Source : Lesalonbeige
Voilà que bat son plein à nouveau la campagne contre la chasse en général et contre la chasse à courre en particulier, et de même, contre la corrida. Cela heurte la sensibilité d’un certain nombre de nos contemporains, s’indignant de ce que l’être humain puisse causer de la souffrance aux animaux.
Dans la même logique, ne faudrait-il pas alors agir pour que les fauves ne coursent plus les gazelles avant de les déchirer à pleines dents ? La nature est hélas cruelle et la réformer pour y faire régner une perpétuelle douceur relationnelle entre les créatures ne relèverait-il pas d’une gentille folie ? Et que diraient alors les défenseurs des tigres et des lions, et des léopards, qui ne se résigneront pas à manger de l’herbe ? Et ceux des crocodiles ?
Trêve ici de plaisanterie.
Car sans avoir quelque complaisance que ce soit pour les souffrances infligées à des animaux et dont certaines pourraient sans doute être évitées, comment ne pas d’abord éprouver de l’horreur pour les souffrances souvent atroces que les hommes infligent aux hommes ? Et en premier, pour les mises à mort des êtres humains appelés à se développer neuf mois durant le sein de leurs mères ?
Or ne voilà t-il pas que successivement l’Assemblée nationale a voté deux lois autorisant l’élimination de ces êtres ce que devra confirmer ou infirmer le Sénat:
- La première, permettant de mettre fin à la vie de l’enfant à naître jusqu’avant l’accouchement, après détection « d’anomalies ». L’avortement se muant ainsi en infanticide républicainement autorisé….
- La seconde, votée ce 8 octobre, faisant passer la durée « légale » pour l’interruption volontaire de vie de 12 à 14 semaines. A ce stade là, l’enfant, déjà largement en voie de formation est un être sensible et souffrant. Dans l’avortement, il est atrocement déchiqueté. Beau progrès humain en vérité, mesdames et messieurs les néos-écologistes! Confierai-je qu’on se prend quelquefois à regretter que vos mères n’aient pas eu d’aussi bons principes que vous…
Sur C News, ce 8 octobre, le présentateur Pascal Praud commente le passage des 12 aux 14 semaines abortivement légalisées comme allant dans une évolution vers de « plus en plus de droits pour les femmes » (sic !). C’est vrai: de plus en plus de droits à commettre la suppression de vie des enfants ainsi privés, sans défense, du droit de naître.
Dans cette émission, on mesure pleinement les limites actuelles du droit d’expression sur l’avortement. Si un des participants allait jusqu’à avouer qu’il est contre l’avortement, alors il serait lui-même, tout de suite avorté de l’univers médiatique. Ainsi, l’excellent Eric Zemmour prend-il plusieurs fois bien soin de rappeler qu’il n’est pas contre le droit à l’avortement. Si tel était le cas, ce serait sa fin médiatique. Alors, tout de même, il se risque à rappeler qu’au moment du vote de la loi Veil, il avait trouvé qu’il y avait des personnes également respectables dans les partisans et adversaires de la loi.
Je l’ai déjà plusieurs fois exprimé, il y a quelque chose d’extraordinaire dans l’absolue intouchabilité idolâtrique du tabou de l’avortement. Seul, maintenant, arrive à l’égaler celui du « droit du blasphème » pour la première fois proclamé en France par un chef de l’Etat.
Les deux premiers commandements d’une charte républicaine des valeurs pourraient être désormais les suivants :
- Toujours et partout, tu respecteras et défendras le doit à l’avortement.
- Toujours et partout, tu respecteras et défendras le droit du blasphème.
Ainsi va la République !
La chasse aux policiers n’est jamais fermée
On ne sait à l’heure où j’écris si les deux policiers d’Herblay sur Seine victimes d’une féroce tentative d’assassinat survivront à leurs blessures par lynchage et par balles. Il n’est guère désormais de semaine qui passe sans apporter les nouvelles d’actes criminels perpétrés contre des policiers. Certains abominables. N’est-il point enfin temps de reposer la question générale du châtiment des crimes les plus atroces ? La question du rétablissement de la peine de mort, au sommet de l’édifice judiciaire, fut-ce pour n’être que très rarement prononcée et peut-être plus rarement exécutée, doit-elle demeurer aussi un tabou ? Rappelons que la peine de mort, par avortement a été infligée l’an passé à 233 000 enfants qui auraient pu naître.
