Nous voici arrivés à l’ère de la détestation de notre société, des griefs infinis des minorités, de la disparition des sexes. La civilisation blanche doit s’effacer.
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Dans quel monde les enfants doivent-ils se construire aujourd’hui ? Selon une élite qui rallie de plus en plus d’activistes, de chercheurs et de journalistes, ils doivent vivre dans un climat d’exécration de leur société, fut-elle la plus avancée, la plus égalitaire et tolérante de la planète. Ils doivent ignorer toutes les autres pour que la leur paraisse la pire. Ignorer les nations patriarcales, homophobes, racistes.
Ces enfants ne doivent plus lire de contes de fées. Trop truffés de stéréotypes. Ils sont invités à parcourir les ouvrages d’hier avec les lunettes d’aujourd’hui. A déboulonner des statues avant, qui sait, d’organiser les premiers autodafés d’ouvrages non conformes. On traque le genre à la récré, au rayon jouets, à l’école, dans l’histoire. C’est l’ère de la « cancel culture » de l’Occident, la culture de l’effacement.
Les enfants doivent apprendre que leurs parents ou grands-parents ont rendu la planète invivable. Qu’ils ont organisé et entretiennent un système raciste. Le racisme ne vise que les gens de couleur, même si ceux-ci estiment que les Blancs doivent disparaître. Les Noirs sont purs et blancs, alors que les Blancs sont vils et noirs. Tout Blanc est un raciste qui s’ignore, et tout Noir ne veut pas savoir s’il ne serait pas un descendant de négriers africains. Aujourd’hui, le rôle de victime, se plaindre et être plaint est le statut le plus enviable.
Des chercheurs suisses ont fait cette découverte stupéfiante : des personnalités qui ont marqué l’histoire trafiquaient avec des colonialistes, voire des esclavagistes. Pour répandre la nouvelle, il faut battre le tam-tam dans toutes ces écoles du pays ! Convaincre les élèves qu’ils sont confrontés à un « racisme systémique ».
Comme l’observe Douglas Murray, le but de ces militants « progressistes » « n’est pas d’éteindre les flammes, mais de souffler dessus, non d’apaiser, mais d’embraser. » (1) Avec eux, la chimère de l’anticapitalisme se relève.
Ma maman est aussi mon papa
Ces enfants n’ont pas forcément un père et une mère, mais deux papas ou deux mamans. Et parfois une maman qui est aussi leur papa, par exemple lorsqu’avant de changer de sexe, un homme fait congeler son sperme puis en fait bénéficier sa compagne. La filiation ressemble parfois à un rébus : « Un homme transgenre et son compagnon non-binaire donnent naissance à un enfant issu du sperme d’une femme transgenre. »
Il leur faut apprendre un nouvel alphabet : LGBTQIA + (2), des minorités qui ne demandent pas seulement reconnaissance et non-discrimination, mais multiples changements sociétaux.
Nos chérubins pensent-ils qu’ils sont ce que leur sexe indique ? Absurde ! Ils sont invités, très jeunes, à se demander s’ils sont filles ou garçons, ou les deux, puisque le sexe n’est qu’une « construction sociale ». S’ils veulent passer de fille à garçon ou l’inverse, le début du processus peut être rapide. Une vidéo montre un transgenre de 8 ans, garçon devenu fille qui exprime sa joie à une assemblée de politiciens espagnols.
C’est une preuve de plus que lorsqu’un enfant affirme être du sexe opposé, il doit glisser sans aucun obstacle sur ce versant. En Suisse par exemple, dès 16 ans, la « conviction intime » du jeune suffira : pas besoin de l’autorisation des géniteurs. Comme le dit une activiste : « Si tu veux être une drag queen et que tes parents ne te le permettent pas, tu as besoin de nouveaux parents. »
Cette promotion a un effet entrainant. Dans notre pays comme dans tout l’Occident, « on observe une hausse nette du nombre de consultations d’enfants et d’adolescents qui s’interrogent sur leur identité de genre ». Les spécialistes, comme les cliniques se multiplient.
