En dépit des différentes poursuites engagées tant par Rudy Giuliani que par Me Sidney Powell, ce ne sont pas les tribunaux des États, ni la Cour Suprême des États-Unis (SCOTUS) qui vont déterminer lequel de Donald Trump ou de Joe Biden est le gagnant de l’élection présidentielle, mais ce sera le Congrès. De là l’importance du Rapport du Président du sous-comité d’élections de la commission judiciaire permanente du Sénat ( ref: https://www.dreuz.info/2020/12/21/fraudes-electorales-le-rapport-du-senat-qui-pourrait-tout-changer/).
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Ameer Benno*, paru sur le site de The Federalist, le 21 décembre.
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Pour décider du résultat des élections de 2020, le Congrès aura le dernier mot
Si les objections aux votes électoraux sont peu fréquentes, elles ne sont pas sans précédent – dans le passé, c’étaient les Démocrates qui les déposaient.
Le Sénat et la Chambre se réuniront en session conjointe le 6 janvier, un jour que feu la juge de la Cour suprême Ruth Bader Ginsburg a qualifié de date « d’ ultime importance » dans notre processus électoral, pour compter les votes électoraux récemment exprimés. Ce qui se passera ce jour-là déterminera le résultat de l’élection présidentielle.
La procédure
La loi sur le décompte des voix prévoit qu’après le vote des électeurs dans chaque État et dans le district de Columbia le 14 décembre, ils doivent signer un certificat de leur vote qui est ensuite scellé et envoyé au président du Sénat.
Le 6 janvier à 13 heures, une session conjointe du Congrès (le Sénat et la Chambre des Représentants) se tiendra, au cours de laquelle le président ouvrira les certificats des États par ordre alphabétique.
Chaque certificat sera ensuite présenté aux « scrutateurs » qui liront les votes à haute voix, après quoi le président de séance invitera les objections.
En vertu de la loi, les objections doivent être présentées par écrit et signées par au moins un Sénateur et un Représentant.
Lorsqu’une objection dûment formulée est reçue, les 2 Chambres se retirent dans leurs salles respectives pour deux heures de débat et un vote sur l’opportunité de compter les votes en question.
Les Chambres doivent voter séparément chaque objection. Si une majorité dans chacune d’elles soutient l’objection, les votes en question sont exclus.
Si l’objection recueille le soutien de moins d’une majorité dans l’une ou l’autre Chambre, elle est rejetée et les votes contestés sont comptés.
Base juridique des objections
La loi sur le décompte des voix précise que des objections peuvent être formulées si la nomination d’un électeur n’a pas été « légalement certifiée » par le Gouverneur de cet État.
Dans le cas présent, les violations de l’égalité de protection et de la clause de la Constitution relative aux électeurs, ainsi que des cas répétés de fraude avérée, ont sapé l’intégrité des élections dans de nombreux États-charnière qui ont finalement déclaré l’ex-vice-président Joe Biden vainqueur, en dépit de l’avance prise par le Président Donald Trump.
Parce que ces décomptes finaux ont été pollués par des votes illégitimes, les électeurs promis à M. Biden n’ont pas été légalement nommés, et n’ont donc pas été certifiés légalement. Les Républicains de la Chambre et du Sénat devraient faire valoir ces objections.
Précédent historique
Si les objections aux votes électoraux sont peu fréquentes, elles ne sont pas sans précédent. Dans le passé, ce sont surtout les Démocrates qui ont présenté des objections.
En 1877, les Démocrates ont contesté l’ensemble des délégations électorales de Floride, de Louisiane, de Caroline du Sud, du Vermont et du Wisconsin – dont les votes avaient été remportés par le Républicain Rutherford B. Hayes.
En 1969, le Sénateur Edmund Muskie du Maine et le Représentant James O’Hara du Michigan, tous deux démocrates, se sont opposés au comptage du vote d’un Grand électeur de la Caroline du Nord.
En 2001, les membres du Congressional Black Caucus, également tous des Démocrates, ont tenté de bloquer le décompte des voix de la Floride, qui était allé au Républicain George W. Bush, en invoquant « des preuves accablantes de faute officielle » et de « fraude délibérée ».
