Les récents développements de l’actualité, au-delà de l’éclairage qu’ils ont pu apporter sur le partisianisme des médias, a aussi mis en exergue la tendance inquiétante de notre société de communication à vouloir résolument contrôler absolument toutes les informations déversées sur le public.
La tendance est aussi inquiétante qu’est puissante la force déployée pour s’assurer que chaque internaute voit ce qu’il doit voir, écarte ce qu’il doit écarter, parle de ce qu’il doit parler, aime ou conspue ce qu’il doit aimer ou conspuer.
Ainsi, les affaires Biden (le Burismagate d’un côté, les soupçons de prise d’intérêt avec les autorités chinoises de l’autre) n’ont guère fait parler d’elles alors qu’elles méritaient amplement enquêtes et suivi de toute une profession qui tente encore de faire croire qu’elle pratique le journalisme : la façon dont les médias habituels (de télé, de radio, de papier) ont choisi, parfois ouvertement, de ne pas en parler ou de minimiser ces affaires en dit long à la fois sur leurs propres biais (ici, très clairement sur la gauche du spectre politique) et sur les biais de toute une frange de la société, sa partie la plus technophile et branchée, qui a elle aussi choisi d’ignorer cette accumulation de faits troublants.
Parallèlement, Google, Facebook, Twitter ont, dans le courant du mois de septembre et d’octobre, fait assaut d’inventivité pour que le sujet disparaisse de leurs plateformes : Twitter a par exemple activement fait le nécessaire pour que l’affaire, révélée par le New York Post, ne soit pas discutée par ses utilisateurs. Facebook a usé de toutes les tactiques possibles, un peu plus finement que Twitter, pour faire disparaître les posts relatifs, bloquer les références à l’article infâmant, ou pour en réduire l’exposition aux utilisateurs de son réseau social. Google, encore plus subtilement, a déclassé les recherches relatives et enfoui les articles détaillant les griefs à l’encontre de la famille Biden derrière la cohorte de petits articulets de la presse grand public qui minimisaient largement l’importance de l’affaire.
Tout ceci n’a rien d’anodin : tant les médias que les sociétés de communication actuelles ont bien un agenda, que l’on pourra qualifier comme on voudra mais qui, c’est absolument certain, ne comprend pas de laisser chacun s’exprimer comme il l’entend.
Et ce n’est pas un mal typiquement américain, mais bien une tendance forte visible sur toute la planète, depuis les contrées les plus riantes de la Chine communiste totalitaire jusqu’en Europe sociale-démocrate écolo-hystérique en passant par l’Amérique progressisto-gauchiste : à mesure que les moyens de communication sont devenus plus nombreux, plus simples et plus accessibles à tous, les entreprises technologiques, les médias et les politiciens se sont empressés de s’assurer qu’on ne pourrait surtout pas y dire ce qu’on voulait.
La liberté d’expression s’y réduit maintenant chaque jour grignotée par des groupes de pression ayant étrangement toujours la même coloration politique et morale et dont les comportements de plus en plus agressifs finissent par diffuser dans toute la société ; par exemple, du côté des rédactions journalistiques qui font, elles aussi, assaut de vertus, on n’en est plus à essayer d’apporter des informations aussi solides et factuelles que possible, on a maintenant pour but d’éduquer les masses bêtes et adipeuses qui osent penser de traviole.
Une pandémie se développe et certains s’interrogent sur les origines du virus, sur les traitements les plus efficaces, sur les bonnes méthodes pour combattre les transmissions ? Pourtant, tout le monde sait que les gouvernements ont, comme pour la sécurité, la croissance ou l’éducation, les réponses à tout ça ! Dès lors, au-delà de fournir les bonnes idées, les bonnes infos, il faut aussi lutter activement contre les mauvaises idées, les mauvaises infos !
Une élection semble comporter des irrégularités ? Mais enfin, nous ne sommes plus en 2016 où, comme chacun sait, les élections étaient honteusement manipulées par des entités étrangères pleines de slaves fourbes ! En 2020, tout est sous contrôle et s’il faut se poser une question, c’est plutôt de savoir si l’on a fait suffisamment pour faire taire les abrutis !
