Publié par Dreuz Info le 9 avril 2021

Source : Mabatim

Créer un monde chaotique, indifférencié, appauvri, non éduqué, mais ouvert à toutes les dérives des « droits de l’homme » : tolérance à l’immigration continue, aux droits des minorités sexuelles et racisées, au transhumanisme décomplexé, sans oublier le réchauffement climatique et ses avatars écologiques… Bienvenue dans le monde de Georges Soros !

Introduction

Le livre de Pierre-Antoine Plaquevent :

« Soros et la société ouverte, métapolitique du globalisme.1 » est une enquête très fouillée sur l’idéologie et les méfaits d’un homme qui s’est senti investi d’une mission quasi messianique : transformer le monde. Il a donc mis sa fortune au service d’une utopie que partagent d’autres puissants de ce monde, appelés les Gafa : « géants du Web », ou parfois « géants du numérique » qui désignent la quinzaine d’acteurs d’Internet d’envergure mondiale, dont : Airbnb, Alibaba, Amazon, Apple, Facebook, Google, LinkedIn, Microsoft, Netflix, Twitter, Uber, Wikipédia, Yahoo, etc. »

On parle beaucoup de Soros comme d’une d’éminence grise, actionnant les manettes de la gouvernance mondiale, mais nous ignorons le plus souvent qui il est, et quelle est son influence réelle sur la marche du monde. Pour comprendre les transformations qui affectent nos sociétés européennes mais aussi américaine, il est urgent de connaître l’idéologie de ceux qui ont décidé de faire notre « bonheur », malgré nous. Je m’appuierai donc essentiellement sur le livre de Pierre-Antoine Plaquevent pour en dégager les idées force, afin de donner aux lecteurs une vision de l’importance de ce personnage dans la destruction de nos sociétés occidentales. J’ajoute qu’un numéro de Valeurs actuelles2 a consacré un long article à ce personnage : « Le scandale Soros ».

I – Une obsession révolutionnaire

L’histoire est jalonnée de personnages qui se croient investis d’une mission : changer le monde. Ils ont généralement laissé un très mauvais souvenir : les Lénine, Staline, Mao, et autres Pol Pot, sans oublier Castro et Ho Chi Min ! Cette liste est loin d’être exhaustive ! Ce qui rassemble ces « révolutionnaires, » c’est leur volonté d’ouvrir une page blanche dans l’Histoire afin d’y imprimer leur vison du Bien, au nom du progrès. Il y a certes une dimension psychologique non négligeable chez ces hommes qui se prennent pour des démiurges. Généralement cela s’est très mal terminé pour les peuples, évidemment.

a) Abolir la société fermée

Georges Soros, est un Juif Hongrois qui a connu, enfant, le nazisme et qui a fui la Hongrie lors de l’invasion soviétique en 1956 pour se réfugier en Angleterre avec sa famille. C’est au cours de ses études qu’il sera en contact avec la pensée de Karl Popper, auteur du livre : « La société ouverte et ses ennemis. 3» L’auteur divise le monde en deux : la société ouverte et la société fermée. Cette dernière concerne l’idée de Nation, de peuple attaché à sa culture, son histoire, sa religion, son mode de vie, sa langue. Selon Popper, la société close est vouée à disparaître car les forces du commerce finissent par détruire la société traditionnelle. De plus, cette dernière étoufferait l’individu qui doit obéir aux lois et aux normes « fixées pour eux par la tradition ». En un mot, la société « organique » nierait toute forme d’autonomie de ses membres. »

 Selon Popper,

« il faut abolir l’historicité des Nations et la tradition. En effet, pour lui, les conceptions historicistes sont biaisées dès leur origine par la prétention qu’elles ont à proposer une interprétation de l’histoire cherchant à prédire l’avenir à partir du passé. »

Et Karl Popper d’ajouter :

« On peut, rapprocher la société d’un troupeau dont la cohésion est maintenue par des liens comme la parenté, la vie commune, la joie ou la douleur ».

À l’opposé de cette société « organique », Popper et à sa suite, G. Soros, plaident pour une « société ouverte. »

b) La société ouverte

« Chez Popper, comme chez Soros, ce qui finit par avoir raison des sociétés organiques ce sont les forces du commerce et les nouveaux moyens de communication : deux axes stratégiques des réseaux Soros à notre époque.4 »

Ces réseaux sociaux qui pullulent sur la planète se réclament tous d’un impérialisme humanitaire.