Il n’y a pas besoin d’écouter les écolos et autres “progressistes” bien longtemps pour comprendre que leur idolâtrie d’une nature fantasmée n’a d’égale que leur haine de l’humanité : à leurs yeux, la nature idéale, la terre idéale, c’est une nature et une terre débarrassées des hommes. Sauf eux, les écolos et autres “progressistes”, évidemment. Parce que faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais. Leur philosophie est la même que celle des communistes, poussée au bout de sa logique : le communisme a fait des dizaines de millions de morts, eux en feront quelques milliards, si on les laisse prendre le pouvoir. À la fin, ils régneront sur les ruines d’un gigantesque camp d’extermination.
D’ailleurs, l’avortement n’a rien de “naturel”, c’est même la négation de la nature. Mais ne cherchons pas de cohérence chez des nihilistes, ce serait perdre son temps.
Je me demande ce qu’ils disent ces bien-pensants du lâcher de taureaux dans les rues.
Au risque de tués ces participants, en mal de sensations fortes, je suis sur que ces écolos-végens, espèrent que ces abrutis, se fasses ruer de coups de sabots!,par la pauvre bête qui est considéré, comme victime par ces autres idiots.
Et bien-sur projeter à coups de cornes dans les airs!
Mais le nihilisme n’existe pas. il s’agit seulement de substitution : ils passent d’un maître à un autre. Le leur réclame des sacrifices de sang.
C’est un pas de plus vers la honte et le crime. Effectivement, les scientifiques s’accordent à situer la sensibilité (et donc la souffrance) du fœtus qui n’est plus un embryon vers 14 semaines (calcification du crâne). Mais même sans souffrance, l’acte reste odieux. Le droit de l’enfant à naître n’est tout simplement pas reconnu. De toute façon, il n’y a déjà plus vraiment de mères en France tant la maternité est dévalorisee et l’éducation anéantie par l’éclatement de la famille.
La maternité est dévalorisée et l
éducation anéantie par l
éclatement de la famille., et pendant ce temps, d`autres ne se gênent pas pour prendre la place vacante.
Comment se débarrasser de tous ces assassins…?? Comme dit plus haut, si seulement leur mère avait avorté de ces déchets, la terre serait plus propre!!! Ils me font vomir et suscitent tellement de haine, j’espère que le boomerang va leur revenir en pleine g…..vite et fort!!! Pauvre Gaïa.
Le droit de naître est une absurdité. C’est une contradiction dans les termes.
“Droit à la vie”, ça sonne mieux à vos oreilles ?
Non, c’est pareil.
Donc, le droit à la vie pour vous est une absurdité. Intéressant.
Attention, si vous contredisez Marcoroz, il va dire que vous avez pris la grosse tête.
Sans blague? Faut-il que je tremble ?
Jacques Ady prend son cas pour une généralité.
Vous ne comprenez pas. Il n’existe pas de “droit à” en la matière, de même qu’il ne peut exister de “droit à” l’enfant…
Perversion du langage…
Voilà.
Et donc les diverses versions des Déclarations des Droits de l’homme “parmi ces droits se trouvent LA VIE, la liberté et la recherche du bonheur” sont pour vous lettre morte. De plus en plus intéressant.
Vous le faites exprès ?
Je vous retourne la question.
Parce que le droit à la vie n’existe que depuis la Déclaration des droits de l’homme ????
https://www.youtube.com/watch?v=toF8v8Cxd3E
Regardez ça si vous en avez le courage, c’est le cri silencieux où on voit l’atrocité de la mise à mort d’un enfant dans le ventre de sa meurtrière de mère !
Bonsoir RODRIGUE je viens de regarder cette vidéo mais comment une femme peut elle être d’accord pour supprimer son enfant c’est une boucherie j’en ai mal.
