Peu ou prou, après la cure du confinement, la plupart des activités, certes soumises au carcan de normes sanitaires draconiennes, ont pu reprendre. Tous, à l’exception du secteur de la restauration (+ bar, boite de nuit).
Une telle discrimination ne peut s’expliquer par les impératifs de lutte contre la maladie, dès lors que le virus ne circule pas plus dans les restaurants que dans les grandes surfaces. Alors pourquoi une telle exception ? Pourquoi concourir activement à la destruction d’une partie de cette importante activité économique et sociale ?
Le restaurant est un lieu unique.
On s’y rend certes pour satisfaire un besoin fondamental -manger et boire- mais pas seulement. Le restaurant est le lieu où la liberté individuelle se conjugue avec la tradition. Deux éléments que le pouvoir exécutif ne domine pas.
Le restaurant est liberté, haut-lieu de la rencontre des subjectivités: liberté en acte du restaurateur qui choisit ses mets, la décoration, l’ambiance…liberté en acte du citoyen qui opte pour tel ou tel établissement, savoure ce moment privilégié.
Le restaurant est une sorte de creuset civilisationnel ou s’opère l’épanouissement des citoyens autour de la transformation créatrice des produits venus de la nature. Il est par essence, rencontre, échange, moment unique, parenthèse enchantée. Lieu où la relation avec l’autre et avec la nature, se passe dans la sphère du plaisir et de la joie.
Le biocrate contre le restaurant.
Le restaurant classique, dans son infinie diversité, est la négation de la vision hygiéniste du biocrate qui tend à assimiler nourriture et médicaments. Quand ce dernier mange, il se soigne. Le biocrate se focalise sur quelques produits jugés essentiels. Il calcule quand il se nourrit: vitamines, glucides, protéines…il juge mauvais tout ce qui est bon. Le plaisir, la joie, la jouissance passent au second plan, voire sont absents de ses préoccupations.
L’utilité stricte guide le biocrate. C’est un être sans goût. La nourriture est un outil, un moyen, jamais un acte qui possède en lui-même sa propre finalité. Le biocrate pense le corps comme maillon de la grande chaine du vivant. Il est obsédé par l’équilibre des espèces. Il réduit le bon à la stricte utilité; il mange triste, voire haineux. Il rêve de voir ces lieux de folles dépenses, disparaître.
Les biocrates ne protestent pas contre le pouvoir qui ferme les restaurants, les bars, boites de nuit… ils sont adeptes d’une morale ascétique, celle qu’exigerait à leurs yeux, la stricte conservation de la vie. Tout excès, toute dépense inutile, les rebutent. Les biocrates sont avares.Toute création les angoisse. Ils pensent « laboratoire » quand le restaurateur pense cuisine. Ils sont dans le contrôle et la maitrise de cycles indéfiniment répétés. Seul l’identique les apaise quand le restaurateur, même respectueux de la tradition, innove, crée, cherchant la distinction et la subtile différence.
De la table familiale à la haute gastronomie, la restauration classique fonctionne dans un ordre hautement hiérarchisé, dans un processus de différenciation et d’élévation qui prend sens dans la pratique de l’art de recevoir, d’accueillir.
Le biocrate est enfermé dans la morne et horizontale identité. Il nivelle par le bas. Prenant comme modèle une nature fantasmée, qu’il croit toujours bonne, il déteste l’art, par définition imprévisible.Le restaurant représente tout ce que la biocratie déteste.
Le restaurant est liberté.
Lieu où l’homme fait l’expérience d’une relation heureuse avec la nature, avec lui-même et ses semblables. Il est aux antipodes de l’activité froide, technocratiquement calculée, planifiée, standardisée de la grande distribution, où des millions de gens se croisent sans jamais se rencontrer.Au restaurant, la médiation avec la nature se fait par l’intermédiaire du cuisinier et des serveurs, qui expliquent, conseillent, recommandent. On y a ses habitudes. On est un peu « chez soi ».