Quatre ans plus tard, après que les résultats des élections aient indiqué que M. Bush avait gagné sa réélection contre son adversaire démocrate John Kerry, la Sénatrice Barbara Boxer et la Représentante Stephanie Tubbs Jones, toutes deux démocrates, se sont opposées aux votes électoraux de l’Ohio, que M. Bush avait gagnés, en invoquant des « irrégularités » généralisées.
Plus récemment, lors de la session conjointe de 2017, après l’élection Trump vs Clinton, plusieurs membres démocrates de la Chambre des Représentants ont contesté les résultats, invoquant une « violation généralisée de la loi ».
À quoi doit-on s’attendre ?
Alors qu’historiquement, la session conjointe n’a été qu’une simple formalité, cette année est différente.
Déjà, un Représentant de l’Alabama, Mo Brooks, a déclaré qu’il s’opposerait aux votes électoraux des États-charnière où les élections ont été contaminées par des comportements anticonstitutionnels et des fraudes.
Le Représentant Matt Gaetz de Floride envisage également de s’y opposer.
Nous pouvons nous attendre à ce que d’autres, comme le Représentant Mike Kelly de Pennsylvanie, qui est le plaignant dans l’un des procès électoraux devant la Cour suprême, se joignent également à eux.
Afin d’éviter que les Représentants ne soient réduits au silence, un sénateur doit se joindre à leurs objections.
Bien qu’aucun membre de la Chambre haute (le Sénat) ne se soit encore manifesté, il est possible que quelqu’un le fasse, en particulier des candidats potentiels à la présidence en 2024 qui chercheraient à se faire valoir au niveau national et à obtenir les appuis des partisans pro-Trump.
Les Sénateurs Josh Hawley du Missouri, Ted Cruz du Texas et Rand Paul du Kentucky ont exprimé leur ouverture à cette idée.
Le vrai défi, bien sûr, sera d’obtenir une majorité des deux Chambres pour appuyer les objections. Bien que les Démocrates aient la majorité à la Chambre des Représentants, c’est la plus mince depuis deux décennies.
Au Sénat, tout se résume à la Géorgie. Si Kelly Loeffler ou David Perdue sont réélus, le GOP conservera le contrôle de cette Chambre.
Ces élections partielles auront lieu le 5 janvier, la veille de la session conjointe.
Il est donc impératif que ces deux Républicains soient réélus par des marges décisives, afin que le résultat de ces élections et donc la division partisane du Sénat ne soient pas remis en question au moment où le Sénat doit voter sur des objections.
Il est important de noter que les décisions du Congrès visant à supprimer les votes des électeurs sont à l’abri d’un contrôle judiciaire.
Selon John Tyler Morgan, un Sénateur démocrate du Congrès qui avait fait adopter la loi sur le décompte des voix en 1887, le Congrès a non seulement le pouvoir de « rayer la voix des Grands électeurs d’un État », mais une fois qu’il l’a fait, « le pouvoir de révoquer » cette décision « échappe au contrôle humain ».
Si un nombre suffisant de votes électoraux est éliminé pour empêcher l’un ou l’autre des candidats d’obtenir la majorité, la disposition du 12e amendement relative aux « élections contingentes » entrera en vigueur, laissant à la Chambre des Représentants le soin de choisir le président – ce qui s’est déjà produit une fois, en 1825.
Chaque délégation d’État obtiendrait une voix, et comme les Républicains contrôlent 26 des 50 délégations d’État, un tel scénario entraînerait probablement la réélection de M. Trump.
Dans la section 68 des « Federalist Papers » (1788), Alexander Hamilton demandait de placer « tous les obstacles possibles » contre la « cabale … et la corruption », qui sont les « adversaires les plus mortels du gouvernement républicain ».
Le 6 janvier, le Congrès a le pouvoir de le faire : Il peut radier les votes électoraux des États où les élections ont été irrémédiablement compromises par la fraude, le vote illégal et l’inconstitutionnalité.
