Publié par Hélios d'Alexandrie le 3 janvier 2024

Initialement publié le 25 octobre 2020 @ 08:05

Si la tendance actuelle se maintient, dans à peine une génération, plusieurs pays occidentaux, dont la France, seront non seulement majoritairement musulmans, mais également régi en partie ou en totalité par la loi islamique.

La destinée d’un peuple tient dans sa démographie, mais elle tient tout autant dans sa volonté de durer, de sécuriser ses frontières et de maintenir vivantes sa langue, sa culture et ses traditions. L’islamisation constitue le plus grand danger auquel les peuples européens doivent faire face, elle est bien plus menaçante que les changements démographiques; en effet il est toujours possible après une ou deux générations d’assimiler les étrangers, tandis que l’islamisation mène à des changements profonds et irréversibles, non seulement sur le plan démographique, mais davantage en ce qui a trait à l’identité et à la culture des peuples conquis.

Dans cette analyse je me propose de dégager les éléments clés qui influencent le processus d’islamisation. L’islam aura-t-il fatalement le dernier mot ou peut-on envisager un éventuel réveil des peuples européens ? Que devra-t-on faire pour assurer le retour des nations européennes ?

L’islamisation, un fléau à nul autre pareil

Imaginons un instant que le monde occidental au dix-neuvième siècle, ait décidé de ne pas coloniser les pays islamiques mais de les entourer d’une sorte de cordon sanitaire, dans le but bien arrêté de les maintenir dans l’état de marasme et de torpeur où ils étaient plongés. L’Histoire des conquêtes islamiques, les centaines de millions de morts aux mains des soldats d’Allah et les génocides culturels des peuples conquis, auraient amplement justifié une telle décision. L’extrême pauvreté, le déclin démographique des peuples musulmans et leur arriération sous tous les plans, les rendaient totalement impuissants. Il aurait donc suffi de les laisser dans l’état où ils étaient pour empêcher toute résurgence du danger islamique.

L’extrême misère des pays musulmans n’était pas l’œuvre du hasard, les quatre siècles de domination ottomane y étaient pour beaucoup, or les Turcs ottomans étaient musulmans et, malgré leur statut de grande puissance et leurs tentatives répétées de dominer l’Europe, n’étaient pas beaucoup mieux nantis sur les plans culturel, scientifique, économique, et industriel que les pays qu’ils dominaient au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Prétendre, comme le font les musulmans, que l’islam en tant que religion, idéologie politique et système d’organisation sociale, n’a joué aucun rôle dans le marasme civilisationnel de la oumma islamique en dit long sur leur propension à nier l’évidence .

La colonisation européenne des pays islamiques les a sortis pour un temps du marasme. Les progrès spectaculaires dans les champs de l’éducation, de la santé et du développement économique ne sont pas les moindres parmi les bienfaits de l’impérialisme occidental. Mais contrairement au Japon, à l’Inde, à la Corée du Sud et à bien d’autres pays, le monde musulman a refusé de s’engager résolument sur le chemin tracé par l’Occident. Ce refus a une cause et elle est à la source des nombreux problèmes auxquels nous sommes confrontés; c’est l’hostilité de l’islam envers tout ce qui n’est pas islamique, ce qui le rend incompatible avec la civilisation occidentale en général et avec la modernité en particulier. Entre le progrès tracé par l’Occident et l’islam source de conflits et de misère, la oumma a choisi l’islam avec les résultats catastrophiques que tout un chacun est à même de constater.