Forme la plus riche de la rencontre sociale, où se tissent, se renforcent les liens amicaux, amoureux, professionnels, c’est elle que le nouveau pouvoir veut détruire pour imposer son ordre glacial, maladif, médicamenté.
Seul et ultime espace où le virtuel est inconcevable, le restaurant, riche de nombreuses traditions, conjugue joie, plaisir, vie avec ouverture et sociabilité.La France rayonne dans le monde, entre autre, par le plaisir de la table dont elle a fait un art total.Dans ce temple, tous les sens concourent à la production du plaisir: la vue, le touché, l’odorat, l’ouïe, le goût … Les sinistres biocrates au pouvoir conjuguent la vie avec la méfiance, l’isolement, la peur, la maladie, la mort.Le nouvel ordre mondial qui prétend gérer la planète selon des normes identiques, est en soi, le symptôme d’une pathologie criminelle. Les nouveaux « maîtres du monde », ces apprentis dictateurs, veulent détruire la diversité humaine en réduisant l’existence au seul paramètre du vivant. Leur objectif? Que tous ingurgitent à la même heure, les mêmes substances. Se prenant pour des dieux, ils prétendent détenir les moyens de protéger, de prolonger indéfiniment la vie.
Pour les biocrates, le « salut » passe par la soumission absolue de tous aux normes sanitaires concoctées dans leurs laboratoires.
L’extrême diversité de la restauration, le foisonnement des cuisines, sont antinomiques avec leur macabre projet d’un univers aseptisé, régulé, robotisé, aux conduites standardisées.
La victime émissaire.
Le sort réservé aux restaurateurs par le pouvoir biocratique, relève, non des impératifs de la lutte contre le Covid-19, mais d’un nouveau rite sacrificiel, dont la première phase consiste à les isoler puis à les séparer, du reste de la population.C’est ainsi que le restaurant (bar, boite de nuit) est présenté comme l’ultime lieu dangereux, qui propage la maladie et la mort.
Cette marque infamante est indispensable pour faire du restaurateur la victime émissaire dont le sacrifice permettra de restaurer l’ordre que la « maladie » avait gravement perturbée. Tout le monde sait qu’une partie importante des restaurateurs ne pourra pas supporter l’épreuve de la fermeture jusqu’en janvier 2021; qu’ils seront nombreux à disparaitre.
Comme dans tous rites sacrificiels, une fois qu’elle a été diabolisée, puis éliminée, la victime émissaire pourra être célébrée et devenir objet d’un véritable culte. C’est ainsi que le ministre propose cyniquement de faire de l’année 2021, l’année de la gastronomie.Par cette perspective d’une valorisation post-mortem, on invite les « parias » à accepter leur rôle de victime émissaire.On promet qu’après cette saignée, la société apaisée, pourra reprendre une vie « normale », c’est-à-dire fonctionner selon les nouvelles normes sanitaires.
A défaut, les biocrates exigeront de nouvelles victimes, de nouveaux sacrifices…
Nous ne sommes qu’au début d’un cycle continu, chaotique de destructions au terme duquel, le vieil humanisme aura disparu.
La « cellule mondialisée », aura remplacé le citoyen libre et responsable.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Une telle discrimination ne peut s’expliquer par les impératifs de lutte contre la maladie, dès lors que le virus ne circule pas plus dans les restaurants que dans les grandes surfaces. Alors pourquoi une telle exception ?
Selon le Dr Martin Blachier (cf son débat avec le Dr Fouché sur Sud Radio), il serait démontré que le virus circule plus dans les restaurants et les bars que dans les autres lieux, y compris le métro. Est-ce vrai ? On est en droit d’en douter, quand on connaît celui qui tient ces propos.
Cela dit, en faisant la supposition que c’est vrai, la question à se poser n’est-elle pas la suivante : au nom de quoi le gouvernement s’arroge-t-il le droit d’interdire aux gens de prendre le risque, en allant au restaurant, de contracter le Covid et de se retrouver à l’hôpital ?