*Ameer Benno est un avocat spécialisé en droit constitutionnel et ex-candidat au Congrès dans le District 04 de l’État de New-York.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Thefederalist
Bonjour Madame,
c’est un bon résumé qui nous permet de clarifier leur processus électoral.
Malgré toutes les preuves, malgré la destruction des enregistrements de 2020, malgré les multiples plaintes, les Cours suprêmes des états concernés et la Cour suprême fédérale n’ont jamais voulu reconnaître que les fraudes ont été massives et que cela détruit durablement la confiance d’une très grande partie de la population envers les institutions. Un tel aveuglément, une telle lâcheté dépasse mon entendement.
Peut-être que certains députés démocrates ont enfin réalisé le très grave danger que constitue l’approbation d’une élection frauduleuse massive. Malheureusement leur aveuglement ou leurs intérêts particuliers vont faire taire les consciences. Il n’y a pas beaucoup d’espoir à attendre du Congrès vu qu’il a réélu cette vielle sorcière de Pelosi.
Il y aurait la loi martiale. Malheureusement je ne crois pas que le président Trump aura le courage de l’appliquer. Reste le vote pour les deux sièges du Sénat. Là aussi les “démocrates” vont frauder massivement. Je crains que les républicains ne remporteront au mieux qu’un seul siège. Le Sénat sera l’unique espoir pour que ce pays ne devienne pas une république bananière.
Cordialement
Il n’existe rien de plus lâche qu’un juge ou un procureur. La vie vous l’apprendra.
Exact. Je l’ai appris par expérience !
un analyse intéressante : https://odysee.com/@Carrefoursdumonde:0/loi-martiale-fake-news-trump-plus-proche:7
Tout cela est de la science fiction : Trump ne faisait pas partie de la nomenklatura de Washington. Le peuple l’a imposé au parti. Le marécage est aussi peuplé de crocodiles républicains qui vont le dévorer à part égale avec les démocrates.
Pas un juge ne serait républicain ? Près de 70 plaintes refusées, toutes par des démocrates ?
Wake Up !!!
Des sénateurs Républicaiins disent qu’il n’y a pas eu fraude et se sont déjà prononcés en faveur de Biden !!
Alors Trump n’aura pas la majorité de votes même au congrès car des Republicans se vendront!
Les démocrates sont tous en file pour faire gagner Biden.
De nombreux Reps ne souhaitent que la défaite de leur camp !!!?? Va comprendre ?
Certains sont prêts à faire de la figuration tant que leur gamelle est pleine…
” Les Chambres doivent voter séparément chaque objection. Si une majorité dans chacune d’elles soutient l’objection, les votes en question sont exclus.
Si l’objection recueille le soutien de moins d’une majorité dans l’une ou l’autre Chambre, elle est rejetée et les votes contestés sont comptés.”
“Le vrai défi, bien sûr, sera d’obtenir une majorité des deux Chambres pour appuyer les objections. ”
Faut une chambre ou deux chambres majoritairement en faveur des objections pour declencher le 12ème amendement ?
Pas clair pour moi.
“Si un nombre suffisant de votes électoraux est éliminé pour empêcher l’un ou l’autre des candidats d’obtenir la majorité, la disposition du 12e amendement relative aux « élections contingentes » entrera en vigueur, laissant à la Chambre des Représentants le soin de choisir le président “
Il faut qu’il y ait un nombre suffisant de rejet de GE pour que le 12ème amendement entre en lice et que aucun des deux candidats n’ait 270 GE. Il faudrait donc que 37 GE soient enlevés à Biden, Pennsylvanie + Georgie + Nevada par exemple
Bonjour,
c’est assez compliqué. Voici ce qu’il m’a semblé comprendre.
a) Le vice-président Pence est le maitre de cérémonie (Je ne remercierai jamais assez l’Eternel de réduire Pelosi au rôle de figurante)
b) S’il y a une objection (et il en aura pour sept états), il faudrait qu’elle soit présentée par au moins un grand électeur pour le Congrès et au moins un sénateur pour le Sénat
“En vertu de la loi, les objections doivent être présentées par écrit et signées par au moins un Sénateur et un Représentant.”
c) les deux Chambres vont alors en débattre séparément.
