Publié par Guy Millière le 17 janvier 2021

Depuis que Donald Trump s’est présenté à la présidence des Etats-Unis en juin 2015, quasiment tous les journalistes de la planète se sont acharnés sur lui, l’ont insulté, diffamé, traîné dans la boue.

Lorsqu’il est devenu Président, cela s’est intensifié, et si aux Etats-Unis les articles et reportages qui lui ont été consacrés ont été, selon des études, négatifs à hauteur de 92 pour cent, en France et dans d’autres pays d’Europe, le chiffre est sans aucun doute plus élevé et frôle vraisemblablement les cent pour cent. Depuis l’élection volée du 3 novembre 2020, l’intensité de la haine déversée sur Donald Trump a décuplé, aux mensonges omniprésents (“il n’y a pas eu de fraudes”) s’ajoute une falsification constante de la réalité, et une occultation quasiment totale de ce que Donald Trump a accompli en quatre années de présidence.

Je détaille et analyse ces accomplissements dans mon livre Après Trump ? (j’y détaille et analyse aussi les épisodes du coup d’Etat mené contre Donald Trump depuis qu’il est Président, et qui connaît sa culmination depuis le 3 novembre), mais je dois rappeler ces accomplissements brièvement, en m’en tenant aux principaux :

  • mise en place de réformes économiques qui ont fait que les Etats-Unis au début du mois de mars 2020 étaient dans la meilleure situation économique qu’ils aient connue depuis plus de cinquante ans, que le niveau de vie de toute la population montait, que le plein emploi existait, et que la pauvreté chutait,
  • renforcement de la sécurité dans tout le pays, sauf dans les villes sanctuaires gérées par la gauche, villes où les criminels avaient quartier libre,
  • destruction de l’Etat islamique, qui était devenu la principale base arrière du terrorisme islamique mondial, et dès lors, disparition presque complète du terrorisme islamique dans le monde occidental
  • endiguement et asphyxie du régime des mollahs en Iran, qui a vu sa possibilité de financer le terrorisme islamique disparaître et son avancée vers l’arme atomique considérablement freinée
  • endiguement de la Corée du Nord, qui a cessé de menacer la Corée du Sud,
  • endiguement de la Chine communiste, qui a vu son avancée vers l’hégémonie mondiale jugulée,
  • endiguement du terrorisme “palestinien”,
  • accords d’Abraham, qui ont suscité la plus grande avancée pour la paix au Proche-Orient depuis sept décennies, et rapprochement historique entre Israël et le monde arabe Sunnite
  • élaboration et production de vaccins contre le COVID 19 en un temps record grâce à l’opération Warp Speed.

Qui oserait trouver à redire à tout cela ? Personne si les faits étaient exposés, mais en dehors de Dreuz et de quelques autres médias dissidents, quasiment personne ne rappelle les faits, et Après Trump ? a été boycotté par tous les grands médias français. Personne ne rappelle les faits dans les grands médias parce que les rappeler montrerait que la haine déversée sur Donald Trump est infecte, et sans autre motif que la haine elle-même.

Rappeler les faits montrerait aussi que les grands médias, et nombre de dirigeants politiques ont en réalité de la haine pour ce que Donald Trump a accompli et pratiquent un odieux assassinat politique (qu’ils ne détesteraient sans doute pas de voir suivi par un assassinat physique tout court).

Les grands médias sur la planète entière n’aiment pas la prospérité dans la liberté et l’élévation du niveau de vie des populations (qui permet d’entreprendre et d’être souverain sur sa vie), et ils n’aiment tout particulièrement pas la prospérité dans la liberté aux Etats-Unis et l’élévation du niveau de vie de la population américaine, qu’ils détestent. Ils soutiennent de manière presque infaillible les régimes qui multiplient les pauvres et détruisent la liberté. Ils détestent le seul système qui permet la prospérité dans la liberté et la prospérité tout court : le capitalisme. Ils détestent tout particulièrement la prospérité aux Etats-Unis parce qu’elle permet aux Etats-Unis de rester la première puissance du monde et de défendre la liberté sur terre, et ils détestent la population américaine, surtout celle appartenant à ce qu’ils considèrent être les “basses classes” : celles constituées des Américains des classes moyennes imprégnés d’amour de leur pays. (Ils font une exception dans leur détestation de la population américaine lorsqu’ils parlent des Américains de gauche très riches qui méprisent eux aussi les “basses classes” et lorsqu’ils traitent des criminels américains, qu’ils adorent, car les criminels américains sont toujours très anti-américains et leur offrent l’opportunité de dire que les Etats-Unis sont un pays violent et monstrueux). Ils ont un amour très limité pour la démocratie, et le vote exprimé par ce qu’ils considèrent être les “basses classes” leur fait en général horreur, et ils le qualifient de vote “populiste” (tout dirigeant politique qui respecte ce qu’ils considèrent être les membres des “basses classes” est à leurs yeux un “populiste”). Ils ont un faible pour les incendiaires, les pillards et les assassins d’extrême gauche, et une aversion assez généralisée pour les forces de police et les forces armées (leurs articles et reportages sur les milices marxistes Antifa et Black Lives Matter, qui ont déferlé sur les villes américaines en juin-juillet étaient emplis de mansuétude, et en parallèle, ils traitaient globalement les policiers américains de racistes ; leurs descriptions ignobles de soldats américains, au fil du temps ,ne se comptent pas).