Si des gens ont peur de contracter la maladie, personne ne les empêche d’éviter d’aller au restaurant, si ?
Et demain, le gouvernement nous interdira-t-il d’aller faire un tour à vélo, une randonnée, d’aller à la piscine ou de faire quoi que ce soit qui présente un risque et pourrait nous voir atterrir à l’hôpital ? – or si on réfléchit un peu, existe-t-il une activité humaine, privée ou professionnelle, qui soit sans aucun risque ? Même descendre les escaliers présente un risque !
Et tout cela, parce que nous risquerions d’encombrer l’hôpital ?
Et pourquoi le gouvernement ne fait-il pas ce qu’il doit pour que l’hôpital (en général, incluant le privé) soit en mesure de faire face à l’épidémie ? Quand on sait le pognon de dingue que donnent les Français (de gré mais surtout de force, via les prélèvements obligatoires) pour leur système de santé, on se pose la question : où passe le pognon ?
Surtout que l’on sait aujourd’hui que le Covid est une maladie dont la dangerosité est de l’ordre d’une bonne grippe saisonnière… Qu’est-ce que c’est que cette façon de tout faire, dirait-on, pour que l’hôpital soit encombré au moindre virus, et ensuite de prendre prétexte de la faiblesse de l’hôpital pour pourrir la vie des gens ? La façon de faire est extrêmement malsaine, pour ne pas dire malintentionnée.
En plus, en employant des moyens éminemment discutables, comme le port du masque généralisé ou l’incarcération des gens chez eux.
Il y a à l’évidence des atteintes inadmissibles aux libertés individuelles dans cette gestion de l’épidémie par le gouvernement. Les Français savent se comporter en temps de grippe saisonnière sans que l’État les guide comme des enfants, ils sont tout aussi capables de se comporter de façon responsable, pour la très grande majorité d’entre eux, en temps de Covid.
Halte à toutes ces mesures liberticides !
Quant aux restaurateurs, ils sont, avec quelques autres professions, le symbole de la liberté d’entreprendre, et cela, le gouvernement et ses hommes de l’État-Léviathan, ces socialistes fondamentaux, ne le supportent pas. Ces tyranneaux qui ne se cachent presque plus prennent prétexte du Covid pour humilier et achever les restaurateurs : leur objectif est que nous devenions tous dépendants de l’État, leur bétail, leurs esclaves, sur qui ils aient droit de vie et de mort.
“Même descendre les escaliers présente un risque”.
En fait, le lieu le plus dangereux de la maison, c’est la salle de bains.
En France, chaque année, il s’y produit des millions d’accidents, blessant des centaines de milliers de personnes dont plus de 9000 personnes y trouvent la mort, soit trois fois plus que sur la route.
La conclusion est simple et évidente : il faut interdire les salles de bains.
Et le deuxième lieu mortel étant la cuisine, il faut interdire les cuisines. En plus c’est là où il y a le plus d’accidents (mais moins souvent mortels que la salle de bains)
Mais où manger alors? Ben c’est simple, au restaurant. Ah zut, on les a interdit aussi… ben reste plus qu’à apprendre à se passer de nourriture, et comme ça on ne courra plus aucun risque de mourir.
Bonne idée, comme ça, on aura moins de surpoids et on fera donc moins de covid grave… Ce qui fait qu’on pourra à nouveau ouvrir les restaurants (pas pour manger bien sûr, pour organiser des expositions) 🤪…
Les chiffres donnent le vertige : on dénombre 11 millions d’accidents domestiques par an en France. Ils conduisent 4,5 millions de blessés aux urgences. Plus de 500 000 de ces patients ont besoin d’une hospitalisation. Malheureusement ces maladresses et erreurs d’inattention sont responsables de plus de 20 000 décès par an. Découvrez dans notre diaporama les accidents domestiques les plus mortels.