“Lorsqu’une objection dûment formulée est reçue, les 2 Chambres se retirent dans leurs salles respectives pour deux heures de débat et un vote sur l’opportunité de compter les votes en question.”
d) Il faut que les deux Chambres acceptent la contestation. Alors les grands électeurs désignés par le vote électoral de cet état seront éliminés et ils ne seront remplacés par aucun autre grand électeur.
“Les Chambres doivent voter séparément chaque objection. Si une majorité dans chacune d’elles soutient l’objection, les votes en question sont exclus.”
“Si l’objection recueille le soutien de moins d’une majorité dans l’une ou l’autre Chambre, elle est rejetée et les votes contestés sont comptés.”
Cela signifie que si une seule des deux Chambres soutient l’objection alors elle ne sera pas prise en compte…
PS: au cas où des grands électeurs seraient éliminés (avec l’accord des deux Chambres) et qu’aucun des parti n’obtiendrait 270 grands électeurs alors c’est le 12e amendement qui s’appliquerait
C’est mal très mal barré…
Cordialement
Il faut les deux Chambres!
Magali Marc/ C’est moi
Merci. J’avais compris qu’il fallait qu’une des deux chambres rejette les votes contestés pour que la chambre ait le dernier mot, sur la base du 12ème amendement.
S’il faut que les deux chambres les rejettent, je ne vois pas ce qui permet au GOP d’être optimiste : il n’a pas la majorité à la Chambre (déjà qu’avoir la majorité au senat n’est pas garantie…) !!!
Relisez la procédure, les Républicains n’ont pas besoin d’avoir la majorité à la Chambre des Représentants: en cas de litige, il n’y a qu’un seul votant par État.
Je pense que vous vous prenez les pieds dans le tapis. Le XII ème amendement ne peut être invoqué que si les deux candidats n’ont pas les 270 GE. Pour invalider les votes de GE il faut la majorité dans les deux chambres. Comme les démocrates ont la majorité à la chambres des représentants les contestations n’auront pas d’effet sur le nombre de GE et dès lors pas d’application du XII ème
Vous avez raison! J’ai confondu les deux cas de figure! Voir ma réponse plus haut à Fleur de Lys.
Oui, mais ça c’est une fois que le 12ème amendement est activé : vote par délégation.
Mais lors de l’examen des votes de contestation par chaque chambre séparée, vous voulez dire que le vote a aussi lieu par délégation ?
Désolée, j’ai mal compris votre questions!
Il y a deux cas de figure:
Il faut donc qu’à la chambre des représentants lors du vote concernant les objections sur les listes si il a lieu, plusieurs démocrates soutiennent D.Trump
Merci. Le point 2 a toujours été clair pour moi. Mais je decouvre le point 1, que je n’avais absolument pas compris ainsi.
Donc, s’il faut que les deux chambres acceptent l’objection à la majorité, sachant que la chambre des représentants est à majorité démocrate, il n’y a donc strictement aucune possibilité que votre 2ème point s’enclenche.
J’en reviens à ma remarque précédente : comment l’équipe Trump pense-t-elle un instant avoir une chance ?
Josué et Fleur de Lys, c’est un peu plus compliqué que cela. Un article paru sur Dreuz explique:
« La chambre des représentants étant à majorité Démocrate devrait s’opposer à la contestation. Le sénat à majorité républicain (52-48, ou 51-49) devrait approuver (mais la difficulté réside dans les RINO comme Mitt Romney ou deux ou trois autres membres qui ont infiltré le parti Républicain et qui sont des anti-trumpistes avérés). Si et seulement si le sénat approuve la contestation du collège électoral, alors on entre dans un territoire constitutionnel inconnu et inédit. Là où les deux chambres s’opposent entre elles aux résultats. (Il faut bien que les deux chambres soient en accord pour approuver une contestation).
