Le Président Trump a remporté 10 millions de votes supplémentaires qu’en 2016; cinquante-six pour cent des Américains se sont dit mieux lotis qu’avant 2016; l’enthousiasme des électeurs en faveur de M. Trump était 30 % plus élevé que celui des électeurs en faveur de M. Biden; les électeurs étaient plus nombreux à penser que leurs voisins allaient voter pour M. Trump; et le président récoltait un taux d’approbation de 53% pour ses réalisations. Au vu de tous ces indices, il n’est pas étonnant que M. Biden n’ait pas réussi à remporter une victoire écrasante! Il serait stupéfiant qu’il ait remporté la victoire tout court.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de J.B. Shurk, paru sur le site de The Federalist, le 13 novembre.
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Cinq tendances historiques montrent qu’il est tout à fait invraisemblable que M. Trump n’ait pas été réélu
Si je vous disais qu’un président sortant a 52 % d’approbation de son travail le jour de l’élection et qu’il a fini par remporter 10 millions de voix de plus que lors de sa première élection, prédiriez-vous sa victoire ? Et si 56 % des électeurs se sentaient mieux depuis que le président est entré en fonction ? Et si vous saviez que le président sortant avait un avantage de près de 30 % sur son adversaire en termes d’enthousiasme, ou que lorsqu’on leur demandait pour qui ils pensaient que leurs voisins votaient, près de 10 % des Américains s’attendaient à ce que le président soit réélu plutôt que de perdre ?
En ayant ces chiffres à l’esprit, ne seriez-vous pas plutôt confiant que le président en exercice a effectivement été réélu ?
Par ailleurs, ne considéreriez-vous pas comme un exploit invraisemblable le fait que l’adversaire du président soit victorieux ? L’improbabilité d’un tel résultat devrait à elle seule faire la une des journaux.
Donald Trump a l’approbation de la majorité.
Près de six Américains sur dix se sentent mieux aujourd’hui que lorsque Barack Obama était au pouvoir, et 15 % de plus d’électeurs ont tiré le levier pour sa réélection que lors de sa victoire en 2016. Ce ne sont pas les chiffres d’un candidat perdant, mais on veut nous faire croire que c’est Joe Biden qui a réussi à l’emporter.
Les médias et les firmes de sondages ont bien sûr prédit un tsunami en faveur de Joe Biden, pas une maigre victoire avec une marge si étroite que les Démocrates ont perdu des sièges dans presque tous les autres domaines de gouvernement.
Si l’on considère les cinq faits suivants concernant l’élection, il n’est pas étonnant que M. Biden n’ait pas réussi à remporter une victoire écrasante.
1. Dix millions de votes supplémentaires
Depuis la campagne de réélection du Président Grover Cleveland en 1888, jamais un président en exercice n’avait remporté davantage de voix la deuxième fois sans pour autant être réélu, ce qui explique en partie pourquoi M. Cleveland s’est présenté à nouveau avec succès quatre ans plus tard. Pour mettre les choses en perspective, Obama a perdu 5 millions de voix entre son élection de 2008 et sa réélection de 2012. Il a été le seul président à avoir perdu des électeurs et à avoir été réélu.
En comparaison, M. Trump a non seulement ajouté environ 10 millions de voix à son parcours de 2016, mais il a également battu le record du plus grand nombre de voix reçues par un président en exercice.
M. Trump a obtenu une plus grande part des votes des minorités que tout autre candidat républicain à la présidence depuis 1960 et a rallié plus de démocrates à sa cause qu’en 2016. Plus de neuf chrétiens évangéliques sur dix ont voté pour la réélection du président. Le fait que M. Trump ait élargi sa coalition d’électeurs de manière aussi substantielle et qu’il ait quand même perdu est une surprise de dimension historique.
2. Cinquante-six pour cent des Américains sont en meilleure posture qu’en 2016
C’est un chiffre énorme. Selon Gallup, seuls 32 % des Américains disent ne pas être mieux lotis depuis l’inauguration de M. Trump. Aucun président en exercice n’a perdu sa réélection quand plus de la moitié du pays se portait mieux qu’avant son entrée en fonction.
En fait, Obama, George W. Bush et Ronald Reagan ont tous été réélus, même si seulement 45 % des gens se sentaient mieux qu’au début de leur présidence.
Pour M. Biden, le fait de remporter l’élection, malgré que près de six Américains sur dix s’en sortent bien sous l’actuel président, est remarquable. Cela ne s’était tout simplement jamais produit auparavant.