L’islamisation, une fuite en avant

Il y a un abîme qui sépare l’Occident de l’islam ; croire à la possibilité de construire un pont entre les deux relève du délire ou de la pensée magique. Face à la civilisation occidentale, l’islam ne peut faire autrement que prendre acte de sa propre déchéance et de l’impossibilité d’y remédier ; mais une telle démarche exigerait de la part des musulmans une lucidité hors du commun et un renoncement radical à tout ce qu’ils ont cru et particulièrement à cette parole d’Allah : “Vous êtes la meilleure communauté, qu’on ait fait surgir pour les hommes. Vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre (les juifs et les chrétiens) croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers.” (sourate 3 verset 110) Bien des musulmans se sont posés et se posent encore cette question : “comment se fait-il qu’Allah ait permis que les gens du livre (juifs et chrétiens) dénoncés par lui comme étant pervers, obtiennent autant de succès et de bienfaits de sa part, tandis que la communauté musulmane, réputée être la “meilleure”, se débat dans l’ignorance et la misère ?” “Allah a-t-il voulu éprouver ses fidèles, ou peut-être même les punir de s’être éloignés de lui ?”

Cette question est restée longtemps sans réponse, à force de se la poser les musulmans ont fini par se convaincre que l’islam n’a rien à voir avec son propre échec, bien au contraire, c’est le manque d’islam qui explique l’arriération des pays musulmans ! “L’islam est la solution”, tel est le slogan que répètent à l’envie les frères musulmans et qui s’affiche en gros caractères sur les murs. La solution par l’islam c’est l’islamisation de la société islamique ; C’est ainsi que la oumma “unijambiste” s’est fait couper la jambe restante, dans l’espoir de pouvoir rattraper son retard.

La haine islamique, un instrument de conquête

Les multiples modes d’expression du suprématisme islamique sont autant d’écrans de fumée derrière lesquels l’islam s’évertue à cacher son échec. La haine islamique, composante principale du suprématisme, sert de paravent à la faillite de l’islam, mais elle est aussi l’énergie qui alimente ses projets de conquête ; dépourvu de cette haine il se révèle totalement impuissant. C’est pourquoi il importe que la haine soit constamment alimentée pour la maintenir éternellement vivante, sans elle l’islam se dissoudra dans l’Occident et finira par disparaître.

Mais le statut minoritaire de l’islam en Occident l’oblige à doser et moduler l’expression de sa haine. Craignant le ressac, il s’active à la dissimuler derrière les impératifs de l’observance religieuse et de la dévotion. Le port du voile par les musulmanes constitue l’exemple le plus connu de cette dissimulation. Il n’existe pas de commandement clairement formulé dans le coran à l’effet que le port du voile est obligatoire pour les femmes, c’est pourquoi les musulmanes de toutes dénominations n’éprouvaient aucune gêne à se promener tête nue durant plus d’un demi siècle et ce avec l’assentiment des juristes islamiques. Le voile en tant que signe d’appartenance religieuse est donc un phénomène récent, et l’obligation faite aux femmes de le porter, une innovation injustifiée. Loin d’être une manifestation de modestie ou de pudeur, le voile est un signe de rejet, il établit une barrière sociale et culturelle infranchissable entre musulmans et non-musulmans et il consacre le séparatisme des communautés musulmanes.

L’islam ne se laisse pas amadouer par l’ouverture de l’Occident à son égard. La bonne volonté, la bienveillance, l’acceptation, les marques de respect, les appels au dialogue sont pour lui des pièges qu’il se doit d’éviter, non qu’il mette en doute la sincérité de l’Occident, mais simplement parce qu’il rejette le principe de réciprocité. Répondre à l’ouverture par l’ouverture c’est renoncer à l’énergie que lui procure la haine, c’est accepter d’être réduit à l’impuissance. Cependant l’ouverture de l’Occident à son égard lui offre une opportunité unique, celle d’exiger et d’obtenir sans contrepartie des gages de cette ouverture, soit des accommodements et des privilèges. En les accordant les Occidentaux espèrent faciliter l’intégration des musulmans, en fait ils ne font qu’alimenter leur rejet.

L’instrumentalisation de l’hypocrisie et de la mauvaise foi permet à l’islam de voguer dans la mer occidentale sans risque de tempête. La haine opérante mais dissimulée lui permet de livrer une guerre asymétrique à l’Occident, celle-ci ne peut se terminer que par la victoire finale ; il y faut certes du temps mais le temps joue en sa faveur. Il suffit donc de maintenir le cap et d’attendre que la transformation démographique fasse son œuvre ; dans trois ou quatre décennies ce sera chose faite.

