
C’est un fait, une grande majorité des Américains de moins de trente ans a voté Démocrates. L’explication pourrait venir d’une phrase de Winston Churchill : « Si à vingt ans vous n’êtes pas de gauche, vous n’avez de cœur. Si à quarante ans vous n’êtes pas de droite, vous n’avez pas de cervelle ».
Cela serait vrai si le programme et le message des deux partis, Républicains et Démocrates, était réellement étudié, ou ne serait-ce qu’entendu et compris. En réalité, le parti Démocrate (qui n’a de démocrate que le nom) a su se donner un avantage en comprenant, bien avant Trump et la vieille garde républicaine que le fond, à notre époque, n’a plus aucune importance et que seule compte la présentation des faits ; c’est à dire la forme.
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Tout personne de bonne foi ne peut que constater le parcours impeccable de Donald Trump en tant que président des USA. Contrairement aux politiciens – souvent corrompus – qui l’ont précédé ou qui prétendraient le remplacer, son comportement conquérant à l’emporte-pièce ressemblerait davantage à celui d’un Napoléon – ne serait-ce que pour son patriotisme exacerbé – qu’à celui d’un très diplomate Talleyrand. L’Empereur français s’était d’ailleurs fendu d’une tirade célèbre à l’encontre de son grand chambellan : « « Vous êtes un voleur, un lâche, un homme sans foi. Vous ne croyez pas à Dieu ; vous avez toute votre vie manqué à tous vos devoirs, vous avez trompé, trahi tout le monde […] Tenez, Monsieur, vous n’êtes que de la merde dans un bas de soie. »
Une jolie fin de phrase qui pourrait s’appliquer à Biden et tout son entourage.
Car, en effet, à une époque où l’application chinoise Tic Toc, les tweets de 4 lignes, et les gros titres font office de moyens d’information, il est clair que l’attitude bien lissée et politiquement correcte des représentants du parti Démocrate a de quoi séduire, tandis que les interventions souvent abruptes, parfois déplacées, rarement innocentes et toujours propres à faire les grandes lignes des médias hostiles du Président Trump ont parfois un effet repoussoir.
Pour beaucoup, Trump est le Président qui Tweete et l’auteur de ses lignes, pourtant un grand partisan de ce Président hors normes, hors pairs et d’une efficacité redoutable dans tous les dossiers qu’il aborde, voudrait bien, parfois qu’il se taise.
Nul n’est besoin de rappeler que durant ces élections américaines, un seul candidat était présent. A l’exception d’une poignée d’aveugles, de quelques milliardaires et représentants du High Tech, tout autant corrompus (ou corrompant) les uns que les autres, les électeurs n’ont voté que pour Trump ou contre Trump.
Les accomplissements de ce dernier sont si nombreux et si exceptionnels qu’ils suffiraient à lui attribuer – s’ils étaient connus – le plus large plébiscite, même parmi les jeunes. Seulement voilà, Trump et les conservateurs dans leur ensemble pêchent sur la forme.
Un Trump qui se serait comporté de façon plus présidentielle, au sens classique du terme, disons avec de la hauteur, aurait sans nul doute était mieux accueilli dans les milieux dits « bien-pensants ». Car si vous écoutez ses détracteurs, ce n’est presque jamais sur le fond qu’ils le reprennent, mais essentiellement sur la forme, ou, bien sûr, en rebondissement sur des fausses nouvelles habillement colportées par les ennemis du Peuple que sont devenus les Médias.
Parlez à un anti-Trump primaire (ils le sont majoritairement) des règles mises en place par son administration afin de lutter contre les bandes de passeurs, ces chacals qui profitent de la misère des Sud-Américains pour leur extirper leurs maigres économies en échange de la promesse d’un passage clandestin aux USA. Tout ce qu’il vous répondra c’est que Trump sépare les enfants de leurs parents pour les mettre dans des cages. Une image très forte (la forme) qui s’éloigne terriblement de la réalité (le fond). Car les Médias ont oublié que ces cages ont été construites sous Obama, et que l’administration de ce dernier a pudiquement fermé les yeux sur ce trafic d’êtres humains. Tout immigrant illégal est un vote de plus pour les Démocrates ( Biden, s’il parvient à voler cette élection, envisage d’en légaliser 11 millions) et, entre gangsters, on se comprend.
Un partisan démocrate plutôt correct par nature à qui j’expliquais récemment, preuves à l’appui, qu’Obama était responsable pour la création de ces cages n’a trouvé rien d’autre à me répondre que : « Ce n’est pas parce que le président Obama les a construites que Trump aurait dû les utiliser ».
