L’appel à une censure généralisée sur FB lancé par Debbie Dingell, députée démocrate, opposée à la liberté d’expression, a été rejoint par une belle brochette des forces les plus sinistres du Congrès.
Une lettre de trois pages, signée par Ilhan Omar, Rashida Tlaib, deux députées musulmanes antisémites des plus fanatiques et 28 membres démocrates d’extrême-gauche de la Chambre des Représentants, a été adressée au PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, le priant d’éradiquer le fanatisme anti-musulman de la plateforme FB.
Ces deux femmes consacrent une grande partie de leur temps précieux à exiger le retrait de ce qu’elles appellent «le contenu anti-musulman» sans jamais le définir précisément. C’est pratique, compte tenu de leur histoire respective en matière de racisme et d’antisémitisme et du soutien leur apporté par la très puissante organisation CAIR (Council on American-Islamic Relation) partiellement financée par les Wahhabites saoudiens et très proche d’Hussein Obama. Cette association est aussi connue pour son soutien au fanatisme islamique et à la violence de groupes islamistes, notamment le Hamas.
La lettre des trente adeptes de la censure à géométrie variable met en lumière un seul incident violent, et appelle ensuite à l’interdiction de tout contenu «anti-musulman», de toute «animosité anti-musulmane» de tout «sectarisme anti-musulman» sans jamais expliquer ce que les signataires veulent exactement interdire. Comme la lettre exhorte à «une détection et à un retrait pro-actifs de tous les contenus anti-musulmans», cela laisse supposer que ces personnes veulent tout simplement interdire toute critique à l’égard de l’islam.
Il s’agit là d’une attaque des plus inquiétantes à l’encontre du Premier Amendement de la part de 30 membres démocrates de la Chambre des Représentants. Et ce n’est que le début des réjouissances, qui vont pleuvoir sur le peuple américain, majoritairement farouchement attaché au Premier Amendement.
Premier amendement à la Constitution des Etats-Unis, 1791
Le Congrès ne pourra faire aucune loi ayant pour objet l’établissement d’une religion ou interdisant son libre exercice, de limiter la liberté de parole ou de la presse, ou le droit des citoyens de s’assembler pacifiquement et d’adresser des pétitions au gouvernement afin d’obtenir réparation des griefs.
Les Démocrates ont exercé à plusieurs reprises des pressions sur Facebook et autres médias sociaux pour qu’ils retirent les messages, qu’ils désapprouvent politiquement, qu’ils soient émis par Donald Trump ou d’autres conservateurs, érodant ainsi la mince ligne, qui sépare les sociétés privées agissant de leur propre initiative et les responsables gouvernementaux conspirant pour violer le premier amendement en interdisant certains types de discours politiques.
Quand une entreprise a subi suffisamment de pressions de la part de certains responsables gouvernementaux, opposés à l’Administration Trump, pour censurer certains types de discours, la décision de l’entreprise de censurer ces discours devient une censure gouvernementale.
Trente membres de l’Assemblée voudraient maintenant que Facebook interdise toute critique à l’égard de l’islam et les protestations politiques contre le terrorisme islamique. L’un des rares exemples de contenu anti-musulman mentionné dans la lettre se référait à une protestation politique contre la conférence de la «Société islamique d’Amérique du Nord» en 2019. L’ère obscure du pseudo chrétien, mais vrai musulman Hussein Obama est de retour pour le plus grand bonheur de l’OCI. ( l’Organisation de Coopération Islamique constituée de 57 pays musulmans.)
[ L’objectif affiché de cet «ONU» islamique est l’adoption au niveau mondial « de nouveaux instruments à valeur juridique contraignante » ou la création de jurisprudences répressives nationales visant à criminaliser la critique de l’islam et le blasphème. L’Arabie saoudite et le Pakistan, deux états membres de l’OCI, réputés pour leur admirable tolérance à l’égard des minorités non musulmanes, sont à l’origine de ce « djihad juridique » à l’encontre de l’Occident.]