Après avoir dévasté sans espoir de remède les pays où il est majoritaire, l’islam se promet de répéter le même exploit en Occident. Sa conception perverse du succès justifie à ses yeux la destruction de la civilisation. Tel un parasite létal qui attaque un hôte, il ne se contente pas de l’exploiter ou de vivre à ses crochets, il s’acharne à le détruire et se détruit par la même occasion. L’islam n’est pas seulement un danger pour les Occidentaux, il est une calamité sans nom pour les musulmans eux-mêmes.

Un système immunitaire délabré

Les pays occidentaux sont atteints, à divers degrés, d’un triple mal : l’étatisme, le marxisme culturel et le mondialisme. Le premier se substitue à la volonté des peuples, le second les endoctrine, les culpabilise et les intimide, le troisième s’active à effacer leurs frontières, leurs cultures et leurs traditions. Par leur alliance avec l’islam ils font penser aux cavaliers de l’Apocalypse répandant mort et désolation sur le quart de la terre. Les peuples impuissants et dépouillés du droit de choisir leur destin, assistent en spectateurs médusés à la conquête implacable de leurs pays et de leur continent. Jusqu’à ce jour leur résistance, pour autant qu’elle ait pu se manifester, s’est avérée faible, dispersée et sans lendemain.

Une distinction doit être établie entre le mécontentement et la colère d’un bord et de l’autre l’existence d’une résistance organisée. Le mécontentement et la colère tournent dans le vide et de toute évidence rien n’a été prévu pour corriger la présente situation. Les peuples n’ont plus les moyens légaux de renverser la vapeur, leurs institutions, celles qui sont supposées veiller à leurs intérêts et les protéger, se liguent contre eux ; il ne sert donc à rien de faire appel à l’État ou aux élites, leur trahison les place dans le camp de l’ennemi. Une prise de conscience lucide et désabusée est essentielle, sans elle aucune action cohérente ne peut être envisagée et encore moins entreprise. L’exemple de la révolte des gilets jaunes en France est là pour nous prouver que l’État confronté aux citoyens ne se remet pas en question et ne prend pas le parti du peuple. L’État se moque de tirer sa légitimité du peuple, la démocratie a été vidée de son sens et n’est plus qu’une façade, le processus démocratique souffre d’un vice profond, il ne sert plus à exprimer la volonté des électeurs mais à la subvertir.

Mais le peuple lui-même n’est pas exempt de la responsabilité de ce qui lui arrive ; par individualisme, insouciance et déni de la réalité il a laissé faire. Il s’est même efforcé de croire aux mensonges rassurants débités par les médias, les experts et les hommes politiques. Il a mis de côté son esprit critique et a laissé refroidir en lui l’amour de la patrie. Son aversion au risque l’a conduit à élire et réélire ceux qui se font un plaisir morbide de travestir la réalité et de mentir sur leurs véritables intentions. sa dépendance à l’égard de l’État et la rectitude politique qu’il a intériorisé, le réduisent à l’impuissance. Le citoyen moyen s’est laissé émasculer, il a même collaboré à sa propre émasculation.

Le peuple se soulève volontiers pour des questions d’argent : augmentation du prix des carburants, réduction des pensions, augmentation de l’âge de la retraite etc. c’est compréhensible et pleinement justifié, mais il reste silencieux face à l’invasion islamique, à l’insécurité qui en découle, à l’altération de son mode de vie et à l’assombrissement de son avenir. Les deux tiers des Français jugent que l’islam est incompatible avec leur mode de vie et leurs valeurs, c’est ce que les sondages répétés ne cessent de montrer, mais à aucun moment cette opinion collective ne s’est exprimée ouvertement dans des manifestations de masse ou donné naissance à un mouvement politique bien articulé et largement suivi. La mollesse des peuples face à l’islam s’explique en grande partie par la crainte, car l’islam instille la peur et l’État qui le protège n’hésite pas à sévir contre toute tentative de résistance.

