64 jours après avoir été assermenté, Joe Biden a finalement donné une conférence de presse, si on peut appeler ça comme ça !
Parmi les 30 journalistes présents, Joe Biden a fait appel à une dizaine d’entre eux en se conformant à la liste que ses aides lui avaient préparée (ainsi qu’aux fiches de réponses pour les questions convenues d’avance). Comme de raison, le journaliste de FOX News, Peter Doocy, ne faisait pas partie de la liste de ceux qui avaient le droit d’interroger le président.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit la chronique de Michael Goodwin, paru dans le New York Post, le 25 mars.
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Biden ment, et les médias ne le remettent pas en question
Trois choses importantes sont ressorties de la première conférence de presse du président Biden.
- Le leader du monde libre est souvent dans la confusion la plus totale et dit beaucoup de choses qui sont manifestement fausses.
- Les médias sont ses complices et on ne peut pas compter sur eux pour lui demander des précisions.
- En raison des points 1 et 2, l’Amérique va connaître de sérieux problèmes.
Pour ce spectacle écœurant, nous avons dû attendre 64 jours ?
L’événement était significatif d’une manière affligeante. Nous savons maintenant sans l’ombre d’un doute qu’il n’y a aucun moyen de nier la terrifiante vérité. C’était le « coming out » de Joe Biden, et la Nation est face à un désordre qui ne fera qu’empirer avec le temps. L’homme qui a fait campagne sur l’unité est résolu à maintenir une polarisation permanente, ce qui signifie que la culture de l’annulation (« cancel culture ») et le climat racial oppressant sont là pour rester.
Joe Biden a laissé libre cours aux pires instincts de la gauche avec ses références répétées et méprisantes concernant les Républicains et en particulier Donald Trump.
À un moment donné, il a même accusé M. Trump d’avoir laissé les enfants immigrés « mourir de faim de l’autre côté » de la frontière mexicaine.
Il a dit cela dans une salle remplie de 30 supposés journalistes et pas un seul ne l’a corrigé ou même demandé s’il le pensait vraiment. En fait, pas un seul ne l’a contredit sur aucune des faussetés qu’il a énoncées.
Personne ne lui a non plus demandé pourquoi il avait lu des points de discussion préparés à l’avance lors de ses réponses à trois questions sur la politique étrangère. Aucun président récent n’a ressenti le besoin de faire cela.
Il y a également eu des moments où il paraissait confus, pourtant personne ne lui a demandé quand il allait publier les rapports de santé qu’il n’a pas révélés.
En ce qui concerne son programme, un rapport selon lequel Joe Biden se voit comme le nouveau Franklin Delano Roosevelt donne du crédit à l’idée qu’il est prêt à mettre en œuvre toutes les grandes idées folles que les Démocrates gauchistes peuvent concocter.
Le Green New Deal, l’ouverture des frontières, la suppression des mesures garantissant l’intégrité du vote, les hausses d’impôts sans fin, le statut d’État pour le District of Columbia – tout cela est en bonne voie et promis à la gloire.
Le seul obstacle est le « filibuster » du Sénat, qui nécessite 60 voix pour faire passer une loi, mais M. Biden n’a laissé aucun doute sur sa volonté de le supprimer.
« Je veux faire avancer la réalisation de mes politiques », a-t-il déclaré.
Chaque élément de l’utopie planifiée par son parti est, à sa manière, d’une radicalité sans précédent, mais elle est loin d’être assez radicale pour les médias.
Leur performance a été pathétique, non seulement à cause des questions qu’ils ont posées et de celles qu’ils n’ont pas posées, mais aussi par la manière dont ils les ont posées. Le thème dominant était que Joe Biden et son équipe n’agissent pas assez vite pour mettre l’Amérique sens dessus dessous.
« Pourquoi ne le faites-vous pas, quand le ferez-vous, pourquoi ne l’avez-vous pas fait ? » À maintes reprises, le but n’était pas de poser une question, mais d’accélérer un ordre du jour.
Naturellement, c’était tout le contraire de la façon dont certaines des mêmes personnes se sont comportées pendant la présidence de Donald Trump. À cette époque, les questions étaient des expressions indignées qui visaient à arrêter l’Administration Trump. Maintenant, elles sont des plaidoyers visant à faire avancer l’Administration Biden plus rapidement.
Ainsi, les dix personnes auxquelles Biden a fait appel ont généralement suivi le scénario établi par le Washington Post et d’autres journaux. La chroniqueuse Margaret Sullivan avait averti les journalistes de ne pas essayer de « montrer à quel point ils peuvent être durs » avec Biden afin de plaire aux « alliés de Trump ». Elle a même minimisé la crise frontalière, suggérant qu’elle recevait trop d’attention.
C’est bien la crise frontalière qui a retenu l’attention jeudi, mais uniquement dans le but de renforcer l’idée que c’est de la pure compassion humaine que d’inviter les gens d’Amérique Centrale à faire le long voyage vers le nord.
