Source : Lesalonbeige
Depuis l’arrivée de la maladie qui a bouleversé le monde, certains ont acquis la certitude qu’elle avait été créée à dessein et répandue dans un but malveillant. Ce sont, nous préviennent les vérificateurs de la pensée, des complotistes, des conspirationnistes qu’il ne faut pas écouter, leurs propos étant nuisibles.
Soit. Mais on a au moins le droit de dire que la crise qu’a provoquée cette maladie et sa gestion aux effets dévastateurs a offert une formidable opportunité aux partisans de quelques vieilles et inquiétantes idées, présentées immédiatement comme seul rempart possible contre les catastrophes sans nombre qui guettent l’humanité ?
Beaucoup de ces idées se retrouvent dans un projet dont le nom fait penser à un roman de science-fiction : The Great Reset (la grande réinitialisation ou la grande remise à zéro). Le monde et les humains seraient donc, pour les instigateurs de ce chambardement, semblables à un jeu vidéo bloqué : c’est ennuyeux, certes, mais il suffit d’appuyer sur la touche « reset » pour commencer une nouvelle partie.
Au cœur de ce prétendu recommencement se trouve le Nouvel ordre mondial, lubie qui, pendant des décennies, a agité conjointement les esprits soviétiques et américains – chose jamais bien définie, impliquant, sinon un gouvernement mondial, au moins la soumission des États à un centre de pouvoir auto-désigné qui les transcende. S’y ajoute la globalisation, si chère à Emmanuel Macron, consubstantielle au Nouvel ordre, et qui n’est que l’internationalisme des socialistes passé au tamis du faux libéralisme dont on observe partout les échecs et les méfaits. Un ersatz, donc, qui transformerait le monde en une vaste coopérative, où tout serait grand-ouvert et dont on ne sait pas qui le dirigerait. Et, bien entendu, la lutte contre le réchauffement climatique ne pouvait manquer à cette construction.
Les apologètes du Great Reset – le prince Charles et Klaus Schwab, ce dernier étant le père du Forum de Davos – sont enthousiastes. Pour l’un, la maladie a été « une occasion en or », pour l’autre elle « nous a donné une chance ». Les deux pensent à un changement radical du monde. « Il s’agit, selon M. Schwab, de [le] rendre moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivions à l’ère pré-pandémique. » Un monde, en somme, comme un slogan bien-pensant. Le monde nouveau d’Emmanuel Macron qui, en l’annonçant dès 2017, a eu une fulgurante intuition, ou peut-être commençait-il à appliquer un plan. Dans ce cas, on peut imaginer que le programme de « réinitialisation » n’est pas la conséquence de la maladie, mais qu’il était préparé de longue date, et que le fléau est utilisé comme prétexte pour justifier son lancement.
Plus rien ne doit demeurer comme avant : ni la politique, ni l’économie, ni la société. « Sacrifier la vie pour sauver la vie » risque, bientôt, de devenir le cri de guerre des nouveaux apôtres d’une humanité saine, propre, frugale, éternellement repentante et, surtout, soumise. Cette guerre qu’ils mènent à l’ancien monde, afin de le transformer, de l’adapter à leurs fantasmes, caprices et intérêts. George Soros est du nombre, bien sûr, ainsi qu’Al Gore, la désormais incontournable Greta Thunberg, ou Bill Gates. Ils s’appliqueront tous, sans doute, à nous réinitialiser, à nous mettre au pas, à nous rééduquer.
Klaus Schwab prévient, et ses injonctions ne sont pas très éloignées de la menace : « Le monde doit agir ensemble et rapidement, afin de réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. »
Que veulent, en fin de compte, tous ces grands bienfaiteurs ? Sauver le monde de l’humain néfaste, nous mettre à l’abri de nous-mêmes. Ils sont bons, alors que nous sommes coupables de tous les maux. À partir de ce postulat se développent la pensée et l’action de tout dictateur. Quelques personnages que la fortune politique ou financière a mis sur le devant de la scène viennent dire que le monde va mal, prétendent avoir la solution à toutes les défaillances, et s’arrogent les fonctions de guérisseurs. Soit nous les suivons, clament-ils, soit nous continuons nos activités destructrices et nous périrons sous les décombres. Cependant, ce deuxième choix ne nous est pas vraiment laissé ; nous devons accepter leur Bien, fût-il insupportable comme tout ce qui est total.
