Publié par Guy Millière le 20 janvier 2021

J’écris ces mots avant que Joe Biden devienne Président des Etats-Unis. Je ne regarderai pas la cérémonie. Elle sera une hideuse imposture.

Joe Biden ne sera jamais Président des Etats-Unis. Je continuerai si je dois citer son nom à l’appeler Joe Biden. Si je dois ajouter un qualificatif, je l’appellerai l’imposteur Joe Biden, parfois peut-être l’escroc Joe Biden, le corrompu Joe Biden, l’agent Joe Biden au service de la Chine communiste. Quand Kamala Harris lui succèdera, je ne l’appellerai pas Présidente. Je pourrais lui appliquer les mêmes qualificatifs qu’à Joe Biden. Jamais les Etats-Unis n’ont porté au pouvoir des gens aussi sordides, lamentables et délétères, et le dire me serre le cœur, car j’ai un amour profond pour ce qui est désormais mon pays. En réalité, les Etats-Unis n’ont pas porté ces gens au pouvoir. Ces gens sont issus de l’opération de fraude la plus massive qu’ait connu un pays du monde occidental. Le nombre de voix qu’il a fallu ajouter, falsifier, trafiquer pour voler l’élection à Donald Trump se chiffre en millions.

Pour que l’opération réussisse, je l’ai dit, il a fallu une organisation, un financement, de multiples participants, des complices par centaines, et même selon toute apparence, des contributions étrangères. Il a fallu la contribution des grands médias et de la plupart des juges américains à qui les dossiers ont été présentés et qui n’ont pas voulu les ouvrir, soit par militantisme, soit par peur. Il a fallu le silence et l’aveuglement volontaire de sept des neuf juges de la Cour Suprême, et parmi ces sept juges, les trois juges nommés par Donald Trump. Il a fallu le soutien de la plupart des grandes entreprises américaines et des principaux médias sociaux, la complicité de la grande majorité des élus du parti républicain qui ont montré qu’ils ne valaient guère mieux que les démocrates. Il a fallu la complicité aussi des principaux dirigeants de l’armée.

C’est terrible à dire, mais toutes les institutions du pays ont failli. Le mérite de Donald Trump face à ces institutions est d’avoir montré à quel point elles étaient pourries de l’intérieur. Et quand Donald Trump a parlé du marécage et de sa volonté de le drainer, il ne savait pas, Jean Patrick a raison, à quel point le marécage était ample, profond, protéiforme. Donald Trump a réussi à s’imposer en 2016, malgré les torrents de boue et les opérations de déstabilisation menées contre lui. Ont suivi quatre années de boue encore plus épaisse et sale et de déstabilisation plus intense encore, quatre années de haine.

Donald Trump avait promis de rendre le pouvoir au peuple américain, et il a tout fait pour cela, et des dizaines de millions d’Américains ont vu qu’il faisait tout pour cela et ont dirigé vers lui un élan d’amour et d’admiration qu’aucun Président n’avait connu avant lui. Cet élan est là, intact. Donald Trump est l’homme le plus aimé et le plus admiré du pays. Et cela ne changera pas. Il est aimé et admiré à juste titre : aucun Président avant lui n’avait fait autant pour le peuple américain, pour le pays.

Ceux qui ont tout fait pour l’abattre et sont parvenus à leurs fins l’ont fait parce que Donald Trump est honnête et intègre, et parce qu’il dérangeait des lors leurs combines et leurs arrangements douteux. Ils l’ont fait parce qu’il aime le peuple américain alors qu’eux le méprisent. Ils l’ont fait parce qu’il aime son pays alors qu’eux le détestent ou portent sur lui un regard cynique. 