Ces interrogations angoissées (comment certains peuvent-ils sérieusement douter de la parole millimétriquement mesurée et calibrée des médias adoubés par eux-mêmes et leurs pairs, non mais oh ?), qu’on retrouve dans un nombre croissant de sujets, imposent de trouver une méthode pour calmer le jeu et contenir les impétrants indélicats, ceux qui bousculent le vivre ensemble et le discuter ensemble : on ne peut pas laisser les grands organes de presse, les grands instituts de sondage, les grands opérateurs de communication et les grandes entreprises de réseaux sociaux se faire ridiculiser par des individus qui, il faut bien l’avouer, savent à peine lire, écrire et compter et ne sont pas (encore) d’une minorité opprimée.
Pour les réduire au silence, on pourra recourir à différents moyens.
Ainsi, rien de tel qu’un gros « fasciste ! » balancé au bon moment pour couper court au vieux débat désagréable et euthanasier les vieilles pensées poussiéreuses de l’opposant. Mieux encore : on peut préemptivement estampiller les idées alternatives de « complotistes ! », ce qui permet d’avorter l’embryon de débat avant qu’il n’ait pu naître et risquer qu’il apporte des contradictions aux Vérités Immuables exposées officiellement.
Mais le mieux, c’est lorsque les efforts sont faits par les méchants eux-mêmes : par un mélange habile de polarisation agressive des débats (« si tu n’es pas avec moi, tu es contre, tu mérites de périr, et il n’existe aucune position intermédiaire intelligente et digne d’intérêt ») et d’une bonne grosse pression sociale, on obtiendra même le Graal : l’auto-censure de ceux qui ne pensent pas comme la Meute des Gentils !
Dans ce contexte, la question n’est plus de savoir où est la vérité mais qui a le droit d’émettre une opinion et qui ne l’a pas. L’opinion va dans le bon sens : il lui sera fait forte publicité, même si ce sont d’énormes âneries (Le cas du Lancet suffit à illustrer ceci).
Cependant, ne vous y trompez pas : pour garantir que les gens ne pensent pas et n’agissent pas autrement que comme il leur est permis, l’étape suivante, riante et joyeuse, c’est le tabassage, soft et social d’abord, puis violent et physique ensuite.
La Cancel Culture va prendre un tour intéressant lorsqu’il s’agira, comme le proposent certains petits éditorialistes aux poussées totalitaires inquiétantes, d’interdire un nombre croissant d’activités lorsque les comportements attendus ne seront pas obtenus. Mao, Staline, Hitler ou Honecker auraient adoré disposer des moyens actuels de ces éditorialistes.
Interdire des activités en parfaite violation des droits les plus élémentaires, pour celui qui n’a pas montré allégeances aux autorités ? Cela paraît fou ? Et pourtant, comme le montrent certains signes (Ticketmaster demandant une preuve de vaccin pour assister à un concert, par exemple), c’est déjà dans les tuyaux…
Quant à l’étape suivante, elle est déjà en préparation depuis un moment : si, dans un premier temps, il s’agira de faire sauter l’anonymat des vilains et des méchants, par exemple en tenant des listes (les gauchistes adoôorent les listes) comme le préconise Alexandria Occasional Cortex, afin de fusiller leur vie sociale, dans un second temps, on comprend qu’il faudra en finir une fois pour toutes de ce vilain anonymat qui sévit sur les interwebs : une intense campagne a déjà commencé et elle se nourrira de chaque événement, de chaque peur des citoyens affolés. La Loi Avia n’est qu’une étape dans ce cheminement.
Tout le monde saura bien vite que c’est parce qu’on est anonyme qu’on peut dire ce qu’on pense, donc insulter et harceler en ligne. Personne, en revanche, n’entendra que c’est aussi parce qu’on est anonyme qu’on peut dire ce qu’on pense, et donc dénoncer les abus, dévoiler les complots, les machinations et les corruptions.
L’anonymat sautera et, avec lui, le reste de la liberté d’expression.
Cette marche vers le pire n’est pas inéluctable mais elle est bien entamée. C’est sans doute pour cela que l’on observe un tel mouvement de repli d’un nombre croissant d’individus vers des plateformes alternatives dont les conditions d’utilisation sont moins opaques, arbitraires ou partiales, et les règles de modération plus favorables à l’expression d’idées alternatives.
Ceci permet presque un peu d’optimisme, si ce n’est que, de nos jours, être positif entraîne trop souvent une mise en quarantaine…
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Oui, il faut aller sur les plateformes alternatives et se renforcer pour vaincre ces puissances démoniaques qui veulent nous asservir définitivement. La résistance doit s’organiser.