La Suisse romande s’adapte. Le canton de Vaud vient de nommer une experte en études genres, Caroline Dayer, pour agir « contre l’homophobie et les transphobies » dans les lieux de formation. La nouvelle haute fonctionnaire se demande pourquoi le sexe « est basé sur nos organes génitaux externes. Il pourrait l’être sur nos chromosomes ou nos hormones… » Pas de problème donc que des enfants changent de sexe à leur guise, selon le temps ou leur humeur. Pour les y aider, promet Caroline Dayer, « des procédures et des outils pédagogiques » vont être créés dès le primaire. L’humain devient la seule espèce où la femelle ne se distingue pas du mâle.
Genève s’en voudrait de prendre du retard sur ces délires. Le canton vient de fonder un centre consacré aux « sciences des sexualités » codirigé par Fernando Miranda. Vous avez l’impression d’entendre parler de sexe et de genres tout le temps ? Erreur. « Le tabou sexuel est encore très puissant ». Et la science lui a déjà appris que « d’un point de vue sociologique, il existe un continuum entre le sifflement de rue et la personne qui est tuée au sein de son couple ».
Le mâle hétéro doit disparaître
Le mâle hétérosexuel de plus de 50 ans est une cible de choix. Andrea Novicov, homme blanc de plus de 50 ans et directeur du Théâtre de l’Orangerie à Genève, semble prêt à se sacrifier : « Notre théâtre s’attaque au mâle blanc (…) cette créature arrogante qui réifie celui qui ne lui ressemble pas. Sa chute est la seule solution pour qu’une autre organisation du monde advienne. »
Ces changements se sont faits à la vitesse de l’éclair. Les médias, chiens de Pavlov de ces fureurs, interviewent avec une vertigineuse complaisance leurs théologiens. Le Temps en est l’exemple le plus effarant. Il s’enthousiasme par exemple sur le non-choix : « Le “genderfluid” s’impose dans la mode et les campus. Il consiste à zigzaguer entre masculin et féminin, refuser de se déterminer fille ou garçon, ou s’identifier au sexe opposé », n’être appelé « ni Madame, ni Monsieur ». Ces paroles viennent d’une génération « éperdue de liberté et de tolérance, dans tous les domaines ».
Les pouvoirs blancs, hétéros et femmes ont accueilli des dizaines de millions de réfugiés et autres immigrés, leur ont permis d’obtenir soins, nourriture, formations, etc… Ils se voient renvoyer une image d’eux-mêmes exécrable.
La créativité des expressions est dévorante, les dictionnaires sont à la traîne. La « masculinité toxique » en fait partie. Les chercheurs suisses appartiennent au troupeau des suiveurs. Et une invitée du Temps explique que « la masculinité toxique menace le monde ». Ce fléau, comme les autres, doit être combattu au nom des droits humains devenus le réceptacle de toutes les exigences, dont le « droit à l’enfant ». Le festival des droits humains de Genève est donc forcément de la partie : « Misogynie, culture du viol, homophobie, encouragement à la violence ou encore refoulement des émotions : comment combattre les masculinités toxiques ? » interroge-t-il en présentant un film.
Un jour, les « trouples » (trois personnes vivant ensemble) réclameront aussi leur droit à l’enfant. Et j’allais oublier : l’intersectionnalité est aussi à prendre en compte, soit l’empilement des discriminations comme le fait d’être femme, noire et musulmane. Ce qui exige de lourdes réparations.
Devenus ados et adultes, ceux qui auront quelque velléité de révolte apprendront vite à courber l’échine. Les réseaux sociaux, nouvelles maisons de redressement, s’en chargent.