Le sentiment d’être mieux lotis sous M. Trump s’explique certainement en partie par la prospérité sans précédent que les Américains connaissaient jusqu’au printemps dernier, lorsque le coronavirus chinois a paralysé les économies mondiales.
Sous sa présidence, la baisse du taux de chômage des minorités avait atteint un niveau record et l’augmentation de leur épargne aussi.
En même temps, le marché boursier avait atteint des sommets historiques.
En d’autres termes, l’économie sous l’Administration Trump bénéficiait aux Américains à tous les niveaux.
Malgré que la pandémie ait provoqué une récession pendant une année électorale, l’économie a rebondi depuis l’été.
Le chômage est déjà passé sous la barre des 7 %, bien plus vite que ne le pensaient de nombreux économistes, et le marché boursier est revenu à ses sommets d’avant la pandémie.
Dans le passé, les performances de l’indice boursier de Standard & Poor’s au cours des trois mois précédant le scrutin américain permettait de prévoir 87 % des résultats électoraux depuis 1928 et 100 % depuis 1984. Si l’indice de S&P est en territoire positif à la fin de ces trois mois, le parti au pouvoir l’emporte presque toujours.
Le dernier jour de la bourse en juillet, le S&P 500 a clôturé à 3 271, en hausse de près de 7 % à la mi-octobre, et a clôturé à 3 310 le lundi précédant les élections de 2020. Le marché prédisait une victoire de M. Trump.
3. Près de 30 % d’enthousiasme de plus pour M. Trump
En juin, en pleine pandémie, le sondeur Scott Rasmussen a été soufflé par le fossé d’enthousiasme entre les électeurs de M. Trump et de M. Biden. Il a écrit avec stupéfaction : « Wow ! 76% des électeurs de M. Trump sont enthousiastes pour leur candidat contre seulement 49% des électeurs de M. Biden ».
Cet écart d’enthousiasme, mesuré de façon constante comme étant entre 15 et 30 %, a été relevé par de nombreux enquêteurs. Richard Baris, le directeur de Big Data Poll, a déclaré au New York Post à la mi-octobre que l’enthousiasme pour M. Trump « est historiquement élevé », tandis que « le niveau d’enthousiasme pour M. Biden est historiquement bas ».
Toute personne ayant assisté à un rassemblement public pour M. Trump ne serait pas surprise. Lors d’un des derniers arrêts de sa campagne avant le jour de l’élection, environ 60 000 partisans de M. Trump se sont présentés pour voir le président à Butler, en Pennsylvanie.
Les défilés de tracteurs, de bateaux et de caravanes d’autoroute de 30 miles de long ont été une caractéristique commune de la campagne 2020.
Depuis Dwight D. Eisenhower, le soutien des Républicains au président a été plus important que pour tout autre président de l’un ou l’autre parti.
Jusqu’à la victoire présumée de M. Biden, aucun président sortant ayant obtenu facilement l’enthousiasme des électeurs n’avait perdu sa réélection.
4. Davantage de gens pensent que leurs voisins votent pour M. Trump
Tout comme en 2016, les sondages de ce cycle électoral se sont révélés résolument erronés. Les Républicains de la Chambre des Représentants, du Sénat et des assemblées législatives des États fédérés de tout le pays ont tous dépassé les estimations des sondages. Les sondeurs ont prédit une explosion des votes en faveur de M. Biden, mais au lieu de cela, la course est l’une des plus serrées de l’histoire américaine.
Ils ont partiellement excusé leurs erreurs en soulignant c’est le fait de n’avoir pas tenu compte des « électeurs timides en faveur de M. Trump » dans les sondages qui les a empêchés de véritablement mesurer les appuis envers le président.
Pour contourner ce problème, certains sondeurs ont demandé aux répondants de nommer le candidat pour lequel ils pensaient que leurs voisins allaient probablement voter, dans l’espoir d’obtenir des intentions de vote plus franches.
Avec une marge de 7 points de pourcentage, le sondage Harvard/Harris a révélé fin septembre que les Américains étaient plus nombreux à penser que leurs voisins voteraient pour la réélection de M. Trump que pour celle de M. Biden.
Dans la semaine précédant l’élection, la University of Southern California (USC)/ Dornsife a publié un sondage posant une question similaire : « Pensez-vous que vos amis et voisins vont voter pour M. Trump ? » L‘USC a conclu que « cela ressemble à la perte du Collège électoral pour M. Biden ».