Ce qu’ils proposent, c’est une révolution, avec tout ce que cela peut avoir de radical. Au nom de ce qui pourrait passer pour une chimère, mais qui n’est que la somme des intérêts d’un groupe qui a su devenir influent, les derniers vestiges du monde ancien, déclaré suicidaire, doivent disparaître, afin qu’un despotisme aseptisé et hautement profitable s’installe. La mort elle-même devra s’incliner devant la suprême volonté de ces porteurs d’un triste espoir.
La maladie, nous dit Klaus Schwab, a été une chance. De son point de vue, la chose est indéniable, car il a été enfin possible de vérifier jusqu’à quel point les sociétés, soumises à la peur, sont prêtes à sacrifier leur liberté sur l’autel de la survie. Les menaces de mort par réchauffement ont, bien sûr, fait plier quelques-uns, mais ils ne sont pas assez nombreux ; deux degrés de plus d’ici quatre-vingts ans, malgré les anticipations apocalyptiques, ne troublent que les militants. Mais un fléau qui est déjà parmi nous, qui a fait des morts, est très convaincant, surtout quand la plupart des gouvernements, par l’absurdité de leurs mesures, arrivent à créer l’impression que la fin du monde est là, devant nos portes. MM. Schwab, Soros, Gates et leurs amis savent comment nous éviter ce funeste destin. Ils ont aussi la certitude que d’autres maladies impitoyables vont nous frapper. Ils se proposent, donc, du haut de leur sagesse, de régenter le monde, de le transformer en un vaste sanatorium écologique. En somme, ils veulent s’assurer que, pour notre bien, la vie devienne véritablement invivable.
La maladie, nous dit Klaus Schwab, a été une chance. De son point de vue, la chose est indéniable, car il a été enfin possible de vérifier jusqu’à quel point les sociétés, soumises à la peur, sont prêtes à sacrifier leur liberté sur l’autel de la survie. Les menaces de mort par réchauffement ont, bien sûr, fait plier quelques-uns, mais ils ne sont pas assez nombreux ; deux degrés de plus d’ici quatre-vingts ans, malgré les anticipations apocalyptiques, ne troublent que les militants. Mais un fléau qui est déjà parmi nous, qui a fait des morts, est très convaincant, surtout quand la plupart des gouvernements, par l’absurdité de leurs mesures, arrivent à créer l’impression que la fin du monde est là, devant nos portes.
Faucci dans ses oeuvres : https://www.youtube.com/watch?v=puqaaeLnEww
12 janvier 2017, soit une semaine avant l’installation de Trump.
Et comme par hasard, cette “pandémie” arrive l’année des élections.
Et ils osent dire que c’est une “opportunité” ! En matière d’assurances, on différencie l’accident du fait volontaire.
Regardez bien la photo de Klaus ( barbie ) Schwab !
On a déjà une idée de la tête des futurs citoyens
si on laisse ces fous diriger le monde ;
ils avancent sans masque , et disent ouvertement
leurs délires New âge !
Son visage , une fusion de Hollande , Chirac !
Si on laisse faire , il transformeront le monde
en vivarium humains !
La grande remise a zéro par des zéros , non merci !
Attention ! si le matin en vous rasant votre visage
commence a ressembler a ce type la :
c est mauvais signe !
Son visage me fait penser à celui de https://oneroomwithaview.files.wordpress.com/2013/05/alfred-hitchcock-06.jpg dont Wikipédia nous dit, curieusement (ou pas) que “ses thrillers […] déclinent les variations de la figure de l’innocent persécuté à travers des thèmes récurrents : la peur, la culpabilité et la perte d’identité.”
Thriller, peur, culpabilité, perte d’identité… : Hitchcock avait la tête de l’emploi, on dirait que Klaus Schwab aussi s’évertue à avoir la tête de l’emploi.
Ah ben oui c’est vrai!…..rires, maintenant que vous le faites remarquer!….rires
Cette photo de Klaus Schwaab m’a immédiatement fait penser à Snoopy 🙂
Le souci est que personne ne fait rien . Or se lamenter dans les medias ne changera rien à cette sombre destinée qu’ils veulent nous imposer à nous mais surtout à nos descendants
https://www.youtube.com/watch?v=puqaaeLnEww
12 janvier 2017, soit quelques jours avant le début de la présidence Trump.