Que voulez-vous répondre face à un tel niveau de mauvaise foi ?
Et puis, revenons à la conférence de presse des avocats de la campagne Trump, durant laquelle la fraude massive organisée par les Démocrates a été démontrée et expliquée.
Malheureusement, Rudi Giuliani transpirait beaucoup durant son exposé. Devant le monceau de preuves, de témoignages, de vidéos, d’expertises, attestant de façon flagrante et incontournable qu’une majorité de responsables Démocrates ne sont que des racailles, des escrocs, des « merdes dans des bas de soie » capables, comme Talleyrand, des pires turpitudes sous une apparence d’humanisme et de générosité, y compris d’avoir organisé une fraude électorale à l’échelle nationale, les « bien-pensants » des médias n’ont retenu qu’une chose : la goutte de sueur de couleur suspecte qui a coulé sur la tempe de cet avocat hors pair, responsable d’avoir réduit à néant la mafia New Yorkaise.
Cherchez partout, en langue anglaise, un compte rendu de cette séance pourtant plus que convaincante. Vous ne trouverez comme gros titre que la goutte de Giuliani.
Ceci est la forme adoptée par la sphère médiatique actuelle. Les journalistes sont, en majorité, devenus des cancres assis près du chauffage au fond de la classe, incapables d’autre chose que de rire grassement à la vue du bas filé de la maîtresse.
Quant à Trump et à son équipe, s’ils devraient parfois se préoccuper davantage de leur présentation, le fait qu’ils aient autre chose à faire, par exemple diriger la première puissance mondiale et la sortie d’une des pires crises qu’ait traversé le pays, n’est pas forcément une excuse.
Quand on veut gagner des clients, on soigne sa vitrine. Surtout si les produits proposés à l’intérieur sont les meilleurs du marché.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov pour Dreuz.info.
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Mr Rehov, je ne partage pas votre opinion sur le fait que l’équipe Trump doive travailler la forme. Ca ne servirait à rien. Les journaleux sont de mauvaise foi. S’il n’y a pas un élément qu’ils peuvent utiliser, alors ils l’inventent. Il n’y a qu’à se rappeler la fake news que le President Trump avait dit qu’il fallait boire de l’eau de javel.
Il faut au contraire rester soi-même car travailler la forme dans un cas pareil, c’est donner de l’importance à ces bons à rien (c’est bien pour ça qu’ils sont journaleux) et leur donner de l’importance, c’est s’avilir.
Au contraire, ces évènements font qu’ils parlent de la conférence de presse et les esprits curieux iront se renseigner. Quant à ceux qui n’iront pas se renseigner et continueront à gober les nouvelles du type Closer ou Gala de nos journaleux, eh bien ils resteront ce qu’ils sont, des abrutis.
Border no d’accord avec vous .
Bonjour, tout à fait d’accord avec vous! Le problème ne vient pas du comportement de Trump. Loin s’en faut! Son comportement n’est qu’une opportunité pour qui veut le délégitimer dans le plus pur style des totalitaristes (diaboliser + ridiculiser).
Le problème c’est le point de vue sur lequel s’arc-boutent les « journalistes »…
Même si Obama, étalon or en la matière, lui donnait des cours accélérés de coolitude, les médias trouveraient divers et avariés angles d’attaques. J’imagine bien Trump sceller des accords de paix historiques et les médias de titrer : « Trump a un poil du nez qui dépasse ».
Le coup de la teinture qui coule sur Giuliani (que je n’avais même pas remarquée alors que j’ai suivi la conférence en direct) est un modèle du genre dans le traitement orwelien de l’actualité.
Toutefois, on note un effet miroir (retour de bâton de l’immanente réalité?): alors que ces « journalistes » usent de la diabolisation et de la mise à l’index par le ridicule, leur comportement avec leurs paroles confinent à l’épouvantable et au clownesque!
Monsieur Rehov j’apprécie beaucoup votre travail journalistique mais là je dois dire que la fin de votre article m’a choqué , on ne gagné pas une guerre presque civilationelle en costume Armani et sortant de chez Alexandre , je ne vous suis pas pour une fois .