5. M. Trump a toujours 53% d’approbation
Douze jours seulement avant les élections, le taux d’approbation de M. Trump a dépassé les 50 % et s’est maintenu depuis lors.
Comme l’a noté la firme Gallup, « tous les présidents sortants dont la cote de popularité est supérieure ou égale à 50 % ont été réélus, et les présidents dont la cote de popularité est bien inférieure à 50 % ont perdu ».
Les firmes Rasmussen et Zogby ont toutes les deux vu que M. Trump atteignait ce « Saint Graal » du nombre d’approbations lié à une réélection assurée.
La veille de l’élection, Rasmussen montrait que M. Trump avait un taux d’approbation de 52 %.
Au même moment de sa présidence, et avant sa propre réélection, M. Obama avait 50 % d’approbation.
Le 11 novembre, Rasmussen montrait que 53 % du pays approuvait M. Trump, contre 46 % qui désapprouvaient. Aucun président sortant n’a jamais perdu sa réélection avec de tels chiffres.
Historiquement, tous ces chiffres ont contribué à la victoire d’un président sortant.
À voir ces chiffres, on n’est pas surpris que M. Biden n’ait pas remporté une victoire écrasante, mais le fait qu’ils n’aient pas permis à M. Trump de gagner en 2020 est difficile à croire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : The federalist
Trump a d’or et déjà gagné mais pour ne pas provoquer de troubles important , les fraudes se découvrent doucement. Comme a dit Pompeo , la transition vers le 2ème mandat de Trump se fera en douceur .
ps hors sujet:
Il serait bon de ne plus utiliser les mots pandémie et 2ème vague , qui sont faux . Car c’était et c’est pour faire peur . Une vrai pandémie aurait fait plus de 10% de morts dans le monde . Or , il n’en est rien ; simple épidémie suivie d’une autre épidémie et pas 2ème vague car le virus (non chinois) et artificiel a déjà muté 6 fois et s’autodétruit.
Effectivement, parler de deuxième vague est abusif : on est clairement en face d’un virus saisonnier, comme la grippe.
Vous avez vu le film Hold Up qui a mis en colère la macronie en putréfaction? Le film peut se trouver malgré la censure. Sur le net.
Un film où on garde son esprit critique, il y a des énormités dans ce documentaire et des éléments d’intérêt.
https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/HoldUp/2c91ea8d59e6b81fff7ff1459ef58c01e8096a0b/060fda
oui, je l’ai vu . Quels genres d’énormités ? car tout ou presque était connu , comme les incohérences du gouvernement . Les derniers détails sur le virus sont vérifiables également. Inutile de se cacher la face .
Quelles énormités? Les délires de la bien-nommée Plincon-Charlot
Merci Meïr pour votre certitude.
Nous n’avons pas le droit de déséspérer, mais l’insanité de ces nihilistes écoeure et finit par salir
ceux qui sont droits … aussi votre post est-il un baume rassérénant.
Bonjour Magali, je suis absolument d’accord avec votre analyse.
Le problème c’est qu’aux US, le suffrage n’est pas direct mais on élit de grands électeurs. Je vous rappelle que lorsque Mr Trump a été élu, on disait que Clinton avait plus de voix mais moins de grands électeurs.
Ne serait on pas dans ce cas aujourd’hui ? C’est à dire Trump a 53% des voix mais n’a pas gagné les grands états ayant le plus grand nombre de grands électeurs ?
Merci pour vos précieuses analyses.
L’élection présidentielle américaine au niveau du système sur le plan des institutions est plus démocratique que l’élection universelle du président en France parce que l’élection à la présidence américaine tient compte des États qui sont aussi des régions par le collège des grands électeurs.
Le vote des grandes villes ou mégapoles comme Los Angeles et New York tend à écraser la diversité des lieux d’habitats aux É.U comme dans le monde occidental.
La 5ème république française n’a valu surtout que sous De Gaulle dont l’autorité était appréciée en majorité et respectée jusqu’en 1969 et après en mémoire malgré la crise de l’Algérie française qui a eu lieu. La 5ème Rép monarchique a trop profité aux destructeurs socialistes.
Plus démocratique quand il n’y a pas de fraudes massives dans les états-clé.
Bonjour Dmaot!
