Comment allons-nous pouvoir de nouveau insérer l'élément déterminant du libre arbitre humain dans l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi ? Et cela, en lieu et place des théories de la Bouffée délirante spontanément résolutive issue d'un déterminisme psychiatrique sommaire.
Quelques experts bonimenteurs amusent de cet espoir la galerie médiatique et les partisans de l'irresponsabilité pénale des islamistes, ces âmes perdues et ces loups solitaires délinquants multirécidivistes, lesquels, ragaillardis et renfloués, mènent grand tapage pour l'irresponsabilité pénale autour de l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi.
Mais l'expertise, selon les règes de la psychiatrie médico-légale, prend garde de ne pas succomber à cette tentation suscitée par une plate confusion entre la consommation habituelle de haschisch et la théorie de l'irresponsabilité psychiatrique sommaire. L'expertise de la psychiatrie médico-légale, sans se départir de sa sérénité, tient compte des répercussions de l'irresponsabilité pénale psychiatrique des islamistes sur le cours de la justice, contre les partisans de la Bouffée délirante spontanément résolutive. Le paradoxe de cette Bouffée délirante est qu'elle repose aujourd'hui sur de pures hypothèses non vérifiées et invérifiables.
Paradoxe combien saisissant, énonçant l'impossibilité d'observer la Bouffée délirante dans le temps de l'action et l'impossibilité d'expliquer ce qu'est cette sorte de nouvelle révolution scientifique en faveur de l'irresponsabilité pénale psychiatrique. La question est de savoir comment et pourquoi la théorie de la Bouffée délirante relève de l'expérimentation psychiatrique pure et coopère ou ne coopère pas pour faire progresser la connaissance de l'irresponsabilité pénale psychiatrique dans des directions imprévisibles.
La négation du libre arbitre humain dans l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi fournit en outre une probante vérification des considérations les plus sévères sur les expertises psychiatriques sommaires que l'on rencontre à plusieurs reprises dans nombre d'affaires judiciaires trop souvent inabouties.
Les théories de la Bouffée délirante spontanément résolutive sont chez leurs partisans une preuve de conformisme et constituent encore une marque d'originalité pour un expert psychiatre très banal. Rien à voir avec l'éclat de la vie de Sarah Halimi et ensuit sa mise à mal par des mains islamistes criminelles.
Comme on le sait, aucune reconstitution judiciaire rétrospective n’a été réalisée pour contester la légende mensongère de l'irresponsabilité pénale psychiatrique à propos de la Bouffée délirante imaginaire forgée à l'intention de la justice, désireuse de se faire valoir en repeignant par des couleurs psychiatriques une affaire islamiste criminelle morne et sordide. Quelle fierté peut-on éprouver à conclure à une Bouffée délirante tout en ne pouvant avoir proclamé qu'un brouhaha de lieux communs psychiatriques !
La loi de la Bouffée délirante, on pourrait la nommer la loi des propositions psychiatriques indéfinies en faveur de l'irresponsabilité pénale ! C'est que, si l'on se farcit la loi de la Bouffée délirante promulguée par tous les grands esprits des experts psychiatres, ce n'est pas par là qu'ils manifesteront la moindre vérité.
Si un expert psychiatre se double d'un hypocrite vaniteux, d'un jobard et d'un poète imaginatif génial ou même d'une crapule politique, la justice ne peut se servir que de l'hypocrite, du jobard et de la crapule.
Car l'autre justice, la vraie, ne peut que respirer dans l'air raréfié de la psychiatrie médico-légale. Pour les expertises psychiatriques dans l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi, leurs trois égocentrismes se neutralisent les uns les autres avec, en conclusion, un dogmatisme psychiatrique presque grossier.
Les expertises psychiatriques dans l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi montrent bien que l'intellect sûr et rapide n'émerge que trop rarement et qu'un imbécile béatement adonné à la vie dégradante du dogmatisme psychiatrique n'est que l'inepte sosie très médiocre du médecin expert clairvoyant.
Je n'irai certes pas jusqu'à qualifier de fanfaronnade les expertises psychiatriques dans l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi, mais on pouvait espérer mieux d'un groupe d'experts psychiatres plus subtils et plus réfléchis. Quand on s'aperçoit de la mystification de la Bouffée délirante, on ne peut réfréner un sentiment d'étonnement pour le dogmatisme pro domo par lequel les experts psychiatres ont abandonné tout rationalisme et surtout la logique de la psychiatrie médico-légale, à la seconde même du naufrage absolu de leur théorie fumeuse pour conclure sur le mythe rassurant de l'irresponsabilité pénale psychiatrique.