« Un impérialisme humaniste et démocratique bénéfique car, car il tend à décomposer les sociétés organiques, sociétés par essence tribales et totalitaires selon Popper. » (page 115)

On notera du reste que selon ces révolutionnaires, la société ouverte devrait conduire à un monde sans conflits, où les activités économiques pour les plus riches et la consommation pour le « troupeau » apporteraient nécessairement la paix ! Paix illusoire, utopique à laquelle Soros fait mine de croire.

II – Le nerf de la guerre et du changement : l’argent

Une fois installé en Angleterre, Soros fera des études en économie puis il partira à New York pour tenter sa chance à Wall Street comme trader. En 1963, il est engagé dans l’un des grands établissements américains où il se frotte à la bourse. En 1967, il commence à construire sa fortune et crée un premier fonds d’investissement. Sans entrer dans le détail de ses spéculations, disons qu’il se constitue une fortune considérable par des attaques spéculatives d’envergure, comme en 1992 quand il attaquera la livre sterling, puis des sociétés françaises. Il fera l’acquisition de quatre sociétés privatisées dont la Société Générale pour 50 millions de dollars. La revente d’une partie des titres, quelques jours plus tard, lui permettra d’empocher 2,3 millions de dollars. Il sera lié aussi à la banque Rothschild.

G. Soros c’est révélé être un prédateur de la finance mondiale par une série de coups qui seront à l’origine de la destruction de l’ancien système monétaire européen (SME) qui conduira à la création de l’euro. Je renvoie à ce sujet au livre de Pierre-Antoine Plaquevent :« Soros et la finance Anglo-Américaine contre l’Europe » page 63.

Par le biais de l’OSF (Open Society Fondation), Georges Soros va mettre son immense fortune au service d’une idéologie que l’on retrouve chez d’autres comme Klaus Schwab créateur du Forum de Davos5. Et c’est en créant et finançant de multiples ONG qu’il va mettre sur pied un réseau d’associations qui seront chargées – toujours au nom du bien et du progrès – d’agir sur la politique, au niveau mondial, afin d’influer sur les orientations qu’il souhaite voir advenir au nom de la société ouverte.

III Les actions de Soros pour détruire l’ancienne société

*La destruction de la cellule familiale et ses conséquences.

Pour Soros, l’homme « libre » chemine vers la rupture avec sa famille, avec sa nation, avec l’Histoire. Plus d’attaches, donc. Ses attaches sont maintenant liées à la technologie. Il ne souffre pas de solitude car en quelques secondes il peut entendre ses amis, échanger avec eux des SMS, regarder internet, ou la télévision. Cette technologie omniprésente le coupe des liens sociaux et familiaux.

De fait, les liens familiaux, sociaux se sont rompus, nous dit Soros.

« Les individus flottent sans entraves. C’est pourquoi, parents et enfants resteront théoriquement unis mais les liens qui les unissaient deviendront toujours plus lâches. Le contact personnel déclinera aussi à mesure que les moyens de communication deviendront toujours plus efficaces et réduiront la nécessité de la présence physique. Le tableau qui émerge est tout sauf plaisant mais il est inéluctable. »,

nous prévient Soros.

Certes, qui n’a pas constaté dans les familles l’incommunicabilité entre parents et enfants, tous, jeunes et plus vieux, accrochés à leur téléphone portable, à leurs SMS et jeux vidéo, etc. De fait, la filiation perdra de son sens puisque les liens entre parents et enfants se relâcheront progressivement. Sans parler de l’autorité parentale qui s’est considérablement affaiblie.

Enfin, outre les dégâts sur le cerveau, les yeux ou les oreilles, soumis à la musique et aux images en continu, on constate l’appauvrissement des relations langagières, résumées à des SMS ou textos, et celui de la disponibilité et de l’observation de ce qui nous entoure, l’affaiblissement de la capacité à rêver, à faire travailler l’imagination… Le drame, c’est que l’école, loin de corriger ces effets délétères les amplifie au contraire en n’exigeant plus l’attention et le silence en classe, en remplaçant l’écrit manuel par la tablette et en abaissant le niveau des connaissances. L’effondrement du niveau scolaire, que plus personne ne conteste, achève de plonger les élèves dans la médiocrité, la difficulté à raisonner et à mémoriser. La violence verbale et physique devient souvent le seul moyen de communiquer, faute du vocabulaire adéquat. C’est ainsi que la barbarie s’installe dans un monde qui ne donne plus les codes langagiers pour s’exprimer correctement.

*La lutte contre l’homophobie, le mariage pour tous, le genre choisi, la PMA/GPA, au cœur des droits de l’homme.