Le phénomène Zemmour ne se limite pas uniquement à l’homme, à l’écrivain et au polémiste, il concerne la majorité silencieuse des français dont il est en quelque sorte le porte-parole. Le courage, voire la témérité dont il fait preuve a pourtant de la peine à secouer l’apathie des millions qui l’écoutent, qui le lisent et qui reconnaissent le bien-fondé de ses prises de position. Le chœur des harpies qui glapissent contre lui fait bien plus de bruit que ceux qui défendent son droit à la libre expression, tandis que la majorité silencieuse des français se cantonne lâchement dans son silence.

De visite en Pologne quelques mois après son entrée à la Maison Blanche, Donald Trump a adressé ce message aux peuples d’Europe : “La question fondamentale qui se pose en notre temps est celle-ci : l’Occident a-t-il la volonté de survivre ? Avons-nous suffisamment confiance en nos valeurs pour les défendre quel qu’en soit le prix ? Avons-nous assez de respect pour nos citoyens pour protéger nos frontières ? Avons-nous le désir et le courage de préserver notre civilisation face à ceux qui voudraient la subvertir et la détruire ?” Ces questions s’adressent principalement aux peuples européens, en fait à chaque citoyen en personne, car il n’y a pas de salut possible sans l’engagement de chacun. Mais pour Trump le simple fait de poser ces questions dénote chez lui une réelle inquiétude : le sursaut d’énergie est-il encore possible ?

La prise de conscience, premier pas vers l’émancipation

Il n’y a pas de retour sur soi sans réelle souffrance. Tant que le quotidien des gens leur paraîtra supportable, ils se contenteront de murmurer et refuseront d’agir. Tant que la lâcheté sera déguisée en prudence, l’islamisation se poursuivra sans obstacle. La réticence face au risque n’atténue pas le danger, elle ne fait que l’accroître ; dans moins d’une décennie se posera le choix entre la soumission et la lutte armée. Dores et déjà l’État qui voit le danger hésite à agir, à la fois par manque de conviction et par peur de perdre le contrôle. C’est ainsi que la corruption morale et la lâcheté des dirigeants les ont convaincus, non d’affronter le mal, mais de sévir contre ceux qui s’en plaignent.

Un examen de conscience collectif est nécessaire car les malheurs n’arrivent jamais par hasard. Il ne sert à rien de reprocher aux musulmans leur esprit de conquête et de domination, car on ne reproche pas au tigre ses crocs et ses griffes. De même il ne sert à rien de reprocher aux dirigeants leur mépris du peuple et leur trahison, parce que leur corruption morale n’était pas un secret. Les gens doivent admettre avoir contribué par leur silence et leur inaction aux malheurs qui les frappent. Avouer sa propre lâcheté est en soi un acte courageux qui met fin au déni et aux faux fuyants, mais c’est aussi un acte libérateur qui a pour effet, non de mettre fin totalement à la peur, mais à la paralysie dont elle est la cause.

Sans prise de conscience, la plus large possible, aucune mobilisation d’envergure ne sera possible. La révolution, car s’en sera une, doit prendre naissance dans les esprits et les cœurs. L’heure viendra où les gens se trouveront face au choix : se soumettre à l’islam comme à une fatalité ou résister courageusement par tous les moyens disponibles. Quel avenir choisiront-ils pour eux-mêmes et pour leurs enfants ? La liberté et la maîtrise de leur destin, ou le sort réservé aux chrétiens du Moyen-Orient ? Il n’y a pas de solution intermédiaire ni de compromis possible, l’Histoire des conquêtes islamiques ne laisse planer aucun doute, les mécréants européens se trouveront inévitablement face aux choix que les conquérants musulmans leur imposeront : se battre, se soumettre ou mourir.