Les gouvernements se plient aux normes transgenres
A l’image du mouvement de défense des homosexuels, passé d’un juste combat à un lobby politisé, prosélyte et intolérant, les « trans » imposent leurs normes. Aux Pays-Bas, les papiers d’identité n’indiqueront plus le sexe. La ministre Ingrid van Engelshoven estime que les citoyens doivent pouvoir « façonner leur propre identité et la vivre en toute liberté et sécurité ». La Belgique envisage de mentionner un « troisième sexe » sur les actes de naissance. Pour La France insoumise, la mention du sexe à l’état civil est « oppressive ». D’autres gouvernements suivent.
Les Verts ont bien sûr adopté le bréviaire. En Franconie (Allemagne) ils demandent déjà un jour de piscine réservé aux transgenres.
Les citoyens subissent ainsi la loi de quelques pour cent sans que les problèmes liés au changement de genre, par exemple, puissent être discutés. Et ils ne manquent pas. Effet d’entraînement ? Désir de se transformer de fille en garçon pour échapper à une attirance homosexuelle mal vécue ? A partir de quel âge un enfant peut-il être sûr de son orientation ? Quelles conséquences lorsqu’on veut revenir à son sexe d’origine ? Ces questions combattent la simplette « approche affirmative » des trans militants (je le pense donc je le suis). Murray montre quelques conséquences de ces dogmes. Par exemple le parcours de Karen White qui lorsqu’il était homme, avait été reconnu coupable de viol. Bien qu’il ait gardé ses organes sexuels, il a voulu être placé dans une prison pour femmes. Il y a agressé sexuellement quatre détenues. Au Canada, une transsexuelle de sexe masculin à sexe féminin, est autorisée à suivre une formation de conseillère pour les femmes victimes de viol. Les lesbiennes féministes montent au créneau. Quant aux conflits liés au sport, lorsqu’un homme devenu femme écrase ses concurrentes, ils se multiplient.
Un long article, passionnant, dessine tout en nuances le paysage de cette problématique trans (recherches, tendances, réussites et échecs, témoignages).
L’hétérosexualité n’a plus la cote. Pourtant puisque le genre est un choix, remarque finement le blogueur John Goetelen, « les personnes homosexuelles devraient être encouragées à changer leur orientation sexuelle, ou du moins à la fluidifier et à s’ouvrir à l’hétérosexualité. » Or, c’est bizarrement inconcevable. Dans la même veine, si le sexe est une construction sociale, pourquoi tant de gens en changent au prix de reconstructions physiques éprouvantes et douloureuses ?
Violences au programme
Les chercheurs, les universités, les gouvernements même, plongent avec délices dans ce ruissellement de nouvelles normes. Les campus étasuniens y ajoutent la violence. Là-bas, les interdits, les sanctions, les agressions contre les réfractaires ou ceux qui posent des questions, sont courantes. Mike Adams, un professeur américain menacé et harcelé s’est suicidé l’été dernier. On ne sache pas que les maîtres des réseaux sociaux se soucient de tous ces manquements aux « règles de la communauté ».
Le champion de formule1 Lewis Hamilton a naïvement trébuché. Il a publié une vidéo où son neveu était déguisé en fée. Il lui disait : « Pourquoi tu t’habilles en fille ? Tu es un garçon ! » Les réseaux sociaux ne l’ont pas manqué, les médias non plus. Il s’est très vite excusé.
La France adopte ces nouveaux comportements. Titre d’un article du Figaro : « Censure, menaces, violences : la difficile liberté d’expression dans les universités françaises ». Le débat intellectuel est muselé. Les recherches sont davantage destinées à confirmer des idées plutôt qu’à enrichir le savoir. Quel chercheur oserait contredire le nouveau catéchisme ?
Les femmes, les minorités, Noirs, homosexuels, trans sont la vertu incarnée. Lorsqu’ils auront pris le pouvoir, l’humanité radieuse aura éclos. Les institutions, les entreprises, les publicités se soumettent à cette nouvelle doctrine.
