Publié par Rosaly le 30 décembre 2020

Barack Hussein Obama n’est plus seulement un prix Nobel, mais aussi l’auteur de trois autobiographies, le seul ex-président ayant réussi cet exploit. Dans la dernière oeuvre de ce magnifique pervers narcissique, intitulé « A promised Land », l’auteur diabolise Israël de manière très insidieuse.

Ce livre n’est pas seulement une mise à jour des épreuves, tribulations et triomphes de l’homme le plus injustement célèbre de la planète, mais aussi une justification de sa politique présidentielle et une présentation de son programme pour son troisième mandat imminent (si les juges persistent à réfuter toutes les preuves de la fraude électorale massive commise par les démocrates) alias l’Administration Biden-Harris.

Cet ex-président, si adulé par les médias, notamment en raison de la couleur de sa peau, n’a pas hésité à qualifier le terrorisme islamique meurtrier, qui s’abattit sur son pays lors de sa présidence, de «violence au travail», quand des musulmans massacrèrent leurs collègues au bureau ou dans une caserne; il a transféré des milliards de dollars en liquide aux Mollahs et s’est associé à des antisémites viscéralement racistes comme Louis Farrakhan.

Il soutient aujourd’hui son ex-vice-président Joe Biden, décrit dans son livre « A Promised Land » comme un « homme au beau visage toujours illuminé par un sourire éblouissant ». Intelligent, d’une grande expérience en politique étrangère, le sénateur Biden avait des « compétences et de la discipline en tant que débatteur, mais surtout, Joe avait du coeur. » (Sous-entendu : Donald Trump lui n’a pas de coeur)

En octobre dernier, l’éblouissant Joe Biden au grand cœur inaugura ouvertement la plus grande « organisation de fraude électorale » de l’histoire des USA. Cette fraude massive, apparentée à un véritable coup d’état, couronne les multiples tentatives de destitution du Président Trump complotées par les démocrates au cours de son mandat.

« Nous sommes en guerre » écrivit David Horowitz et « cette guerre continuera jusqu’à ce que les patriotes américains rassemblent tout leur courage pour appeler les Démocrates racistes, menteurs, calomniateurs et aspirants tyrans, ce qu’ils sont réellement.»

Ce tome de 768 pages vous informe non seulement davantage sur Sa Magnificence, mais raconte aussi une histoire d’Israël digne d’un haineux empoté de gauche. Il s’agit d’une parfaite illustration de la manière dont les gauchistes voient l’ allié le plus fidèle des USA au Moyen-Orient. Ce livre explique aussi pourquoi les gauchistes haïssent Israël avec l’intensité d’un rayon laser.

Obama dépeint la Grande-Bretagne et puis Israël comme des puissances occupantes en Palestine, sans jamais expliquer qui possédait réellement la terre, qu’ils étaient et sont censés occuper.

Il ne fait aucunement mention du mandat de la Société des Nations pour la Palestine. Comme l’explique en détail « The Palestinian Delusion », le Mandat ordonnait aux Britanniques d’encourager « l’implantation des Juifs en Palestine pour l’établissement d’un foyer national juif. »

Qui donna le droit à la Société des Nations de prendre une telle décision ? L’Empire ottoman agonisant avait cédé la Palestine à la Société des Nations en 1918. Les Juifs vivaient sur cette terre par ailleurs peu peuplée depuis des temps immémoriaux. C’était un endroit parfait pour les Juifs d’Europe et d’ailleurs, victimes de discriminations, de harcèlement et pire encore de s’y installer. Un retour légitime sur leur terre ancestrale.

Ainsi, l’hypothèse couramment répandue et encouragée par Obama, selon laquelle les Israéliens sont les occupants illégitimes d’une terre qui appartient à juste titre aux « Palestiniens » s’écroule. Il n’y a jamais eu un état palestinien, ni un roi, encore moins un empereur ou un président. Il n’y a jamais eu de nationalité ou d’ethnicité palestinienne distincte de la nationalité et de l’ethnicité des Arabes de la région. La Palestine, comme Staten Island ou Georgetown, a toujours été le nom d’une région, et non celui d’un État-nation ou d’un foyer ethno-national.

