Publié par Sidney Touati le 26 janvier 2021

La guerre 14-18 avait pour but la conquête de nouveaux marchés. L’Allemagne, arrivée dernière sur le continent européen, voulait que les cartes soient redistribuées et qu’elle ait accès au marché mondial sous domination anglaise et française.

En 1940, l’Allemagne qui refuse sa défaite se lance à la conquête de nouveaux espaces pour asseoir sa toute-puissance militaro-industrielle retrouvée.

Aujourd’hui, les géants qui dominent l’économie mondiale poursuivent toujours, plus ou moins pacifiquement, la conquête de nouvelles terres ou de nouveaux marchés. Mais ils ont réalisé que le filon «santé des pays riches» qu’ils exploitaient méthodiquement mais assez modérément pouvait passer à un stade intensif supérieur et générer d’immenses profits.

Le pouvoir de ces géants n’est limité par aucun contre-pouvoir

C’est le drame du monde occidental et l’origine de la grande panique sanitaire.

Jusqu’en 2020, les grands groupes et les Etats obéissaient plus ou moins à des logiques différentes, voire opposées. Les uns visaient le profit maximal, les autres la limitation voire la baisse des dépenses de santé.

Tout ceci a volé en éclats avec la grippe du Covid-19. Les grands groupes et les Etats agissent ensemble dans un unique but : faire passer la totalité des corps, qu’ils soient sains ou malades, sous contrôle médical.

Les Etats obéissants ont réquisitionné les corps. Comme des marchandises ou des animaux, les corps ont été stockés dans les appartements, en attendant de subir les traitements prescrits par les lobbys.

Cette «prise de corps» nous met dans une situation voisine de celle de l’esclave ou du majeur placé sous tutelle. Comme lui, nous ne pouvons plus disposer librement de notre personne. L’Etat contrôle l’accès des citoyens à l’espace public et d’une manière générale, les relations intra-individuelles et de groupes. Son but ultime : l’isolement de tous.

Il y a quelques dizaines d’années que le pouvoir exécutif prend possession du «territoire humain». Il a, pas à pas, méthodiquement tissé sa toile. Il s’est emparé de la culture qu’il a réduite à peu de chose ; de l’instruction, qu’il réserve à une minuscule élite ; de l’éducation et de la santé de l’enfant, dont la «croissance» est d’ores et déjà encadrée par une réglementation tatillonne. Enfin, l’Etat s’est immiscé, pour «notre plus grand bien», dans la gestion des pans entiers de notre existence. Il concentre son pouvoir sur les mesures hygiénistes : ne fumez plus, ne mangez plus avec excès, buvez peu, faites du sport, mangez cinq légumes et fruits par jour…

Il réalise, réforme après réforme, le grand troupeau humain, impliquant la grande indifférenciation des individus, tous identiques et interchangeables.

Enfin, ultime laboratoire où l’Etat a pu mettre au point les outils nécessaires au contrôle total des «corps humains» : la gestion des «migrants». Ces masses humaines qui pouvaient dépasser le million ont été triées, ventilées, dispersées, habillées, nourries, soignées… selon les normes qui sont celles de la gestion industrielle des troupeaux d’animaux.

Ayant acquis une certaine expérience dans la gestion des migrants atomisés, l’Etat qui a renoncé à l’essentiel des attributs de sa souveraineté, qui ne contrôle plus sa législation, ses frontières, son économie… se comporte brutalement, avec l’épidémie de grippe Covid-19, comme le maître et possesseur des existences prisonnières d’un camp. La société est devenue un vaste camp où les déplacements sont soumis à autorisation. L’Etat est devenu le «kapo» de la mondialisation. Il nous enferme, nous prive des joies simples de la vie, nous interdit tout divertissement collectif. Il nous soumet à la peur et à un stress intense permanent. Il rend quasiment impossibles la prise d’initiative et le montage de projets. Il met une masse de gens considérables, dans l’impossibilité de travailler, c’est-à-dire de subvenir à ses besoins. Il organise sciemment la ruine de toute l’économie de proximité, qu’il estime non conforme aux visées du Cartel mondialisé. Toute la richesse atomisée, éparpillée entre des millions de mains, doit devenir la propriété des grands groupes. A terme, la propriété individuelle devrait disparaître.

L’ère de la pathologisation des masses occidentales commence

Gouverner, c’est faire de l’homme en bonne santé, un malade chronique.

Le «Cartel de la mondialisation», ne distingue plus entre les identités des uns et des autres. Pour lui nous formons un vaste troupeau auquel il faut appliquer les principes de gestion propre à l’élevage industriel. Le pouvoir délivre une «ordonnance nationale» valable pour tous, comme le fait le vétérinaire d’un élevage industriel, délivrant une ordonnance valable pour tout le troupeau. Le pouvoir et la médecine «scientifique» qu’il prône, ignore que chaque être humain est un écosystème ne nécessitant, lorsqu’il est malade, un traitement spécifique.