L'intellect des experts psychiatres dispose de deux attitudes pour tenter de rester considéré par toutes les juridictions et perdurer à travers toutes les mystifications. L'une est de ne se tromper jamais grâce à l'efficacité de la vérité absolue et invérifiable du dogme psychiatrique. L'autre est de se tromper toujours en mettant en cause le comportement imprévisible du criminel. Cette technique est plus difficile à appliquer que la première et suppose une sévère et constante discipline de soi, si l'on veut être sûr de ne jamais se relâcher dans son effort vers la futilité psychiatrique pompeuse, ni jamais succomber à la tentation de dire la vérité.
Quoique les expertises psychiatriques dans l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi ne soient pas exactement exemplaires, la débâcle arrive rapidement par la dégradation des conditions de la vérité.
Le fond de l'abîme fut atteint après la décision de la chambre de l’instruction de la Cour d’Appel de Paris. Le Monde : Meurtre de Sarah Halimi : pas de procès pour le suspect, jugé pénalement irresponsable !
La chambre de l’instruction a tranché entre les expertises psychiatriques contradictoires et conclu à l’abolition du discernement de Kobili Traoré au moment des faits. Le procès attendu par les parties civiles ne devrait pas avoir lieu. Kobili Traoré, mis en examen pour homicide volontaire à caractère antisémite de Sarah Halimi, retraitée sexagénaire de confession juive battue puis défenestrée au cri d’Allahou Akbar, ne devrait pas être jugé aux Assises. La Cour d’Appel de Paris a décidé que le discernement de Kobili Traoré était aboli au moment des faits et qu’il est donc pénalement irresponsable. Devant la presse, M Francis Szpiner, conseil des trois enfants de la victime, a dénoncé une décision scandaleuse : Un homme dont les experts disent qu’il avait été atteint d’une Bouffée délirante à raison d’une prise volontaire de toxique se voit accorder l’impunité !
On vient de créer une jurisprudence Sarah Halimi : toute personne atteinte d’une Bouffée délirante qui aura pris une substance illicite et dangereuse pour la santé sera exonérée de responsabilité pénale.
Décision idéologique ! M Caroline Toby juge cette décision grave. On ne saura jamais la vérité sur ce qui s’est vraiment passé cette nuit-là et on n’a aucune garantie de le mettre jamais hors d’état de nuire !
M Gilles-William Goldnadel, avocat de la sœur de Sarah Halimi, dénonce une décision idéologique de magistrats qui ont une grande répugnance à condamner ceux qui sont considérés comme des victimes de la société ! Il déplore une instruction qui a manqué d’humanité envers les parties civiles, une procédure qui a traîné, le refus de procéder à une reconstitution, la réticence à retenir la circonstance aggravante d’antisémitisme (retenue onze mois après les faits, au terme d’un long bras de fer avec le parquet)…
Et surtout trois expertises divergentes ! Sans antécédents psychiatriques, le suspect a été déclaré unanimement atteint d’une Bouffée délirante aiguë au moment des faits. Mais les trois expertises divergent sur les effets de la drogue sur son état mental. Le docteur Daniel Zagury évoque un comportement induit par une forte consommation de cannabis et un discernement altéré. La deuxième expertise, réalisée par trois experts, affirme que l’entrée dans la schizophrénie du meurtrier présumé est sans lien avec sa consommation de cannabis et conclut à une abolition du discernement. Pour étayer leurs conclusions, ils indiquent que les taux de THC (principe actif du cannabis) dans le sang du suspect étaient modérés, ce qui ne correspond pas à la consommation alléguée le jour du drame, et que ses idées délirantes ont persisté longtemps après l’arrêt de l’intoxication. Quant au troisième collège d’experts, il a estimé que la Bouffée délirante avait été provoquée par une cause extérieure, les nombreux joints fumés dans les jours précédents, mais reste flou sur l’état du discernement de Kobili Traoré, même s’il tend vers l’irresponsabilité. La deuxième expertise indique que Kobili Traoré souffre d’un trouble psychotique chronique (sans antécédents psychiatriques) vraisemblablement (?) de nature schizophrénique, suite à un épisode délirant aigu inaugural. Il souffre d’une addiction au cannabis.
Il disposerait d’une personnalité pathologique antisociale (incapacité à se conformer aux normes sociales, impulsivité, irritabilité, agressivité, irresponsabilité…) et d’une propension à la violence.