Une réponse rapide pour ceux qui ne sont pas d’accord avec la conclusion de mon article. Les excès ne sont jamais bon. Mon propos est que le Président Trump a tant de cordes à son arc qu’il est dommage d’avoir donné aux médias les bâtons dont ils n’avaient pas besoin pour le battre. Evidemment, les médias sont de mauvaise foi. Evidemment, un costume Armani et le politiquement correct ne sont pas de mise. Mais je ne suis pas le seul à dire que ces élections ne tournaient qu’autour d’un candidat: pour Trump ou contre Trump. Le fantoche sénile Biden était totalement inexistant. Il aurait fallu que le Président travaille un peu la forme, pour agrandir son cercle électoral. Avec ses résultats, il aurait pu conquérir 100 millions d’Américains et non pas les 80 millions qui ont voté pour lui (si on lui attribue enfin les votes qui lui ont été volés). Malheureusement, son comportement est parfois un rebutoire. C’est un grand partisan de Trump qui l’écrit.
Monsieur Rehov j’ai entendu votre argumentaire qui est tout à fait recevable et je sais que vous êtes dans le camp des patriotes cependant permettez moi de ne pas être d’accord avec votre conclusion je continue de penser qu’on est passé dans l’irrationnel aux USA et que malheureusement même un Donald Trump parfait ne serai pas parvenu à renverser la tendance négative dont il est victime cela va bien au delà de sa personne , merci de m’avoir répondu .
« Trump a tant de cordes à son arc qu’il est dommage d’avoir donné aux médias les bâtons dont ils n’avaient pas besoin pour le battre. »
Et voilà, nous y sommes. C’est Trump qui a donné les bâtons.
Trump a été traité de raciste, c’est lui qui à donné le bâton ?
Il n’a fait qu’être attaqué par de petits snobinards vulgaires avec tout un ensemble de critiques uniquement basé sur des préjugés, sur la diffamation.
J’aime la manière, la forme, parce que justement y transparait le fond, c’est ce que vous n’avez pas saisi.
Dommage, c’est pourtant important à saisir quand on s’intéresse à tout cela. Et quand on soutient Trump.
La forme est ainsi car le fond est ainsi. C’est lié.
Vous avez à faire à un homme libre.
« We were born free, we will stay free » – Donald Trump
Et ça transparait bien dans la forme. Si la forme vous dérange, c’est que quelque chose dans le fond doit vous déranger.
Vive Trump, vive l’Amérique, vive la liberté !
President Donald J Trump ultimate inspirational tribute : https://www.youtube.com/watch?v=TQBWpMIZCe8
C’est cette Amérique que j’aime, et dans la forme et dans le fond. Et c’est elle que je soutiens.
Et après toute cette diffamation dont il a été victime, lui, mais également des gens comme moi qui le soutenons depuis le début, vous venez ici, sans rire, nous écrire que c’est Trump qui a donné aux médias les bâtons pour le battre ?
Des médias de merde, composés de petits merdeux. Qui lui ont chié dessus durant 4 années, et donc sur tous ces amis, et sur sa famille, sur tous ses soutiens. Non-stop durant 4 ans.
Vous venez ici, sur un site pro-Tump nous écrire qu’en fait il serait responsable de cela ? Qu’il aurait donné les bâtons pour le battre.
Mais c’est délirant.
Ecoutez, il y a des limites à ce que je peux prendre comme critique de la part de gens qui sont incapables de lire le papier d’opinion d’un défenseur de Trump. Je vous laisse donc à votre hystérie et je continuerai à faire mon travail, sur Dreuz et ailleurs. Bon Xanax.
« Je vous laisse donc à votre hystérie »
Vous êtes psychiatre ? C’est dans votre domaine de compétence que de diagnostiquer une névrose ? A travers internet de plus …
Et sans consultation.
Vous avez écrit une énorme connerie : « Trump a tant de cordes à son arc qu’il est dommage d’avoir donné aux médias les bâtons dont ils n’avaient pas besoin pour le battre. »
On se calme, on se calme. Je suis non seulement un partisan de Trump, mais vous n’avez pas idée de tout ce que j’ai perdu à le défendre, y compris mon plus important sponsor financier ! Mais il n’est pas d’éloge flatteur sans la liberté de blâmer. (Beaumarchais). Personnellement, j’apprécie le comportement du président, dont je me sens très proche et que j’ai eu le plaisir de rencontrer en 2003, alors qu’il sponsorisait, à NY, la parade pour Israël. Je ne reviens pas sur mon avis qu’un comportement plus présidentiel aurait pu l’aider, même si nous avons affaire à une bande de malades parmi ses détracteurs. Il y a des gens très bien qui l’ont rejeté pour la forme, alors qu’ils avaient toute raison de l’apprécier sur le fond. Sans doute beaucoup.
« Un comportement plus présidentiel »
…
Avec la citation de Beaumarchais, c’est parfait.
