Publié par Rosaly le 15 novembre 2020

Lors d’une interview enregistrée dimanche pour le Forum mondial de Reykjavík 2020 et rapportée par CBS News, Hillary Clinton a affirmé a Melanne Verveer, la directrice exécutive de l’Institut de Georgetown pour les femmes, la paix et la sécurité:

«Je me sens vraiment heureuse et soulagée, très reconnaissante, enthousiasmée par l’équipe Joe Biden-Kamala Harris, impatiente de les voir prendre les fonctions de président et de vice-présidente, de rassembler notre pays et de nous remettre sur la bonne voie pour l’avenir.»

Hillary Clinton est demeurée plutôt silencieuse au cours de cette campagne présidentielle, bien qu’elle ait déclaré que l’élection ne serait pas terminée tant que «t ous les votes ne seraient pas comptés et toutes les contestations de chaque décompte des voix finalisées. »

Elle ne fut, toutefois, pas aussi discrète par le passé.

En 2016, lors d’une collecte de fonds à New York, elle décrivit de manière infâme les Américains qui soutenaient Donald Trump comme un «panier de déplorables» composé de personnes « racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, islamophobes. » devant une foule hilare, qui applaudissait.

Vous savez, si je généralisait d’une manière grossière, je dirais que vous pourriez mettre la moitié des partisans de Trump dans ce que j’appelle le «panier des déplorables» les racistes, les sexistes, les homophobes, les xénophobes, les islamophobes, et j’en passe…

Hillary Clinton regretta par la suite que Donald Trump ait donné la parole à ces « déplorables » et évoqua une « offensive rhétorique mesquine » sur les réseaux sociaux et Twitter.

« Certaines de ces personnes sont irrémédiablement irrécupérables, mais heureusement elles ne représentent pas l’Amérique» poursuivit-elle avant de louer les supporters qui assistaient à sa collecte de fonds comme «des amis», qui étaient évidemment dans «l’autre panier. »

Le parti démocrate serait le parti de l’empathie, selon Michelle Obama …

L’appel à l’empathie est la forme la plus simple de la tartufferie. Chez les progressistes, l’empathie est une vertu particulièrement ostentatoire et hypocrite et révèle la faille, qui définit la plupart d’entre eux: la valorisation des manifestations publiques en faveur de ceux qui souffrent, alors même que les politiques mises en place et proposées par les démocrates sont responsables d’une grande partie de cette souffrance.

Pour les démocrates, les personnes dépossédées et défavorisées ne sont que des accessoires de leur théâtre politique et leur « compassion », comme l’a dit Christopher Lasch, « le visage humain du mépris. »

En décembre 2019, elle révéla qu’elle subissait «une énorme pression» afin de l’inciter à envisage de se présenter à la course présidentielle de 2020. A l’époque, l’ex-première dame estima que le chemin de la victoire contre Donald Trump était tout simplement trop étroit. Ambitieuse, mais guère téméraire la dame !

Hillary Clinton est l’arrogance personnifiée, l’incarnation parfaite du mépris envers les classes laborieuses, n’appartenant pas au club très sélect des financiers corrompus, des mafieux en col blanc, des politiciens véreux, de stars sans cervelle d’Hollywood, ce petit monde de l’entre-soi du Camp du Bien.

Whoopi Goldberg

L’actrice a adressé un message péremptoire aux supporters de Donald Trump :

« Comment osez-vous remettre en question les résultats des élections? Arrêtez de chouiner, résignez-vous. » a déclaré Whoopi Goldberg lors de l’émission « The View » sur ABD.

A tous ceux qui ne croient pas que les Américains se soient réellement rendus aux urnes, je tiens à leur dire ceci. Quand, celui qui vous savez, fut élu il y a quatre ans (elle évite de prononcer le nom de Donald Trump, à croire que cela lui brûlerait la langue), Hillary Clinton n’a pas dit: « hé, attendez une minute. Cela ne me semble pas juste. Arrêtez le décompte. »

Elle n’a pas dit : « Ce n’est pas juste. » Elle n’a rien dit de tout cela. Alors, vous tous, prenez-vous en main. Arrêtez de vous plaindre. Et si vous n’êtes pas sûrs d’être à l’aise avec Joe Biden, faites ce que nous fîmes.

Cherchez les irrégularités, trouvez ce qui ne va pas et saisissez la justice. Si elle décide que votre plainte est fondée, laissez la justice faire son travail, mais à partir de maintenant arrêtez de gémir.

Je préférais Whoopi Goldberg dans ses rôles au cinéma.

Robert de Niro

« Trump a utilisé le même «Playbook que Hitler. »

Interviewé lundi sur MSNBC, l’acteur gauchiste Robert De Niro a accusé le président Donald Trump d’utiliser le même «manuel» que celui du dictateur nazi Adolf Hitler lors de son discours aux électeurs pour rendre l’Amérique «great again».