Dans ce cas, deux lois s’opposent :
(https://www.dreuz.info/2020/12/19/quand-le-6-janvier-peut-decider-du-prochain-president-americain/)
Donc ce serait préférable que quelques Démocrates dans les États-charnière appuient les contestations – mais c’est peu probable. S’il ne le font pas et que le Sénat appuie les contestations alors Trump aurait encore une chance.
“Si et seulement si le sénat approuve la contestation du collège électoral, alors on entre dans un territoire constitutionnel inconnu et inédit.”
Soit c’est la Cour suprême qui devrait trancher soit c’est le 12e amendement qui s’appliquerait. Il resterait la possibilité d’une sorte d’ “accord à l’amiable” mais cela me semble presque impossible. Prions pour que le Sénat ne cède pas. C’est avec la majorité au Sénat , ce seraient les deux derniers espoirs.
Donc, on est bien d’accord, c’est ce que j’avais compris depuis le début dans les articles que vous citez ( P Rehov et JPG) : une chambre sur deux peut contester les résultats et faire enclencher à elle seule un processus debouchant sur l’élection de Trump.
Certes dans ce cas, il y a une inconnue ( vote par législature pas aussi évident que si les 2 chambres avaient été d’accord) mais cela reste jouable. Et dans ce cas, la question est celle de la majorité au sénat, comme vous le rappelez.
Mais à mon avis, cela reste un scénario plus crédible que celui de democrates de la chambre votant pour rejeter les votes de Biden ( même si certains dems en territoire très républicain pourraient être influencés).
“La constitution stipule que c’est aux législateurs de chaque Etat de certifier les grands électeurs, c’est pour cela que l’équipe Trump a demandé aux législateurs Républicains de voter pour des grands électeurs alternatifs le 14 décembre dernier. Dans cette option, Trump passe. ”
Certes, mais de tout ce que j’ai lu à ce sujet, ce ne sont pas les législatures des Etats qui ont voté pour des grandes électeurs alternatifs, ce sont des républicains qui les ont choisis… Ou alors les médias ont raconté n’importe quoi encore une fois, mais je n’ai rien vu sur Dreuz qui dise autre chose (je ne dis pas que Dreuz n’a pas dit l’inverse, je ne peux tout lire)…
Vous allez dire que je pinaillle mais vu l’importance du sujet, ce que vous dites est en contradiction avec ce que dit l’article :
“Lorsqu’une objection dûment formulée est reçue, les 2 Chambres se retirent dans leurs salles respectives pour deux heures de débat et un vote sur l’opportunité de compter les votes en question.
Les Chambres doivent voter séparément chaque objection. Si une majorité dans chacune d’elles soutient l’objection, les votes en question sont exclus.
Si l’objection recueille le soutien de moins d’une majorité dans l’une ou l’autre Chambre, elle est rejetée et les votes contestés sont comptés.
et vous nous dites :
” Si et seulement si le sénat approuve la contestation du collège électoral, alors on entre dans un territoire constitutionnel inconnu et inédit.”
Moi je comprends que si seulement une des deux chambre s’oppose les votes sont comptés et il n’y a pas application du XII ème amendement
Pourriez vous éclaircir cette confusion svp
Chère Magali,
dans ce cas, alors je n’aurais vraiment rien compris.
.Cordialement
Bonjour Cestmoi!
J’ai l’impression que vous confondez encore Chambre des Représentants et Congrès. Le Congrès c’est l’ensemble de la Chambre des Représentants et le Sénat! Vous écrivez plus haut:
« b) S’il y a une objection (et il en aura pour sept états), il faudrait qu’elle soit présentée par au moins un grand électeur pour le Congrès »
Dans cet extrait vous confondez Grand électeur et Représentant à la Chambre des Représentants!
Donc il fallait écrire:
« b) S’il y a une objection (et il en aura pour sept états), il faudrait qu’elle soit appuyée par au moins un Représentant et un Sénateur. »
Pour l’application du 12e Amendement, vous avez parfaitement compris! Comme je l’indique plus haut à Fleur de Lys, c’est un vote par délégation d’État.
