Initialement publié le 25 février 2021 @ 09:26
Pour l’avocat et essayiste, « l’islamogauchisme » s’est développé depuis de nombreuses années, au sein d’une partie des milieux médiatiques et intellectuels, à travers une posture réflexe d’idéalisation de « l’autre » et de diabolisation de l’homme blanc occidental.
Ainsi à en croire certains, l’islamo-gauchisme serait une manière de dahu, de yéti ou de monstre du Loch Ness. À lire le Monde et son éditorial du 20 février, il s’agirait d’une «notion aussi hasardeuse que fourre-tout».
C’est fou comment ceux qui ont approché le monstre presque jusqu’à l’embrasser déclarent ne pas le connaître.
Quant à moi qui aurai passé une bonne partie de ma vie intellectuelle, professionnelle, médiatique et politique à le combattre, je le connais par cœur.
Avant que vous le décrire, qu’il me soit permis de sourire un peu à la vue de ces savants qui ne confèrent aucune valeur scientifique à un concept paraît-il forgé par une «extrême droite» dont l’étiquette a été attribuée à leurs contradicteurs minutieusement après analyse objective et contradictoire dans leur laboratoire.
Le Monde n’a sans doute jamais trouvé hasardeux de ranger ses adversaires dans une fachosphère et parfois de manier le concept de fascisme en prenant quelques libertés avec la science historique.
De même, nos savants linguistes sourcilleux n’ont jamais répugné à utiliser les vocables «racisme systémique», «privilège blanc», «islamophobie», «appropriation culturelle» «domination hétéro patriarcale blanche» sans les avoir éprouvés scientifiquement dans leurs éprouvettes.
Si l’on veut le définir simplement, il s’agit d’un a priori systématiquement indulgent envers l’Autre, l’étranger, le radicalement différent, fût-il islamiste.
L’Islamo-gauchisme existe et je l’ai rencontré. Partout, et pas seulement à l’université. Il a depuis 40 ans irrigué la société française par capillarité. Et pas seulement dans les milieux gauchistes. Certains bourgeois le pratiquent quotidiennement et sans le savoir comme M. Jourdain.
J’ai toujours envisagé l’islamo-gauchisme dans son acception la plus large, au-delà de la définition intellectuelle élaborée par mon cher Pierre-André Taguieff qui l’a vu grandir avec le palestinisme antisioniste débouchant sur l’antisémitisme. Celui-là, existe encore, et je l’ai entrevu dans un éditorial du Monde du 9/12/19 souhaitant sans état d’âme, la victoire de ce Corbyn qui fut renvoyé, quelques semaines plus tard, comme un malpropre de son parti travailliste pour cause d’antisémitisme pro-palestinien.
Mais l’Islamo-gauchisme dans sa version élargie n’a que peu de rapports avec le conflit israélo-palestinien. Il s’agit moins d’une pensée que d’une posture réflexe.
Si l’on veut le définir simplement, il s’agit d’un a priori systématiquement indulgent envers l’Autre, l’étranger, le radicalement différent, fût-il islamiste.
Et cet a priori a été l’apanage de la gauche lorsqu’elle a abandonné la classe pour la race et le prolétaire pour l’immigré. J’ai nommé ce réflexe «dilection pour l’altérité». Ce n’est pas tant, loin s’en faut, que l’homme de gauche aime particulièrement l’Autre lointain, mais il le préfère à son blanc prochain.
Dans tous mes écrits, j’ai tenté d’expliquer cette posture largement inconsciente par un antinazisme devenu fou. L’inconscient collectif post- chrétien ne parvenant pas à pardonner au blanc occidental d’avoir en commun avec l’antéchrist moderne Adolf Hitler la même couleur de peau.
Dès lors, le blanc est diabolique et celui qui ne l’est pas, quels que soient ses actes, ne peut être que sa victime angélique.
L’ennemi honni c’est cet Occidental, dans le cadre d’un racisme anti blanc qui n’existerait évidemment que dans l’imagination débridée de l’extrême droite fascisante.
Si l’on veut observer maintenant, au travers de ce prisme, l’itinéraire d’un islamo- gauchiste emblématique tel qu’Edwy Plenel, ancien rédacteur en chef du Monde, on comprend mieux les évolutions d’un Islamo-gauchisme qui n’a jamais cessé d’être profondément le même.
Lorsqu’il appartenait à un groupe trotskiste, Plenel jeune, amoureux de la cause palestinienne parce que détestant l’État-nation occidental d’Israël militarisé et le vivant de manière dépitée comme une trahison du juif en pyjama rayé, aura été jusqu’à saluer l’assassinat d’athlètes israéliens à 30 km de Dachau.
Plus tard, il embrassera naturellement la cause des migrants musulmans forcément victimes du racisme français et policier jusqu’à devenir proche de Tariq Ramadan. Et aujourd’hui, tout naturellement, Plenel l’ancien fait sien le combat contre le privilège blanc.
Car il faut bien comprendre, qu’en creux, l’ennemi honni c’est cet Occidental, dans le cadre d’un racisme anti blanc qui n’existerait évidemment que dans l’imagination débridée de l’extrême droite fascisante.