La destruction de la famille s’inscrit aussi dans la fumeuse théorie du genre et dans l’omniprésence de l’homosexualité. Toujours au nom de l’égalité et des droits de l’homme, le lobby des minorités sexuelles s’est imposé dans la société occidentale. Ce n’est pas l’homosexualité en soi qui est en cause ici, mais la manipulation, par le lobby LGBT, d’en faire un cheval de bataille et de défense des « minorités sexuelles ». Ainsi dès l’école primaire, on enseigne aux élèves la tolérance à l’égard de l’homosexualité, la remise en question des rôles féminin et masculin qui seraient des constructions sociétales et non naturelles et, pire encore, la possibilité de choisir son sexe, dès le plus jeune âge ! Grâce à la mainmise du réseau d’ONG de Soros sur la CEDH6, écrit Bastien Lejeune dans Valeurs actuelles :

« L’Autriche, la Grèce et l’Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l’avortement ; la France est obligée d’autoriser le changement de sexe « sur le papier » ; la Hongrie est contrainte d’abolir la prison à vie ; la Russie est sanctionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l’Autriche doit légaliser l’adoption par les couples homosexuels ; l’application de la Charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c’est la Cour européenne des droits de l’homme qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l’Open Society Fondations (OSF) est impliquée dans l’affaire. Chaque fois, l’un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l’OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de Georges Soros. »

En France, pour faire passer cette nouvelle idéologie, on voit de plus en plus de films et séries TV dans lesquels l’homosexualité est mise en scène jusque dans le mariage, les méchants étant ceux qui s’en offusquent et que l’on qualifie d’intolérants. Cette bien-pensance conduit à une subversion massive à l’égard de la cellule familiale, hétérosexuelle, telle qu’elle s’est construite depuis des siècles. Or, il est évident que les appareils politiques sont partie prenante dans cette nouvelle vision de la société, pour nous sensibiliser à ce phénomène « de la plus haute importance » semble-t-il. Arte a présenté récemment un film : « Petite fille » réalisé par Sébastien Lifshitz. Le film a fait pleurer dans les chaumières car il présente un petit garçon de sept ans qui se sent fille depuis l’âge de trois ans (!) Sa mère qui l’encourage dans la reconnaissance de son choix d’être une fille fait tout pour que l’école l’accepte dans son genre fantasmé. De même aux États-Unis, les transgenres se sont multipliés avec leurs revendications de changement de sexe. La question qu’on peut se poser est : qui a intérêt à multiplier ces problématiques, autrefois rarissimes, et qui relèvent de l’individu et doivent être réglées dans le cadre familial avec des psychologues si nécessaire ? Du reste, elles resteraient rarissimes si les médias ne les popularisaient pas ad nauseam !

Pendant qu’on amuse le peuple avec ces nouvelles lubies, de façon à donner des idées à ceux qui se sentent mal dans leur corps sexué, ceux qui sont fragiles, comme on peut l’être à l’adolescence, et influençables, on ne s’intéresse pas à la politique menée par le gouvernement, comme les atteintes à la démocratie, puisqu’on ne peut aborder certains sujets cruciaux : l’invasion migratoire ou l’islam. L’égotisme se renforce et le transhumanisme, au mépris de l’éthique la plus élémentaire, avance ses pions puisqu’on ne peut arrêter le progrès ! Ceux qui veulent une société ouverte, comme Soros, se frottent les mains.

* Société ouverte et culture de mort.

Cette culture de mort se manifeste dans :

— la dépénalisation de la drogue. Partant de l’idée (fausse) que c’est parce que les drogues sont pénalisées que les jeunes la recherchent, Soros veut nous faire croire qu’en dépénalisant les drogues, les addicts finiront par s’en détourner. Or, cette supposition est totalement fantaisiste. Ceux qui ont besoin de drogues trouveront, au contraire, toutes les facilités pour anéantir leur libre arbitre et leur santé. La drogue est un fléau qui s’étendra, cette fois sans restriction, notamment chez les jeunes.

Par ailleurs l’intérêt de Soros pour cette dépénalisation ne procède pas d’une philanthropie à l’égard des consommateurs, car il s’est lui-même enrichi grâce à des investissements dans le marché international des stupéfiants. Ainsi dans le chapitre « George Soros parrain de la drogue ? » Plaquevent nous dit :