Je vous remercie pour votre remarque. C’est en effet une confusion de ma part et le pire c’est que je me rends com Pte que c’est la deuxième fois…
On ne peut pas drainer le marais, tout simplement.
donc la démocratie, ou ce qui en tenait lieu, n’est plus !
Expliquer en détail les méandres des lois, ne suffit pas les faire respecter, quand ceux qui sont chargés d’y veiller se dérobent. Devant un déni de cette ampleur et devant les conséquence planétaire de cette fraude, c’est sain, naturel et indispensable d’envisager un recours à la violence contre les fraudeurs et tous leurs complices. En commençant par les plus haut placés !
Complètement d’accord avec vous. Trump aurait du mettre en place la loi Martial afin de récupérer toutes les preuves et toutes les machines Dominion pour pouvoir les analyser. Mais déjà les mémoires ont été effacées par ces ordures de démocrates qui ont tout verrouillé afin de remporter cette élection frauduleuse,
Trump s’entête à ne vouloir compter que sur la voix judiciaire alors que les dès sont pipés, les juges refusant toutes les plaintes soit par idéologie parce que ils sont démocrates, soit parce que ils sont menacés et manquent totalement de courage. Et c’est la même chose avec la cour suprême fédérale dont le chef, un juge républicain mais qui vote toujours avec les 3 juges démocrates, s’est vanté de tout faire pour empêcher la réélection de Trump. Quand aux 3 juges nommés par Trump ils sont totalement lâches et ne feront rien non plus.
Enfin pour ce qui est du vote du congrès, le nombre de représentants et sénateurs honnêtes, qui reconnaissent les raides massives, est très limité. Et lors du vote il n’y aura pas une majorité dans l’une des deux chambres pour rejeter une liste de grands électeurs, et dès lors le débris corrompu Biden sera élu.
Trump, qui est un homme intègre, n’a pas pris suffisamment en compte le degré de corruption qui existe aussi bien chez presque tous les démocrates et un nombre certain de républicains, ainsi que de la lâcheté des autres.
il a voulu se battre loyalement et ça lui coûtera sa réélection car avec des voyous il faut utiliser les memes armes qu’eux et ne pas faire de quartiers.
On ne comprend pas ce que veut Trump: s’il attend le 6 janvier, c’est à dire la voie législative, il risque de ne rien obtenir du tout et c’est à nos risques et périls à tous, ceux qui ne veulent pas de la gouvernance de cet Etat profond dictatorial. A-t-il la certitude de l’emporter le 6 janvier, et sinon, pourra-t-il encore prévoir une issue en sa faveur ?
Non , Trump n’obtiendra rien et il n’aura plus de recours. S’il prend une mesure type “Loi martiale” ou autre cela se passera mal car après la “justice” c’est le Congrès qui désavoue. Je ne suis pas dans le secret des dieux comme on dit, mais il me semble que la pièce est mal jouée.
Magali dit que “Le Congrès aura le dernier mot”. Oui c’est bien vrai, mais ce sera : aucune validation de contestation des GE présentés par les états clés contestés car la chambre des représentants, à majorité démocrates, ne la votera pas et même probablement aucune validation au sénat car les RINO ne la voteront pas. Donc 0 sur 2 là où il faut du 2 sur 2 pour mettre en lice le 12ème amendement.
Il ne reste que la loi martiale ou l’état d’urgence à mettre en oeuvre avant le 6 janvier car après le président se trouverait en position d’être en contradiction constitutionnelle avec les institutions démocratiques.
Les Déplorables se transformeront en Ingouvernables…
Les deux options sont désastreuses.
Une forme perverse de retour de flamme est déjà en vigueur, puisque des citoyens du monde informés peuvent désormais voir, de manière parfaitement claire, la profondeur et la portée étonnantes du pouvoir de l’État profond
Pour les trois pays souverains – la Russie, la Chine et l’Iran – ainsi que pour l’écrasante majorité des pays du Sud, la conclusion est inéluctable : si le spectacle actuel, désolant, est le mieux que la « démocratie » libérale occidentale puisse offrir, celle-ci n’a certainement pas besoin d’ennemis ou de « menaces ».