Pour parvenir à animaliser l’homme, il faut l’extraire de l’Histoire qui donne sens à sa vie, et le priver de culture ; lui rappeler sans cesse que sa survie dépend des cycles de la Nature. D’où l’importance fondamentale de l’idéologie «bio» dans le processus de notre soumission au Cartel de la mondialisation. D’où le matraquage idéologique autour du «réchauffement climatique», selon lequel, nous qui représenterions un danger mortel, nous les prédateurs blancs supposés êtres un danger pour la création. On nous sommes de nous intégrer, nous soumettre, à la «mère Nature», à respecter ses rythmes, ses cycles… A passer du règne de la «liberté» à celui de la «nécessité».

Ce n’est pas pour lutter contre le Covid-19 que théâtres, cinémas, opéras, restaurants, stations de ski… sont fermés. C’est pour nous arracher à tout ce qui fait de l’homme un «animal politique», c’est-à-dire un citoyen libre. Tout est fait pour nous «désocialiser», pour nous déshumaniser. Assister à l’enterrement d’un être cher devient mission impossible. La réduction brutale des citoyens au statut d’animal isolé et apeuré est une phase nécessaire au «grand basculement».

Le pari risqué du grand basculement : des défenses immunitaires naturelles au «paradis artificiel» vaccinal

Les virus existent depuis des millions d’années. Nous avons appris à vivre avec, à les combattre jusqu’en 2020, par le développement de défenses immunitaires naturelles, avec, pour les plus fragiles, le secours de la médecine classique. Le combat contre les virus est permanent. Comme pour le rhume, il faut chaque fois recommencer à lutter contre. Aucun vaccin n’est concevable. Aucune immunité n’est acquise définitivement.

Nos dirigeants ont choisi, consciemment ou non, de neutraliser et d’affaiblir les défenses immunitaires naturelles de chacun. Ils ont également interdit aux médecins de soigner librement leurs patients. Ils ont limité les contacts, interdit aux jeunes gens et aux hommes en bonne santé de développer des anticorps pour parvenir à l’immunité de groupe. Le résultat de cette gestion catastrophique est immédiat : le virus s’attaque à des êtres privés de défense immunitaire. Des êtres affaiblis par l’isolement, la peur, l’angoisse, la solitude, le désespoir. Il devient plus dangereux, plus virulent.

L’Etat asservi aux intérêts des grands groupes mondialisés travaille à remplacer les défenses immunitaires naturelles, par un dispositif vaccinal perpétuel.

En clair, la politique du pouvoir a pour objectif de nous faire quitter la sphère de l’immunité naturelle pour nous faire basculer dans celle de l’immunité artificielle, médicamenteuse, vaccinale. De nous faire entrer dans le cycle de la maladie avec les contrôles permanents, la prescription d’examens, de traitements, qui en résultent mécaniquement.

Le pouvoir a pris un risque énorme en privant les populations de leurs défenses immunitaires naturelles. Le pari du «tout vaccinal» est extrêmement risqué car il n’est pas du tout certain que les vaccins mis au point à la va-vite puissent se substituer à l’immunité naturelle et offrir aux populations une réelle protection.

Pour la première fois, la pratique politico-médicale humaine met en péril la survie même de l’humanité et en tout premier lieu, la survie des populations du monde occidental.

L’ère de la «maladie business» commence sur une vaste échelle

La vaccination sauvage est une guerre contre les peuples d’Occident.

Comme en 1914, les dirigeants ne se soucient guère de la vie ou du nombre de victimes que sa politique provoquera, ni des énormes destructions économiques qu’elle entraînera.

Si le Cartel parvient à faire vacciner en Europe, deux cents millions d’hommes et de femmes, alors des perspectives de profits gigantesques s’ouvrent à lui. Deux cents millions d’hommes et de femmes en bonne santé soumis au regard médical, au contrôle permanent des appareils médicaux et des pouvoirs publics. Deux cents millions d’hommes, de femmes, d’enfants, mis globalement sous tutelle sanitaire. Du jamais vue dans l’histoire.

Quand la phase expérimentale sera terminée en Europe, le Cartel espère l’étendre aux sept milliards d’êtres humains qui peuplent la planète. Les profits qui résulteront du grand basculement sont gigantesques.

Le moteur de la gouvernance mondiale : la pathologisation universelle des êtres humains

La religion des «droits de l’homme» a échoué à unifier l’humanité. La religion de la «maladie» espère réaliser l’unité du genre humain en mettant sept milliards de «malades» sous assistance médicale permanente. Mais cette nouvelle tour de Babel se heurte à un obstacle de taille : l’homme libre, fondement des démocraties libérales, élément clé de la civilisation issue de la Bible.

L’homme libre a fait échouer toutes les tentatives d’unité du genre humain sur l’asservissement.

Pour l’heure, les démocraties sont la cible de la machine totalitaire chinoise, qui est servie par les idiots utiles dont, E. Macron, B. Netanyahou, Joe Biden…

Cependant, la tentative de construire l’Empire-monde sur la pathologisation des êtres humains, est vouée à l’échec. La Chine (et le Cartel) ne rencontrant que très peu d’obstacles dans leur marche triomphante s’effondreront bientôt, victime de leur monstrueuse croissance.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

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