La cuisine le lieu de tous les dangers
Les trois quarts de ces accidents de la vie ont lieu au domicile. La pièce la plus dangereuse se révèle être la cuisine. Coupure avec les couteaux, plaques chaudes, eau bouillante… elle recèle en effet de nombreux pièges.
Viennent ensuite la salle de bain et les chambres d’enfant. Effectivement, les plus jeunes (moins de 5 ans) sont les premières victimes des accidents domestiques. Il s’agit même de la première cause de décès chez les 1 à 4 ans.
Exactement. Quant aux considérations hygiénistes, si tant est qu’elles interviennent, elles sont très secondaires.
c’est devenu la dictature de Macron et cela n’est pas fini…l’épidémie est en train de se calmer…mais on teste de plus en plus de personnes et ceux qui sont positifs (non malades) sont comptés comme malades…
Le revenu universel revient sur la sellette.
Je le vois plus comme un moyen supplémentaire pour nous asujettir que pour aider les pauvres.
Peu importe que le virus circule ou non.
Le but des dirigeants est de ruiner la France et tout ceux qui ont travaillé pour les soumettre à un nouvel ordre mondial, celui du World Economic Forum.
Plus de pétrole ? Plus de tracteurs capables de faire les récoltes puisqu’ils fonctionnent avec le diesel.
Plus de restaurants? La moitié de la production alimentaire disparaît.
Affamés, nous seront content de nous voir retirer encore plus de libertés en échange d’un bol du secours populaire pour devenir des esclaves de la nouvelle classe dirigeante qui rachètera pour un franc symbolique les fonds de commerce vides.
C’est le grand remplacement.
……… et s’appropriera nos logements pour les donner aux esclaves qui se pressent à nos frontières, “ça sera toujours bien mieux que là-bas, dis……..”
l’abandon de toute notion de propriétés présentes et futures est dans les cartons
Monsieur, si l’on se rappelle que les terrasses de bistro, les
restaurants étaient devenus en quelque sorte le symbole de
la “résistance” aux terroristes coranistes, après les attentats
de 2015, l’on comprend mieux que ce gouvernement profite
de la crise sanitaire qu’il a installée en France, durablement,
pour briser cette démonstation odieuse de liberté.
Le socialisme ne s’accomode évidemment pas de libertés,
quelles que soient leurs formes.
Il va falloir nous surpasser pour en imaginer d’autres.
“dès lors que le virus ne circule pas plus dans les restaurants que dans les grandes surfaces”
On porte le masque dans les grands surfaces.
Dans les restaurants, on l’enlève et l’on parle, en restant attablé un temps autrement plus conséquent que la présence dans un supermarché. Donc le virus y circule différemment, de façon nettement plus importante.
Si vous croyez encore leurs mensonges… Pourquoi les restaurants d’entreprise et les cantines scolaires restent-ils ouverts ? Ah ben j’sais pas.
Réfléchissez un peu.
Dans les restos d’entreprise, on bouffe et on s’en va. Dans un restaurant digne de ce nom, on savoure, on prend son temps, et on s’expose donc plus longtemps.
J’ai entendu un de ces grands esprits suggérer qu’entre deux ou trois bouchées, il serait bien de remettre le masque.
Ils perdent complètement la tête.
Ils finiront par se perdre eux-mêmes.
Vous ne croyez pas si bien dire…A la Toussaint, j’étais en vacances dans un hôtel de Dinard et on nous demandait entre deux plats, de remettre le masque. J’ai grignoté du pain entre chaque plat pendant une semaine, histoire qu’on me f…la paix.
Où sont les analyses montrant un risque plus grand à table ?
Quand je vois, dans les grandes surfaces, les mains qui se posent aux mêmes endroits, qui touchent les mêmes objets, je me rappelle que le contact mains/bouche est aussi à rique que de parler face à face à table.