« Atrocité » et « cri silencieux » ne sont pas des éléments de description objective, mais des éléments d’interprétation de ce que l’on voit. Un ver de terre réagit de la même manière à un stimulus ou à une agression, doit-on en conclure que le ver de terre a une conscience? Ni plus ni moins que le foetus. Il n’y a ni plus ni moins de « cri silencieux » dans un cas que dans l’autre. Le fait que le foetus appartienne au genre humain et soit susceptible de devenir une personne, contrairement au ver de terre, est un autre sujet. Un peu de rigueur et de cohérence ne nuirait pas.
On peut tuer sans faire souffrir, est-ce pour autant moral de tuer ? Du reste, la notion de cri silencieux ou d’atrocité est à comprendre comme la résultante d’un acte irréversible sur un être sans défense, qui porte la promesse de l’être humain qu’il sera au travers de son ADN, présent dès sa conception.
il faut 14 semaines aménorrhées à certaines femmes pour se rendre comptes que c’est une grossesse non désirée !!!
Et alors? Il fallait ou bien fermer les jambes, ou bien utiliser l’un des nombreux moyens de contraception. Mais le meurtre n’est pas une solution.
entièrement de votre avis
Vous êtes à côté de la plaque. Le débat actuel portait sur l’allongement du délai de l’IVG en cas de malformation du foetus, pas en cas de « non-désir » d’avoir un enfant.
Le débat actuel porte sur un sous-chapitre de l’avortement – que vous n’avez pas le courage d’appeler par son nom. IVG, je connaissais déjà. Mais le ‘non-désir d’avoir un enfant’ enrichit ma liste des expressions novlangue destinées à enfumer le public.
Et PVI, quand on ressent un “non-désir d’avoir un enfant” on n’en fait pas – surtout à notre époque où les moyens de contraception ont depuis longtemps résolu le problème.
Broyage des poussins, élevages concentrationnaires,
corrida, chasse à courre, etc… sont des actes de
cruauté qui marquent un reste de barbarie chez
l’homme. Se nourrir n’est pas en cause; torturer
des bêtes pour le plaisir, pour le gain (élevages
pour la fourrure, par ex. ), pour se distraire,
n’est pas défendable. Si l’on invoque les
traditions, l’on peut mettre un terme à ce qui
apparaît à plus d’un comme choquant.
A ce propos, je renvoie vos lecteurs, Gaïa
Dreuz, aux campagnes courageuses de
Brigitte Bardot contre toutes les cruautés
infligées aux bêtes.
Maintenant, l’avortement tardif, pour des raisons
de confort de la mère qui invoquera “la détresse
psychologique” n’est vraiment pas une marque
de progrès.
L’on ne peut opposer les droits des animaux
et les droits des bébés.
En effet, ce n’est jamais l’un ou l’autre, ce que certains ici semblent avoir beaucoup de mal à comprendre. La compassion n’a aucune raison d’être contingentée, on peut parfaitement en avoir pour les humains et pour les animaux. Je dirai même plus, ça va ensemble.
Sachez que certaines bêtes n’ont plus d’autre prédateur que l’homme et qu’il faut prélever de vieux mâles pour permettre aux jeunes de se reproduire et éviter les consanguinités ! Il est nécessaire de tuer le surplus de lapins, sangliers et autres pour éviter des dommages très importants dans les cultures etc….Vous êtes un écolo des villes pour penser autrement sans aucune connaissance de la nature qu’une sensiblerie de citadin ! Si les chasseurs ne le font pas, il faudra payer des gens pour le faire !
Il n’y a et il n’y aura jamais d’autres choix ! Tout le reste est de la littérature et philosophie de comptoir à l’heure du pastis voire après 2 ou 3 verres dans le genre on refait le monde avec des fleurs, il faut abolir l’armée et toutes ces conneries !
En revanche, lorsqu’un chasseur tire, qu’il s’assure au maximum de faire un tir propre pour tuer sans intimer de souffrances à l’animal ! Pas la peine de m’insulter, je ne suis pas chasseur mais je défends la chasse car elle est nécessaire !
