux.

Diriger un journal constitue un art à réinventer chaque jour du fait des caprices des journalistes et de leurs inconséquences, et des pesanteurs d’une rédaction pachydermique de 131 collaborateurs. Fixer la ligne du journal et ses orientations, choisir ses collaborateurs (pour) leur qualité se heurte aux situations acquises. Je ne pouvais compter que sur une trentaine ou une quarantaine de collaborateurs pour faire le Journal !

La plupart des autres (étaient) aussi peu capables que peu désireux d’enquêter et d’écrire. Un des méfaits du journalisme, c’est que les membres de la corporation n’acceptent pas l’idée qu’ils exercent un métier à risques, où l’on doit mériter sa place par son talent ou par une compétence indiscutable dans un domaine précis. Un directeur de journal ne peut virer un mauvais journaliste qu’en surmontant d’épuisantes résistances et en affrontant des remous fomentés avec méthode et des assemblées générales truquées qui perturbent le travail d’une rédaction pendant des semaines. Les journalistes talentueux sont de rapport facile.

Ils savent qu’on tient à eux. Mais le cauchemar directorial vient des mauvais. Sachant que le journal n’a jamais eu de motif professionnel de les embaucher, sinon par complaisance ou piston, ils perpétuent par des intrigues tenaces l’erreur d’avoir été (embauchés). Ils emploient toute leur énergie contre le licenciement. Ils consacrent à cette tâche les forces que la nature leur a refusées en vue de la création d’articles

Cette guerre de tranchées, qui figeait une rédaction pléthorique et partiellement inerte, avait pour néfaste conséquence, d’interdire quasiment l’embauche de nouveaux journalistes, et de donner leur chance à des débutants. Un directeur doit pouvoir composer selon ses vœux, surtout dans ses parties essentielles, l’équipe avec laquelle il va travailler. Mais ce n’était quasiment pas réalisable sous peine de susciter des mutineries d’autant mieux organisées que la plupart des médiocres à éconduire étaient, comme par hasard, des militants syndicaux, ou délégués du personnel. Ils n’avaient à la bouche que les mots défense de l’emploi, mais ils en fermaient hermétiquement l’accès à leurs jeunes confrères impatients de faire leurs preuves…

Les mots défense de l’outil de travail incarnaient la principale cause de la décrépitude de cet outil. Je ne contestais pas leur droit de gagner leur vie, mais de s’obstiner à faire un métier pour lequel ils n’étaient pas doués, barrant à leurs cadets la route de l’embauche. Mais ces cadets adoptaient prestement la mentalité des aînés. L’expression “Donner sa chance à un jeune” ne convient pas car, après trois semaines, le jeune, abandonnant toute notion de chance, se considérait comme un journaliste chevronné (embauché à vie) !

Dans le même registre de la médiocrité partisane, le fascisme islamo-gauchiste des antifas Plottu et Macé a essayé de couler France-Soir ! La réponse de France-Soir a été énergique, résolue et efficace !

France-Soir n’a pas eu d’autre solution que de recourir au licenciement pour motif économique.

En clair, Plottu de l’ultra-gauche révolutionnaire a bien foutu en l’air la rédaction de France Soir.fr !

La morale de l’histoire : En grève, les journalistes ont été licenciés pour motif économique ! Pierre Plottu : Dans un communiqué sur Twitter, les journalistes de France Soir.fr (survivance du grand quotidien) annoncent que leur employeur a décidé de rompre pour motif économique l’ensemble des contrats de travail des journalistes en poste. Clap de fin : La grève initiée par les journalistes de la rédaction de France-Soir se termine : nous sommes tous licenciés par notre employeur, qui invoque un motif économique. Bien joué !

Plottu de l’ultra-gauche révolutionnaire réussira-t-il à foutre en l’air la rédaction de Libé ? Sandrine Cassini : Remous entre la direction et la rédaction de Libération. Libération votera une motion de défiance ! La rédaction a tenu une assemblée générale pour s’émouvoir du blocage des discussions avec l’actionnaire, Altice, le groupe de Patrick Drahi, qui a promis d’octroyer un certain nombre de garanties aux journalistes.

Altice avait promis une part sociale du titre à ses journalistes qui l’accusent de faire machine arrière. Principal point de divergence : la cession aux journalistes d’une part sociale du quotidien. Cette part sociale permettrait d’assister à l’assemblée générale annuelle et d’avoir les mêmes informations que les associés, explique Amaelle Guiton, présidente de la Société des journalistes et du personnel de Libération (SJPL).