Pour montrer que l’Islamo-gauchisme n’a rien d’un fantasme et qu’il existe au cœur même de l’université, bien au-delà des camps racisés interdits aux blancs de l’UNEF, je citerai Houria Bouteldja, responsable du Parti des Indigènes de la République, adoubée non seulement comme «antiraciste» par Danielle Obono mais également par de nombreux chercheurs de l’université: «Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront ça. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer son histoire depuis 1830. N’importe quel blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des moins paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres… Bientôt il sera trop tard: les blancs ne pourront plus rentrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme. Aujourd’hui il y a encore des gens comme nous qui vous parlent encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des blancs.»
Et pourtant, comme elle le déclare sans mentir: «aujourd’hui, le P.I.R. rayonne dans toutes les universités». Et nul ne songe à demander sa dissolution.
Dans les campus et au sein de certains syndicats, la présence d’individus proches du PIR, est palpable autant que redoutable.
À ses côtés se tient Saïd Bouamama, de nationalité algérienne, «chercheur» auteur du livre Nique la France! La préface se présente comme une «bombe artisanale» «en voiles, keffiehs et casquettes à l’envers» au nom des «anticolonialistes, antisionistes et anticapitalistes».
En dos de couverture du livre le «sociologue» est présenté ainsi: «docteur en socio-économie, militant engagé dans les luttes de l’immigration pour l’égalité réelle des droits en France».
Il est directeur de recherche à l’IFAR situé à Villeneuve-d’Ascq. Le chercheur est payé pour ce travail par cet Institut de Formation des Agents de Recherche. Il ne fait l’objet d’aucune critique particulière et Mme Boudjema n’est pas un objet de grande contestation.
Bien au contraire, dans les campus et au sein de certains syndicats, la présence physique d’individus proches du PIR et qui n’ont pas grand chose d’autre à faire que d’impressionner, est palpable autant que redoutable.
Mais il n’y a pas qu’un islamo-gauchisme universitaire qui, s’il n’a pas perdu son pouvoir d’exclusion et de nuisance, est désormais dépourvu de tout magistère moral ou intellectuel.
Comment expliquer, que samedi matin sur l’antenne de France Inter la revue de presse de 8h45 débutait par les citations d’un article de Libération racontant les malheurs d’un Mohamed blessé à l’oeil par des policiers mais ne disait mot sur l’assassinat à Pau d’un humanitaire par un immigrant soudanais sans-papiers, sortant de prison après plusieurs condamnations pour délit de violence?
Pourtant, la presse écrite du samedi matin avait évidemment relaté le sujet, à commencer par le Figaro en première page. Pas davantage, le journal de 9h ne faisait allusion au drame tandis qu’il consacrait une chronique à des migrants Béninois.
Le meurtrier de Pau et sa victime n’avaient sans doute pas les bonnes couleurs à peindre qui en bourreau, qui en martyr.
J’affirme qu’il existe aussi un puissant islamo-gauchisme médiatique qui s’ignore.
L’islamo-gauchisme existe, je le rencontre tous les jours et à tous les carrefours.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel pour Dreuz.info
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Oui cela est regrettable, mais tôt ou tard finira, tellement les Français en seront lassés !
L’islamo-gauchisme, Monsieur, je l’ai vu se mettre en place
en 1969-70, à la fac. Paris VIII Vincennes.
Des gars gauchistes hirsutes faisaient la révolution dans
un amphi, tous les jours, en glapissant des anathèmes
contre le capitalisme et Israel, soutenus en cela par des
Arabes qui n’avaient rien d’étudiants, mais tout de
saprophytes brutaux qui mangeaient gratis au restau U,
et, pour toute action révolutionnaire, passaient leurs
après-midis d’oisiveté à balancer de grands coups de
bottes dans la porte du seul cours d’hébreu qui peinait
à voir le jour— et dont ils entendaient faire avorter le
projet de création.
L’on ne parlait pas, à cette époque, d’islamo-gauchisme.
Cette proximité, ces affinités entre systèmes adeptes des
tueries de masse, n’a fait que se confirmer au fil des
décennies.
J’ai vu ça à la fac aussi, années 70 : profs pro-palos très agressifs, et c’était à qui serait le plus à gauche. Ça fait longtemps que l’islamogauchisme est partout. Ceux qui ne le voient plus, c’est parce qu’ils en ont trop l’habitude. Je pense que ça avait beaucoup de succès auprès des enseignants parce que leur métier les oblige, coûte que coûte, à produire de la critique pour avoir l’air d’être un fin analyste. A l’époque, avec l’islamogauchisme, on avait l’air contestataire, ce qui était le but recherché.
Shalom M GOLNADEL
Bel article plein de vérités.
Le ver est dans le fruit et lus rien ne peut l’endiguer maintenant.
L’oligarchie dominante n’a cessé depuis de nombreuses décennies de déstructurer toutes les valeurs judéo-chrétiennes pour les remplacer par des valeurs plus dociles (en apparence) pour eux.
Cela ne fonctionnera pas, et ils en paieront le prix.
Ils auraient dû rester dans l’ombre à tirer les ficelles comme ils l’ont toujours fait.