Première opération : aller sur un moteur de recherche qui ne vous piste pas.
Je viens de quitter Qwant pour https://swisscows.com/?culture=fr
Bien que Qwant ne piste pas, j’ai constaté qu’il cachait certains articles comme sait si bien le faire G°°gle
J’utilise DuckDuckGo (qui existe depuis bien longtemps), il est assez bien sécurisé, ne laisse pas de traces. De plus, ils envoient des newsletters sur la sécurité
un autre site intéressant : http://www.startpage.com – très privé, assez puissant, bien que légèrement moins performant que google, qui reste pour le moment le plus puissant moteur de recherche au monde !!!
Pour certains le cerveau est déjà trop lavé, ils sont irrécupérables !
Personne n’est à plus de 2 ou 3 dissonances cognitives de la vérité.
Surtout pas touche à l ‘ islam et à mohamet. 🗡😵
ma belle fille qui pourtant ne regarde jamais de journaux (papier ou télévisé) répétait l’autre jour que trump avait été battu à cause de sa gestion du covid; je lui fis remarqué qu’il y avait moins de morts aux usa qu’en europe, elle a ressorti cette histoire de javel qu’il fallait boire… comme quoi la propagande est bien rentrée dans certains cerveaux
j’ai déjà expliqué qu’aux USA EAU DE JAVEL se dit CHLORINE, il est probable que la femme qui a donné à boire de l’eau de javel à son mari a tout simplement confondu avec la chloroquine : c’est bête mais c’est comme ça quand on écoute mal ; dans un autre genre de méprise, je rappelle que lors du mariage de Grace Kelly et du prince Rainier de Monaco, des journaleux américains qui assistaient au départ en paquebot de l’actrice prétendaient qu’elle épousait un prince du MARROCO .!!!!!.
https://www.dw.com/en/donald-trump-twitter-parler-free-speech/a-55582802
Au Royaume-Uni, il semblerait que ça soit pas mal aussi, question restrictions de libertés ; au point qu’Aldo Sterone, le célèbre blogueur, a pris la poudre d’escampette il y a quelques jours de cela. Il préparait un départ depuis plusieurs mois, inquiet des dérives autoritaires du gouvernement Johnson (qui selon lui aurait trahi ses électeurs). Dès qu’il a appris qu’il y avait un “travel ban”, il a fait ses valises et est parti le lendemain matin. Il est désormais en Croatie, avec sa famille. Parano, ou juste lucide ?
https://www.youtube.com/watch?v=HahSNchNIv4
lucide peut être ! l’angleterre autrefois phare de l’europe pour la liberté d’expression est tombée bien bas, tommy robinson peut en témoinier
Patphil@De phare de l ‘ Europe à charia de l ‘Europe.
Il fait partie de ces gens lucides, comme dans les années 30. C’est pour cela que je ne comprends pas l’article de S. Touati, que je viens de relire, sur le coran.
Le terrorisme est la partie la plus visible, la plus violente et la plus facilement condamnable du djihad. Mais c’est un moyen d’action. Il y en a des dizaines d’autres, plus sournois, plus insidueux qui obtiennent le même résultat mais à plus long terme : islamiser une terre en changeant ses repères, ses moeurs, ses lois. Quand on voit des féministes, ou plutôt revendiquées comme telles, considérer le voile comme une liberté, on comprend que le mal est profondément enraciné dans une source indiscutable, le coran. Voyez aussi comment une famille de musulmans français “ordinaires” a armé le bras d’un Tchetchene pour assassiner Samuel Paty.
Le plus grand danger, ce ne sont pas les attentats au couteau ou à la bombe qui defraient régulièrement la chronique. Ce sont les milliers d’actions quotidiennes non répertoriées comme “attentats” mais qui sont autant de déflagrations tout aussi meurtrières, mais cette fois pour nos traditions, notre identité et nos moeurs. Je veux parler de l’occupation de l’espace public avec les voiles, des prénoms arabes qui prolifèrent jusque dans les exercices des manuels scolaires, l’auto censure pratiquée par tous, les rythmes judiciaire et scolaire calqués sur le ramadan, le halal consommé à notre insu…tout, absolument tous nos renoncements et leurs conquêtes viennent de la banalisation d’un livre : le coran. C’est lui qui ouvre les portes des constructions de mosquées et des zones de non droit partout en France. Ce n’est pas le terrorisme de type attaque au couteau ou à la bombe. Celui-là ne vient que pour rajouter un peu de terreur ponctuelle sur une situation déjà travaillée en profondeur par les préceptes coraniques. En conséquence, de quelle force peut bien nous parler S Touati face à des coups de butoir culturels et relativistes autorisés par la loi si le coran n’est pas lui-même déclaré hors la loi ?