Comme le remarque Ris, la société devient « un assemblage de petits groupes, tous enfermés dans leurs “différences”, chacun avec ses revendications, ses griefs, ses doléances, ses récriminations, ses requêtes et ses complaintes… »
Et Sylvain Tesson : « Nous ne comprenons pas encore qu’il faut ralentir notre course vers ce gouffre que nous continuons sottement à appeler le progrès. »(3)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mireille Vallette pour Dreuz.info.
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• « La grande déraison» p.441
• Lesbiennes, gays, bisexuels, trans, queers, intersexes, asexuels et « + » pour d’éventuelles nouvelles catégories. Par exemple « bispiritualité » qui se réfère « aux Amérindiens s’identifiant comme ayant à la fois un esprit masculin et un esprit féminin » (Wikipédia)
• « Un été avec Homère » p.69
Vraiment, pas d’idée quoi à dire…j’espère les choses ne se bougent pas vers Rhinocéro de Ionescu. Non, je ne change pas…mais le pauvre Bérenger a eu des problèmes…
Au fait, le le premier rhinocéros de Ionesco, était-il mâle ou femelle, transgenre ? Noir ou blanc, métis ? Quand j’ai lu ce livre, je ne m’étais pas posé ces questions… Et de toute façon, un rhinocéros en Europe, me direz-vous, ce serait encore un pillage de l’Afrique. Ionesco était-il visionnaire?
Le futur des enfants en particulier est bien sombre ……………
Mais non, voyons.
Un futur arc-en-ciel ne saurait être sombre !
L’Arc-en Ciel que ces minorités brandissent est incomplet….il lui manque une couleur. Donc ce n’est pas une Alliance reconnue………….
Bah oui mais la couleur en question ne fait plus d’enfant justement ! La cause de tous ses malheurs.
Travailler ou faire des bébés, il faut choisir. À moins de ne vouloir faire les deux qu’à moitié… Pas très satisfaisant non plus 🤷♂️
Quels enfants ?
👶🏾👶🏾👶👶🏾👶🏾👶🏾👶👶🏾👶🏾👶🏾👶🏾
Article très bien venu par ,les temps qui courent. Merci Mireille Valette.
Vous faites bien de sonner le tpcsin car la folie se répand très vite dans toute la société, à l’instigation de ces cinglés de socialo-gauchistes infiltrés partout aujourd’hui.
J’emploie le mot « cinglés » à dessein car c’est bien de ça qu’il s’agit. Une folie qui devient collective et atteint tout le corps social. Le grand psychologue et psychothérapeute américain Milton Erickson avait vu le problème.
Dans un de ses ouvrages dont j’ai oublié le nom il explique que la folie, la psychose, l’aliénation qui se produisent chez un individu peu aussi se produire dans un groupe. Ce groupe peut etrerestreint ou large. Il peut avoir un focus religieux, politique ou culturel. Dans ces cas-là interviennent aussi les théories de Gustave le Bon sur la psychologie des foules…
Dans l’épisode que nous vivons actuellement, et que je trouve assez effrayant , il est clair qu’il s’agit d’une crise de folie collective. Cela n’augure rien de bon.
Que le public ne réagisse pas et se laisse manipuler et hypnotiser est aussi inquiétant… Si au début des années 1930, quand un certain Adolf Hitler montait sur une table de bistrot à Munich pour érurcter ses insanités, quelques uns des clients lui avaient enjoint de la fermer, le futur dictateur n’aurait peut-etre pas réussi plus tard à entrainer tout un peuple dans sa folie…
ERRATUM
Prière bien lire: Sonner le tocsin.. Merci
La noire sur la photo est, par contre, très « intégrée’…elle s’est déjà fiché un anneau dans la truffe à l’instar d’une vache suisse ! C’est pas beau ça ? Qui aurait pu croire que la Suisse souffrirait des mêmes maux que ses voisins ?
Vous avez l’œil.
En cas de rhume, ça doit être sympa cet anneau !