Ceux qui ont tout fait pour l’abattre sont imprégnés d’idées radicales. Ils viennent de la gauche radicale des années 1960, gauche dans laquelle on trouvait d’anciens communistes qui avaient renoncé à dire qu’ils étaient communistes. Cette gauche a procédé à ce que l’essayiste Roger Kimball a appelé la longue marche dans les institutions. Leur but était d’éroder le pays de l’intérieur, jusqu’à ce qu’il s’effondre. Ils ont pris l’enseignement, les médias, la culture, la justice, les positions dirigeantes de grandes entreprises. Ils se sont cooptés les uns les autres et ont formé une sorte de nomenklatura. Ils se sont persuadés qu’ils incarnaient le souverain bien et qu’ils devaient régner sur le bas peuple. Ils sont arrivés au pouvoir avec Barack Obama. Donald Trump a été un obstacle à éliminer.

Ils ont choisi Joe Biden pour 2020 parce que Joe Biden est sénile, malléable, sans scrupules ni convictions, et surtout très corrompu. Ils l’ont choisi parce que c’est l’homme de la Chine et qu’ils veulent coopérer avec la Chine pour avancer vers ce qu’ils appellent une “gouvernance mondiale”. Ils avaient envisagé de choisir Kamala Harris, mais elle s’est révélée tellement médiocre qu’elle s’est totalement effondrée pendant les élections primaires démocrates. Ils l’ont prise quand même, en la plaçant en deuxième position, pour quelques mois. Quand la sénilité de Joe Biden deviendra trop visible, elle le remplacera.

Les vrais gouvernants seront dans l’ombre, en arrière-plan. Et en tête, il y aura Barack Obama, qui sera à la Maison Blanche en la personne de Susan Rice. 

Ils savent qu’ils n’ont pas le soutien du peuple américain. Ils seraient strictement incapables de rassembler des foules. Ils savent que le peuple soutient Donald Trump. Ils savent que quand bien même ils ont lavé le cerveau de centaines de milliers de personnes, ils sont minoritaires.

Ils craignaient un soulèvement. C’est pour cela qu’ils ont déployé l’armée, et que Washington DC a été placée en état de siège. C’est pour cela que le 6 janvier ils ont perpétré leur version de l’incendie du Reichstag et procédé à une irruption dans le Capitole. Les quelques soutiens de Trump qu’ils ont réussi à piéger passeront des années en prison. Tous les soutiens de Trump sont désormais définis comme suspects de terrorisme et de sédition. Des purges sont enclenchées. C’était prévu.

La démolition de Trump est enclenchée. Elle va se poursuivre.

Les premières mesures qui seront décidées auront pour objectif d’obtenir la soumission totale de la population : la surveillance et le port du masque obligatoire feront l’affaire. D’autres mesures viendront écraser la classe moyenne : le doublement du salaire minimum fera fermer des milliers de petites entreprises et créera des millions de chômeurs qui seront placés en dépendance du gouvernement. La régularisation de onze millions d’immigrants viendra dissoudre la population et ses repères, et fournira assez vite des électeurs supplémentaires au parti unique. Ce ne sera que le début.

La nuit tombe sur les Etats-Unis. 

Mon ami David Horowitz parle de fascisme, et c’est exact, il y a des milices fascistes et le recours à l’armée. Il y a la terreur qu’il s’agit d’imposer aux fins qu’en portant le masque, chacun baisse la tête. Il y a la censure, le parti unique et la désignation comme ennemi à abattre de quiconque s’éloigne de la ligne du parti. Il y a des médias de propagande dociles.

Il n’y a pas, pour le moment, d’atteintes à la liberté d’aller et venir, mais cela ne tardera pas.

J’aimerais penser qu’un élan de résistance se dessinera. J’aimerais penser que Donald Trump en prendra la tête. Il serait le seul à pouvoir en prendre la tête. C’est parce que ceux qui prennent le pouvoir le savent qu’ils s’acharnent sur lui.

C’est parce que je sais que l’esprit des insurgés et de la Déclaration d’indépendance n’est pas mort que je n’ai pas perdu tout espoir.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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