La violence est omniprésente et les coyotes, les trafiquants d’êtres humains et les cartels font des affaires d’or, mais pas un mot à ce sujet de la part du président ou de ses complices dans les médias.
Il n’y a pas eu non plus d’allusion au fait qu’une application plus stricte de la loi serait peut-être un geste de compassion envers les Américains des villes frontalières et les contribuables du monde entier.
Au contraire, l’hypothèse sous-jacente semblait être que toute souffrance subie par les migrants une fois arrivés à la frontière était la preuve d’un manque de compassion et devait être corrigée aussi vite que possible.
Quant à la pandémie, elle n’est apparemment plus un problème. Les photos montrant des migrants entassés dans des cages et les informations selon lesquelles beaucoup sont relâchés malgré un test positif au coronavirus n’ont jamais été évoquées. Pas la peine de gâcher les bonnes vibrations.
Les faits concernant l’immigration illégale sont assez simples. Donald Trump a fait campagne sur cette question et, après de faux départs et malgré une opposition démocrate unifiée, il a fini par mettre en place une série de politiques et d’actions qui ont endigué la marée. Il a construit de grands pans de mur, expulsé les étrangers criminels et conclu un accord avec le Mexique selon lequel les personnes demandant l’asile devraient attendre au Mexique.
C’est également un fait que M. Biden a fait sauter chacun de ces piliers et prétend maintenant avoir hérité d’un gâchis.
Étrangement, il a également insisté sur le fait que les chiffres qui montrent une augmentation des migrants en ce moment « se produisent chaque année, sans exception. Rien n’a changé ».
Soit il est mal informé, soit il ment. Des nombres records d’arrivées sont signalés quotidiennement, et NBC a récemment déclaré que les traversées étaient les plus élevées depuis 20 ans.
Là-dessus, encore une fois, Biden n’a pas été contesté.
La preuve définitive que la presse a abdiqué son rôle a été apportée lorsque le président a refusé de dire quand il autoriserait les médias à accéder aux centres de détention à la frontière. Il a dit qu’il faudrait attendre que son équipe mette en place ses nouveaux programmes.
Si Donald Trump avait dit la même chose, le ciel lui serait tombé sur la tête et les médias auraient déclaré que la démocratie était morte. Mais quand c’est Joe Biden qui le dit, les médias boivent ses paroles comme du petit lait.
Ajoutez donc la transparence à la liste des choses qui n’ont plus d’importance.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source: https://nypost.com/2021/03/25/biden-lies-and-the-media-doesnt-question-it-goodwin/
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Personnellement, je n’ai pas suivi la retransmission de la conférence, et même pour un milliard je n’aurai pas voulu…..rires !
Il suffit d’un petit nombre d’extraits pour avoir une bonne idée et une seule image est suffisante. Celle où Dementia Joe consulte son trombinoscope.
https://twitter.com/kleensamsonite
https://twitter.com/brunolp30
Merci pour les liens et surtout l’extrait de 11 secondes…
Oh la la ! je ne sais s’il faut en rire ou en pleurer…
Une conférence de presse ridicule , sachant que les questions et les réponses sont imposées : heureusement que JOE BIDEN sait lire !!!
Chère Magali,
j’attendais ce genre d’ article avec impatience. Je suis un peu déçu. L’auteur est encore trop gentil. Je n’ai pas de malédiction assez fortes, d’insultes suffisamment obscènes, d’injures trop salaces pour ces trente “journalistes”. Parmi la trentaine, que pensent tout ceux qui ont accepté de faire de la figuration? Que leur a-t-on promis?
Malgré les questions qui étaient posées à l’avance, Dementia Joe a dû, en plus, lire mot à mot ce que les radicaux du parti lui avaient écrit. Un seul média français en parle de façon objective:
https://www.francesoir.fr/politique-monde/joe-biden-une-conference-de-presse-sous-controle
Je crois que le parti gardera, malgré tout, Dementia Joe le plus longtemps possible pour les raisons que nous connaissons tous et que beaucoup de “journalistes” pour des motifs similaires en font de même.
Reste le plus important: “Le seul obstacle est le « filibuster » du Sénat, qui nécessite 60 voix pour faire passer une loi, mais M. Biden n’a laissé aucun doute sur sa volonté de le supprimer.”
Qui peut supprimer cette loi, sous quelles conditions et que pourrait faire la Cour suprême fédérale? Tout ceci laisse l’impression d’individus angoissés par la perspective de perdre de Congrès, pressés de faire passer des lois avant qu’il ne soit trop tard: les élections à mi-mandat.
Le bonjour vous va.