Quand les Déplorables deviennent les Ingouvernables – Le Saker Francophone
C’est d’un coup d’état qu’il s’agit : l’Amérique n’est plus………………
Le Congrès aura le dernier………ou M. TRUMP ……..
rien du tout, trump n a pas de majorité au sénat pour contester les élections. il ne peut pas utiliser des moyens extrèmes non plus. en fait il n y a qu une suel solution : une mobilisation de masse et des plaintes pour fraude électorale tous azimuth pour que les polices et le fbi bougent leurs fesses. ca ne changera pas les élections, mais les résultats dans 6 mois 1 an seront suffisants pour que le phénomène de fraude ralentisse
meme l histoire des fraudes informatiques ca ne va rien donner. il a suffit d une seule lettre des avocats de dominion pour que les médias conservateurs aillent se coucher.
il n y a que lorsque des responsables démocrates verront les “men in black” débarquer chez eux au petit matin que les choses bougeront.
et meme les polices locales dont beaucoup sont ecoeurées par les democrates qui voulaient les “defund” peuvent se bouger.
Le truc que je n’ai pas très bien compris, c’est ce qui se passe s’il y a contestations, puis que les députés rejettent les contestations tandis que les sénateurs les appuient. D’un côté, je lis que dans ce cas les contestations échouent car il faut qu’elles soient appuyées par les députés et par les sénateurs. De l’autre, je lis qu’on entre en territoire incertain, la loi fédérale attribuant aux gouverneurs la responsabilité de trancher tandis que la constitution l’attribue aux législatures. Ce n’est pas très clair. Ou alors ça veut dire la formulation “les contestations échouent” n’est pas absolue. Elle ne veut pas dire que Biden gagne tout de suite et que ses listes sont adoptées, mais simplement que la contestation n’a pas réussi séance tenante et que le choix n’est pas fait.
C’est effectivement ça : ce n’est pas aussi clair que si les 2 chambres partagent le même avis.
Merci. La formulation est en effet ambiguë, parce que “les contestations échouent”, ça peut avoir plusieurs sens : toute contestation républicaine est un échec et les listes démocrates l’emportent (fin de la partie) ou bien cette contestation a échoué à trancher, les deux listes reste en lice et il faut arbitrer autrement. Cela dépend en fait de l’objet de la contestation. Si c’est une contestation de la liste démocrate pour fraude, l’échec de la contestation devrait signifier que le congrès accepté cette liste. Si c’est une contestation du fait même qu’on puisse se prononcer en présence de deux listes, c’est différent.
Trump fait une très grave erreur stratégique en attendant le 6 janvier,il ne passera pas car les congressman voudront pas faire de vague et le lacheront tous,Trump a le pouvoir et la loi martiale c’est maintenant ou jamais je le répéte il ne faut pas laisser passer cette fraude coute que coute sinon c’est plus la peine de croire aux votes après,donc il faut que Trump agisse et frappe fort il a des millions et des millions de supporters et l’armée avec lui si il ne fait rien c’est fini pour lui il va le regretter je peux vous le dire car les démocrates au pouvoir vont le poursuivre sans relache pour l’achever et eux ne vont pas faire dans la dentelle.
Bon, alors s’il faut que les 2 chambres votent séparément chaque objection, c’est plié…
Contrarié par les informations discordantes sur le sujet, j’ai fait une recherche et je suis tombe su un document, réalisé par le congrès, qui défini clairement les procédures pouvant être mises en oeuvre le 6 janvier
https://crsreports.congress.gov/product/pdf/RL/RL32717/13
A la lecture de ce rapport, il apparaît que ce qui est décrit dans l’article de Mme Marc soit fort optimiste
Jusqu’ici le leadership mondial des USA reposait sur une aura faite de valeurs universelles composées d’un mixte de justice et d’intégrité électorale appliquées avec exemplarité autour du principe : “one man one vote”. Or nous voyons que ces valeurs ne tiennent plus la première place dans cette nation. C’est pourquoi, très certainement le leadership mondial de ce peuple sur les nations du monde entier bientôt cessera.