Je pense probable que les risques soient supérieurs au restaurant (si on n’y est pas masqué, du moins), parce que les mains passent sans arrêt de toutes sortes d’objets (couverts, bouteille, panier à pain, bord de la table, etc.) au visage et en particulier à la bouche. Comme les autres touchent eux aussi les mêmes objets (bouteille, table, etc.), la contamination peut facilement se faire. Une vidéo avait circulé, vers le début de l’épidémie il me semble, qui montrait tous les points de contact des mains quand on est au restau ou même au self, c’était très éloquent.
Au supermarché, si les gens portent le masque, ils ne vont pas porter les mains au visage (le masque les en empêche), et si leur réflexe en rentrant à la maison, ou en sortant du magasin, est de se laver les mains, avant même d’enlever le masque – c’est ce que personnellement je faisais en mars-avril, au plus fort de l’épidémie – alors les risques de s’infecter sont très faibles.
Au restau, non masqué, on a aussi beaucoup plus le risque de se postillonner mutuellement au visage, pendant qu’on mange (en supposant qu’on porte le masque entre les plats).
Cela étant dit, sur le plan de la liberté et de la responsabilité personnelle, j’estime qu’il ne devrait y avoir aucune coercition en la matière : juste de l’information, en sorte que chacun puisse prendre ses décisions de façon éclairée mais aussi libre et responsable, comme un adulte et un citoyen digne de ce nom.
OK pour la responsabiité personnelle, mais après il faudrait prendre la responsabilité personnelle de ne pas se rendre à l´hosto au cas où on ne puisse plus respirer et prendre également la responsabilité personnelle devant les gens qui seront contaminés directement ou indirectement par l homme épris de liberté et de bons petits plats 😉
Vous prenez le problème à l’envers d’après moi. C’est parce que le système de santé (public, pas privé) est limité ou défaillant que l’Etat a décidé de mettre sous cloche tout un pays, y compris les forces vives, jeunes et sans maladies chroniques. C’est bien cela qui est criminel, pas l’exercice de sa responsabilité individuelle.
On ne cesse d’orienter, plier, contraindre tout individu ou toute entreprise avec des lois et des règlements en France parce que l’on n’a plus de vivre ensemble, de moeurs et de libre arbitre fondé sur une morale et une éthique partagées. Et plus l’Etat se substitue au libre arbitre responsable de l’individu, moins ce dernier pense librement et plus il se soumet. C’est un cycle pervers, celui des sociétés socialistes.
Et pendant ce temps, les mauvaises décisions s’accumulent : frontières ouvertes, clandestins testés positifs au covid, classe moyenne et docile harcelée mais quartiers entiers totalement épargnés, grandes surfaces ouvertes mais pas les petits commerces bien plus respectueux des gestes barrière…et marasme économique destiné à mettre les incompétences gouvernementales sur le dos du covid et à accélérer la soumission des peuples à des mesures autoritaires dites de survie.
Je vous donne un exemple de démission individuelle et de mainmise de l’Etat : beaucoup d’enfants arrivent au collège sans manger le matin, en ayant veillé tard la nuit et en ayant dîner seul et/ou mal. Que fait la France ? Au lieu de travailler sur la question de la responsabilité parentale, la transmission de valeurs et l’importance de repères stables inculqués par un père et une mère présents, l’Etat accélère la décomposition de la cellule familiale, fragilise les vies professionnelles des parents, se transfère à lui-même des tâches normalement dévolues aux parents comme fournir un petit déjeuner et éduquer, casse tout repère civilisationnel en diluant notre identité dans un relativisme permissif. On est exactement dans les mêmes schémas de pensée qu’avec le covid où on cherche à diriger des vies en les fragilisant plutôt que de les rendre libres et responsables.
Votre raisonnement est ridicule et montre que vous n’avez rien compris. Avec votre raisonnement, la majorité des gens ne vont plus à l’hôpital puisque dans beaucoup de cas, la maladie ou l’accident qui les ont frappé ont pour cause un “risque” qu’ils ont pris, en montant l’escalier, en faisant la cuisine, en conduisant leur voiture, etc.