Et en entier s’il vous plait : « Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu’ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil ! Je lui dirais… que les sottises imprimées n’ont d’importance qu’aux lieux où l’on en gêne le cours ; que, sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ; et qu’il n’y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits.»
Le Mariage de Figaro : Acte 5, scène 3
Ça c’est une réponse
Bravo Mr Carras
Il n’est plus le temps de finasser car le président Trump est bien seul face aux puissants pour ne pas être à 100% avec lui
Moi j’aime les gens brut de décoffrage
S’ils n’ont pas la forme ils ont la sincérité de leurs propos
Excellent.
Rudy Giuliani ne transpirait pas, c’est le produit de coloration de ses cheveux qui dégoulinait.
On s’en fiche en fait 🤷🏼♀️
Merci pour cette article.
Je retiens deux choses :
« Que voulez-vous répondre face à un tel niveau de mauvaise foi ? »
Homo homini lupus est : l’homme est un loup pour l’homme. L’erreur de certains est de crois qu’il faut être mieux que son adversaire, en s’élevant et ne pratiquant pas les mêmes armes que lui. Cette façon de penser est ce qu’attend le loup dû 21eme siècle. Il vous désarme en vous retirant ses armes. Ce qu’il faut faire, c’est répondre plus férocement qu’eux, pratique la mauvaise foi plus habillement qu’eux. N’hésitez pas à mordre. Ne soyez surtout pas un agneau fragile, mais un loup féroce.
« Quand on veut gagner des clients, on soigne sa vitrine. Surtout si les produits proposés à l’intérieur sont les meilleurs du marché. »
Les biens pensants on ajoute une norme dans leurs modèles : l’élégance fragile. Nicolas Machiavel a dit dans son livre le Prince que le meilleur moyen de fragiliser une population est de la féminisé. Le parti démocrate exploite cette philosophie sans vergogne. Les progressistes font tout pour enlever toute férocité dans le genre humain, dans le modèle et l’idolâtrât humain. Je partage votre avis que Donald Trump a manqué d’élégance ou plutôt de réthorique. Homme d’affaires, il n’a jamais eu besoin de tordre sa langue aussi habillement qu’un serpent. Il fait mieux qu’Hillary Clinton ou Joe Biden qui ont passé toutes leurs vie en politique sans jamais touché le Graal (La Présidence). Dotée d’une intelligence intuitive inée, Donald Trump a montré aussi ses limites, il est comme il est. Cependant, nous ses partisans devons être plus rotor que nos adversaires. Nous sommes tous des challenger, des gagnants, la fierté nous anime, la fierté des nations, la fierté d’héritage. Ainsi nous devons combattre avec une élégante fierté !
J’ai régulièrement réfléchi à cela : la forme que Trump et ses partisans ne mettent pas forcément quand ils parlent, en particulier à – ou de- leurs adversaires politiques.
En fait, je ne suis pas sûr du tout que « mettre les formes » changerait quoi que ce soit au résultat. Cela serait entrer dans le jeu des Démocrates, de ces soi-disant « progressistes » passés maîtres dans l’art de la tromperie, laquelle tromperie passe justement par le fait de placer la forme avant le fond. Ce serait adopter l’agenda des démocrates, d’une certaine façon, et risquer de se mettre à suivre les Dems aussi sur le « fond », autrement dit de ne pas remettre en cause les mesures politiques bien réelles qu’ils prennent quand ils sont au pouvoir. C’est ce que font nos hommes politiques de « droite » en France, mais aussi un peu partout dans le monde, y compris aux USA : pour ne pas choquer, ils entrent dans le politiquement correct et finissent par ressembler aux politiciens gauchistes, y compris dans la politique qu’ils mènent, ou ne mènent pas.
La réalité, c’est qu’un politicien voulant vraiment mener une politique de droite, qui tranche vraiment avec la politique des « progressistes », devra leur rentrer dedans sur le fond. Et on peut difficilement faire du rentre-dedans sur le fond sans faire du rentre-dedans sur la forme.