Ils ont un faible pour le régime des mollahs, la Corée du Nord, la Chine communiste. Ils détestent Israël et préfèrent visiblement Mahmoud Abbas et Ismael Haniyeh à Binyamin Netanyahou. Aucun article, aucun reportage sur Khamenei, sur Kim Jong-un, sur Xi Jinping n’atteint le degré d’animosité malveillante de leurs articles et reportages consacrés à Donald Trump et les articles en question sont souvent respectueux de personnages qui ne méritent aucun respect. Quand ils parlent de Binyamin Netanyahou, la malveillance est perceptible, et quand ils parlent de Mahmoud Abbas ou d’Ismael Haniyeh, ils sont en général plus polis, et ils omettent de signaler que ce sont des assassins antisémites.

Ils ont non seulement de la haine pour ce que Donald Trump a accompli, mais oui : ils ont de la haine pour la prospérité dans la liberté, le capitalisme, l’élévation du niveau de vie des populations qui permet d’entreprendre et d’être souverain sur sa vie. Ils ont de la haine pour les Etats-Unis en tant que première puissance du monde, et puissance défendant la liberté sur terre. Ils ont de la haine pour la démocratie qui permet à des gens des “basses classes” d’exercer leur liberté de choix et de montrer qu’ils sont patriotes. Et oui, ils détestent les forces de police et les forces armées (il leur arrive de le cacher parfois) : surtout les forces de police et les forces armées américaines. Et oui encore, ils préfèrent Khamenei, Kim Jong-Un, Xi Jin Ping à Donald Trump, et Mahmoud Abbas et Ismael Haniyeh à Binyamin Netanyahou.

Ils saluent avec enthousiasme l’arrivée de Joe Biden et sont prêts à décrire un vieillard sénile, corrompu par des puissances ennemies des Etats-Unis, et porté par des fraudes massives comme la huitième merveille du monde parce qu’ils savent qu’il va être très destructeur et très haineux, et ils sont tout aussi enthousiastes vis-à-vis de la femme arriviste, cynique et incompétente qui lui succédera (le fait qu’elle soutienne Antifa et Black Lives Matter ne peut que les séduire).

Ils savent que derrière ce duo de sinistres pantins il y a Barack Obama, dont ils partagent entièrement l’ignominie.

Ils savent que des fraudes massives et organisées ont eu lieu pour voler l’élection présidentielle, et qu’en niant les fraudes, ils mentent éhontément, mais ils savent aussi que les fraudes étaient destinées à éliminer Trump et qu’en mentant, ils contribuent à l’élimination, donc ils approuvent les fraudes et mentent sans hésiter. Comme on dit chez les totalitaires : la fin justifie les moyens.

Ils savent que des juges ont renoncé à juger et ont donc validé les fraudes, que la Cour Suprême a entériné des violations graves de la Constitution, qu’en se battant contre les fraudes Trump s’est battu pour le respect du suffrage universel, pour la démocratie, pour la Constitution, et ils savent qu’il n’est pour rien dans ce qui s’est passé au Capitole le 6 janvier. Ils savent que ce qui s’est passe au Capitole est une trouble opération d’extrême gauche dont le but était de piéger quelques soutiens de Trump, puis de décrire Trump comme un fasciste et les millions de gens qui le soutiennent de “terroristes”, et enfin de mener la plus grande opération de terreur et de purge politique de l’histoire des Etats-Unis, mais ils approuvent  que des juges ne jugent plus, que la Cour Suprême ne défende plus la Constitution, que le suffrage universel, la démocratie et la Constitution soient mis à terre. Ils approuvent que Trump, qui n’a jamais violé une seule fois la Constitution, soit traité de fasciste, que ceux qui le soutiennent soient traités de terroristes, et ils approuvent la terreur et la purge politique en cours.

