Encore faut-il que les Français acceptent de l’entendre et d’en tirer les conséquences indispensables à leur survie
Hier, vendredi 16 octobre 2020, un professeur français de l’Éducation nationale a payé de sa vie pour avoir prôné, en classe, la liberté d’expression.
Nous sommes nombreux à être horrifiés par l’acte barbare de ce musulman orthodoxe.
De 1954 à 1963, il y a plus d’un demi-siècle, la France a vécu les mêmes horreurs dans ses départements d’Algérie.
MAIS…
Les braves et naïfs Français étaient convaincus que ces morts-là étaient légitimées par la spoliation de la terre des «opprimés» des JP Sartre et Ibrahim Frantz Fanon.
En cette époque, la France, tout comme l’Algérie, était considérée par les terroristes du FLN, théâtre de guerre dans lequel les tueries, les assassinats n’épargnaient ni arabe ni européen. L’Etat-major FLN l’avait même partagée en plusieurs « wilayas » (région, gouvernement, préfecture, autorité, division administrative en Algérie).
C’est dire qu’ils avaient organisé leurs réseaux terroristes en France métropolitaine comme en territoire d’Afrique du Nord occupé par la France. (Voir la carte ci-après)
Non, ne vous trompez pas, ce n’étaient pas les réseaux de nos bons résistants français de 40/45. Ce sont des réseaux de terroristes du FLN de 1954 à 1963.
Comme ce FLN, devenu l’unique parti politique en Algérie, est très présent encore aujourd’hui en France où il a pignon sur rue comme n’importe lequel des partis démocratiques (!), par exemple nous devrions avoir, à Paris, un bureau représentant l’IRA provisoire ou encore un bureau de l’ETA, « Pays basque et liberté », on se doit d’oublier, bien sûr, qu’ils égorgeaient, décapitaient, lavés qu’ils sont, aujourd’hui, de tout acte barbare. Mais ils sont LÀ.
Et chaque 17 octobre, avec l’aide de tous les gauchistes porteurs de valises et pro FLN comme le « spécialiste » Benjamin Stora, chaque 17 octobre, donc, ils osent défier la vérité historique, augmentant à chaque année le nombre de pseudos martyrs, victimes des Forces de l’Ordre françaises depuis 1961.
L’ont-ils fait encore, aujourd’hui, après l’horreur que nous avons vécue, hier, après cet acte barbare d’une telle sauvagerie qu’elle en devient innommable ?
Rétablir la Vérité est devenu vital si nous voulons garder haut le front et affronter l’ennemi toujours présent dans nos murs.
Extrait de la revue trimestrielle : l’Afrique Réelle automne 2001, de Bernard Lugan, par le Lieutenant-Colonel Raymond Montaner, ancien Commandant de la force auxiliaire.
« Le climat ambiant en octobre 1961, était celui d’une guerre révolutionnaire, sournoise, meurtrière, déclenchée par la fédération en France du FLN, contre la Police Parisienne et la force de Police Auxiliaire.
Dans ce contexte, le 17 octobre 1961, la manifestation de masse de la communauté algérienne vivant en France, n’est qu’un “flash” de 4 heures, pris sur le temps d’une aventure humaine douloureuse qui a duré 7 ans et 8 mois : la Guerre d’Algérie et son prolongement en Métropole
(4 novembre 1954 – 3 juillet 1962).
LA MANIFESTATION
Le 17 octobre 1961, suivant les directives données par le Préfet de police Maurice Papon, par le Gal de gaulle, sous-couvert du Premier Ministre Michel Debré et du Ministre de l’Intérieur Roger Frey, 1300 hommes, soit :
- 650 gardiens de la paix,
- 300 gendarmes mobiles,
- 280 CRS,
- une soixantaine de Harkis de la Force de Police Auxiliaire pour servir d’interprètes,
et non 7000 hommes, comme il a été dit ou écrit,
ont été rassemblés en urgence dans la nuit du 16 et la journée du 17 octobre.
En effet, le renseignement sur le déroulement d’une manifestation dans Paris, organisée clandestinement par le FLN, n’a été connu que dans la soirée du 16 octobre.
Ces 1300 hommes ont été déployés sur une cinquantaine de points sensibles et de passages obligés par groupe de 25 hommes, commandé chacun par un gradé, avec en réserve quelques éléments pouvant intervenir en cas de besoin.
Le théâtre opérationnel comportait 3 fronts :
- le front extra-muros
- le front intra-muros
- un front souterrain.
Le FLN avait menacé de représailles, pouvant aller jusqu’à une condamnation à mort, ceux qui ne participaient pas à ce “rassemblement patriotique”… Seules les femmes enceintes, les enfants de moins de 10 ans et les malades pouvant le justifier étaient dispensés de manifester.