A cette conférence participaient deux candidats démocrates à la présidentielle, Bernie Sanders et Julian Castro. Le modérateur était Salam Al-Marayati, le leader du MPAC (Muslim Public Affairs Council), qui défendit les organisations terroristes du Hamas et du Hezbollah. L’imam Siraj Wahhaj, un co-conspirateur non inculpé de l’attentat du World Trade Center, assistait également à cette conférence. Il défendit le droit islamique de tuer les homosexuels. Bref, que du beau monde !
C’est le genre d’information qu’Omar, AOC, Tlaib et les autres signataires de la lettre aimeraient voir interdire sur les réseaux sociaux.
Les Démocrates tentent de censurer les plaintes ciblant leurs propres candidats. Cela constitue une violation flagrante du Premier Amendement, qui vise justement à empêcher que cela se produise.
Le Parti social de la Justice veut interdire aux Américains de manifester contre un imam qui dit : « Frères et soeurs, vous savez quelle est la punition, si un homme est trouvé avec un autre homme ? Le prophète Mohammad a dit que les deux soient tués. »
Que se passe-t-il quand «un contenu anti-musulman» fait face à « un contenu homophobe ? » Comme les trente signataires de la lettre ne veulent pas que cela se sache, ils ne le mentionnent pas ce cas dans leur missive.
Même Omar et Tlaib ne peuvent ouvertement réclamer une réglementation sur le délit de blasphème pour les réseaux sociaux, mais elles demeurent vagues sur le « contenu anti-musulman » et demandent ensuite à FB d’externaliser les protocoles de suppression des contenus anti-musulmans à des « cadres supérieurs, axés sur le fanatisme «anti-musulman », soutenus par une formation sur la diversité, les questions de droits civils , les tropes, les phrases, les métaphores ou les images utilisées par les acteurs de la haine anti-musulmane pour déshumaniser et diaboliser les musulmans. »
Et si cela ne suffisait pas, un tiers indépendant serait habilité à vérifier si FB se conforme bien aux directives.
Le CAIR et autres groupes liés aux Frères musulmans seraient invités à définir ce qu’est « un contenu anti-musulman ». Ensuite, des cadres supérieurs, approuvés par le CAIR et ses alliés établiraient des politiques de modération pour supprimer les tropes utilisés par les acteurs de la haine comme « djihad », « charia »,« taqiyya » et « terrorisme ». En bref, il serait interdit de révéler la véritable nature de la religion d’Allah. Ainsi, les caricatures de Mahomet, toutes mentions de blasphème, de haine et de terrorisme seraient censurés. Il n’est pas difficile de repérer le genre de contenu traqué par ces « combattants de la tolérance et de la Vérité » , deux vertus si chères aux démocrates.
Sans surprise, la lettre des 30 députés démocrates islamophiles hostiles à la liberté d’expression a été soutenue par le CAIR (autre organisation islamique malfaisante avec pignon sur rue, très appréciée par Hussein Obama) et le Groupe des réseaux islamiques, (une garantie d’objectivité), mais au-delà de ces groupes islamistes traditionnels, il y a aussi le soutien de groupes comme Code Pink [Women for Peace (Code Rose: Femmes pour la Paix)] et JVP [The Janatha Vimukthi Peramuna or People’s Liberation Front] et autres organisations « pacifistes». Ces groupes ne sont pas très concernés par le blasphème, ils se concentrent surtout sur les moyens d’empêcher les USA de lutter contre les terroristes.
Le CAIR avait exigé de la Cour Suprême le retrait de l’image de Mahomet et plus récemment, il compara les journaux publiant les caricatures du prophète bien-aimé – l’exemple à suivre par l’Humanité toute entière – à l’EI. Un membre du Conseil d’Administration du groupe des Frères musulmans avait insisté sur le fait que « le droit à la liberté d’expression n’était pas absolue. » Ils émigrent en Occident, puis ont l’outrecuidance d’exiger, que nous appliquions les Droits de l’Homme selon la charia.
Les Pères Fondateurs et la Constitution n’auraient jamais accepté de telles récriminations.