Ils savent que l‘effondrement de la liberté et de la prospérité se profile aux Etats-Unis, et cela ne les dérange pas, car ils approuvent cet effondrement.

Ils savent que ce qui ce qui prend forme aux Etats-Unis est la dictature d’une nomenklatura de politiciens cyniques, de milliardaires sans scrupules, de grands entrepreneurs pratiquant le capitalisme de connivence et prêts à s’entendre avec d’autres nomenklaturas du même type ailleurs sur terre.

Ils regardant fascinés le “modèle chinois”, et le règne d’une nomenklatura sur une plèbe paupérisée réduite au silence et surveillée sans cesse leur plait.

Ils savent que leurs confrères américains se feront les chantres de la dictature qui prend forme aux Etats-Unis (et qui fait que Washington sera en état de siège et sous occupation militaire, comme la capitale d’une dictature, le 20 janvier), et ils pensent qu’ils pourront eux aussi se faire les chantres de la dictature qui prend forme.

Aucun dirigeant politique sur terre, depuis des décennies, n’a fait autant bien à son pays et au monde que Donald Trump : c’est pour cela qu’ils le détestent, et s’efforcent de l‘anéantir de toutes les façons imaginables. Pour eux, le bien que Trump a fait est détestable et doit être supprimé.

La suppression, je dois le dire, ne sera pas nécessairement facile, et il n’est pas certain que la dictature qui prend forme pourra s’installer sans faire face à des révoltes. Soixante-quinze millions d’Américains ont voté pour Donald Trump, qui est l’homme le plus admiré de la population américaine. Et malgré la haine déversée sur lui, Donald Trump a remporté l’élection le 3 novembre. Cela ne doit pas se dire, je sais…

La version officielle dit que Joe Biden, grâce à son charisme immense à même de réveiller les morts a triomphé, et que les documents qui montrent les fraudes n’existent pas. Elle dit aussi qu’il n’est pas corrompu et que les centaines de documents qui prouvent le contraire n’existent pas non plus.

La version officielle me dégoûte. Qu’elle soit la version de la gauche américaine et mondiale ne me surprend pas. J’ai cessé d’avoir des illusions sur la gauche quand j’avais seize ans. Que des Républicains adhèrent à la version officielle me montre que la gauche fonctionne comme une gangrène qui pourrit même ceux censés être ses adversaires.

Que des lecteurs de journaux et de magazines de gauche adhèrent eux aussi à la version officielle montre la puissance nocive des médias de gauche. Que des médias de droite soient devenus aussi puants que des médias de gauche montre que ce ne sont plus des médias de droite. Les médias ont un immense pouvoir. Ce pouvoir a fait des ravages dans l’histoire du vingtième siècle. Il en fait au vingt-et-unième siècle. J’analyse les méfaits des médias de gauche et des journalistes qui y travaillent. J’analyse, mais je ne comprends pas. Comment peut-on être aussi abject ?  Je n’ai jamais pu comprendre les êtres humains maléfiques et l’existence du mal. Je combats les êtres humains maléfiques et le mal depuis des décennies, sans parvenir à comprendre.  

Je continue à me battre pour des choses qui semblent en voie de disparition : la vérité, la connaissance, le droit naturel des êtres humains, la liberté de parler, penser, choisir, entreprendre.

Certains m’ont demandé si je quitterais les Etats-Unis dans les circonstances présentes. J’ai répondu que je resterais aux Etats-Unis, pour me battre plus que jamais. A la fin de l’hymne américain, il est question de the land of the free and the home of the brave. J’ai choisi les Etats-Unis parce qu’ils sont the land of the free and the home of the brave, et parce que je sais que la survie de la liberté sur terre dépend des Etats-Unis. Donald Trump est toujours mon Président. Il y a, par siècle, deux ou trois hommes de ce courage, de cette noblesse, de cette lucidité, je ferai partie de ceux qui n’entendent pas laisser ce magnifique pays entre les mains d’imposteurs.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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