Le plan antifas de Pierre Plottu et Maxime Macé sur Libération de gauche avant la revente du titre !

La direction veut récupérer sa part sociale en cas de revente. Dans l’hypothèse où Libération sera cédé, la direction ne veut pas s’engager pour les futurs repreneurs, selon le co-gérant de Libération : Stop au fascisme islamo-gauchiste révolutionnaire des bobos-déglingos Antifas Plottu et Macé : inquisition médiatique de l’ultra-gauche révolutionnaire corrompue jusqu’à la moelle du plan antifas de Plottu et Macé !

La chronique des antifas Plottu et Macé s’enrichit tous les jours. Ainsi, les pisse-copies Plottu et Macé abreuvent leur blog partisan de phraséologie ridicule à la mode islamo-gauchiste : Faisons ensemble barrage aux fascismes identitaires ! Comment nier la bouillie verbale qui résulte de leurs brouillons alimentés par leurs délires antifascistes ? Comment douter que l’esprit du mal qui inspire l’obsession maniaque antifasciste de Plottu et Macé veut faire la loi en France pour une destruction de la liberté d’expression et des moyens de la presse libre qui s’oppose à la propagande islamo-fasciste de Plottu et Macé ? L’hypocrisie des Antifas Plottu et Macé de l’ultra-gauche révolutionnaire considère comme une évolution normale ce cancer de la France soumise aux migrants et aux islamo-fascistes. La haine passionnelle des pisse-copies antifas Plottu et Macé détruit toute liaison logique entre leur obsession maniaque antifasciste et la réalité que vit le peuple français.

La maladie de leur délire antifasciste va dévaster leur organe de diffusion Libé après France Soir.fr, réduit à la diète après la ruine d’une entreprise de presse que plus personne ne lit. Leur haine antifasciste et leurs méfaits n’ont pas manqué de nuire à la presse de gauche. Grâce à eux, la ruine programmée de cette presse de gauche est l’unique manière de faire barrage à l’islamo-fascisme et à la radicalisation favorisée par les pisse-copies antifas Plottu et Macé. La haine obsessionnelle antifas des pisse-copies Plottu et Macé n’a pas besoin d’arguments à l’appui de leurs délires maniaques, ni de preuves, car leur attitude est partisane.

Leur fonds de commerce se réduit au dénigrement systématique de la Droite nationale qui ne les oubliera pas et qui leur demandera des comptes pour la liste de leurs méfaits à l’encontre des Français ! Plottu dénonce les droites radicales et la fachosphère. Plottu a été pointé du doigt pour son côté militant.

L’ambitieux fascisant Plottu antifas au petit pied a été le candidat socialiste malheureux du mensonge aux municipales de 2014 : il ne faut sûrement pas s’attendre à ce que l’objectivité soit au rendez-vous !

Plottu et Macé, les seconds couteaux malfaisants du pouvoir en place, sont en réalité des militants. Ils ne cessent de combattre la vérité et l’honnêteté de l’information rigoureuse et équilibrée. Où sont la probité et la morale professionnelle en conscience que l’engagement militant de ces partisans ne cesse de bafouer ? Ils se moquent ouvertement d’être justes et honnêtes en militant pour la manipulation de l’information. C’est dire que l’esprit du mal croit pouvoir transformer l’information en propagande mensongère LREM-GOF-LGBT. Et si les militants collabos croient servir le pouvoir LREM, le mal reste le mal et ne devient pas le bien ! Moralité :

L’information partisane manipulée en propagande de désinformation mensongère par les gauchistes malfaisants Plottu et Macé n’est un secret pour personne ! Les Crises : Pierre Plottu et le complotisme. À propos d’un article marqué par sa violence et sa teneur militante manipulatoire, Plottu vise Mélenchon dans un article pour France Soir, le 21 décembre 2017. Le journalisme de propagande malfaisante de Plottu et Macé est symptomatique d’une tendance qui consiste à dénigrer les personnes plutôt que leurs idées. Le tout en employant rarement des arguments de fond, mais des raccourcis rhétoriques déplorables. Il s’agit d’une tendance qu’il n’est pas exagéré de qualifier de propagande militante, mensongère et manipulatoire. Il est très compliqué d’être journaliste et de faire du militantisme ! Plottu et Macé sont en réalité des militants collabos sectaires du pouvoir LREM déguisés en journaleux malfaisants. Ce sont des raseurs insignifiants ! Quand les journalistes antifas de France Soir.fr (survivance du grand quotidien mis à mal) annoncent que leur employeur a décidé de rompre les contrats de travail des journalistes partisans en grève : Enfin ! Bon débarras !