La lettre cite également un rapport de « Muslim Advocates » énumérant des exemples de « contenu anti-musulman » à censurer par Facebook, notamment l’appel du Président Trump à stopper l’immigration en provenance de nations terroristes islamiques, une publicité de campagne de Trump décrivant Alexandria Occasio-Cortez, Ihlan Omar, Rachida Tlaib et Ayanna Pressley comme des socialistes, qui ne se privent pas de faire des « remarques anti-Israël, anti-USA et pro-terroristes. » En somme, de bonnes « patriotes » comme Joe Biden et sa clique adorent. En outre, AOC, Omar, Tlaib et d’autres démocrates ont demandé verbalement à Facebook de censurer tous les discours politiques critiques à leur égard. Une attaque grotesque contre le Premier Amendement !
* (« Muslim Advocates » est une organisation nationale de défense des droits civils qui travaille dans les tribunaux, dans les sphères du pouvoir et dans les communautés pour mettre un terme au sectarisme. Ils veillent à ce que les musulmans américains disposent d’un siège à la table des négociations avec une représentation d’experts, afin que qu’ils puissent tous vivre à l’abri de la haine et de la discrimination. Ils demandent à Joe Biden (le President-Elect) de respecter ses promesses politiques à l’égard des musulmans et de ne pas oublier qu’ils ont contribué à son élection.) Les Black Lives Matter fredonnent aussi la même chanson aux oreilles de Sleepy Joe.
Un autre exemple de « contenu anti-musulman » cité dans le rapport de « Muslim Advocates » est celui d’un utilisateur israélien de Facebook, ayant écrit des commentaires négatifs sur les antisémites Omar et Corbyn et l’islamophile Trudeau.
En réponse à ces critiques, Omar déclara que « l’ingérence étrangère – que ce soit par le biais d’individus ou celui d’un gouvernement – représente toujours une grave menace pour notre démocratie. » Et d’ajouter : « des acteurs malveillants opérant au départ d’un pays étranger (Israël) diffusaient des informations erronées et des discours de haine pour influencer les élections aux USA. »
Mais, une fois de plus, le type de « contenu anti-musulman » qu’Omar et ses alliés politiques semblent vouloir interdire n’implique que les critiques à leur égard. La grave menace ici vient de la députée Ihlan Omar.
Dans leur lettre, les signataires exigent également de Facebook la suppression de « tout contenu haineux dirigé contre un groupe religieux ou ethnique. » Omar devrait alors être la première sanctionnée, vu ses tweets antisémites, notamment son infâme tweet « Benjamins » publié en 2019. Répondant au journaliste de gauche Glenn Greenwald, qui critiquait les politiciens s’opposant à un boycott contre Israël, Omar, à peine élue au Congrès, cita dans son tweet le titre d’une chanson du rappeur Puff Dady : « It’s all about the Benjamins, baby. » En d’autres termes : c’est une question d’argent (Benjamins désignant les billets de cent dollars à l’effigie de Benjamin Franklin).
Pressée d’expliciter sa pensée, elle répondit par un mot : AIPAC, (American Israel Public Affairs Committee) ses détracteurs, républicains et démocrates, l’avaient accusée d’avoir versé dans les clichés antisémites de l’influence financière des Juifs américains sur les élus.
Si les démocrates de la Chambre étaient sérieux dans leur volonté d’éliminer la haine, ils auraient déjà commencé par supprimer Omar de leur liste.
Facebook s’est déjà engagé dans une vaste politique de surveillance et de censure. Il ne s’agit pas de lutter contre le sectarisme, mais de supprimer les discours et les contenus politiques perçus par les islamistes comme blasphématoires. Il s’agit également de supprimer les organisations politiques qui luttent contre la haine et la violence islamiques.
Ce n’est pas une coïncidence si le type de discours politique, qu’ Omar, Tlaib, Carson et autres membres de la Chambre veulent censurer, jette une lumière négative sur leurs propres alliances politiques avec les islamistes, leur sectarisme, leur fanatisme et leurs points de vue odieux. Ils aimeraient que FB fasse la censure à leur place.
Plus les responsables démocrates exposeront le type de censure qu’ils souhaitent voir appliquer aux plateformes Internet, plus la garantie de liberté d’expression du Premier Amendement deviendra lettre morte. Et cette missive, signée par 30 démocrates de la Chambre des représentants, est une nouvelle menace pour la liberté d’expression du peuple américain.