Cordialement
Bonjour Cestmoi
La Cour suprême ne peut rien contre la suppression du «filibuster» qui est une règle parlementaire et ne figure pas dans la Constitution. Mais les Démocrates se mordront les doigts de l’avoir supprimé (s’ils y parviennent) car ils l’ont abondamment utilisé pendant l’Administration Trump! S’ils y parviennent ce sera dans le but d’adopter l’abominable loi électorale qui elle est anticonstitutionnelle mais la Cour suprême aura-elle le courage de la déclarer telle si elle est adoptée au Sénat?
Chère Magali,
je dirais à priori que cette règle assure une certaine stabilité. Cependant avec les “démocrates” radicaux il faut toujours s’attendre au pire.
Cordialement
Le maintien des barrières de sécurité renforcées à Washington est révélateur des intentions démocrates qui veulent imposer aux Américains leur agenda anti-démocratique sans ambages, dont Kamala Harris comme présidente : ça, ça risque de mal passer…
J
ai hâte de voir ,ce que le Journal De Montréal va en dire,avec ses « journalistes intègres ». MISÈRE.
!
Reformulation :
Pas un mot dans le Journal de Montréal en ligne, sinon Loïc Tassé et Mario Dumont qui s’étonne de l’assaut migratoire à la frontière mexicaine, sans jamais préciser que finalement Trump avait raison.
Journal de salope.
Pas un mot dans le
Journal de Montréal*
en ligne ce matin, sauf Loïc Tassé et Mario Dumont qui s’étonnent des mouvements à la frontière mexicaine sans, Ô sacrilège journalistique de la bien-pensance, sans jamais affirmer que finalement, TRUMP AVAIT RAISON!Journal de salopes.
*Misère! 😉
Je me pose une question : si Biden est déclaré inapte à la fonction de président, Harris sera intronisée Présidente. Il faudra nommer un ou une nouvelle vice-présidente. Comme Harris ne pourra plus départager les votes du Sénat, les 50 républicains pourront-ils bloquer la désignation ?
Obama 3 à travers Biden détruit les USA ; et détruira tout ce que Trump a réalisé ; à quand le réveil du peuple ; l’on fait aux Etats-Unis ce que l’on a fait en europe ; grâce à Obama et Sarkozy .
on va voir dans deux ans si la propagande bideniste aura été gobée
Passait encore la décadence de gauche, mais l’actuel chaos révolutionnaire au profit du crony capital, genre big tech, big pharma, etc
ça la fout mal !
Cette gauche bienveillante sacrifie les travailleurs sur l’autel de la cancel culture.
l’idéologie démocrate (le mot m’arrache la gueule) consiste à faire des esclaves cosmopolites. Plus aucune racine pour les parias de la terre.
Même les parents doivent disparaître, lgbtq oblige
Ce qui se passe au sein de l’armée américaine actuellement, n’annonce rien de bon. Les Chinois déploient leurs dents et les ayatollahs préparent leur lumière nucléaire…
Les USA sous Biden c’est un blanc seing pour la guerre
Enfin, les guerres, vu que plus y’en a plus ça rapporte !
Avis perso vu l’environnement !
J’ignore qui est le ventriloque qui fait parler Biden, mais je tiens à lui dire qu’il bégaie de plus en plus ! Et qu’il va falloir arrêter ce charabia…
Conférence de presse de Joe Biden : on a attendu 64 jours pour ce spectacle écœurant …et dont les médias se sont réjouis
L’hypocrisie du Parti médiatique allié du Parti Démocrate
Ceux qui parmi les plus connus ont financer le Parti démocrate
1- Harvey Weinstein finance plusieurs campagnes électorales, comptant parmi les plus grands donateurs du Parti démocrate
Soutien de Bill Clinton puis de Barack Obama, il poursuit cette activité pour Hillary Clinton lors de la campagne présidentielle de 2016
Condamné à 23 ans de prison pour viol et agression sexuelle
Harvey Weinstein participe en janvier 2017 à la marche des femmes contre Donald Trump…..LOL
2 -Jeff Besos le centimilliardaire Démocrate , PDG d’Amazon élu « pire patron au monde…Propriétaire du journal archi gauchiste le Washington Post
3- Les artistes Démocrate de la gauche millionnaire d’Hollywood
Les médias qui soutiennent le parti Démocrate , en plus d’ Harvey Weinstein et Jeff Besos PDG d’Amazon élu « pire patron au monde .
1- Les journalistes : Selon le Center for Public Integrity 96% des contributions financières personnelles des journalistes américains à la campagne (au delà de 200 dollars elles doivent être rendues publiques) sont allées a Hillary Clinton.
2- Le Parti médiatique : Le réseau TVA/CNN, FRANCE PRESSE , MSNBC, WASHINGTON POST (Jeff Besos ), NCBC, RADIO CANADA , LA PRESSE , JOURNAL DE MONTÉAL (Péladeau ) , NBC ,NEW YORK TIMES ..etc
Le Parti médiatique et le Parti démocrate c’est le même parti politique corrompu.