Publié par Magali Marc le 21 mars 2021

Les Démocrates et leurs alliés de la gauche radicale mentent sur tout.

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À présent qu’ils sont parvenus, frauduleusement, au pouvoir, leur système de tromperie et de corruption devient visible pour tous. Les Républicains et leurs alliés conservateurs ont l’avantage, car leur meilleure arme, c’est la vérité. L’édifice construit par la gauche est destiné à s’effondrer, mais les conservateurs doivent donner un coup de pouce.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Dale A. Fitzgibbons, paru sur le site d’American Thinker, le 20 mars.

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La mafia politique démocrate nous a menti, mais c’était pour nous protéger

Nous sommes à la mi-mars, dix semaines environ après le début d’un nouveau Congrès américain et huit semaines après le début de la quarante-sixième administration présidentielle des États-Unis.

Washington est désormais contrôlé par un monopole. Le pouvoir est détenu par des Démocrates qui dominent les deux Chambres législatives et une présidence étrangement déconcertante.

Au cours de cette période, les Américains ont assisté à une manifestation essentiellement pacifique dans l’enceinte du Capitole, qualifiée de « violente » par les politiciens et les experts dans les médias de masse qui, à l’inverse, ont qualifié les violentes émeutes en milieu urbain de l’été dernier d’« essentiellement pacifiques ».

Dans un double épisode historique sans précédent, un ex-président a fait l’objet d’une deuxième tentative de destitution sur la base d’une accusation futile d’« incitation » à l’émeute – et ce, malgré d’ardents soupçons selon lesquels l’invasion du Capitole aurait pu être préconçue et menée par des acteurs violents peu sympathiques à Donald Trump, et qu’elle avait commencé avant que le président ait fini de parler.

Déterminés à consolider leur pouvoir et à combler toutes les lacunes, les Démocrates ont depuis commencé à lancer un faisceau ahurissant de lois et d’ordres exécutifs correspondant à chaque point de la liste de souhaits des gauchistes radicaux.

C’est une politique de vengeance dans ce qu’elle a de plus laid, avec la censure des médias et la culture de l’annulation (cancel culture) sur stéroïdes, et avec les forces de l’ordre fédérales qui organisent maintenant des raids du SWAT (NdT: Special Weapons And Tactics: désigne des unités d’intervention des forces de police aux États-Unis) contre les domiciles des critiques arbitrairement sélectionnés du nouvel ordre incivil. Au diable, les libertés et les droits !

Les partisans de MAGA sont en train de se faire effacer en tant que non-personnes orwelliennes.

Les patriotes américains sont déprimés, déconcertés. Comment en sommes-nous arrivés là ?

Je suis autant chagriné qu’eux.

Dans un article publié peu après l’élection, je notais le contraste entre les campagnes électorales de MM Trump et Biden, la première surclassant la seconde et menée avec une énergie, un optimisme et des auditoires incomparables.

Les partisans de M. Trump sont allés se coucher le soir de l’élection, satisfaits de l’avance du président, pour se réveiller le lendemain avec la stupéfaction de constater que cette avance s’était brusquement et mystérieusement volatilisée pendant la nuit.

C’est alors qu’ont commencé à se manifester les nombreux rapports sur les irrégularités observées.

Des équipes juridiques ont cherché à obtenir réparation devant les tribunaux, mais ont été arbitrairement déboutées pour cause de manque de « qualité pour agir » et de « vice de procédure ». Enfin, les automates du Collège électoral ont mécaniquement apposé leur imprimatur, suivi d’une acceptation sans critique par le Congrès.

Au cours des deux mois qui se sont écoulés entre le 3 novembre et le 6 janvier, il a semblé à beaucoup, y compris moi, que les actions correctives allaient faire disparaître les incohérences flagrantes, les contradictions internes et les irrégularités de procédure des processus de vote et de dépouillement des bulletins. Mais, en définitive, il est apparu que le « piège » était en place et que tout opposant était susceptible d’être réduit au silence (canceled) et catégorisé comme un « théoricien de la conspiration ».

D’accord, traitez-moi de théoricien de la conspiration.

Dans cet article (du 15 novembre), je notais que les Démocrates sont depuis longtemps devenus des experts en fait de tricherie électorale.

Des succès en série sans conséquence ne peuvent qu’enhardir les tricheurs jusqu’à ce que leur effronterie soit finalement mise à jour.

J’ai appelé ça « le crime organisé politique ». J’ai suggéré que le moment était venu pour eux de rendre des comptes. Une fois que le chat serait sorti du sac, la partie serait terminée pour eux.

Mais ce n’était pas le bon moment.

Leurs objectifs étant atteints, les politiciens démocrates, avec leurs confrères des médias et des géants du Web, peuvent maintenant relâcher leurs efforts de dissimulation ; ils n’ont plus besoin de cacher leur méfait.