Je ne vois que sodome et GOmmhore rien de nouveau sous le soleil. Dieu en a fait un beau brasier. Pas étonnant que tous les volcans se réveillent. La terre est réservée pour le feu.
La suisse et le reste du monde… À part en Afrique et au Pakistan, des contrées qui résistent au surdéveloppement, la natalité ne cesse de reculer. Comment croire en l’avenir ?
En lisant l’article, je me suis demandé s’il valait la peine de se battre et se morfondre pour laisser un monde meilleur aux prochaines générations, sachant que beaucoup aspirent à surtout ne pas nous ressembler.
Certes, ce n’est pas la majorité mais c’est quand même assez pour que des états créent des postes pour gérer ces situations d’un nouveau genre.
Plus les minorités sont stupides et plus elles veulent diriger! Mais cela aura une fin. Ce sont les majorités qui doivent commander, du moins lorsqu’elles sont intelligentes, et la débilité actuelle de la société aura une fin.
C’est parce que tu te trompes à la base. Qui est la minorité aujourd’hui ?
Ceux que tu crois qu’ils constituent la majorité sont déjà à la retraite et n’ont pas vraiment de succession. Faut qu’ils laissent la place 🤷♂️
On comprend que les musulmans refusent cette non-civilisation qu’on leur propose !!!
Je me sens très bien dans ma peau d’homme blanc imparfait de plus de 50 ans hétéro et fier de l’être.
Bien-sûr que pour les » progressistes ª qui ne savent plus quoi inventer pour emmerder le monde, je suis complètement dépassé.
Plus le temps passe et plus je me dis que c’était vraiment mieux avant.
Surtout ne changez rien !
Telle est bien mon intention.
Tu es dépassé !
Combien tu as d’enfants ?
Et ne me réponds pas que tu en a 17 comme le vieux Traoré, je ne te croirais pas 😅
J’ai deux enfants et deux petites-filles.
Ce qui me dépasse, c’est de constater qu’en France et ailleurs les belles choses de la vie se délitent sous les coups de butoir des « progressistes ».
La majorité silencieuse, ceux qui font tourner la machine, travaille, paye et n’ose pas se plaindre de peur de se voir qualifiée de rétrograde.
Tu as fait ton devoir, tres bien, mais tout le monde ne peut pas en dire autant 😉
Tu as raison, tout le monde a peur. Parce que les gauchistes et les antifas sont violents, tout simplement. C’est une forme douce et insidieuse de terrorisme. Si tu ouvres la bouche ils te tombent dessus furieusement. Harcèlement, menaces et finalement violences.
Jamais les médias ne les dénoncent, évidement. Soi disant qu’eux même auraient peur. Tu parles, dans chaque manif il y a dix “journalistes” pour un antifa. Ils prennent la pose, faut que tout le monde les voit en train de casser. Que tout le monde flippe. L’essence du fameux plafond de verre…
Si jamais les “populistes”, des patriotes légitimistes, passent ce sera un bordel innommable. Prétendument… Antifa, blacklivesmatter, lgbt, ce sont tous les mêmes. Des émeutiers professionnels, intersectionnels. La police leur ouvre les porte puis les regarde faire. Ils sont là pour discréditer tout ceux qui s’oppose au gouvernement de gauche.
Macron, Hollande, c’est la même ! Nous vivons en dictature, pas seulement à cause du Covid. En France, le secteur publique représente 35% de l’emploi et ça continue d’augmenter malgré les privatisations.
Tous ces fonctionnaires qui se serrent les coudes, c’est la marque d’une dictature socialiste ! Flics, juges, éducateurs, hospitaliers… Journalistes subventionnés, artistes subventionnés… La liste est longue.
Tant qu’on ne reprendra pas la rue à ces authentiques fascistes, humanistes mon cul, libertaires mon cul, on n’arrivera à rien.
Tant qu’on continuera d’écouter une presse indigne, tant qu’on regardera encore la télévision, toujours le même son de cloche, on n’arrivera à rien.