Les copains pourris du Monde de gauche pleurent sur les journalistes malfaisants de France Soir.fr :

“Licenciés ! Le mouvement (anti-)social de la rédaction de France-Soir s’achève ! Mais ce n’est pas la fin de France-Soir. Notre employeur a décidé de continuer à éditer ce qui fut l’un des plus grands journaux français de l’après-guerre. Avec quel cadre ? Dans quel but ? Il appartiendra à tous de rester vigilant !”

Mais vous, les copains journaleux du Monde de gauche : De quoi je me mêle ? Un signal favorable : La grève à France-Soir, enfin le dernier épisode d’un lent déclin d’un journalisme fanatique et partisan !

Plottu et Macé, qui ont ruiné France Soir.fr, sont des fanatiques obsédés par les droites extrêmes-radicales. Ils sont des antifas militants, tout autant que de mauvais journalistiques partisans. Quel journaliste sérieux oserait utiliser le terme de facho dans le titre de l’un de ses articles ? Le journalisme militant est imbibé de la vase de haine tirée du ruisseau par Plottu et Macé : Faisons barrage aux fascismes identitaires !

Moralité : L’information manipulée par une propagande mensongère et l’incitation constante à la haine antifasciste des militants islamo-gauchistes malfaisants Plottu et Macé n’ont pas réussi à couler France-Soir !

Tout journaliste militant imbibé de haine antifas comme Plottu peut créer sa propre feuille de chou pour faire croire que la Terre est plate ou que le Soleil tourne autour la Terre. S’il a des lecteurs, tant mieux. Sinon, il sera viré ou il fera faillite. Et c’est tant mieux ! Le vrai journalisme n’est viable et acceptable que s’il repose sur la compétence et l’honnêteté. La probité journalistique consiste à résister à toutes les idéologies politiques ou culturelles, d’où qu’elles viennent. La probité commença à faiblir sur francesoir.fr après que le site fut envahi par l’idéologie gauchiste antifas des Plottu et Macé qui ont ruiné France Soir.fr. Pour eux, il n’y a pas d’information neutre, mais seulement une désinformation de haine et de combat anti-fasciste !

Dès lors que les journalistes militants imbibés de haine antifas, Plottu et Macé, ne se donnent même plus la peine de faire semblant de faire de l’information vraie, alors ils sont virés et ils ne la pratiquent plus sur France Soir.fr., qui a mis fin à leur activité de propagande haineuse, eux qui voulaient orienter et manipuler l’opinion dans un sens jugé conforme à leur désinformation de haine pernicieusement corrompue, par la fraude malfaisante contre la vérité, et pour la perpétuation de leur combat anti-fasciste malsain et maladif !

N’oublions jamais ce principe élémentaire que le totalitarisme anti-fasciste malsain de Plottu et Macé ne peut vivre que grâce au mensonge alors que la démocratie ne survit que grâce à la vérité de l’information.

Les journalistes malfaisants, Plottu et Macé, considèrent toujours ce principe comme secondaire. La liberté d’expression leur paraît inclure celle de mettre en scène la propagande antifas selon leurs préférences et selon l’orientation qu’ils veulent imposer à l’opinion publique. On comprend que le directeur de France-Soir ait voulu se séparer de ces journaleux malfaisants et incapables, parce que leur départ mettait fin à leurs falsifications partisanes et à la perversion de la notion d’objectivité indispensable à la presse d’information.

Virés de France-Soir, impossible de dépeindre les anti-fascistes Plottu et Macé comme des victimes de la persécution politique et encore moins comme des martyrs de la liberté d’informer ! Ils se sont limités à des articles pamphlétaires de mauvaise foi et d’inspiration tendancieuse exclusivement polémique antifas.

Le directeur de France-Soir ne pouvait défendre les anti-fascistes Plottu et Macé, ni au nom du devoir d’informer, car remplir ce devoir n’était pas leur principal souci, ni au nom de la liberté du débat public car la manière dont ils se sont comportés était tout sauf équitable. Leur propagande antifas était un tribunal dont la cause était entendue d’avance. Les opposants faisaient figure d’accusés, qui étaient de fait réduits au silence, conspués par les compères antifas, ridiculisés et dénoncés dans le rôle des méchants fascistes de droite.

