Publié par Guy Millière le 6 octobre 2020

Il faudra revenir sur le fait que Donald Trump n’a pas été le seul à être touché par le coronavirus chinois ces derniers jours et sur le fait que seuls, apparemment, des Républicains aient été touchés.

Le grand commentateur conservateur Rush Limbaugh lui-même trouve cela étrange et suspect, mais laissons cela de côté pour le moment, et intéressons-nous à la maladie qui a touché Donald Trump. Celle-ci a joué un rôle de catalyseur, je l’ai déjà dit, je dois le souligner. La haine de la gauche américaine et mondiale pour Donald Trump était flagrante. Elle est devenue obscène. Délaissant toute retenue, des journalistes et des politiciens démocrates, des humoristes de gauche, ont souhaité la mort de Donald Trump.

Quand ils ont vu que Donald Trump commençait à aller mieux, ils ont tenté de semer le doute sur les déclarations du médecin de la Maison Blanche, et affirmé qu’il ne disait pas tout. Des médecins démocrates ont appuyé leurs propos.

Quand Donald Trump a dit qu’il était rétabli et allait sortir de l’hôpital, ils ont continué à semer le doute, et quand il est sorti en voiture pour aller saluer ceux qui le soutiennent et qui sont venus spontanément devant l’hôpital, ils ont explosé de colère, l’ont traité d’irresponsable, de criminel, d’abruti, de grand contaminateur et ont explicitement souhaité qu’il soit éliminé de la vie politique américaine au plus tôt. Un médecin travaillant pour CNN a dit que Trump avait contaminé les agents du Secret Service qui avaient dû l’accompagner dans sa sortie.  

Quand il a quitté l’hôpital, ils se sont étranglés de rage, ont dit que les médecins qui l’ont partir sont gravement irresponsables et devraient se voir interdire définitivement l’exercice de la médecine.

Ils ont rendu service à Trump et à ceux qui le soutiennent. L’obscénité de leur haine ne peut que servir de repoussoir.       

Ce qu’ils ne peuvent percevoir tant la haine les aveugle est que le fait que Trump ait été tiré d’affaire très vite montre que le coronavirus est moins virulent et peut être vaincu vite et de manière efficace. Trump l’a dit très explicitement dans un tweet lundi. Trump a laissé entendre dans le même tweet qu’il était temps que le pays reprenne ses activités normales, et son propos peut apparaître comme valide et pertinent. La peur entretenue par les Démocrates pourrait rapidement apparaître pour ce qu’elle est : une instrumentalisation cynique d’une maladie.

Ce qu’ils ne peuvent pas percevoir, pour les mêmes raisons, est que les Américains qui aiment l’Amérique ne sont pas des gens qui vont se terrer dans un sous-sol face au danger, mais des gens qui affrontent le danger et qui ne plient pas devant lui, et sont dès lors des gens qui admirent les dirigeants qui se comportent en Américains. Tous les héros qui ont fait l’histoire américaine sont des gens qui correspondent à ce que je viens d’écrire : les Etats-Unis sont le pays des insurgés affrontant la puissante armée britannique et parvenant à l’emporter, le pays de Davy Crockett et Jim Bowie à Alamo, celui de Wyatt Earp à Tombstone et de Neil Armstrong posant le pied sur la Lune. Ils sont, politiquement, le pays de George Washington et Abraham Lincoln, celui de Theodore Roosevelt et Ronald Reagan. Donald Trump avait déjà, par ses accomplissements, rejoint le rang des grands présidents américains. Il a rejoint maintenant celui des héros américains.

Ses propos à l’hôpital ont montré sa volonté et son courage, sa détermination et le fait qu’il a pleine conscience de ce qu’est un commandant en chef : un commandant en chef ne “dirige pas depuis l’arrière” ou depuis une cave. Il fait front et il fait face. Donald Trump ne s’est jamais conduit de manière irresponsable. Il s’est conduit en homme digne de sa fonction et de Président de la première puissance du monde et de chef du monde libre, et il continuera.

Tous les Américains qui aiment l’Amérique et se comportent en Américains dignes de ce nom voteront pour lui, et si la gauche n’avait pas semé ses venins et agi pour transformer la population américaine, il se dirigerait vers un triomphe le 3 novembre.

La gauche a, hélas, semé ses venins et façonné des Américains qui détestent l’Amérique et ont honte d’être Américains, et ces gens font l’électorat du Parti Démocrate et de Joe Biden, qui, à l’inverse de Davy Crockett est l’homme qui a toujours peur, et l’homme qui se cacherait dans un trou de souris s’il le pouvait. Joe Biden est aussi l’homme qui ment toujours. En supplément, les Démocrates ont disséminé des immigrants de fraîche date dans tout le pays et achètent leurs voix. Ils veulent détruire l’Amérique. Ils ont transformé des organes d’information en organes de propagande infects : aucun grand journal américain n’a relevé les mensonges constants de Joe Biden, aucun n’a parlé de la corruption de la famille Biden et du fait que la Chine est le principal pays corrupteur.

Les informations diffusées dans des pays comme la France étant pour l’essentiel des sous-produits de ces organes de propagande sont, à de rares exceptions près, lamentables, voire grotesques (pas un mot non plus en France sur les mensonges de Joe Biden, la corruption de la famille Biden, et le rôle de la Chine dans cette corruption).

Nicolas Baverez, qui fut intelligent dans le passé (mais cela, c’était avant), a publié dans le Figaro il y a deux jours un article consternant de bêtise aigre. Il l’a appelé “De la corruption de la démocratie en Amérique” et a donc pris un titre inspiré de Tocqueville. Si Tocqueville avait été aussi stupide que Baverez dans cet article, il serait oublié depuis longtemps. A le lire, tout est désastreux et nul chez Donald Trump. Je ne commenterai pas en détail ce qu’il écrit, ce serait faire trop d’honneur à des propos qui méritent de finir dans les égouts.

Je publie cette semaine un livre que j’ai conçu, une fois de plus, comme un antidote. Je n’envisage même pas de proposer un article à un journal ou à un hebdomadaire français. Je le ferai peut-être si on me le demande, mais seulement à la condition qu’il soit publié sans être charcuté, ce qui me semble impossible. Je ne pense pas que je serai invité à parler à la radio ou à la télévision. Si les journalistes français votaient aux Etats-Unis, je pense que Joe Biden aurait 99 pour cent des voix. Je ne donnerai pas les noms de ceux composant le un pour cent restant, ce sont des gens qui ont toute mon estime, et il leur faut du courage pour être dissidents en France.

Est-ce que cela me consterne ? Oui, bien sûr. Quand l’information est remplacée par la propagande, une société passe de la démocratie à un fonctionnement totalitaire. Le fonctionnement totalitaire est très avancé en France. Aux Etats-Unis, tout n’est pas perdu. Il reste des hommes comme Donald Trump.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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