Il a été plusieurs fois incarcéré pour vol, tentative de vol, refus d’obtempérer, conduite sans permis, violences, usage et détention de stupéfiants et d’arme prohibée. Le parquet de Paris avait demandé le renvoi devant la Cour d’Assises : "Par son comportement volontaire de consommation de cannabis, Kobili Traoré a directement contribué au déclenchement de sa Bouffée délirante aiguë. Le fait qu’il n’ait pas souhaité être atteint de ce trouble pour commettre les faits ne peut suffire à l’exempter de toute responsabilité. Il ne saurait en effet se prévaloir de l’état de démence résultant de son comportement fautif préexistant."
Le fiasco judiciaire : Un mois plus tard, les deux juges d’instruction en prenaient le contre-pied en rendant une ordonnance où elles estimaient qu’il existait des "raisons plausibles" (alors qu’il n’existait donc aucune certitude permettant) de penser que le discernement du suspect était aboli au moment des faits.
La chambre de l’instruction a tranché dans ce sens. Ben voyons ! (Le Monde, par Louise Couvelaire).
Avez-vous jamais pénétré les décisions de justice ? Si la responsabilité pénale est l'affaire des juges, et non l'affaire des experts, on se demande si la justice est bien là, ou ce qui en tient lieu. Alors que l'humaine faiblesse des juges les pousse à imputer ailleurs la débâcle du fiasco judiciaire "à la française" dans l'affaire du meurtre islamiste de Sarah Halimi, elle est présentée alors comme une défaite des méchants experts !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
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Le suspect n’avait peut-être pas d’antécédents psychiâtriques,
Monsieur, mais il avait des antécédents antisémites. On n’en
finit pas de nous balader avec des bouffées délirantes: l’on a
bien compris l’épaisse réticence de la justice à faire condamner
un Africain mahométan antijuif qui a assassiné une charmante
retraitée coupable d’être juive— et infortunée voisine d’un
barbare.
Les Africains ne sont pas des victimes pour l’éternité; ils sont
particulièrement choyés en France.
Ne pas leur reconnaître libre-arbitre et responsabilité de leurs
actes me semble être une manière de racisme, sans le vouloir.
On ne saurait mieux dire. Mais il faudra l’ecrire a tous les deputes et senateurs de votre region, des que la probable decision de la Cour d’Appel de confirmer l’irresponsabilite de l’assassin ser rendue.
Certainement.
Relisant l’article, je trouve que M. Ferjeux Michaud-Nérard ne
mentionne pas assez les innombrables insultes et menaces
dont avait été victime Sarah, de la part du monstre africain— ce
qui, du reste, l’avait conduite à déposer plainte au commissariat,
des mois auparavant.
L’assassinat était l’aboutissement LOGIQUE d’un comportement
de brute parfaitement connue des services de police.
Ajoutez à cela le contexte politique de l’époque du crime: juste
avant l’élection présidentielle. Les associations juives, qui sont
très vigilantes quant à l’antisémitisme qu’elles continuent à voir
à » l’extrême droite », se sont montrées fuyantes devant l’évidence:
l’assassinat horrifiant de Sarah était le fait d’un Malien coraniste.
Appuyant de toute leur influence l’élection de Macron, elles ont
laissé la justice s’embrouiller dans des histoires abracadabrantes
d’experts, là où il ne faut voir qu’un crime prémédité; la prise
de cannabis étant destinée, non pas à abolir le discernement du
barbare, mais à décupler sa décision de mener à bien l’indicible.
Je vous remercie du premier mot de votre dernier message. Je ferai de meme.
sarah halimi n’est pas la seule:
Vendredi 19 août 2016, Jean-Louis (Chalom) Levy, sexagénaire français juif, était agressé gravement au couteau par Mehdi Kerkoub, délinquant franco-algérien multirécidiviste, aux cris de « Allahou Aqbar » (Source, Véronique Chemla).
Si la justice est gangrénée par l’idéologie gauchiste, il se pourrait que dans un futur proche, une autre forme de justice apparaisse, qui « mordra » l’iniquité de la justice actuelle…
La justice islamique ?
Non, auto-justice….peut-être, ou Vraie Justice Celle qui ne tarde pas mais VIENT EN SON TEMPS Amen
Justice immanente.
Effectivement….
Donc, si je comprends bien, si je veux tuer quelqu’un que je n’aime pas, il me suffira de boire une bouteille de whisky avant d’aller lui planter un couteau dans le ventre ou l’écraser avec ma voiture, mon avocat plaidera la bouffée délirante (jurisprudence Sarah Halimi) et je serai lavé de toute responsabilité ?