C’est le même manuel utilisé par Mussolini, Hitler, tous les dictateurs et aspirants dictateurs. Ils voulaient tous rendre l’Allemagne «great again», l’Italie «great again». C’est faire appel aux pires préjugés, aux pires faiblesses des électeurs, au lieu de les diriger et de les guider et d’être quelqu’un qu’ils puissent admirer. Et quand le public se trompe, vous devez être là et faire ce qui est juste, (comme par exemple frauder les élections) afin de lui donner l’exemple. Et si vous ne le faites pas, alors nous serons là où nous sommes aujourd’hui.

Evidemment, je suis un acteur et j’interprète des rôles et j’aime mes personnages. J’aimerais croire que dans tous ces personnages, il y a une certaine dignité. Quelque part enterrée là-dedans. Mais je ne pense pas qu’une personne comme Trump ait la moindre dignité. Toute personne doit avoir un centre, peu importe qui vous êtes. Il n’y a pas de centre en lui. C’est comme si quelqu’un défiait le centre de gravité. C’est pourquoi nous avons des règles et des lois. Nous avons des juges et des structures. Si nous n’avons pas cela, nous n’avons rien. Nous avons le chaos, Nous avons l’anarchie.

Il a ajouté : « Je ne fais pas de politique, mais j’étais tellement en colère, enragé et déconcerté par le fait que les gens aient cru en lui et l’aient élu en 2016, en dépit de son comportement. »

Il a conclu : « Je constate aujourd’hui que de nombreux Américains ressentent la même chose. Je suis triste pour les autres. Ils l’ont accepté et ont voté pour lui. Je ne sais pas pourquoi. Tout cela existait depuis le début. Comment cet homme a-t-il pu se comporter de la sorte ? C’est tout. »

Tels sont les propos tenus par la star d’Hollywood à l’égard des 71 millions d’Américains qui ont accordé leur confiance au Président Trump et ont voté pour sa réélection.

Si les électeurs de Trump sont des « déplorables », ceux de Biden sont des minables totalement déconnectés de la réalité quotidienne et influençables à souhait par la propagande médiatique anti-Trump et les discours mensongers remplis d’une haine féroce de Nancy Pelosi et de sa clique.

De Niro n’avait-il pas menacé de quitter les USA en 2016 si Donald Trump était élu ? Il l’avait également traité d’idiot, un idiot à qui il aurait aimé mettre un poing dans la figure.

Un conseil Mr De Niro : contentez-vous de jouer au cinéma. Dans la vraie vie, vous êtes une déception totale.

CHER

La chanteuse avait tweeté en 2016 : « S’il devait être élu, je déménage sur Jupiter. » Selon les dernières informations, Cher est toujours citoyenne de la planète Terre. Jupiter attendra encore longtemps sa venue.

BARBRA STREISAND

En cas de victoire de Donald Trump, Barbra devait préciser si elle quittait les USA pour l’Australie ou le Canada. A ce jour, elle hésite encore …

Samuel L. Jackson

«Si cet enc*** devient président, je bouge mon c*l noir en Afrique du sud», avait déclaré l’acteur afro-américain dans le talk show Jimmy Kimmel Live en décembre 2015.

Paroles, paroles, paroles …

Et c’est Donald Trump qui est traité de vulgaire, de lunatique, de girouette et j’en passe …

Et enfin, le plus dangereux de tous: l’idole du «Camp du Bien» occidental, l’icône de la bienpensance : OBAMA

Selon le grand ami des Frères musulmans :

Les allégations de fraude généralisée de Trump constituent un pas de plus dans la «délégitimation» de la démocratie.

Lors d’une partie d’une interview diffusée sur «CBS Sunday Morning» et «60 Minutes», l’ancien président Barack Obama a déclaré:

les allégations de fraude électorale généralisée du président Donald Trump sont un pas de plus dans la délégitimation, non seulement de la nouvelle administration Biden, mais de la démocratie en général, et c’est une voie dangereuse.

D’après Obama, les affirmations de Trump semblent être partiellement motivées par le fait que le président n’aime pas perdre, et n’admet jamais sa défaite.

Je suis plus troublé par le fait que d’autres responsables républicains, pourtant au courant, lui fassent un tel compliment.

Le «panier de « crabes déplorables» n’est pas celui décrit par Hillary Clinton. Il a bien du mérite le Président Trump de résister à toutes ces ignobles attaques, qui pleuvent sans arrêt sur lui depuis son annonce de se présenter aux élections présidentielles de 2016.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources : Breitbart.info

  • «Hillary Clinton ‘Feeling Better’ at Any Prospect of Donald Trump Defeat.»
  • «Whoopi Goldberg to Trump Supporters: ‘How Dare You Question’ Election Results . Suck it up!»
  • «Robert De Niro: Trump used same «Playbook» as Hitler’s»
  • «Obama: Trump’s Claims of Widespread Fraud Another Step in ‘Delegitimizing’ Democracy»

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