Réarmement moral et mouvement populaire

Les quatre cavaliers de l’Apocalypse que sont l’étatisme, le marxisme culturel, le mondialisme et l’islam forment une étroite alliance et par conséquent devront être confrontés en même temps. La guerre qu’ils mènent contre les nations, l’intégrité de leurs frontières, leur culture, leurs coutumes et leurs traditions, est principalement d’ordre psychologique. Elle vise à écraser toute velléité de résistance et amener les peuples occidentaux à accepter la défaite sans combattre. L’islamisation n’est donc pas un phénomène à part même si elle possède sa dynamique propre, elle est instrumentalisée pour miner les nations du dedans. L’islam de son côté instrumentalise l’État, les marxistes et les mondialistes pour arriver à ses fins.

La guerre, parce que c’en est une, devra être menée sur tous les fronts, et comme il s’agit avant tout d’une guerre psychologique, le “front intérieur” doit recevoir la priorité. Le réarmement moral des personnes n’est pas moins important que l’action politique, laquelle ne peut-être menée efficacement sans lui. Par réarmement moral il faut entendre une meilleure compréhension des causes qui ont conduit à la situation actuelle, ainsi que la réappropriation de son Histoire, de son pays, de sa culture et de sa fierté. En termes simples il s’agit de savoir d’où nous venons et pourquoi nous nous trouvons à présent dans le pétrin. Réarmement moral signifie aussi le rejet de l’idée de fatalité par la découverte au fond de soi d’immenses réserves d’énergie inemployée.

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L’expérience de la révolte des gilets jaunes est pleine d’enseignements, autant par ses échecs que par ses succès. Elle apporte la preuve qu’il est possible de se mobiliser pour une cause commune et agir de concert, malgré l’hostilité de l’État et l’absence de direction centralisée. Il n’est pas question cependant de reproduire à l’identique la même expérience, l’objectif impose nécessairement une approche différente. Le défi de l’islamisation est d’ordre existentiel, mais la nature du problème est essentiellement politique et c’est par une action politique soutenue et concertée qu’il doit être adressé. Force est de constater que les partis politiques actuels sont au mieux inadaptés à la tâche et au pire totalement hostiles à l’objectif. Ce n’est donc pas à travers eux que l’action politique pourra être menée, cependant il importe de recruter des alliés au sein même de ces formations.

Sans base solide et bien outillée aucun mouvement populaire d’importance ne verra le jour et aucune action politique efficace ne pourra être entreprise. Il importe donc d’établir cette base laquelle sera composée de militants engagés qui œuvreront dans tous les domaines. Une attention particulière devra être portée à la préparation psychologique des militants et à leur formation, car ils auront à convaincre et à mobiliser leurs proches et leurs connaissances. Il est contreproductif de brûler les étapes, le mouvement populaire aura besoin d’une période d’incubation suffisamment longue où la préparation des esprits et leur mobilisation occupera l’essentiel du temps. Militants et sympathisants auront pour tâche d’agrandir localement le périmètre d’action du mouvement. À l’exemple des gilets jaunes il devra être multicentrique et interconnecté

Il importe de viser, du moins au début, la qualité de préférence à la quantité car la solidité de l’édifice en dépend. Attendu que le but ultime des mouvements populaires est la survie des nations européennes et de la civilisation occidentale, l’action politique devra être précédée et préparée par une activité pédagogique intense, qui aura pour but de réparer les dommages causés par la désinformation des médias et celle non moins pernicieuse de l’école. À cet effet la réinformation peut se faire à travers des rencontres en petits groupes et des conférences gratuites où il sera possible d’informer objectivement le public et solliciter par la même occasion sa participation.

Il y aura lieu de s’inspirer de ce qui s’est fait dans d’autres pays tels que la Pologne, la Hongrie, l’Italie et les États Unis. Sans mobilisation populaire ces pays seraient en ce moment aussi mal pris que la France, la Belgique, l’Allemagne et l’Angleterre. Le projet de se réapproprier son pays et de reprendre en main son destin, reçoit partout un accueil enthousiaste, l’amour de la patrie transcende les différences. Pas question d’attiser la colère ou nourrir l’agressivité, plutôt canaliser positivement le mécontentement et le désir de changement. L’optimisme est une arme redoutable contre la déprime, car il reflète la confiance en soi et la conviction d’œuvrer pour une bonne cause.