La première victime d’un comportement donné conduisant à un accident ou une maladie, est la personne qui a eu ce comportement. Du coup, la grande majorité des gens adaptent leurs comportements en fonction des risques, car personne ne veut se retrouver à l’hôpital (voire pire).
Votre raisonnement est complètement tordu, un raisonnement dé-responsabilisant, un parfait raisonnement de gauchiste.
Digression, mais tant que ça. Cette excellente description du “biocrate” de S. TOUATI évoque chez moi une étroite ressemblance avec certains bigots, en général, et bigot juifs, en particulier. Des individus qui par eux mêmes, ou le plus souvent suivant un “gourou”, évitent systématiquement tous les “petits plaisirs” de l’existence, car selon leur conception, ces “petits plaisirs” risqueraient de les détourner de leur fonction essentielle “d’esclaves” du Créateur. L’un de mes maîtres disait, en parlant avec ironie, de ces bigots, “On voit immédiatement sur leurs visages qu’ils ont la crainte de Dieu”.
La comparaison avec les “biocrates” est tout à fait fondée.
A mon sens deux raisons :
1 Les restaurateurs (de Marseille en particulier) ont fait une levée de bouclier remettant ainsi en cause, “l’Autoritarisme de M. Macron” !
2 Les restaurants font partie intégrante de notre façon de vivre, et il semble que cela soit surtout notre mode de vie qui déplaise……à qui exactement ?????
Soyez gentil, Niou, de ne pas généraliser et de ne pas m’inclure dans votre “façon de vivre”;
Dans mon village il n’y a pas de resto; (La pizzéria qui a tenté de s’y installer a coulé !)
Dès lors:
En tous les cas, aucun des mes voisins, qu’ils soient jeunes ou moins jeunes.
Niou, VOTRE façon de vivre ne me choque pas le moins du monde, mais ce n’est pas MA façon de vivre.
Je doute fort que Macronescu et Trognonnesca mangent biocrate au palais de l’Élysée….
Exactement.
Idem dans tous les ministères, le sénat, etc.
Larcher biocrate ???
Il y a longtemps, alors !!!
Chaque ministre demande aux cuisines ce qu’il aime et imprime ainsi sa marque sur les menus. J’ai pu le constater quand j’étais étudiante, en stage d’assistante parlementaire.
Je ne suis pas d’accord avec vous. Macron se nourrit certainement de façon saine, mais sa maman mange assurément “biocrate”…
https://www.youtube.com/watch?v=Qx6xNrhrwoI
On pourrait tenir un propos similaire sur un autre composant majeur de la liberté individuelle, l’automobile, dont le possesseur est également désigné à la vindicte et sommé de se repentir.
REBEL NEWS , de ce temps -ci , suit le BARBECUE SCANDAL à Toronto. Très intéressant à suivre.
En fait c’est la nouvelle feuille de route des mondialistes : tu manges chez toi, tu bois chez toi, tu travailles le plus longtemps chez toi.Si tu sors tu te caches , en attendant que l’on te teste , pour te vacciner dans pas longtemps avec des vaccins à résultat aléatoire mais ce n’est pas important l’élite profitera de ton argent si tu passes de l’autre côté.
C est pour détruire l’ économie du monde que ce virus a été conçu ; et pas en un jour ; la Chine oui et les mondialistes???
Avec effervescence je rejoint Aspirine , sur la contamination dans
les bars et restos ,
sur Paris j ai halluciné de voir des terrasses chauffées bondées
comme le métro ,les clients se recrachant le fumée sur la tronche !
Des terrasses avec baches plastique pas aérées , j appelle ça des
terrasses préservatifs ! ce genre de laissé faire aurait mérité des
sanctions aux cas par cas , mais en France on sait pas faire, les
restos réglos trinquent avec les mauvais avides de remplir leur déficit !