D’accord avec Saskia !!!
L’académie de médecine est opposée à cette prolongation à 14 semaines.
Oui mais comme le pape, on ne les entend pas vraiment le dire et expliquer pourquoi !
mon voisin est “””toubib”” mais il attend que je “claque” ensuite il est “pseudo ecolo” mais a cheval sur son petit tracteur chaque jour il détruit les félins qui s aventurent dans son parc et m a annonce l autre dimanche “s être débarrasse de sa chienne “pas séparé mais bien “débarrassé mais attention c est un ecolo qui arrache ses arbres
Les soviets ont entrepris pour l’Homme la création d’un monde nouveau dont le principal obstacle est l’Homme lui-même (Vassili Grossman)
Changer “soviets” par “progressistes” et la phrase garde tout son sens.
Ce que vous écrivez est faux, il est question d’autoriser cette mise à mort pour “souffrance psycho-sociale” de la mère ! Cela porte un nom: Infanticide !
l’IMG est déjà autorisé pour les grandes anomalies du foetus ou en cas de danger avéré pour la mère au delà de la période d’IVG !
Pour tous les salauds qui pensent que l’IVG, ce n’est rien d’autre que l’aspiration de cellules, regardez ça !
https://www.youtube.com/watch?v=toF8v8Cxd3E
Perso, avant toute demande d’IVG, je ferais regarder ça à la piteuse criminelle qui fait cette misérable et criminelle demande !
Quand on apprend que le foetus est mal formé, il est tout à fait normal d’avoir envie d’avorter, et c’est très bien qu’on en ait la possibilité.
La grande majorité des avortements n’a rien à voir avec des malformations.
Toutes les femmes que j’ai connues et qui m’ont confié avoir avorté l’ont fait non pas par manque extrême de moyens, mais parce que le couple s’était défait et qu’elles vivaient mal la perspective d’élever un enfant seules. Je ne sais pas si c’est le cas le plus courant. Mais j’en concluerais volontiers que pour enrayer les avortements, il faudrait organiser des petits cours sur l’art de mener sa vie de couple. Je pense que l’avortement, comme les divorces, est une des conséquences de la difficulté de créer et garder un couple solide.
Vous avez raison d’attirer l’attention sur l’environnement societal dans lequel les progressistes nous condamnent : une dilution des liens, des reperes, une precarisation à tous les niveaux et une deresponsabilisation. Un de mes enfants est arrivé de retour de couches, je ne m’y attendais pas. Pas une seconde, l’idée d’une mise à mort de mon bébé n’a traversé mon esprit. C’est vrai que j’ai un mari et une situation professionnelle. Donc la question que devraient se poser ces députés criminels est : quelle société avons-nous bâti pour en arriver à 233 000 meurtres d’enfants par an ? Pourquoi des alternatives ne sont pas proposées ? Alternatives morales, ethiques, financières pour choisir la vie. Je suis certaine que si l’on raisonnait ainsi et que l’on diffusait largement des vidéos de ce qu’est un avortement, on finirait par retourner l’opinion. Mais la gauche refuse parce qu’elle a une haine viscérale de la vérité autant que de notre civilisation (n’oublions pas que ce ne sont pas les migrantes et musulmanes qui avortent et qu’il y a un combat idéologique à faire avorter des enfants blancs des nations chrétiennes).
Merci pour la confidence. Cette société, c’est une société où bâtir un couple est extrêmement difficile pour beaucoup. Offrir des alternatives quand il y a une femme seule enceinte est malheureusement coûteux et compliqué. L’adoption ? Elle suppose de trouver cette denrée rare, la famille adoptante éligible, stable, équilibrée etc, et de régler les problèmes psychologiques de l’abandon. Arroser la mère d’argent ? Onéreux et, souvent, la mère a ce qu’il faut. Elle a juste été plaquée par le père, pour tout un tas de raisons. Souvent il y avait un malaise latent, que la grossesse a envenimé en sommant le couple de s’engager vraiment. Il y a un gros apprentissage psychologique à faire pour les femmes à mon avis : identifier les partenaires motivés, solidifier le couple avant de se lancer dans la procréation même si on voit le temps qui passe. Par ailleurs, on parle beaucoup de l’avortement, mais pas de son parallèle : la défection masculine devant la grossesse, parfois imposée par la femme mais pas toujours. Beaucoup d’hommes ont l’impression de ne pas maîtriser la situation, ont peur que la femme leur fasse “un enfant dans le dos”, etc. Là aussi, une éducation s’impose pour que l’homme devienne le partenaire de la femme.