Vous avez raison bien sûr! L’article que j’ai traduit ne parle pas de l’aspect Collège Électoral. C’est à cause du nombre de grands électeurs que Trump devaient remporter les États de Pennsylvanie, Michigan et Arizona entre autres, car il ne pouvait guère espérer obtenir la Californie ou l’État de New York, les deux états les plus peuplés des USA qui votent toujours démocrate.Mais le Collège Électoral ne concerne que la présidence.
Il y avait aussi la Chambre des Représentants au complet qui était en réélection. Les Républicains y ont gagné 13 sièges. Plus environ un tiers du Sénat qui était en réélection. Les Républicains y ont maintenu leur majorité et la maintiendront s’ils peuvent remporter les 2 sièges de la Géorgie en janvier.
America est un pays de lois et de droits. Une fraude électorale dénoncée et prouvée ne sera pas prise à la légère.
Cela fait quatre ans que les mensonges et les fraudes font lois aux USA. Pas mal pour un parti democrate… sans majuscule !
Les mensonges des Dems, collusion Russe, l’affaire Ukrainien, etc. n’ont pas réussi à détrôner Trump. Les mensonges ne passent pas dans un pays de lois et de droits.
Vous avez remarqué l’argumentaire des “dhimmi-crates” et de leurs copains certains journalistes …. “vous n’avez pas de preuve”. !
Sauf erreur de ma part … si je n’ai PAS commis un délit …. je me dis “innocent de ce délit” … et certainement PAS vous n’avez “pas de preuve” de ma culpabilité !
L’argumentaire “vous n’avez pas de preuve” est caractéristique du coupable qui compte sur sa capacité à dissimuler des preuves de sa culpabilité !
Remarquons aussi, au passage, que la réélection du président Lukachenko en Belarus est bien évidemment truquées dans l’esprit de nos “élites” ( journalistiques et politiques) … malgré l’absence ( apparemment) de preuves !
Bien pensance, gauche = crédibilité zéro !
Lorsqu’on fait voter des morts, des centenaires, surtout en Géorgie, et que parfois les votants sont plus nombreux que les inscrits, est ce que ça ne constitue pas une preuve. Surtout lorsqu’on refuse aux républicains de participer aux contrôles, ça fait tt de même tâche, n’est il pas?
Dans l’univers gauchiste de la post-vérité (aussi appelé monde des fous), seule leur parole fait foi, les preuves matérielles comptent pour du beurre.
Personnellement je voyais DT remporter l’élection. Puis il y a le lancement de la grippe chinoise où il se fourvoie sans doute mais comme tout le monde, Macron pour qui le virus ne s’arrête pas aux frontières, Conte qui ne voulait pas fermer les frontières comme demandait Salvini,etc avec les bilans que l’on sait mais pas du tout critiqués comme l’est Trump !
Puis la suite, l’aveu de fraude de Biden, les magouilles en Ukraine, le 2ème débat oùTrump dézingue Biden, la campagne de Trump par rapport aux bides de Biden et Obama, tout cela m’avait rassuré. Maintenant, j’espère un heureux dénouement et j’espère aussi que le justice ne sera pas orientée, compromise ou mise sous pression par les bandes démoncrates.
Les médias disent sans arrêt qu’il y a des plaintes pour fraude et disent que cela se fait sans preuves. Mais ils ne se rendent pas compte que les preuves sont à voir dans les dossiers et qu’ils font exactement comme les suspect des téléfilms qui sortent aux enquêteurs ” vous n’avez rien contre moi”, trop drôle !
Un tweet de Trump ce matin : j’ai gagné l’élection .
Les 56% de gens se sentant mieux lotis qu’en 2016, c’est avant la crise du coronavirus, ou c’est tout récent ?
Sinon, un enthousiasme de 76% chez les électeurs de Trump, contre 49% pour Biden, (ailleurs, j’ai lu 77% vs 48%) cela fait + 55% d’enthousiasme, en réalité (76/49=155%). C’est énorme.
Enfin, même si je suis comme tout le monde surpris du grand nombre de votes – plus de 78 millions à cette heure, “officiellement” – obtenus par Biden compte tenu de ce que dit l’article (et que nous savions déjà plus ou moins), je vais me faire ici “l’avocat du diable” : beaucoup de gens ayant voté Biden ont en réalité vote contre Trump – quelle que soit la raison. Ne peut-on y voir un parallèle avec le 2ème tour de l’élection de 2002 en France, où la participation avait été très forte, et où Chirac, malgré un cote de popularité très basse, avait raflé 82% des voix ? Le vote Chirac avait été avant tout un vote de rejet de Le Pen, tout le monde est d’accord là-dessus. La situation n’est pas la même certes, mais ce phénomène n’a-t-il pas joué ? Cela me paraît évident que si – même si encore une fois les raisons sont mauvaises.