Sachant que les « progressistes », où qu’ils soient et surtout dans les médias, même s’ils font mine d’être attachés à la forme, sont en réalité encore plus attachés au fond : leur agenda politique de gauche, à base de renversement des valeurs (judéo-chrétiennes), de destruction des Nations, de mondialisme forcené, de destruction de la cellule familiale et de tous les repères traditionnels, de pseudo-RCA (cheval de Troie de l’écologisme radical), etc. Donc si un politicien de droite arrivait à adopter « les formes » tout en ayant un programme clairement conservateur, les militants « progressistes » trouveraient n’importe quoi, sur la forme de préférence, ou dans les fonds de poubelles du parcours du politicien en question (faux témoins à l’appui si besoin, se rappeler le juge Kavanaugh), pour l’attaquer. Ces gens sont des spécialistes de la provocation, de la calomnie, du mensonge et ne reculent devant rien pour détruire leur adversaire ; parce que ce qui compte à leurs yeux, c’est de détruire son programme et d’imposer le leur. Et en détruisant le porteur du programme, on détruit le programme. Tous les gens ne sont pas équipés pour résister aux tombereaux d’insultes, de calomnies et de provocations déversés quotidiennement par les gauchistes. Alexandra Henrion-Caude disait récemment à quel point elle a été blessée d’être traitée de « complotiste » ; le juge SCOTUS Clarence Thomas disait (vidéo postée dans un article de Dreuz), au moment de sa nomination, il y a 30 ans, combien il avait eu du mal à supporter les calomnies déversées sur son compte – par Joe Biden, comme par hasard – à cette époque, sous-entendant qu’une goutte de plus et le vase allait déborder, il aurait renoncé, car même un poste aussi prestigieux ne valait pas d’endurer les torrents de boue déversés par les gauchistes.
C’est pourquoi, malgré ses défauts, Trump a raison, je crois, de faire du rentre-dedans s’agissant des hyènes (pardon pour les hyènes) qui lui font face. Comme tous les voyous, ces gens ne comprennent que la force ; la force des mots, pour le coup – et peut-être de la prison, s’ils vont trop loin. Trump l’a bien compris, et il agit en conséquence.
En écrivant ceci, j’ai pensé au monde totalitaire décrit par Orwell dans « 1984 » : la forme y est ciselée – on ne peut parler que comme Big Brother l’a décidé, en changeant pour cela le sens de beaucoup de mots – et le fond aussi est ciselé : les gens sont devenus esclaves. C’est le but des « progressistes » : faire de nous leurs esclaves. Ils passent par la forme pour nous imposer leur fond : n’entrons pas dans leur jeu.
PS : j’ajoute qu’il est regrettable que beaucoup de gens parmi le public accordent autant d’importance à la forme, du moins à la forme telle que présentée par les médias mainstream ; au détriment du fond, pour le coup. Signe que de plus en plus de gens, en Occident, n’ont plus beaucoup de « fond » : ils ont perdu l’essentiel de leurs repères… et ça, c’est inquiétant pour l’avenir.
@Jacques Ady.
J’ajouterai que quand on a un tant soit peu de fond et qu’on tente d’informer ce qui n’en ont peu ou pas, on s’expose à des insultes
ou on se fait traiter de malade mental.
trump a été bien naif pour n’avoir rien fait contre la fraude
Avec l’essor des médias, et plus encore avec celui des médias sociaux, il semblerait qu’on assiste à l’échelle mondiale à un immense concours de popularité.
C’est à celui qui aura le plus d’ « amis », de « like »….
Or, quand les mainstream médias, tous ensemble de manière quasi unanime, désignent ce qui est bien, ce qui est vrai, ce qui est COOOOOOOL (argument fondamental pour tout jeune en recherche de confiance, de reconnaissance et de socialisation, parfois à connotation libidineuse), ou ce qui est bon, ce qui est mal, méchant, intolérable, les médias sociaux s’alignent.
Ils façonnent notre SURMOI, contrôlent la petite voix qui nous intime comment agir, ce que l’on doit dire ou pas, le licite et l’interdit jusqu’au tabou.
Par exemple, si vous voulez gagner en popularité (ou éviter toute chute vertigineuse de votre espérance de vie) mieux vaut ne pas s’afficher pro-Trump…
Bref, on assiste à une dynamique en forme de cercle vicieux où la sphère affective commande à la Raison. Où le vrai devient une notion variable soumise au veto d’un surmoi aux mains des médias. Où un point de vue monopolise toutes les traductions des faits et du réel. D’ailleurs, à partir d’une circonstance donnée, vous verrez que, moyennant un petit effort intellectuel, on pourra toujours en extraire, selon les angles choisis, des conclusions différentes, voire antagonistes! Je suppose que cet exercice mental fait parti du cursus suivi par les « journalistes » puisqu’ils sont devenus de véritables experts dans cette science orwellienne.
Une dynamique d’autant plus vicieuse qu’il n’y a presque plus de garde-fou. Le rouleau compresseur avance d’autant plus et vite qu’on ne lui oppose que peu de résistance.