Les Forces de l’ordre avaient mission de stopper la progression vers le centre de la capitale et de disperser 40 à 50 000 Algériens contraints, pour ne pas dire pris en otage par le FLN. Ce dernier ayant décidé, avec l’accord du GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne installé à Tunis) d’organiser et de déclencher sans autorisation préalable, une manifestation de masse de tous les Algériens résidant en île de France.
LE VRAI BILAN
Le bilan réel en pertes humaines du FLN, lors de la manifestation du 17 octobre :
- Le 17 octobre 1961 de 19h30 à 23h, dans le périmètre même de la manifestation :
- 1 mort, Guy CHEVALLIER tué vers 21h devant le cinéma Rex-5è arrondissement, décédé à la suite d’un coup sur la tête.
- IL EST LA SEULE VICTIME DANS LE PÉRIMEÈTRE DE LA MANIFESTATION, Français, rien ne prouve qu’il ait été tué par les policiers.
- Hors du périmètre de la manif :
- 2 morts. Abdelkader DEROUES, tué par balles, trouvé vers 22h à Puteaux et Lamara ACHENOUNE tué par balles toujours à Puteaux.
A ces 3 morts s’ajoutent une centaine de blessés plus ou moins sérieusement, transportés vers les hôpitaux.
Soit du 17 octobre au 21 octobre 1961, 7 morts dont deux peuvent être imputés avec certitude à la Police.
Pour la seule année 1961, le FLN n’a pas hésité à liquider froidement 3% de la communauté algérienne installée en France.
Du 1er janvier au 20 juillet 1961 :
- 417 algériens assassinés par le FLN
- 24 européens assassinés par le FLN
- 11 gardiens de la paix et harkis tués.
LA MANIPULATION
L’agitation politico-médiatique concernant la manifestation des Algériens du 17 octobre 1961, n’a duré que très peu de temps, parce que celle-ci a été considérée à l’époque où elle s’est déroulée comme un incident banal engendré par la guerre d’Algérie.
PRESSE DU 18 OCTOBRE 1961 AU MATIN
– Le FIGARO : “Grâce à la promptitude et à la vigilance de la Police, le pire qui était à craindre a pu être évité”.
– PARIS JOUR : “20 000 algériens maîtres de la rue à Paris pendant 3heures. C’est inouï ! Ils ont déferlé en plein cœur de la capitale et en ont franchi les portes par groupes entiers”.
– Le PARISIEN LIBÉRÉ : “Ils ont pris le métro, comme on prend le maquis !”
VOYEZ COMMENT SE MANIGANCE LE DEROULEMENT DE LA MANIPULATION HISTORIQUE
Ce n’est qu’en 1984, 24 ans après la fin de la Guerre d’Algérie, qu’un ancien haut responsable de la fédération du FLN en France : Ali Haroun publie un livre écrit à la gloire du FLN “la VII Wilaya- la guerre du FLN en France 1954-1962”.
Quelques années plus tard, en 1991, Jean Luc Einaudi, employé au Ministère de la Justice en qualité d’éducateur, s’inspire largement du livre d’Ali Haroun pour “confectionner” le sien, à qui il donne pompeusement le titre “La bataille de Paris, 17 octobre 1961”, ouvrage de parti-pris dans lequel on trouve des détails morbides destinés à frapper d’horreur l’imagination du lecteur.
C’est à partir de ce livre, en 1991, que des sympathisants français appelés aujourd’hui “les frères des frères” par les anciens du FLN, organisent chaque année, avec la participation active d’anciens cadres de la fédération du FLN en France (responsable de nombreux assassinats en France!!!), une cérémonie commémorative à la mémoire des “Martyrs Algériens” du 17 octobre 1961 qui n’ont jamais existé que par l’imagination de leurs créateurs.
En octobre 2000, les “frères des frères” ont créé l’Association “17 octobre 1961 contre l’oubli”. Son président est Olivier Le Cour Grandmaison appuyé par JL Einaudi et Marcel Péju, Pierre Vidal-Naquet, François Maspero. »
© Nobeline Nobel
Intéressant, merci ! (Question à l’auteur : ne vous serait-il pas possible de modifier ou faire modifier – ce que tout le monde peut faire – la page Wikipedia consacrée à cette manifestation et qui est intitulée « Massacre du 17 octobre 1961 » ? ).
Je n’y suis jamais allée mais je promets de le faire et de rectifier ce que je peux certifier. merci
Merci beaucoup mais après avoir vu de plus près la manière dont Wikipedia fonctionne, je crains fort que ce soit peine perdue. Gauche et extrême – gauche font la loi dans cette encyclopédie.
c’est comme cela qu’on reconnait “le dieu”, il soumet, et la religion ou l’homme qui descend du singe font partie de ses fruits parce qu’il ignore la nouvelle naissance qui est un fruit libertarien
De plus la Vérité est vivante parce qu’elle peut rire et pleurer, tataneuneus religion ne peut faire cela.