Comme par hasard, cette “pandémie” est arrivée juste en année électorale.
Et ils osent parler d’opportunité !
En matière d’assurances, on fait la différence entre accident et fait volontaire.
En ce samedi 5 décembre Florian Philippot a proposé une immense manifestation dans le 7° à Paris, pour protester contre ce despotisme, justement, et demander que liberté nous soit rendue
Bien des Français, moi le premier, ont respecté – en tournant un peu beaucoup – l’ordre de confinement à cause des 135 € d’amende.
au fait, 135 + son inverse, 531, ça fait 666…
Excellent article. Le texte est ciselé, la démonstration implacable.
En complément, comment Charles Gave, qui a eu affaire à George Soros, voit ce dernier : “Je le vois le moins possible, il met mal à l’aise”
https://www.youtube.com/watch?v=c8t1bNnhZKc
Également, toujours de Charles Gave, son opinion sur la question du grand reset : https://institutdeslibertes.org/le-grand-reamenagement-reset-ou-le-triomphe-de-lineptocratie/ ; ou l’étrange concordance des mesures prises par beaucoup de gouvernements à l’occasion de l’épidémie du Covid-19 avec les objectifs affichés par les tenants du grand reset.
Dès le tout début, je me suis demandé à qui profite le crime ? et la réponse m’a paru évidente, c’est le pays qui va en profiter le plus
Très bon article qui dit la vérité ; ce virus a bien été préparé , par la Chine et la France en sous main pour avoir vendu un labo 4 G à une autorité communiste et les riches ; Sorros, Bill Gates ;et les autres ; Des parents payés pour faire d’ un enfant un peut attardé un protecteur prématuré de la planète se voyant déjà Prix Nobel . Des fraudeurs escrocs criminels à la tête de la 1 ière puissance mondiale pour la détruire ; ils ont eux l’ europe ; mais voilà qu’un citoyen dégoutté de toutes leurs atrocités ; leur barre la route et devient président ;ils ont voulu le salir inventer des dossiers contre lui ; le faire tomber pour pouvoir continuer; ce qu’ils faisaient depuis 8 ans et qu’ils devaient continuer et cacher tout ce qu’ils avaient fait ; la seule solution c’ était l’ élection truquée ;mais Trump n’ est pas naïf et savait ce qui allait ce passer ; attendons la suite et espérons pour le bien du monde qu’il fasse encore 4 ans à la Maison Blanche un deuxième mandat .
Dommage que e ne puisse pas partager sur FB l’article de M. Schwab, un homme avisé de grande envergure.
C’est fait, j’ai pu partager, MERCI. MERCI aussi pour vos excellents articles bien écrits et pertinents qui changent de certaine presse!
Pour mieux saisir une partie de la pensée globaliste et son agenda voici le lien vers le site officiel du forum économique mondial (à écouter)
https://soundcloud.com/world-economic-forum
The World Economic Forum
The Great Reset
Bien d’autres thèmes y sont présentés…..
Autre lien vers la plate forme du World Economic Forum pour qui préfère lire à écouter….
https://www.weforum.org/agenda/2020/06/now-is-the-time-for-a-great-reset
Quand on voit sa tête ,on a certainement pas envie de l’écouter ….
Et ouais ! c’est comme ça ; il y en a qui n’on pas eu d’bol !
La chance que l’on a c’est d’avoir Dieu à nos côté et dans nos cœur.
Le diable s’agite mais il faut garder à l’esprit que Dieu à un plan parfait qui, oui, peut nous échapper. Il s’agite car il voit sa fin proche.
Gardons la ligne juste et prions pour la victoire future et plus que prochaine.
Pour la grande réinitilalisation, ils peuvent repasser ! Le nombre de victimes mondiales est de 1,5 millions de personnes sur bientôt 8 milliards d’individus ! Une goutte d’eau dans un océan !
Il est évident que cette maladie est une “chance” pour ceux qui veulent nous imposer leur diktat . Pour nous il faut bien ce souvenir que l’ égalité ne peut se réaliser que par un nivellement par le bas . Or ceci est tout le contraire du vrai libéralisme Mais nous assistons depuis des décennies déjà à la mise à mort de la classe moyenne et à la fin d’un possible ascenseur social Le clivage entre pauvres et riches s’accentue et cette maladie est leur chance de nous imposer un monde de mort