Cette course à la « popularité », sans frein, sans limite, culmine , entre autres, dans des appels à décapiter le Président des USA ou dans des discours de haine à l’encontre de ses partisans.
A croire que les médias sont la JUSTICE. A croire que les « journalistes », les « artistes » et autres influenceurs ont le droit de vous coller une étiquette qui vous désignera telle une cible. Et qu’a contrario, ils vous somment d’aimer, voire de vous soumettre, à ce qu’ils promeuvent!
Vous mettez dans le mille. Les gens sont tétanisés à l’idée d’être critiqués ou exclus du groupe.
La course à la popularité est un leurre
Il faut du cran pour se mettre tout le monde à dos en professant une opinion contraire à la pensée unique. Comme disait le président Woodrow Wilson, seul celui qui nage à contre-courant connaît la force de celui-ci.
J’ai toujours préféré les iconoclastes aux gardiens du temple pétris de certitude.
Dieu sait combien j’en ai rencontré parmi ces derniers dans les cercles diplomatiques.
Mme Jenna ELLIS, Conseillère Juridique Principalede l’equipe des Avocats de M. TRUMP a dit ouvertement la vérité aux journaleux présents lors de la conférence de presse :
« Si vous étiez un jury, je vous rejetterai tous à 100%, parce que vous n’êtes pas des jurés impartiaux »…..Magnifique !!!
Jenna Ellis and Giuliani call out reporters, FBI
https://www.youtube.com/watch?v=XRxqbxakrPk&feature=emb_logo
(traduction possible)
Bonjour, j’ai découvert Jenna ELLIS durant cette conférence. Effet WOUAH garanti!!! Quelle diction! Quel charme! Quelle force de conviction! Quel canon! L’arme fatale?
Elle m’a inspirée la même prémonition que Zidane la première fois où je l’ai vu jouer aux girondins de Bordeaux.
A coup sûr, elle atteindra les sommets!
Merci pour ce lien.
Quelle éloquence.
C’est fascinant.
Bel article. Cependant, peut-on nettoyer un marécage sans se salir les mains?
Excellente question dont la réponse est « non ». Tout objet en contact avec la pourriture porte son odeur.
On doit travailler sur la forme si on a une lacune sur le fond. Un-e chanteur-teuse sans talent passe mieux si il-elle est beau-belle.
Vous partez d’un postulat de départ selon lequel Trump ne sait pas mettre les formes. Mais, outre le fait que vous ne donnez pas d’exemples de ce qui vous dérange, vous donnez du crédit aux référentiels imposés par les progressistes, passés maîtres dans l’art de décerner des brevets de respectabilité.
Je ne pense pas, personnellement, que Trump a un problème avec la forme. Je pense que la gauche a un problème avec le fond.
Je pense par ailleurs que la posture et les éléments de langage des progressistes participent au totalitarisme de la pensée qu’ils cherchent à imposer. Il y a des codes, des attitudes, des mots autorisés et d’autres qui sont interdits. Trump regarde ces gens là droit dans les yeux et envoie promener leurs codes et leurs règles. Il réhabiilte le politique qui est par essence, guerrier, un rapport de force, une intimidation. Quand Trump nomme le dirigeant Nord coréen » rocket man », on rigole dans les chancelleries. Mais le destinataire du surnom, lui, ne rigole pas du tout. Il a parfaitement compris. Hamlet a gagné toutes ses batailles en laissant les autres croire qu’il était fou.
Dernier point : quand des progressistes transigent avec la forme (voir Macron en photo avec ses jeunes noirs en sueur), la sphère progressiste n’a rien à dire. C’est acceptable. Ce qui prouve bien qu’il importe de ne pas rentrer dans leur jeu où les règles sont de toutes façon faussées.
Juste un commentaire sur « rocket man » : une des stratégies de Trump, très amusantes d’ailleurs, consiste à donner des surnoms à ses adversaires, et ils les prennent très au sérieux.
Pendant la campagne de 2016, il avait surnommé Jeb Bush « low-energy Jeb », et du coup, Jeb Bush passait son temps à faire du footing devant les caméras et dans des endroits publics pour bien montrer qu’il avait de l’énergie.
« Rocket man », c’est le titre d’une chanson, c’était une façon de dire au petit dictateur qu’il ne le prenait pas au sérieux, et ses menaces non plus. D’ailleurs, ses menaces de bombarder Guam si les USA ne lui donnaient pas plusieurs milliards de dollars illico ont fait long feu.
J’aime beaucoup l’humour de Trump.
Bien d’accord avec vous.