En l’absence de toute information authentique et de tout débat d’idées équilibré, impossible d’attribuer le renvoi des malfaisants Plottu et Macé à une vengeance politique, à une tyrannie liberticide, ni à une volonté du directeur de France-Soir d’asphyxier la presse d’information ou d’opinion. Plottu et Macé, ce n’était que du mauvais journalisme, et le journalisme n’est jamais pire que quand il traite de propagande. Ils sévissent dans le cadre de leur combat politique et des intrigues partisanes et ils utilisent un réseau d’amitiés comme avec les copains du Monde de gauche pour publier un récit arrangé de façon à tenter de justifier leur cause ! La liberté d’expression appartient à tous, mais le pouvoir qui en découle provient du seul critère de l’opinion.

C’est un pouvoir de fait, par la légitimité conférée par le public, par la qualité de l’audience, due à la bonne réputation professionnelle, ou à la mauvaise dans le cas de Plottu et Macé et de la presse partisane, scandaleuse et diffamatoire. D’où la prestation plutôt consternante de Plottu et Macé sur France- Soir.fr !

L’inexactitude ou la pauvreté de l’information peut faire hésiter à dire que les peuples, même les plus démocratiques, votent principalement en fonction des informations vraies obtenues dans la presse ! Aussi, la défense de la vérité ne constitue pas le critère de la presse partisane de Plottu et Macé recyclés sur Libé !

On n’invoque jamais la crédibilité ni la compétence anti-fasciste de Plottu et Macé, et encore moins la connaissance des questions traitées qui leur semble tout à fait accessoire pour publier un article partisan.

Ainsi, lorsque Libé, le quotidien libertaire de gauche, devra cesser de paraître, faute de lecteurs, la profession versera des larmes sur ce nouveau rétrécissement de l’espace de liberté, formule creuse qui ne veut rien dire quand on parle de propagande malfaisante. Personne n’osera dire que Libé est mort d’esprit partisan et d’incapacité professionnelle après des années de militantisme du directeur Mouchard, alias Joffrin.

Maintenu depuis déjà plusieurs années en survie artificielle, la direction du journal Libération ne pourra que voir s’élargir inexorablement autour de lui le vide qui se crée autour de n’importe quel journal militant dont chacun sait d’avance la propagande d’ultra-gauche libertaire qu’il va lire et rien d’autre. Ignorant l’impartialité, Libé étale la complète incompétence professionnelle des militants anti-fascistes Plottu et Macé !

France-Soir, l’ex-quotidien a été transformé en site internet en 2016 par le repreneur Xavier Azalbert.

Les journalistes malfaisants partisans en grève de France-Soir dénonçaient une forte dégradation [de leurs] conditions de travail et du dialogue social (de gauche) au sein de leur entreprise. Leur revendication, depuis le début : l’application de la convention collective des journalistes, dont ils ne bénéficient pas, et des droits qui en découlent, comme le versement d’un treizième mois (de gauche). De plus, ils réclamaient des recrutements, l’égalité salariale entre les hommes et les femmes (de gauche) et l’arrêt des pressions, citant des menaces récurrentes de licenciements ou poursuites pour faute soi-disant imaginaire. Absence totale de dialogue (de gauche) : dans un communiqué, les journalistes (de gauche) déplorent les méthodes de la direction : alors que la rédaction (de gauche) est en grève, des articles sont publiés quand l’accès des grévistes au back-office du site, permettant d’identifier les auteurs d’articles, leur a été coupé. L’absence de réponse, le refus de répondre, l’absence de contre-proposition aux revendications ajoutés à ces méthodes ne sauraient constituer un dialogue social (de gauche) normal que revendiquent à leur profit les grévistes (de gauche). Il marque la volonté de la direction de ne pas se soumettre à la crise provoquée par les grévistes.

Mis en liquidation judiciaire en 2012, et ce après des années d’errance, l’ex-quotidien France-Soir a été repris en 2016 par Xavier Azalbert. Il a transformé cette marque très réputée de la presse française en site d’information en continu, fonctionnant sept jours sur sept, de 7 heures à 21 heures. La réponse de Xavier Azalbert, le patron de France-Soir, n’a pas été molle ! Xavier Azalbert avait menacé de fermer l’entreprise si la grève (de gauche) continuait. La suite a été simple : licenciements pour motif économique. Bon débarras !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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