Tant qu’on fera confiance à la police pour nous protéger, alors qu’elle ne fait plus que nous mettre à l’amende dès qu’on fait un pet de travers, nous les gens normaux et intègres, on n’arrivera à rien.
Idem la justice et l’éducation.
L’immigration de masse est devenu un principe sacré que nul n’a le droit de remettre en question. Ça nous divise, ça détruits nos identités. C’est le chaos. Mais on n’a pas le choix. Qui payera nos retraites ?
On n’a pas la chance d’être aux USA. Ici le crime de haute trahison a été aboli. L’armée est au service de la police, plan vigipirate oblige. La constitution n’est pas protégée, le législateur n’hésite pas à mettre des coups de canif dedans. Et les lois contre la haine… Mais qui a vraiment la haine ? Les gauchistes ou bien nous, les conservateurs ?
Petit à petit, on se la fait mettre profond. L’état de droit est un canular. Les lois sont faites pour protéger les criminels et pour condamner les gens honnêtes. De toute façon elles ne sont plus respectées, sauf quand ça arrange le gouvernement, les journalistes et les gauchistes en général.
Mais bon, pour en revenir au sujet : On ne fait plus d’enfant et donc on ne croit plus en rien. L’avenir pour nous c’est la retraite. Il n’y a plus que ça qui nous préoccupe. Nous sommes des mollusques 🤷♂️
@ Bruno
Vous décrivez bien la situation. Bravo.
La maladie mentale a pris le dessus –
Ce qui était bien est devenu mal et le mal est devenu bien.
C’est le monde a l’envers.
On appelle ça l’athéisme 🤷♂️
Pour le paragraphe concernant le canton de Vaud, il faut préciser que le gouvernement est composé en majorité de gauchistes femelles, qui ont toujours une copine de parti ou de lit à caser. L’une d’entre-elles a même bénéficié d’une emploi à la limite du fictif de la part d’une de celles qui l’ont précédée.
Faisons comme eux:
Moi homme, masulin, hétéro, papa, Suisse et fier, blanc, chrétien, pro mariage et famille, ami d’Israël, voyant Trump comme un atout pour les USA et bien plus… j’existe, et je veux qu’on me reconnaisse, le monde ne m’aime pas, j’ai des droits, respectez ma minorité…
Tu tiens vraiment à ce qu’on se foute de ta gueule ?
La victimisation ne fonctionne que parce qu’elle est mensongère.
Pourquoi tu crois qu’il y a autant de lettre à l’alphabet : LGBTQIAPK+
Pour que tu te sentes minoritaire !
🤦♂️
Quelle idée d’accueillir des immigrés en masse ! C’est quand ils ne sont plus du tout une minorité qu’ils prennent la confiance et qu’ils commence à rêver, de dégager ceux qui les accueillent 🙄
La vidéo qui montre le petit garçon devenu fille à 8 ans m’a vraiment bouleversé, sa mère prétend qu’il a émis ce souhait à 4 ans, c’est tout simplement ignoble de dire des choses pareilles, ce pauvre gosse va avoir un avenir terrible à cause de sa mère qui a joué avec lui comme avec une poupée
Tous les psychologues vous diront que les transgenres ont de gros problèmes psychiques, ils doivent combattre en permanence leur nature réelle, et pour certains ce combat est tellement difficile qu’ils se suicident
Nous savons bien que ceci est favorisé par les mondialistes, car un individu qui ne sait plus qui il est ne représente plus aucun danger
Et ce n’est pas que dans ce domaine, ils nous accusent d’esclavage alors que nous n’étions pas nés, un bébé est coupable de tout ce que l’humanité a pu faire comme horreurs alors qu’il a encore son biberon dans la bouche
On dit que ce monde est fou, non il n’est pas fou, c’est volontairement que certains individus s’acharnent à nous rendre fous, pour servir leurs seuls intérêts