« la façade n’appartient pas à celui qui la tient mais à celui qui la regarde ».
ce dicton chinois est la synthèse de votre article
quand un président prend la courage décision d’assécher le marais, il s’expose à la vindicte de la classe dirigeante.
Comme vous, je constate que mes connaissances américaines ou françaises se taisent car elles jouissent de se débarrasser de ce président atypique.
La forme prime sur le fond pour ces Thomas Diafoirius qui sont légion en Amérique et en Europe.
la fin (renversement de Trump) justifie les moyens employés (complot ourdi par Obama et ses sbires pour truquer les élections)
Trump gagne sur la forme et sur le fond.
« Un Trump qui se serait comporté de façon plus présidentielle, au sens classique du terme, disons avec de la hauteur, aurait sans nul doute était mieux accueilli dans les milieux dits « bien-pensants ». »
Faux … Trump n’a pas été attaqué sur la manière. Et sa manière n’a été attaquée que de par les préjugés, avec de petits snobinards qui dans leur snobisme sont bien plus vulgaires que Trump. Je parle moi d’une trivialité trumpienne qui est justement très intéressante.
Trump est un libéral, liée de plus à une renaissance du Parti républicain renouant avec les valeurs libérales américaines, faisant partie des fondations.
Fondations que justement les « progressistes » cherchent à détruire, avec un Obama, un collectiviste, qui va vous citer les pères fondateurs (« on » va se dire qu’il ne peut pas être un collectiviste, pour une transformation des Etats-Unis en un genre de sociale-démocratie. Il cite les pères fondateurs), mais c’est pour ensuite affirmer qu’il va falloir changer des choses là-dedans. Pour aller vers le collectivisme.
Trump est attaqué avant tout sur le fond, pas sur la manière, manière qui est de toute façon en totale adéquation avec le fond. Mais la liberté fait peur à ces gens qui n’utilisent le concept de liberté que comme d’un masque, là où chez Trump ça transparaît dans la manière, ça n’est pas un masque, le comportement lui-même rappelant directement au concept de liberté. Trump prend des libertés, et il a bien raison de le faire. Il représente une Amérique qui ne veut pas du collectivisme et qui aime l’action. Trump est un homme d’action. Une Amérique qui aime l’intellectualisme (et la poésie) uniquement quand ça n’est pas déconnecté de la réalité substantielle. Une Amérique bien trop triviale aux yeux de beaucoup, et surtout bien trop civilisée. Rappelant à la terre et au ciel. À quelque chose de terre-à-terre là où ses détracteurs sont déconnectés du réel, dans leurs constructions intellectuelles délirantes. La rhétorique finissant pour eux par devenir plus importante que les actes. Et c’est justement là que se trouve un énorme problème, dans le fait que beaucoup se préoccupe plus de la rhétorique que des actes.
« Quant à Trump et à son équipe, s’ils devraient parfois se préoccuper davantage de leur présentation »
C’est justement ce qu’ils ne doivent pas changer, la présentation …
« son comportement conquérant à l’emporte-pièce ressemblerait davantage à celui d’un Napoléon »
Vous avez oublié qui était Napoléon. La comparaison est délirante.
Trump est justement intéressant dans sa manière. Pleine d’humour de plus.
Et s’ils s’attaquent à la forme, c’est que justement elle est liée au fond. C’est à travers la forme que le fond également transparait.
Il est gagnant sur la forme et sur le fond, pour la simple et bonne raison que les deux sont intrinsèquement liés.
Je ne suis pas sûr que W. Churchill a dit : « Si à vingt ans vous n’êtes pas de gauche, vous n’avez de cœur. Si à quarante ans vous n’êtes pas de droite, vous n’avez pas de cervelle ».
Quote Investigator: The earliest evidence located by QI appeared in an 1875 French book of contemporary biographical portraits by Jules Claretie. A section about a prominent jurist and academic named Anselme Polycarpe Batbie included the following passage. Boldface has been added to excerpts: 1
M. Batbie, dans une lettre trop célèbre, citait un jour, pour expliquer ses variations personnelles et bizarres, ce paradoxe de Burke: « Celui qui n’est pas républicain à vingt ans fait douter de la générosité de son âme; mais celui qui, après trente ans, persévère, fait douter de la rectitude de son esprit. »
https://www.facebook.com/watch/?v=460280674958693
Une coquille en passant : « Trump et les conservateurs dans leur ensemble pêchent sur la forme »
pèchent sur la forme… Pécher, rien à voir avec la pêche à la ligne.