On reconnait un arbre à ses fruits et ישוע n’est pas un dogme, mais la vérité qui ne soumet pas mais fait naître de nouveau, hight problème pour tata neuneu soumettant qui descend du singe ou religieux, puisque en final c’est le même auteur, le mal a le droit de faire ce qu’il veut quand même, depuis quand la soumission lui serait attribuée, c’est bien pour les mougeons tata soumis maso.
Heureusement quand même que jamais Yeshoua, (Jésus pour les étrangers Goïm en hébreu), n’a parlé de religion, ni de soumission, ni de christianisme, mais qu’Il était la voie et la porte de la grace qui proute sur le ya k’a faire faut k’on pour mériter son salut), c’est pas moi qui le dit,
c’est le Rav Shaliahr petit Shaul de Tarse, ou (Apôtre Paul pour les étrangers),
“8Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Elohim.9Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie.10Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Yeshoua a Mashiahr (Jésus Christ pour les étrangers), pour de bonnes oeuvres, que Elohim a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions”.
Ephésiens 2/8 à 9.
La religion définissions; = “proute” dans la bible, sauf pour tata franc maçon gogol bibliothèque nationale, momo gro pédo avec ses bonnes soeurs du couvent où il a fait ses instructions, victimes de la soumission sous une autre forme, mais toujours le même arbre, le SOUMETTANT IMPOSANT DOMINANT ORGUEILLEUX grumpf GOUROU donneur d’ordre hyper anti-libertarien (imposible dans sa tête).
no pasaran !
Il y a longtemps qu’ils sont passés!
En fait “No pasaran” est aussi (en espagnol) le cri de Dolores Iraburri, “La pasionaria” lors de la bataille de Madrid en 1936. Si ce cri s’est avéré juste en 36, puisque effectivement, les forces franquistes n’ont pas pu prendre Madrid. Il a été démenti en 1939 lorsque, suite à une lutte interne armée entre les Communistes et les non communistes au sein de la République, l’armée de Franco a pu prendre Madrid sans combat. Cela permis à Mussolini de dire, dans son discours célébrant la victoire franquiste que : “Les Rouges disaient : “No pasaran”,et bien : “han pasado” (Ils sont passés).
Merci pour cet article.
FLN hier OLP en 1982. L’horeur quand j’étais jeune officier de Tsahal fut de voir des villages entiers des Libanais Chrétiens des villages rasés par l’OLP comme le village de Darmour dont la division Darmour a rasé Sabra et Shatila. Le ministre de la Défense Ariel Sharon a du démisionner quoiqu’il a fait un excellent travail et jettant l’OLP } la mer. Mais il y a eu une immense conspiration de la gauche Israélienne. et Sharon fut forcé de démissioner
Et ils sont toujours LA !!!
Comment avec tous ces articles d’archives, le mensonge peut-il encore continuer? Qui donc en est avantagé ???
Les gauchistes de toutes sortes, qui persistent à victimiser les autres (algériens surtout !) pour pouvoir exister. Sinon pourquoi existeraient-ils ?
TOUT A FAIT VRAI EFFECTIVEMENT ……….
Mais les autorités françaises – et algériennes – bien entendu!
Cet article met en évidence un phénomène que Michel Onfray a déjà souligné a propos des historiens. La plupart d’entre-eux se contentent de répéter et considérer comme vrai ce qui a été déjà écrit dans des livres précédents sans vérifier. Un mensonge sera ainsi reproduit à l’infini et deviendra “vérité historique”. On retrouve le même phénomène dans la presse ou des dizaines de journaux vont dupliquer une information de dépêche d’agence sans la vérifier.
J’ai retrouve un vieil article de Dreuz qui montre la catastrophe de Frejus pour rajouter a la liste des mefaits du fln
Oups j’ai oublie de mettre le lien
https://www.dreuz.info/2014/10/26/enorme-et-effrayant-1959-la-catastrophe-de-frejus-400-morts-serait-un-attentat-du-fln/?
Je l’ai effectivement, toujours entendu dire. Mais c’est aussi vrai qu’ils ont mené leur lutte contre l’infidèle sur le sol métropolitain et sur le sol africain. Qu’ils aient été les seuls à faire sauter ce barrage, je dis NON. Ils n’avaient pour eux, surtout au début, aucune connaissance, aucune bombe, et aucune arme capables de faire sauter un barrage.
Leur seul soutien était le PCF. Et même s’ils étaient partout en France métropolitaine, une armée de communistes aura été nécessaire pour faire basculer dans l’horreur ce petit village tranquille de Méditerranée.
Pourtant, à cette époque, De Gaulle avait depuis longtemps entamé des tractations avec les chefs les assurant de leur donner l’Algérie une fois qu’il serait au pouvoir.
En y réfléchissant, cet attentat était le résultat d’une menace contre De Gaulle. Tu nous donnes le pays ou on détruit le tien. Et il n’allait pas assez vite selon eux.
Oui, Toutes ces morts n’ont été que des victimes collatérales des islamiques, musulmans voulant prouver la suprématie de l’islam dans le monde.