L’Amérique n’a pas de lois sur le blasphème. Et les politiciens ne sont pas autorisés à interdire les discours, qu’ils n’aiment pas. La lettre à Facebook signifie qu’il y a danger: il est plus urgent que jamais pour les élus, fidèles au Premier Amendement, de trouver des moyens de protéger le marché des idées de la censure politique des démocrates et de Facebook.
Le CAIR a évidemment remercié la députée Debbie Dingell (D-MI) et les 29 collègues du Congrès qui l’ont rejointe pour avoir exhorté Facebook à prendre des mesures immédiates afin d’éliminer le fanatisme anti-musulman de cette plateforme des médias sociaux.
Le climat politique est aujourd’hui si rance que Mme Dingell ne paiera aucun prix politique, ni pour son association avec le CAIR lié au Hamas, ni pour son opposition ouverte à la liberté d’expression. Elle demande à Facebook de supprimer les appels à « la violence, au génocide et à l’internement des musulmans ». (?) Sait-elle que le CAIR et ses alliés diabolisent et stigmatisent depuis des années toutes discussions honnêtes sur l’idéologie motivant le terrorisme du djihad en les qualifiant « d’anti-musulmans » ?
Par cet appel à la censure, Dingell contribue activement aux efforts de l’OCI et du CAIR à réduire au silence toutes les critiques de l’Islam et favorise l’acceptation tacite de la loi sur le blasphème selon la charia.
Ces stratégies subversives appliquées par des organisations islamiques, soutenues par les décérébrés occidentaux, aveuglés par leur idéologie progressistes multiculturaliste, œuvrent plus efficacement encore que les terroristes islamistes à la destruction de nos valeurs judéo-chrétiennes et à notre future soumission à l’idéologie, qui aime la mort. Ils n’ont nullement besoin d’une armée, l’Occident leur offre la victoire sans combattre sur un plateau d’argent.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources :
- « Omar, Tlaieb and AOC demand Facebook Remove 100% of «Anti-Muslim Cotnent ».» Daniel Greenfield (FrontPAge Mag)
- « Rep. Debbie Dingell Demands Facebook remove Criticism of Islam. » (Jihad Watch)
Ils ne devraient pas s’amuser à tenter de changer la CONSTITUTION des ETATS-UNIS car c’est TOUT LE PEUPLE qu’ils vont devoir affronter !
Stratégie parfaitement au point à l’usage des benêts occidentaux.
Ils utilisent notre tolérance pour établir leur intolérance.
“Ils utilisent notre tolérance pour établir leur intolérance.”
Tout est dit dans cette phrase, mais comment se peut il que les “benêts occidentaux” soient si aveugles qu’ils ne puissent voir leur intolérance?
paece qu’ils sont encore trop gras!
De telles propositions expliquent mieux que tout le nombre de comtés remportés par Donald Trump
Pourquoi Tlaieb montre ses cheveux ? FB et FBI , ça commence à se ressembler .
Les musulmans veulent interdire la critique de l’islam parce qu’ils savent qu’il n’y résisterait pas. Rien que dans le coran il y a des preuves que l’islam est un mensonge.
Si 30 personnes arrivent à changer la constitution c est que les américains sont cons et mous du genoux.
Je trouve que ce qui se passe aux USA rappelle, en plus grand, ce qui s’est passé ou est entrain de se passer en France.
TRES IMPORTANT: ECRIVEZ UN ARTICLE ET POSTEZ LE LIEN VERS cette toute nouvelle vidéo qui ne devrait pas rester longtemps sur Youtube vu la censure qui y règne. Raison pour laquelle il est recommandé de la copier et de la diffuser.
“Les malversations des Biden en Ukraine sont dévoilées par la justice de ce pays dans cette vidéo. Elles sont massives, extrêmement graves et prouvées par les autorités Ukrainiennes.”
Voici le lien:
https://www.youtube.com/watch?v=hKDXVo-OKeQ&feature=emb_logo