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moi ce qui me laisse perplexe c’est que M. Giuliani avec les moyens qui sont les siens se soit laissé teindre les cheveux avec un produit d’une si mauvaise qualité qu’il coule à la moindre goutte de sueur. Même quand on néglige la forme pour le fond, ce qui en la circonstance ne devrait même pas faire débat, je n’imagine pas M. Giuliani se servir au drugstore du coin pour ses produits capillaires. Quant au professionnel qui s’occupe de lui et dont les références doivent être indiscutables, soit il a commis un acte de sabotage (avec les gauchos tout est possible), soit il doit envisager rapidement une reconversion dans un tout autre domaine que la coiffure au risque s’il continue d’ « œuvrer » de la sorte, de se faire lyncher par sa clientèle.
Il faut dire que ses adversaires politiques et tous ceux qui les soutiennent aveuglément ne méritent pas des politesses, des courtoisies, des ronds-de-jambe et des révérences… Il vaut sans doute mieux les égarer dans la forme que de les voir s’acharner et mordre sur un fond qu’ils ne voudront de toute façon pas comprendre… Jetez leur un os à ronger, pendant ce temps là, on peut travailler.
En revisitant Coluche il est aisé de constater qu’il avait réussi à imposer son langage, à nul autre pareil, et que nous avons tous en tête ses charges sur notre monde insensé.
Qui voudrait lui reprocher sa gouaille, inimitable cocktail d’hésitations, d’argot, et d’expressions assassines ?
C’était un homme appartenant théoriquement au monde du show-bizz…qui était beaucoup trop étriqué pour lui.
Trump a ceci de commun, avec le très regretté Coluche, d’être théoriquement un homme devant appartenir au monde politique, de par sa fonction, mais ce monde est beaucoup trop étriqué pour lui.
Qui peut raisonnablement croire qu’il ne sait utiliser la langue qui était la sienne {si l’on prend la peine de l’écouter quand il avait 40 ans de moins) ?
Il est plausible qu’il soit l’un des seuls hommes à parler la langue des chantiers parmi toute cette élite interlope, et on peut imaginer qu’il prenne un réel plaisir à parler de manière abrupte, pour se démarquer de cette fameuse élite.
Après cela le calcul de vouloir obtenir l’agrément de tous, tombe de lui-même si l’on revisite le parcours de Coluche : initialement boudé par les élites et autres intellectuels… bientôt obligés de se rallier à sa « forme », en feignant d’ignorer le fond.
Un milliardaire ayant su se faire aimer par les classes populaires vaut tous les résultats d’élections truquées par les classes dirigeantes.
La grande forme de ce Président du reste n’a pas cessé d’étonner la classe politique… qui va être envoyée par le fond.
Les journalistes sont, en majorité, devenus des cancres assis près du chauffage au fond de la classe, incapables d’autre chose que de rire grassement à la vue du bas filé de la maîtresse.
Tellement vrai ..c’est tout ce qui les intéresse
Et a chaque fois qu’ils cherchent a ne pas nuire au parti Démocrate c’est ce qu’ils font ..le fond ne les intéresse pas et ils vont diriger le focus sur une détail qui n’as rien avoir en sachant que c’est ce que les gens discuteront le lendemain dans les médias et sur les réseaux sociaux, ils sont pour la plupart d’une médiocrité affligeante et ça ne fait que confirmer encore une fois que le vrai journalisme est mort en occident dans les médias traditionnels et qu’il faut allez vers des médias crédibles comme Dreuz pour s’informer sur les vrais enjeux
Avant Trump il y a eu 8 ans du règne d’un sombre crasseux qui perd ses dents, répugnant du vi, satisfaisant une merdasse sombre, menteuse et glouton qui n’a rien à foutre du cul humain, à la pelade masquée du chef, transpirant la graisse de rat gras et on dirait que le rat sodomite fou gragras c’est l’objectif démocratique obligé pour devenir surhumain évolutif, pour rendre jaloux le surmulot des égouts de la ville.
D’ailleurs dans le film « road house », l’un des héros dit « mille milliard de mouches mangent de la merde, c’est donc l’objectif démocratique essentiel des valeurs écologistes obligées du progressismes pour les enfants de touts pays, les petits garçons et les petites seront des putes de harem halal ».
« Trump gagne sur le fond, les Démocrates sur la forme »
HA HA HA !
Les démocrates ont gagné sur la forme ?
Quelle forme ?
Sans blague, vous connaissez « The Mandalorian »
Une superbe série de Disney. : https://www.youtube.com/watch?v=gGLebmo6oNM