L’alternative existe pour des jeunes femmes ne se sentant pas en mesure (à tort ou à raison) d’assumer leur enfant: c’est l’adoption. Il est plus humain de transmettre l’avenir de son enfant à un couple adoptant (il y en a beaucoup qui attendent) plutôt que de le massacrer. L’enfant à naître n’est pas la propriété des ses géniteurs qui pourraient en user dans la vie ou dans la mort comme bon leur semble.
Je suis absolument d’accord avec vous.
L’homme craint de s’engager aujourd’hui (entendez : L’homme blanc éduqué). Il a effectivement “peur” des femmes. Les cas de couples divorcés que je connais le sont parce que la femme est partie et obtient la garde des enfants. Beaucoup d’hommes sont malheureux d’être évincés de la vie de leurs enfants. C’est un sujet parallèle mais non moins en lien avec l’avenir des enfants : une forme de violence féminine à l’égard de la paternité. Les hommes frappent mais les femmes manipulent, dévalorisent. Dans les deux cas, il est question de violence. L’une tue plus rapidement (et plus spectaculairement) que l’autre mais il s’agit, à chaque fois, d’un échec dont les premières victimes sont les enfants.
Je pense également, comme le Père Arbez, que faire don de la vie et permettre l’adoption devraient être encouragés. On loue ceux qui accueillent des clandestins, mais on ne valorise pas le fait d’aller au bout de sa grossesse. Question de priorité, question d’éthique, question de conditionnement…
Vous avez bien sûr raison. J’ai juste voulu soulever le problème que dans tout ce débat, on discute peu du rôle des hommes. L’autre jour je voyais un débat sur ce sujet sur Cnews. La dame contre cette loi défendait l’enfant. La dame pour parlait de la “liberté” de la femme. Quid du père ? Ils jouent souvent un rôle dans l’histoire, ne serait-ce que par leur absence. J’aimerais qu’on réhabilite le père.
Je suis bien d’accord avec vous. Les prisons sont remplies d’anciens enfants sans père…
Quant à cette argumentation sur la liberté de la femme ou sur le choix de son corps, on oublie que la liberté est une responsabilité et que si elle s’affranchit de l’éthique, elle n’est qu’une nouvelle servitude, en l’occurrence, celle de souiller son âme par l’avortement. Mais qui comprend encore cela dans un monde materialiste du droit absolu à la jouissance sans frein ?
Ou sont donc les millions de voix qui sont censées s’élever contre l’infanticide ?????????????????
Je vote contre la peine de mort des victimes
Sur base de l’égalité des sexes, pourquoi exonérer de sa responsabilité la seule gent féminine, du fait d’occire un être humain avec préméditation ?
Le fait de condamner des hommes pour les mêmes faits est discriminatoire !
230.000 avortements par an en France depuis 35 ans.
Pendant le confinement l’assemblée à passé une loi en douce pour légaliser l’avortement jusqu’au neuvième mois pour détresse psycho-sociale un fourre tout qui légalise le crime organisé.
On est mal barré.
Je ne suis pas croyant, mais j’estime que c’est criminel. Cela d’autant plus qu’en France on tue plus de 200.000 futurs bébés et on importe des gens qui ne s’intègrent pas.
Les poussins nourrissent les humains et pas le contraire.
Les poussins ne tuent pas, ne dealent pas, ne brulent pas de réserves fossiles ne transmettent pas le SIDA ni la CoViD-19 etc..
Je vote pour le respect des poussins et l’élimination de la partie dégénérée de l’humanité (sa majeure partie, en fait)
L’humanisme tue et dégénère l’humain !