Aldo Sterone a d’abord quitté le RU à cause des dérives liberticides du gouvernement Johnson au prétexte du coronavirus. Évidemment, quand il fait son choix de pays où émigrer, il a tenu compte de la situation de ces pays par rapport à l’islam. C’est un ensemble, à l’en croire : immigration, islamisation, réduction des libertés au nom du coronavirus (bref, beaucoup de choses que nous connaissons en France) gangrènent le RU. Mais ce qui l’a décidé, c’est le “travel ban” instauré il y a quelques jours.
J’ai arrêté de suivre Aldo fin 2017, Il parlait beaucoup de politique américaine à l’époque et n’y comprenait pas grand chose. J’ai revu une vidéo de lui il y a quelques mois et j’ai eu l’impression de voir quelqu’un en plein délire paranoïaque dans sa voiture, il était très agité et parlait de l’autoritarisme qui se met doucement en place au Royaume Uni (comme chez nous). Il disait que Johnson est un traitre de la même manière qu’il crachait sur Trump en 2017 parce qu’il ne comprenait pas ce qu’il faisait.
Je ne l’ai pas trouvé crédible.
Il avait pourtant raison et il semble d’ailleurs avoir retrouvé sa sérénité dans la vidéo que vous postez.
Hélas, les derniers mois ont prouvé que Johnson fait bien partie de la nomenklatura mondiale.
Il arrive à Aldo Sterone de dire des âneries, effectivement (sans doute sur les USA, effectivement, de mémoire). Je ne le suis pas particulièrement, juste une fois de temps en temps. Il dit néanmoins beaucoup de choses justes, sur l’immigration, l’islam, la liberté en général.
Je n’ai jamais partagé l’enthousiasme général suite au Brexit, déjà parce que je savais que les Britanniques n’ont pas attendu l’UE pour accepter l’islamisation de leur pays. Aussi, parce que je sais qu’il existe là-haut un certain nombre de marxistes (dont certains carrément antisémites, comme Corbyn) qui n’ont pas grand-chose à envier à notre Mélenchon national. Aussi, parce que Johnson a tenu depuis le début un discours très étatiste, et que cela n’est jamais très bon signe : la gestion autoritaire de la crise du coronavirus confirme son orientation. Ne parlons pas de Tommy Robinson…
Cela dit, Aldo Sterone semble avoir la bougeote, puisqu’il a d’abord quitté son Algérie natale, puis la France, puis la Suisse, et maintenant le RU.
On est bien d’accord.
J’aime bien sa réflexion (dans la vidéo que vous partagez) sur la laïcité qui favoriserait la montée de l’islam plutôt que de nous en proteger. À méditer …
Tout à fait d’accord avec vous Support 45 (Potus). Pour moi
les deux plus grands drames de la France : la révolution et la laïcité ! Toutes deux menées par les francs-maçons !
Cela fait un moment que ça dure non ???!!!
Ces nouvelles technologies permettent aux médias tellement de pouvoir, que Twitter s’est permis de censurer le parti Républicain du Dakota du Sud…..sans aucune honte ni conscience ! Tout comme Fox News lors des remarques du Président des Etats-Unis M. TRUMP !
La presse en FRANCE suit la pensée unique et agit comme ces médias prétentieux et vicieux …
Constat :
Twitter, Facebook, ont laissé tout dire pendant des années. Devenues des plateformes répandues et incontournables, elles ferment la nasse.
Christophe Barbier, le roi des abrutis.
Je pensais qu’en refusant la vaccination, je serais condamnée à ne pouvoir franchir les limites de mon département.
Quelle naïveté !