Obama prétend également que les « Juifs entraînaient des forces armées hautement qualifiées pour défendre leurs colonies » sans mentionner qu’en 1919, un leader musulman, Amin al-Husseini – Grand Mufti de Jérusalem, admirateur et ami du Führer, adepte de la solution finale pour les Juifs du Moyen-Orient, propagandiste de guerre zélé, membre d’un clan arabe influent de Jérusalem – orchestra une série d’attaques contre les Juifs dans toute la Palestine.

L’année suivante, il fut l’instigateur d’émeutes à Jérusalem pendant la Pâque juive. Entre pillages et viols de masse, six Juifs furent assassinés et plus de deux cents autres blessés. Une commission d’enquête conclut que « les Juifs furent victimes d’une attaque particulièrement brutale et lâche, la majorité des victimes étant des hommes âgés, des femmes et des enfants. » On reconnaît là « le grand courage et le grandiose héroïsme » des Arabes.

La violence ne cessa pas a cours des années suivantes. En août 1929, à Jérusalem, les émeutiers arabes assassinèrent 133 Juifs et en blessèrent plus de deux cents, la plupart dans leurs maisons. A Hébron, ils tuèrent 67 Juifs et vingt autres à Safed. La Commission Shaw, nommée par le gouvernement britannique, constata que « les émeutes prirent la forme d’attaques odieuses de la part des Arabes contre les Juifs, attaques suivies par la destruction injustifiée des biens juifs. »

Rien de cela ne fut mentionné par Obama dans son livre.

Sa description de la (re)naissance de l’Etat d’Israël n’est ni plus juste, ni plus exacte. « Alors que la Grande-Bretagne se retirait, les deux parties entrèrent rapidement en guerre. Et avec la victoire revendiquée par les milices juives en 1948, l’Etat d’Israël naquit officiellement. »

Les « deux parties » étaient constituées d’un côté d’un tout jeune et petit état, Israël, mal armé, et de l’autre d’une puissante armée arabe, résultant d’une coalition entre l’Egypte, la Syrie, l’Irak, la Transjordanie, le Liban et l’Arabie saoudite. (Et David vainquit Goliath.)

Ils « n’entrèrent pas en guerre. » La Ligue arabe déclara immédiatement la guerre à Israël, un jour après sa proclamation d’indépendance.

Obama utilise le terme « milices » pour décrire les Forces de Défense israéliennes. Mot sans doute sournoisement choisi pour sa résonnance avec les milices d’extrême-droite, racistes, suprémacistes blanches, que les gauchistes américains imaginent hystériquement en train de harceler le pays.

Pire encore ! Obama affirme que « lors des trois prochaines décennies, Israël s’engagera dans une succession de conflits avec ses voisins arabes. »

Personne ne sait sur quel indice il se base pour une telle affirmation. Jamais Israël ne « s’est engagé » dans un conflit suite à une quelconque impulsion impérialiste ou suprémaciste. Il a à chaque fois riposté à la suite d’une attaque menée par les forces arabes contre l’Etat juif. Mais Obama semble déterminé à dépeindre Israël comme un agresseur, se fiant à l’ignorance générale de son électorat sur la question.

L’animosité d’Obama envers Israël est si grande qu’il ose appeler le Mont du Temple « l’un des sites les plus sacrés de l’islam », sans jamais mentionner son importance centrale dans le Judaïsme.

Ce livre « A promised Land » inclut donc un abécédaire concis à l’attention des gauchistes, dans le but peu louable de leur rappeler pourquoi ils doivent continuer à haïr Israël.

Alors que la loufoque marionnette d’Obama se prépare à squatter le Bureau oval, l’alliance de l’Amérique avec Israël, et la paix au Moyen-Orient risquent de sombrer dans une ère de dangereuses turbulences.

This land is mine by Andy Williams – Ce pays est le mien.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: «Barack Hussein Obama Hates Israël and Wants You to Hate It, too.» by Robert Spencer (FrontPage Mag)

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