Mais le principal pêché pour l’homme qu’est la vanité les aura poussé à leurs pertes, mais avec des dommages irrévocables pour l’humanité.
Cela ne pouvait se finir comme cela.
Pourquoi ces racistes anti- blancs issus de l’immigration ne retournent ils pas dans leurs pays si merveilleux ? La vie doit etre drolement meilleure en France pour supporter ces blancs ?
“Et cet a priori a été l’apanage de la gauche lorsqu’elle a abandonné la classe pour la race et le prolétaire pour l’immigré.”
“L’inconscient collectif post-chrétien ne parvenant pas à pardonner au blanc occidental d’avoir en commun avec l’antéchrist moderne Adolf Hitler la même couleur de peau.”
Tout simplement ma-gis-tral !!!! 🙂
Depuis environ 40 ans, le chemin islamo-gauchiste a également été pavé des leçons de vivre ensemble et d’écologie nunuche assenés à l’école.
Les générations d’aujourd’hui sont le résultat d’un matraquage bienpensant et auto-culpabilisant dispensé par des enseignants qui ont joué le jeu, volontairement ou non, d’une gouvernance gauchiste soutenue par des syndicats irresponsables
On c herche à m’éliminer de TWITTER mais j’irai toujours où est G.W. GOLDNADEL !
sites sans censure:
https://www.presse-citron.net/quelle-application-choisir-pour-remplacer-whatsapp-et-facebook-messenger/amp/
TVS24
https://tvs24.ru/
VK
https://vk.com/
Telegram
https://web.telegram.org/
Signal
https://signal.org/fr/
Gab
https://gab.com/
Odysee
https://odysee.com/$/channel/new
Rumble
https://www.doyourumble.com/sign-in#
Discord
https://www.doyourumble.com/sign-in#
fakeniouze évidente !
l’islamogauchisme n’existe pas (le cnrs en fait foi)
la france n’est pas un coupe gorge (dupont moretti l’a dit)
l’invasion migratoire n’est qu’un fantasme de l’essstrême droaaate
le vote par correspondance ne sera pas rétabli, le président l’a dit
etc.
Ce que décrit G.W. Goldnadel est une réalité ancienne qui était peu connue d’un grand nombre de Français.Aujourd’hui tout le monde en parle et nous pouvons mesurer l’étendue des dégâts: pour l’université et aussi pour tout le pays.
Un des moyens les plus radicaux pour en finir avec l’islamogauchisme serait de privatiser les facultés de sociologie. En effet, la sociologie qui, lorsqu’elle est apparue, avait vocation à être une discipline scientifique, est maintenant une discipline essentiellement idéologique, dans laquelle la probabilité d’obtenir un diplôme pour un étudiant qui afficherait ouvertement des idées de droite serait proche du zéro absolu.
C’est dans les facultés de sociologie que se rencontrent l’essentiel des troupes islamogauchistes.
La catastrophe intellectuelle qu’est devenue la sociologie a été démontrée à la fin du siècle dernier par l’ouvrage de Sokal et Bricmont “impostures intellectuelles” .
Il y aurait environ 2000 étudiants en sociologie en France, dont la plupart travailleront après leurs études dans des domaines n’ayant rien à voir avec la sociologie. (NB : le nombre exact est très difficile à trouver… )
Sachant que le coût pour la collectivité d’un étudiant est de 13873 euros , la privatisation des études de sociologie ferait économiser à l’état près de 28 millions d’euros, que l’on pourrait injecter dans des études supérieures essentielles ( maths , physique-chimie, biologie, ingéniérie ).
Ceci contraindrait la sociologie, pour attirer des étudiants ( devenus des clients grâce à cette privatisation ), à redevenir une discipline sérieuse et non le gloubi-boulga idéologique qu’elle est actuellement !
Voilà une réforme qui ne coûterait rien et rapporterait gros !
La bulle puante spéculative masquée du coronavirus est en train de se former et comme elle ne pourra rien contre le monde occidental dont l’essence est le catholicisme gréco-judéo-chrétien elle va faire un ravage d’eugénisme total chez l’égrégore progressos-musulman, qui est la puanteur même, et dont même le saladino Satan le magnifique a horreur.
Plutôt qu’ « islamo-gauchisme » on devrait employer le terme plus général d’ « islamo-collabo », qui concerne la quasi-totalité de la classe politique. Même Marine Le Pen considère que “l’islam est compatible avec la république”. La vraie Résistance, elle est sur les réseaux sociaux, chez les identitaires et les rares personnes (Éric Zemmour, Jean Messiha, Thaïs d’Escufon…) que les médias du système laissent parfois s’exprimer – au compte-gouttes et tard le soir –
En 1979 le parti communiste iranien a aidé Khomeiny à prendre le pouvoir. Dès que le Shah a été détrôné, les communistes ont été arrêtés et emprisonnés par les mollahs. Et la dernière fatwa de Khomeiny peu avant sa mort, en 19i8, a ordonné leurs exécutions. Plusieurs milliers à la seule prison d’Erin, sous les ordres de celui qui est devenu ensuite ministre de la justice iranien…