En Fait Biden aurait obtenu plus de votes qu’Hillary en 2016 et plus qu’Obama en 2008! Sans les fraudes, ce serait sans doute différent….
Ça paraît évident!!
J’ai moi aussi du mal à le croire, connaissant le personnage Biden et son programme. Biden aurait rassemblé 8 ou 9 millions de voix de plus qu’Obama à son plus haut (2008), c’est énorme.
Mais je posais la question de l’ampleur que peut prendre un phénomène de rejet, comme on l’a vu en 2002 en France : même si je suis conscient que Le Pen et Trump, ce n’est pas vraiment la même chose, le fait est qu’un nombre record d’électeurs ont accordé leur voix à “super menteur” Chirac en 2002… sans qu’il y ait eu de fraude.
Je peux me tromper, mais l’article que j’ai traduit parle de l’enthousiasme pro-Trump de plusieurs milliers de personnes lors de ses nombreux rallyes, qui lui criaient «We love you!». Aucun président avant lui n’avait réussi cela. Aussi Fox News et Breitbart faisaient état d’un certains nombres de démocrates qui allaient à ces rallyes et pas pour le huer!
Heu je voulais dire un « certain nombre de démocrates » évidemment!
Je sais cela : j’ai été étonné (dans le bon sens du terme) d’avoir vu plusieurs fois les gens crier “we love you” lors de ses meetings, ayant suivi plusieurs de ces meetings en live. Cela traduit à l’évidence un fort attachement à Trump et à ce qu’il a réalisé.
Mais d’un autre côté, il y a pas mal de gens qui le haïssent, cf les médias quasi-unanimes contre lui, et des manifestations antifa et BLM jamais vues…
J’ai l’impression, vu de France en tout cas, d’une très forte polarisation des Américains, d’une fracture de plus en plus béante même ; et comme un certain nombre d’intervenants, même connus parfois, je crains que ce climat ne soit propice à des violences, voire même à une guerre civile.
Il est évident qu’il y a eu fraude aux votes de la part des Démocrates, mais la question que je me pose est : dans quelle mesure ces fraudes ont-elles réellement fait pencher la balance, et dans quelle mesure le rejet de Trump chez une partie de la population s’est-il traduit par un surcroît de participation à l’élection, comme lors de l’élection de 2002 en France ?
Bonjour Jacques!
Il y a effectivement des gens qui haïssent Donald Trump mais ce sont surtout des gens de l’élite ou des extrémistes d’Antifa et de BLM. L’Américain moyen n’est pas du genre à entretenir la haine. Lors de la Présidence de Ronald Reagan, j’entendais beaucoup de critiques agressives à son égard de la part des Canadiens («C’est un acteur», «C’est un imbécile», etc) mais Reagan était très populaire et a été réélu! Même chose pour George W Bush qu’une femme travaillant au gouvernement fédéral canadien avait traité publiquement de «moron» (crétin) en 2002.Le PM de l’époque, Jean Chrétien l’a contredite et elle a dû démissionner. Cela dit bien des gens du peuple se font une idée du président américain à partir de ce qu’en disent les médias et les médias ne sont guère tendre envers Trump. Mais quand on est Américain et qu’on doit choisir pour qui voter, je suppose que c’est différent et que bien des démocrates ont voté pour Trump en se bouchant le nez comme on dit en anglais.
Sur ladite élection, il faut prendre en compte, avant le rejet de JMLP, le rejet de Jospin, qui finissait 3ème.
Dans le premier paragraphe “près de 10 % des Américains s’attendaient à ce que le président soit réélu plutôt que de perdre ?”
C’est “10 % de plus” qu’il faut lire. Donc 55 % pensent qu’ils sera réélu contre 45 qui pensent qu’il perdra.
M. TRUMP Est Le Président du Peuple Américain !
M. Biden est le président fantoche des Média Main Stream et des élites pour leurs agendas inhumains.
Cet article établit bien comment l’élection est anormale et truquée. Les indices de satisfaction et d’appuis sont suffisants pour que le président Trump ait gagné sans oublier ses foules à ses meetings.