« Oui, nous l’avons fait et nous le ferons encore. C’est pour sauver la Démocratie », proclamait l’article publié par Time Magazine. « Donald Trump et ses partisans ont été mis en échec et c’était pour le bien de la nation, et pour le leur aussi ».

Le discours des Démocrates s’appuie sur l’idée que la notion des Pères fondateurs concernant la gouvernance démocratique par consentement des gouvernés, aussi bien intentionnée soit-elle, s’est avérée naïve, archaïque et inadaptée à l’ère moderne. L’expérience américaine a échoué, comme en témoigne l’incapacité du peuple à prendre des décisions de vote judicieuses, illustrée par son empressement à élire des réprouvés comme M. Trump.

« La règle ne peut donc être confiée qu’aux sages philosophes et aux experts techniques qui occupent de manière responsable les centres d’érudition et de pouvoir de la nation », selon ce discours. « C’est notre avenue vers l’Utopie. Apprenez-la et acceptez-la. »

Où allons-nous à partir de là ?

Je vous propose un passage de l’Écriture, tiré du chapitre 8 de l’Évangile de Saint-Jean :

« … vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »

Ce passage est certes tiré d’un contexte différent, mais il est pertinent dans tout conflit entre la vérité et le mensonge délibéré.

Le contexte actuel est une telle confrontation, avec nos notions patriotiques de vérité et de justice assaillies par la fabrication trompeuse qui nous est imposée par l’armée de manipulateurs de bulletins de vote des Démocrates.
Le « syndrome du patriote battu » est un problème pour nous.

Les premières étapes de la résolution d’un problème consistent à admettre qu’il existe un problème et à le définir, tant dans sa nature que dans son ampleur. Nous avons besoin d’une vérité réelle, objective et vérifiable, et non de la vérité souple et glissante des démagogues postmodernes du relativisme moral.

Un méfait a été commis, un immense méfait, et par des agents qui ont violé les commandements contre le vol et contre le faux témoignage. Ils l’ont fait en toute impunité, et en arborant l’attitude que leurs rôles et actions sont hissés à un niveau de droiture plus élevé que les « normes morales pittoresques, archaïques et maintenant sans objet » avec lesquelles nous, les patriotes, avons été élevés.

Jay Valentine, collaborateur régulier d’American Thinker et professionnel de la détection des entreprises frauduleuses, a écrit une série d’articles pénétrants sur la nature et la portée de cette escroquerie. Dans un article récent, il l’identifie comme étant un « méfait souverain de fraude électorale à l’échelle industrielle ».

M. Valentine et d’autres enquêteurs sont à la poursuite de cette vérité réelle, objective et vérifiable. Les vérités qu’ils extraient deviendront les épées et les lances de l’arsenal des patriotes.

Cette mafia politique démocrate a construit son édifice sur le mensonge, la tromperie et les contradictions internes ; elle hérite maintenant de l’impératif conséquent de travailler fébrilement à garder le tout rafistolé, collé et huilé. En dépit d’une coopération sans faille des médias d’information malveillants, des médias sociaux censurés et les SWAT de la Securitate fédérale, ses inévitables ruptures et conflits internes deviendront de plus en plus évidents. C’est le destin de toutes les fabrications gauchistes.
C’est une situation misérable.

Le Capitole des États-Unis est maintenant un périmètre fédéral réservé, avec des gardes et des clôtures de sécurité. Ce qui était la Maison du peuple est devenu un territoire occupé, ce que j’appelle le « Kremlin américain ».
L’Amérique attend maintenant que son nouveau président soit – euh – présidentiel.

L’impression qu’il donne d’être un pantin semi-cohérent est troublante. Cela pourrait devenir une maladroite simulation sur écran vert d’une fausse rencontre avec la presse. On ne peut que se demander si son premier discours sur l’état de l’Union sera une création numérique dans l’espace strictement contrôlé du Capitole, peut-être un analogue holographique CGI de Max Headroom.

L’opportunité frappe à notre porte. Ceux qui détestent M. Trump ont mené une guerre de quatre ans pour salir un président dûment élu avec le canular de la « collusion russe » et d’autres fictions, afin de marquer cette présidence comme étant « illégitime ».

L’heure de la revanche est arrivée.

Maintenant, ils doivent défendre leur présidence illégitime contre un ensemble de faits certifiables. Cela a peut-être échappé au président du « truth over facts » Joe Biden, qui ne semble pas saisir la subtilité, mais la vérité pourrait même un jour le libérer.

Les patriotes disposent de l’inégalable modèle américain de réussite. La gauche radicale n’a qu’un système de tromperie et de corruption qui ruine tout ce qu’il touche, et qui échoue invariablement.

L’avantage est de notre côté. Nos armes sont les outils de la vérité.

Appliqués de manière experte, ils précipiteront l’effondrement de l’édifice de la gauche, qui n’a pas d’or, sur ses pieds d’argile.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

  • https://www.americanthinker.com/blog/2021/03/the_democrats_political_mafia_it_cheated_us_to_protect_us.html

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