Pour les cantines scolaire ,les gosses ne développent pas de forme
sévère du COVID .
Sinon c est certain que cette fermeture prolongée des bistros restos
résonne comme une mise a mort du prestige mondial de la
gastronomie Française par les traders du nouveau monde Deliveroo !
Pourquoi tout de suite des sanctions ? Qu’est-ce qui oblige les gens à aller s’entasser dans des bars ou sur des terrasses ? Personne, que je sache.
Si demain vous décidez de faire une randonnée en montagne, vous accepez qu’un flic débarque et vous colle un procès-verbal parce que vous prenez trop de risques et que vous pourriez finir à l’hosto ? Si vous prenez votre voiture au petit matin avant le lever du jour, en hiver, par temps pluvieux ou avec un risque de verglas, vous acceptez qu’un flic vous colle un PV parce que les autorités estiment que vous prenez trop de risques pour vous et pour les autres ?
Et les années précédentes, en période de grippe saisonnière, vous auriez accepté qu’on vous colle une sanction parce que vous étiez allé au restaurant et que ce faisant vous preniez le risque de contracter la grippe et de la refiler à un de vos proches, personne vulnérable qui aurait pu en mourir ?
Au nom de quoi serait-ce à l’État, à la collectivité, aux autres, de décider pour vous ce qu’il convient de faire en la matière, parce que VOUS êtes trop bête, trop immature, trop irresponsable, par principe, pour savoir quoi faire, quand et comment ?
j’adore !
en fait c´est pas par principe, c´est en pratique. Il n´y a qu´à regarder les videos de primark a Marseille pour voir combien la stupidité humaine et sans limite.
Sanctionner au cas par cas ,je précise pour déjà être cohérent dans
des mesures sanitaires sinon laissons tout le monde s entasser
au cinéma, concert, manif ,contaminons nous les uns les autres !
La conséquence en connaissant le côté tordu du gouvernement ;
c est a la moindre reprise de cas contaminés en hausse , ils en
profiteront pour nous refourguer vaccins et confinement 3 !
alors oui ça m agace de voir des immatures casser les distanciations
dans les bars ou ailleurs ;
en plus c est souvent les premiers a se tester , donc il font monter
la courbe de cas positif ;
Je parle pour PARIS qui sert de baromètre pour la France entière
malheureusement !
Moins il y aura de gens contaminés et contaminant , et meilleur
sera le morale de beaucoup !
Je suis en désaccord avec vous : vous entrez dans la logique du gouvernement. Cette logique est viciée à la base : elle est socialiste, collectiviste : nous ne nous appartenons pas à nous-mêmes (selon les gens du gouvernement). Il faut dénoncer cette logique visant à faire de nous le bétail du gouvernement. La vérité, c’est que nous nous appartenons à nous-mêmes, et nous sommes capables, pour l’immense majorité, de peser les risques de chaque situation, y compris en temps d’épidémie ; et si nous nous trompons dans une situation donnée, chacun de nous est le premier à en payer le prix : principe de liberté-responsabilité.
Quant à ceux, rares mais qui existent, qui contamineraient volontairement autrui, des lois existent à ce sujet : il faut juste les appliquer, et sanctionner les comportements fautifs au cas par cas. C’est ainsi que fonctionne la justice dans une démocratie : elle sanctionne les responsables et uniquement eux, à l’échelon individuel ; et non l’ensemble de la société pour la faute de quelques uns.
La dérive actuelle est très grave, et beaucoup de gens, en France, ne se rendent pas compte des enjeux, ayant eu le cerveau lavé par des décennies de propagande socialiste, habitués qu’ils sont à l’État-providence et au collectivisme.
Si les Français ne réagissent pas, ils vont devenir la proprité de la collectivité (autrement dit, des hommes de l’État, l’oligarchie au pouvoir), du bétail, des esclaves dont les libertés fondamentales ne seront plus qu’un vieux souvenir, juste bons à travailler pour enrichir les hommes et femmes d’une l’oligarchie plus que jamais solidement installée au pouvoir. Nous sommes en train d’entrer en dictature.