C’est bon à savoir
Chacun constate que tous les assassins musulmans sont détraqués du cerveau et donc irresponsables. Seuls les VRAIS Français peuvent avoir une responsabilité, surtout s’ils sont de droite. Si un jour chacun veut faire sa propre justice, ce sera dû à l’infâmie des juges du mur des cons.
Pas sûr.
Il semble bel et bien que l’application de la loi par les juges se distinguent en deux catégories:
je comprends aujourd’hui la justice, pour tuer son voisin gênant, il suffit de se prendre une bouffée délirante et la faute ne m’incombe pas , alors on ne risque plus rien bravo la justice
exactement, moi, je fume des joints, donc je peux tuer tout mes voisins, mes collègues, ou la personne que je choisis car je ne l’aime pas, ou je n’aime pas sa religion, les origines de sa naissance, de son nom, etc, donc c’est l’autorisation de tuer sous emprise de drogue, je tiens à signaler que le cannabis ne change pas la personnalité mais multiplie les sentiments, le ressentie, c’est à dire que je suis joyeuse, ce sentiment sera amplifié, si j’ai de la haine en moi, cette haine sera amplifiée, donc cet assassin a fumé avant de commettre son crime de haine amplifiée par le cannabis, c’est pourquoi il a insulté en la tuant d’une façon très très brutale.
Il redire que la guerre sainte Antisemite .donc sans fin ,a changer de langue entre les 2 grands amis
Adolf Hitler et le grand mufti de Jérusalem
En arabe ,Heil Hitler se dit
Allah Akbar
Et donc comme le H est la 8 eme lettre de l’alphabet et le A la premiere .Il faut faire attention à ceux qui porte sur le bras:88
Et maintenant à ceux qui vont porter :11.La guerre sainte est une guerre sans fin ,c’est pourquoi il a fallu la mort d’Hitler pour que la 2 eme guerre mondiale s’arrête alors que l’Allemagne avait absolument perdu la guerre depuis Avril 1944.Il faut redire que la création de l’état d’Israel est la plus fantastique acte de décolonisation de l’histoire de l’humanité et que donc ,la volonté de crée un état palestinien entre Israël et la Jordanie est une démarche à petit pas visant à la destruction de l’état d’Israel ,Trump est le seul président non juif a être entré dans l’histoire avec un grand H en nommant Jérusalem comme capitale d’Israel .Hélas ,cela lui a coûté très cher .Maintenant que la collusion en france entre le politique ,les médiats ,la justice et la police est si manifeste avec l’affaire Sarah Halimi ,nous savons à qui nous en tenir
Il y a la bouffée délirante pour le meurtrier antisémite et le syndrôme dissociacif pour la victime juive, car s’il n’y avait pas de témoins, les nazis des admnistrations auraient dit que Sarah Halimi a sauté dans le vide par un trouble dissociacif, que tout était de sa faute. Les Nazis ont utilisé l’eugénisme physique en 1940, 80 ans plus tard, c’est l’eugénisme social. Ils utilisent la culture, l’éducation, donc la médecine, la police en les endoctrinant et donnant toujours de bonnes raisons de tuer des juifs. Avec comme admiration la lâcheté d’Eichman.
à force de ces injustices, il y aura des réactions, comme pour la dissolution de GI, en France, si ce gouvernement de criminels, continue à étouffer le peuple français natif légitime sur son propre sol, il y aura des réactions, et plus encore, les français seront encore plus intéressés par leur identité, c’est la logique de la vie, rien qu’à interdire l’identité de la jeunesse française, par l’état qui est lui même financé par la patrie de cette identité, ça ne pourra pas continuer……..
tout ça finira en règlement de compte à OK coral
Je pense et même suis persuadé que tous les éléments psychiatriques à décharge concernant cet abominable assassin ne sont que du pipeau pour nous faire avaler la probable, j’emploierais le terme plausible comme utilisé par la « justice ».
Il est plutôt plausible que le cercle de famille Traoré, comme pour Adama, a certainement exercé un chantage sur la juge, menace contre elle, contre ses enfants surement, avec détails croustillants sur la souffrance qu’ils éprouveraient si le jugement n’allait pas dans leur sens. Et qui pourrait, dans ces conditions, condamner une femme craignant pour la vie de ses enfants…
Bien sur ce n’est que suppositions, mais ne sont elles pas plus « plausibles » que cette « bouffée délirante » qui exonèrerait un assassinat planifié et monstrueux?
Je crains que vous n’ayiez raison
Les « experts » médicaux n’ont pas cherché la trace d’un éventuel virus patronymique chez l’assassin ?