Publié par Dreuz Info le 26 novembre 2020

Dans la situation présente, analysons les éléments qui pourraient amener à émettre l’hypothèse d’un complot – sauf que tout est fait au grand jour.

Nous avons les mobiles : procéder à un Grand Reset et instaurer une gouvernance mondiale, ce qui est annoncé comme objectif public par le Forum Economique Mondial.

Nous avons le moyen : un virus fabriqué par la main de l’Homme lâché à Wuhan, ce qui est exactement le scénario prévu par un document officiel élaborant des hypothèses liées à une pandémie ; en l’absence d’une dangerosité pourtant attendue étant donné les ajouts auxquels il a été procédé pour ce virus, la peur fabriquée de toutes pièces par l’absence de mesures prises dans certains cas puis par les mesures prises elles-mêmes et une dramatisation permanente par les médias.

Nous avons les acteurs : les puissants qui tiennent entre leurs mains une très grande partie des richesses de la Terre, pour lesquels la Terre et les Humains qui y vivent sont devenus leur jouet ; à cette poignée, il faut rajouter tous ceux qui ont été convaincus par leur projet ou qui ont été achetés, bien souvent avec l’argent public détourné (cf médias recevant des subventions mais aussi copains recevant des entreprises en cadeaux), ou par l’argent de Big pharma et autres Big…Brothers.

Nous avons le terrain d’exécution : l’échelle mondiale nous est prouvée par l’identité des mesures prises sans, le plus souvent qu’ils soit tenu compte de la gravité réelle de la situation (avec des variantes liées à l’obéissance des peuples, les mesures étant inversement proportionnellement plus dures que l’obéissance est moindre) ; mais le terrain d’exécution du complot se limite cependant aux pays occidentalisés dont il faut briser les résistances à la mise en place d’une gouvernance mondiale.

Nous avons la serrure permettant d’ouvrir la porte du “monde d’après” : les vaccins qui semblent contenir (en tout cas en ce qui concerne les vaccins à ARN) des choses que je ne veux certainement pas dans mon corps.

Nous avons enfin le soubassement économico-social de ce complot, expliquant les déterminations dans lesquelles se situent les acteurs : la nécessité de relancer un cycle de valorisation du capital en combattant la baisse tendancielle du taux de profit qui étrangle l’expansion du capitalisme ; la terrible lutte de classes qui voit s’affronter, d’un côté, les capitalistes mondialistes et leurs alliés (classes moyennes pensant profiter de la mondialisation ou s’imaginant y échapper en se repliant identitairement sur une religion aux objectifs suprématistes aux ambitions planétaires – l’Islam – semblant coïncider avec les objectifs des capitalistes mondialistes et largement instrumentalisées), de l’autre, les capitalistes encore attachés à des intérêts nationaux alliés aux classes moyennes laissées pour compte de la mondialisation et violemment prolétarisées et au prolétariat (employés et ouvriers, disons, pour faire bref).

Nous avons le moment : comme par hasard, la pandémie commence au début d’une année électorale aux USA et le camp Démocrate instrumentalise à fond la soi-disant « terrible épidémie » et en profite pour favoriser le vote par correspondance qui, entre autres, lui permet de tenter la plus énorme fraude électorale de tous les temps afin de virer un Trump dont le patriotisme gêne la réalisation du plan d’instauration de la Gouvernance Mondiale et la mise en route du Great Reset.

Que vous faut-il de plus ?

Eudes Le Guennec

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Albert Soued  pour Dreuz.info.

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