Merci pour ce bel article: on retient “2021, année de la gastronomie” et la mort des restaurateurs. Le gouvernement se tire une balle dans le pied : depuis des décennies, on voyait fleurir en Europe, les plats du monde entier à travers lesquels les ethnies pouvaient s’enrichir un peu de leurs origines en fournissant de la joie aux papilles: le couscous- mouton, les sushis, le canard laqué, le goulash… C’est une voie qui permet d’éviter les incendies de voitures, de commissariats, de voitures. On n’a jamais vu un restaurateur mettre un incendie quelque part. La vie sociale s’amplifiera dans les maisons, et on s’activera sur internet pour trouver nos recettes préférées originales, toujours pour plus d’enrichissement des GAFA. Bravo la global society!
Vous avez probablement raison d’avoir ouvert votre univers gustatif aux autres cultures, mais est ce une raison pour aller déguster des suchis chez un restaurateur alors qu’il est si simple de se les faire ?
Idem pour les autres “déliciosités” citées;
Chez soi, c’est meilleur, mieux fait, plus gratifiant, plus sain et plus hygiénique…surtout quand ce sont MES légumes et fruits que j’utilise.
Dommage pour les resto, certes, mais les restos, les cinoches, les théatres, les musées, les parcs d’attraction et tutti quanti ne sont ni les moteurs ni les roues ni même le carburant d’un véhicule sociétal. Ce sont des activités très marginales, non essentielles quand on les compare a ce que sont les entreprises agricoles qui produisent la nourriture, celles qui produisent l’eau potable, celles qui traitent les déchets, tout l’ensemble des acteurs de la chaine sanitaire, sans parler de la police et de la justice…..qu’on peut facilement régresser et leur rendre leur statut antérieur: Celui d’accessoires a la vie.
Franchement, les restos et autres services dont on peut facilement se passer ( bien que je sois parfaitement conscient de la détresse des acteurs de la filière et compatissant avec les hommes) ne me manquent et ne me manqueront pas.
N’oublions pas que les gargotes et les restos sont nés du besoin des voyageurs et que les chanteurs, acteurs et autres saltimbanques vivaient de la quête et et du mécénat;
Je suis paysan, j’habite la campagne, je n’ai pas de resto, pas de théatre, pas de cinoche a moins de 25km; le premier super marché est a plusieurs KM et nous sommes des millions de français a vive à ma manière.
Pensez vous pour autant que j’ai vécu 67 ans comme un con d’hermite et que je ne connais pas Schakespear Platon Marx ni Rioufol ni Trump ?
Pensez vous aux millions de gens qui ne vivent pas en ville qui sont a des milliers d’années lumière de la vie urbaine et des préoccupations de leurs bobos ?
Franchement les resto…. je m’en tape !
Je me sens très “biocrate” comme décrit dans l’article, mais ce n’est pas pour autant que je valide les dérives fascistes des gouvernants.
Je me sens également très “Jacques-Adyen” car il me semble évident que personne ne me mettra une fourche dans les fesses pour que j’aille au resto et que le libre arbitre doublé d’une info extensive et vraie devraient suffire aux gens pour que, d’eux mêmes, ils fassent un choix de vie.
Alors, la voie du milieu s’ouvre:
Je laisse ceux qui veulent se “socialiser” au resto au risque d’etre malades le faire et j’exige qu’ils puissent le faire, mais personnellement, je n’ai plus quitté notre maison depuis février sauf pour faires les courses essentielles, TOUJOURS avec un maque, en intérieur seulement et je ne m’en sens pas plus mal.
(ceci dit, heureusement que DREUZ arrive jusqu’à moi 😉 )
Vous oubliez que l’on peut payez l’addition en liquide! Quelle inconvenance pour le fisc.