Publié par Dreuz Info le 7 janvier 2021

L’élection présidentielle de 2020 marquera un tournant historique dans une Amérique plus que jamais divisée. Pas seulement pour la fraude massive et indiscutable, prouvée mais jamais disputée judiciairement par des juges qui ont mis leurs obligations légales de côté, mais surtout par l’abandon de la plupart de ses alliés républicains, qui ont trahis leurs propres électeurs, leur serment, et leur meilleur président de ces 100 dernières années.

Que ces traitres, RINO connus, (Romney, Graham, ou McConnell), ou plus surprenant, le Vice-Président Mike Pence, qui avait promis « qu’on aurait notre journée au Sénat le 6 janvier », aient tous abandonné leur chef sur l’autel d’une fausse démocratie bafouée à tous les niveaux, cela relève d’un suicide politique en direct.

La rancœur n’est pas créée par une défaite mais par une victoire volée. Et cela ne concerne pas un trophée d’un ballon rond, disputé lui aussi tous les 4 ans et qui procède des mêmes simulacres frauduleux (Coupe du monde de Football accordé au Qatar ou à la Russie, décisions arbitraires contestées, matchs truqués…) car mis à part quelques fans frustrés, les conséquences d’une élection américaine v(i)olée ont, elles, des répercussions mondiales.

Le 6 Janvier 2021 marquera à tout jamais le suicide de l’Amérique. La dernière barrière du monde libre vient de tomber. Ce que le futur nous réserve se rapprochera d’une dictature vénézuélienne, ou africaine. Et pas seulement pour l’avenir des 330 millions d’Américains, mais également pour toute la planète. La Chine pourra finalement s’attaquer à ses ambitions régionales (Taiwan, Hong Kong, Mer de Chine, Japon), économiques (traités en sa faveur), mondiales, industrielles et militaires sans jamais être inquiétée (ni pour son génocide religieux en cours ou pour son virus, l’arme de destruction économique mondiale par excellence) car elle tient les Biden par les « cojones » de son fils.

L’Iran célèbre déjà un président Biden qui lui redonnera les couleurs vertes du dollar, aussitôt promu. Pareil pour tous les ennemis d’Israël qui attendent patiemment la couleur de ce même billet vert.

Les impôts des Américains vont augmenter, leur appauvrissement fait parti du programme socialiste, qui a besoin d’un peuple assoiffé d’aides pour continuer son emprise et réassurer sa permanente réélection.

Leur droit sur les armes, les financements de la police, supprimés. L’avortement, promu. L’immigration illégale, légalisée. Les restrictions sur le Covid, renforcées. La censure des médias et réseaux sociaux, accélérée. La Cour Suprême inondée de juges démocrates supplémentaires. La rendant pour des décennies à majorité démocrate. 

Dans un exercice pathétique de farce démocratique, les sénateurs républicains ont trahi leurs valeurs et leur chef. Le même qui a redoré leur blason à tous. Et remis l’Amérique sur la route du succès. Ils auraient pu à maintes reprises faire valoir le droit constitutionnel qui avait prévu ce scénario et qui donnait à Pence autorité pour décider. Ils se sont tous dédouané (seuls 6 sénateurs du GOP sur 50) derrière cette petite incursion au Capitole de douzaines d’extrémistes ne représentant qu’eux-mêmes et leurs frustrations passagères.

Nous avions tous confiance dans l’aptitude de Trump et de son équipe, courageuse mais esseulée, de pouvoir renverser cette fraude électorale. C’est une déception immense de constater que le marécage politique de Washington a eu sa revanche.

Nous avons tous aimé L’Amérique de Trump pendant 4 ans. Celle de ses succès diplomatiques, politiques et économiques. De son audace retrouvée, de ses ambitions renforcées. Du Safe Harbor qu’elle procurait aux vrais dreamers, épris de cette liberté d’entreprendre, et rêvant de ce précieux sésame appelé carte verte. Une Amérique qui avait mis un pied à terre le 4 novembre dernier et qui aujourd’hui s’est définitivement suicidée.

Note : A l’heure où j’écris ces lignes la défaite n’est pas encore actée et Donald Trump est toujours officiellement président, jusqu’au 20 Janvier Midi, voir au-delà, protégé par l’armée qu’il dirige. Un scénario militaire n’est plus à exclure.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manu Aboucaya (@manuredglasses)pour Dreuz.info.

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