Le président Donald Trump est « résolu » et « déterminé » à dénoncer la fraude électorale lors des élections de novembre, a déclaré un législateur de Pennsylvanie qui a rencontré le président mercredi. Le sénateur d’État Doug Mastriano faisait partie des nombreux législateurs républicains de Pennsylvanie qui ont rejoint le président Trump dans le bureau ovale pour discuter de la fraude électorale dans l’État de Keystone.
« Son état d’esprit est la détermination. Nous devons découvrir ce qui s’est passé ici », a déclaré M. Mastriano au site Epoch Times. Mastriano a ajouté qu’il n’avait « jamais vu quelqu’un de plus résolu ou déterminé » que le président Trump, « parce que la vérité est de son côté ».
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Selon Mastriano, les législateurs de Pennsylvanie ont fait part au président de diverses préoccupations liées à l’élection. Parmi les situations évoquées, il y a eu une période au milieu de la nuit où le candidat démocrate Joe Biden a reçu 570 000 voix et le président Trump seulement 3 200 voix. « Même dans les zones les plus bleues de la Pennsylvanie, c’est statistiquement impossible », a déclaré M. Mastriano, qui a tenu une audience publique le 25 novembre à Gettysburg où des témoins ont exposé des allégations de fraude électorale.
« Et nous avons parlé de comment, si cela n’est pas seulement réglé à l’avenir, mais si ce n’est pas réglé pour ce qui vient de se passer ici, à quel moment la république s’effondre-t-elle ? »
Mastriano a ajouté que le président Trump était « concentré sur l’état de cette république ».
« Il ne s’agit pas de lui, mais de notre nation et de notre république », a dit Mastriano. « Si on laisse cela se produire, qu’est-ce qui va nous arriver ? Serons-nous seulement une république de nom ? Probablement. »
Les républicains de Pennsylvanie n’ont pas réussi à convaincre le gouvernement démocrate Tom Wolf de convoquer une session législative spéciale pour traiter des questions électorales. La législature de l’Etat est sortie depuis le 30 novembre. Wolf a déclaré qu’il n’y avait aucune raison de tenir une session spéciale. « Nous avons eu des élections libres et équitables et maintenant il est temps de passer à autre chose », a écrit Tom Wolf sur Twitter.
(note du traducteur : quel salopard !)
Mastriano a déclaré que la législature devrait pouvoir entrer en session sans l’approbation du gouverneur. Il veut tester la constitution de l’État en se réunissant par un vote à la majorité simple. « Nous voulons entrer en session, parce que nous avons une crise sur les bras », a déclaré M. Mastriano. « Et laissons le gouverneur nous poursuivre en justice, combattons-le sur ce point. »
Les législatures des États sont responsables de la conduite des élections dans leurs États et de la sélection des électeurs du Collège électoral pour les présenter au Congrès. La Pennsylvanie enverra 20 électeurs démocrates lorsque les résultats du Collège électoral seront certifiés lors d’une session conjointe du Congrès le 6 janvier.
Les républicains de Pennsylvanie, quant à eux, ont sélectionné un autre groupe d’électeurs le 14 décembre. Ils ont rejoint l’Arizona, la Géorgie, le Michigan, le Nouveau-Mexique, le Nevada et le Wisconsin comme États ayant choisi des électeurs en duel pour la présidence.
La Cour suprême des États-Unis n’a manifesté aucun intérêt à intervenir dans un résultat d’élection contesté par la campagne du président Trump avant l’investiture de Joe Biden le 20 janvier. Les responsables de la Pennsylvanie ont jusqu’au 22 janvier pour répondre au dernier procès électoral.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov pour Dreuz.info.
Source : Newsmax
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Joyeuses fêtes à l’équipe de Dreuz! Trump is the best!
Cet article évoque la possibilité pour les législatures de se réunir sans l’accord des gouverneurs – jusqu’ici refusé (voir le procès d’Amistad pour cette raison).
Vrai, faux ?
Au point ou on en est, ils peuvent toujours se réunir et laisser les opposants intenter un procès!!!!
Bien d’accord !
On n’en attendait pas moins d’un Homme tel que le Président des Etats-Unis M. Donald-John TRUMP !!!
Pour l’instant le diable est aux commandes , pour combien de temps ? en attendant les traîtres républicains quittent le navire amiral , mais de toute cette boue l’histoire retiendra Donald Trump un des plus grands présidents des Etats Unis . Quoiqu’il arrive la partie n’est pas finie et les financiers internationaux et leurs complices finiront par mordre la poussière . J’espère que le peuple aura un sursaut , l’espoir fait vivre .
IL FAUT ABSOLUMENT UNE ENQUÊTE INDÉPENDANTE et sous SURVEILLANCE c’est la seule option pour éviter une guerre civile.
LA CHINE COMMUNISTE , la RUSSIE ET L’IRAN et aussi la CORÉE DU NORD n’attendent que ce moment pour frapper les USA en plein cœur.
Et si l’essentiel pour gagner n’était pas de rétablir les résultats mais que la Cour Suprême se prononce sur la forfaiture de quelques Gouverneurs?
Un article du Western Journal s’appuie sur la plainte du Texas, refusée sur la forme, sans donner d’avis sur le fond, par la Cour Suprême.
Chaque état de l’union possède un exécutif (Gouverneur), une législature composée d’une chambre basse (représentants) et d’une chambre haute (sénateurs) et une branche judiciaire. L’ élection présidentielle étant perdue d’avance pour les démocrates, ces derniers ont décidé de frauder en développant et en trafiquant les lois sur le vote par correspondance dans 5 Etats, dits charnières, où les Gouverneurs sont démocrates et les législatures plutôt républicaines. La Constitution des EU ne leur permettant de légiférer, et les législatures ne leur étant pas acquises, ils ont décidé de passer outre, de mettre leurs opposants devant le fait accompli.Sous le prétexte de l’état d’urgence sanitaire et du confinement partiel COVID, ils ont modifié les lois et les règles de gestion des votes par correspondance. Ensuite, ils ont auto-validé les résultats, nommé les grands électeurs, qui doivent l’être par les législatures, et bloqué toutes les voies de recours…
Le gardien et garant de la constitution étant le Président ce serait à lui, et au ministre de la Justice, de porter l’affaire devant la SCOTUS.
J’y crois encore