Je ne regarde presque plus Youtube, je préfère Odyssee
2020 année du CORONAVIRUS COVID19 ou bien des élites tant du journalisme que des politiques se sont servis et se serve encore pour passer des lois, nous les faire avaler. Ils sont tous et toutes du même sérail, presque tous dans la jeune cinquantaine souvent sortis des mêmes universités et quoi de mieux qu’une saloperie de pandémie venue de la CHINE COMMUNISTE qu’ils ne condamne pas pour nous matraquer comme si ce pays avait de Xi Jing Ping le nouveau grand timonier était le guide suprême a suivre car lui il a réussi a faire de son pays la recette de la puissance qui remplacera les USA, le modèle par excellence dont personne n’ose critiquer.mais, pas de problème tout va bien, les veaux vont se coucher..
la France est métissée à 50 % ; la preuve ?
il suffit de regarder les couples dans les PUB . Bientôt il faudra que les blondes invoquent le droit à la diversification pour travailler dans les pub TV et autres.
Vous aussi ca vous choque ?
Ca fait bien longtemps que je dénonce ces arabes ou ces noirs qui sont systématiquement imposés par les publiscistes dans des pubs ou ils n’ont rien a faire (familles de blancos);
Pire, récemment, j’ai vu des pubs dont les acteurs sont TOUS noirs; On se croirait en Afrique ou en Arabie, là ou il n’y a pas de pub avec des blancs.
Vous faites de bien de préciser que ces personnes sont IMPOSEES par les publiscistes qui ne REPRESENTENT PAS, heureusement, la pensée des Français !
Le visage hideux de la socialiste marxiste totalitariste Octavio Cortez qui confectionne une liste noire de «ces suppôts de Trump, pour le jour où ils essayeront de nier ou minimiser leur complicité dans l’avenir»
Le 6 novembre, quelques heures à peine avant l’annonce par les médias américains de la victoire de Joe Biden à la présidentielle, la démocrate et membre du Congrès, Alexandria Ocasio-Cortez, a rédigé un tweet qui n’a pas manqué de faire réagir dans le pays.
Imaginez si les sénateurs , les gouverneur des législatures des états républicain confectionnaient une liste noire comme celle de la socialiste marxiste Octavio Chavez pour punir et empêcher ceux qui ont appuyer et financer le parti Démocrate dans leur état d’avoir accès a un poste de professeur, de rejoindre le conseil d’administration d’une entreprise ,d’obtenir un poste dans la fonction publique au nom d’une société ”saine ”
Cette marxiste totalitariste est dangereuse
L’idée a été rapidement reprise par d’autres responsables politiques et médiatiques, qui appellent même pour certains à interdire les postes de la fonction publique aux soutiens de Donald Trump qui refusent de reconnaître la victoire de Joe Biden.
C’est ce que ce que réclame une éditorialiste du très influent Washington Post : «Tout républicain qui promeut aujourd’hui le rejet du résultat d’une élection ou appelle à ne pas suivre le résultat des urnes, ou faisant des allégations non fondées sur des fraudes, ne devrait jamais pouvoir travailler dans l’administration, rejoindre le conseil d’administration d’une entreprise, obtenir un poste de professeur ou être accepté dans une société “saine”..(épuration marxsiste pour une société saine )
Un ancien membre de l’équipe de campagne de Barack Obama, Hari Sevugan, est allé encore plus loin, en faisant la promotion sur Twitter du Trump Accountability Project, dont le but avoué de lister les membres actifs qui soutiennent ou financent Donald Trump ainsi que les membres de son administration
Le tweet d’AOC et le Trump accountability project témoignent de la vigueur aux Etats-Unis de «la cancel culture», cette pratique qui vise à évincer du débat public ceux que l’on considère responsable de propos ou d’actions jugés problématiques.
La sénatrice républicaine Marsha Blackburn a ainsi condamné dans la chambre haute du Parlement américain la création de «listes d’ennemis» dont les auteurs seraient des opposants au président Trump.
Christophe Barbier ; tout le monde sait pour qui il roule ………..
C’est le genre d’individu qui aime s’écouter parler ; il aime énormément son nombril………….
Comme disait Walt Disney : Il faut arrêter de palabrer et agir .
C’est le destin des Français mais surtout des générations a venir qui se joue ; donc il faut des actes .SI les Français veulent garder leurs libertés et celles de leurs enfants et petits enfants il n’y a qu’une seule façon .
Tout est dit dans ” la Marseillaise” …………….
On dit qu’une image vaut plus de mille mots …..Le dessin est “génial” .