Les démocrates tentent de faire un coup d’État avec l’appui international des médias dominants et des agences de presse corrompues toutefois le journalisme indépendant d’internet francophone comme Dreuz comme le même journalisme indépendant américain sur le net dégage les réalités tant que la part de liberté de penser se poursuit qu’elle ne soit pas annihilée comme en Chine.
Les démocrates ont agis contre la constitution et l’esprit de la constitution en osant par les réseaux californiens s’en prendre à l’un des premiers articles constitutionnels qui concerne la liberté de parole. Croyant peut être profiter par auto-suggestion qu’au début de la nouvelle république des É.U, l’internet n’existait pas.
Absurde! on peut ajouter qu’en 1783 comme en 1820, le téléphone ni la télévision ni la radio ni l’automobile n’existaient ce qui ne change pas que l’homme connu biologiquement par son ADN reste cette espèce homme-homidé depuis un million d’années et que son humanité la plus récente provient de trois milles ans d’histoire. L’homme de 1800 avait besoin de liberté comme celui de 2020 en a toujours besoin. Aux USA comme partout.
La bêtise, l’autocratie surtout s’est emparé du Parti Démocrate qui s’est à la fois rapproché du parti Macron lui même en tant que clan destructeur provenant des socialistes et du Parti Communiste soviétique de la sclérose.
Le mot existe qu’on l’aime ou pas soit celui du globalisme qui serait ce qu’est Biden-Harris: le rejet du peuple américain dans son unité au nom d’élites et amis narcissiques et égocentriques.
La démocratie est attaquée aux É.U après la France, la censure qui a commencée va devoir réveiller la majorité des gens en Occident.
L’élection bafouée par la tricherie est le premier crime d’autant inacceptable que le journalisme dans sa majorité n’est plus un contre pouvoir démocratique qu’il devient la marque du despotisme, du refus de la parole libre.
Du despotisme on peut tomber dans la tyrannie ou de façon moderne dans le totalitarisme.
Les journalistes n’ont plus d’esprit d’âme.
Vive TRUMP, il fait preuve de conscience et de devoir, éléments rares de nos jours. C’est un excellent négociateur, et contre la mondialisation, système totalitaire. Coupe les ressources du terrorisme. Vous pouvez entrer aux USA si vous le faites légalement. Il ne cherche pas la guerre, mais se garde les moyens de défendre la démocratie, ce qui est loin d’être le cas de l’UE. Il n’a pas de ”carrière politique” à protéger, mais met cependant sa vie en jeu et il le sait très bien, pourtant sans hésitation il est entré dans la fosse. N’a pas besoin de faire fortune, elle est faite. Trump président, c’est un phare qui nous évitera des écueils.
Trump a gagné l’élection, mais la presse unanime d(t que c’est Biden. Voilà qui ne va pas améliorer la piètre opinion que le public a des médias.
Trump triomphera cela ne fait aucun doute ce ne sont pas les médias qui décident.
Cinq raisons qui rendent la (présumée) défaite de Trump invraisemblable :
1. Dix millions de votes supplémentaires ;
2. 56% des Américains sont en meilleure posture qu’en 2016 ;
3. Près de 30 % d’enthousiasme de plus pour M. Trump ;
4. Davantage de gens pensent que leurs voisins votent pour M. Trump ;
5. M. Trump a toujours 53% d’approbation.
Si les points 1, 2 et 5 étayent solidement l’invraisemblance d’une défaite de Trump, les points 3 et 4 me paraissent discutables.
3) Entre un enthousiasme ponctuel et un bulletin de vote éloigné, il y a un monde «insondable». Combien partent bille en tête et virent capot en route? Trop aléatoire pour être considéré.
4) La paranoïa des voisins, peu importe son orientation, n’est pas garante d’objectivité. C’est séduisant comme approche, mais je ne me présenterais pas devant un tribunal avec cet argument.
Une vue globale de la situation nous amène irrésistiblement à considérer que ces élections s’inscrivent dans la droite ligne de tout ce qui a été infligé à Donald John Trump depuis 4 ans, dont l’enquête Muller, instaurée illégalement pour mettre à jour des raisons potentielles, inaccessibles autrement, de le destituer. La lutte qui est engagée est titanesque. Trump doit gagner.
Quand il ne nous reste plus que la prière, c’est qu’IL EST TEMPS DE PRIER!
«Seigneur, épargne nous!»