Un mouvement collectif apte à susciter l’enthousiasme est naturellement contagieux. Les médias et les harpies du marxisme culturel auront beau l’attaquer et le traîner dans la boue, ils ne réussiront qu’à se discréditer aux yeux du public. Aux États Unis le mouvement populaire incarné par Trump gagne de la vigueur malgré les attaques vicieuses et concertées des médias ; juste retour du bâton, les journaux vendent de moins en moins d’exemplaires et les chaînes télévisées voient leurs cotes d’écoute dégringoler inexorablement.

La force d’un mouvement se mesure à sa capacité de s’étendre au-delà de ses limites. Un fleuve en crue inonde la vallée et transforme le paysage, c’est ainsi que les idées et les revendications d’un mouvement populaire se propagent dans des milieux jusque là réfractaires. Dès que les personnalités politiques percevront un changement dans la direction du vent, elles se dépêcheront de changer de discours afin de récupérer politiquement le mouvement. Chassez le naturel il revient au galop, des membres de l’élite, naguère acquis aux thèses du mondialisme et de l’immigration incontrôlée, retrouveront soudain leur identité et leur patriotisme. Des fonctionnaires obéissant aux ordres changeront d’allégeance en faveur de la nation. Des intellectuels assis sur la clôture se découvriront du jour au lendemain des convictions solides. Mais le plus important est que la majorité silencieuse retrouvera l’usage de la parole.

La question du leadership du mouvement ne tardera pas à se poser. Les Américains ont Donald Trump, les Brésiliens ont Jair Bolsonaro, les Italiens ont Mateo Salvini, les Hongrois ont Victor Orban, mais qu’auront donc les Français, les Belges et les Allemands ? À cette question il est juste de répondre que ce ne sont pas les chefs qui font les mouvements populaires mais plutôt les mouvements populaires qui engendrent les chefs. Que l’on retienne bien cette leçon : les quatre cavaliers de l’Apocalypse imposent aux nations des dirigeants médiocres, en fait des exécutants ou pour être plus précis, des exécuteurs de basses œuvres, des hommes et des femmes qui ont vendu leur âme au diable en échange du pouvoir. De leur côté les mouvements populaires, pour peu qu’ils parviennent à se structurer et à s’étendre, trouveront en leur sein des chefs naturels et dévoués à la cause commune. Des chefs dont la stature et l’intégrité contrasteront fortement avec la médiocrité ambiante.

Mouvement populaire et chef populaire constituent une formule menaçante pour les ennemis de la nation. Ce n’est pas pour rien que les médias en Europe s’acharnent sur Trump et le dénigrent sans arrêt, car il importe de cacher aux yeux du peuple les succès qu’enregistre son mouvement. Faire gober au public crédule sa dose quotidienne de mensonges le prémunit contre la tentation de secouer le joug psychologique qui le paralyse. Les peuples européens doivent au plus tôt balayer la désinformation systématique dont ils sont l’objet, cette désinformation qui les amène à voir dans la résignation une attitude honorable et un choix moral supérieur.

Le retour des nations

L’Histoire récente démontre qu’on ne peut sans risquer la catastrophe tenter d’effacer les nations. Mais c’est dans ce but précis que les apprentis sorciers de l’étatisme, du marxisme culturel et du mondialisme ont inoculé l’Occident du virus de l’islam. Ils se sont également fait un devoir d’affaiblir son système immunitaire afin de mener leur projet à bien. L’islam est un monstre qu’ils pensaient pouvoir contrôler mais qui, une fois parvenu à une taille critique, n’aura plus besoin d’eux pour progresser et faire des ravages.

Pour survivre et en finir avec l’islamisation, les nations d’Europe ne peuvent compter que sur elles-mêmes, l’heure est grave et il n’y a pas de choix exempt de souffrance. Le seul qui soit sensé, honorable et moral consiste à tirer les peuples européens de leur torpeur pour les amener à se mobiliser et à lutter pour leur survie.

Le suicide n’est pas une option.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.

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