« Le dossier de la revue « EIR7 » explique : Utilisant deux groupes dans lesquels il était le financier principal : le conseil andin des producteurs de feuilles de coca et la Commission andine des Juristes, Soros a alors mis en place un projet appelé « Coca 95 » afin de soutenir le trafic entre la Bolivie et le Pérou. Durant la commission de mars 1996, la Commission andine des Juristes organisa la ‘’Rencontre internationale sur les études scientifiques actuelles sur les effets de la consommation de coca sur les humains’’. Durant cette conférence, les intervenants attaquèrent à de multiples reprises les efforts du gouvernement dans la lutte antidrogue comme une menace pour les droits humains mais aussi pour l’environnement. Appelant alors à la libre circulation des drogues, incluant la cocaïne et l’héroïne, la marijuana et les drogues synthétiques. Le conseil andin des producteurs de coca fomenta aussi de multiples révoltes armées contre le gouvernement. »8

Il serait trop long de citer tous les méfaits de G. Soros dans l’ingérence des pays minés par la culture de la drogue. Ce qu’on peut affirmer, c’est que derrière « l’open society », se cachent de vrais prédateurs pour qui la dépénalisation des drogues sera une manière de renforcer leur pouvoir de nuisance chez un nombre toujours plus grand de proies livrées à l’asservissement, et donc incapables de devenir des citoyens libres et responsables. Notons que cette idée de dépénalisation a été reprise par les Gafa et par le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan qui déclarait en 2016 :

« Il est temps de légaliser les drogues ».
Il s’adressait à « l’ensemble des dirigeants convaincus par une approche de santé publique de revendiquer une réinterprétation des conventions, et une légalisation des substances classées illicites au niveau mondial. » (P.261)

Pour donner un exemple récent, en France, une enquête de Frédéric Ploquin9 du 14/02/2021, nous apprend que l’argent de la drogue fait vivre environ 240 000 personnes sur le territoire français. Cet argent provient essentiellement des banlieues islamisées. Rien n’est fait par les autorités pour éradiquer ce trafic, et l’on peut se demander si le gouvernement n’y trouve pas son compte puisque le commerce de la drogue maintient une sorte de « paix » qui convient à tout le monde.

— La promotion du suicide assisté.

Un autre aspect de la culture de mort encouragée par Soros est le suicide assisté. Toujours au non d’un humanitarisme bon teint, « l’Open Society » s’intéresse à la fin de vie. Bien sûr en présentant cette assistance (euthanasie), sous une appellation qui se veut aidante ! Là encore, G. Soros a financé dès 1994, le Project on Death in America (PDA)

« dont l’objet était de fournir une aide ‘’en fin de vie’’ aux personnes en détresse et de promouvoir une politique publique qui ‘’transformera la culture et l’expérience de la mort et du deuil’’. »10

Il s’agissait ni plus ni moins de former les personnels : travailleurs sociaux, médecins et infirmiers en milieu médical, à pratiquer l’euthanasie en milieu hospitalier. Toujours dans l’esprit de soulager les souffrances de ceux qui sont condamnés…

D’autres groupes vont dans le même sens : « Death with Dignity National Center ». (Centre national pour mourir dans la dignité), avec prescription de médicaments mortels.

« Compassion and choices » : qui préconise « l’aide à la mort pour les adultes en phase terminale. »

En résumé, et pour le bien de l’humanité, les jeunes sont incités à la consommation de drogues qui fera d’eux des zombies et les vieux seront poussés vers la sortie afin de laisser la place aux autres, les bien-portants. Cet eugénisme rampant fait frémir. Aujourd’hui, l’homme craint davantage la douleur que la mort. « On oublie – nous dit Plaquevent, que l’agonie (âgon) en grec signifie lutte. » Mais elle n’est plus de mise car le courage n’est plus valorisé. L’homme est invité à ne plus se battre mais à rester un être faible, sans armes, qu’elles soient celles de l’esprit ou celles pour se défendre. L’homme que nous propose Soros est un homme émasculé. Il n’est plus libre de choisir sa vie et sa mort.

— « Le journalisme comme levier métapolitique »

Georges Soros a été passionné par le journalisme et les médias en général. On ne s’étonnera donc pas de constater qu’il subventionne une certaine presse afin de populariser ses idées. Manipuler l’opinion publique est aussi une nécessité pour imposer ses objectifs.

Durant le système communiste dans les pays d’Europe centrale, Soros avait déjà financé une presse de samizdat créée par la jeunesse. Il avait aussi distribué des bourses pour des jeunes de la société civile et à l’université. Aux États-Unis, il a soutenu la candidature de la démocrate Hilary Clinton. De 2000 à 201411, Soros a injecté plus de 103 millions de dollars, dans des groupes médiatiques proches du Parti démocrate.

« Soros a également aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux USA et à l’étranger avec des dons allant de 5 000 dollars à 32 millions de dollars chacun… Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux-libertaires, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui soutenaient la candidate Hillary Clinton. » (page 274)

* L’université Columbia : « Une pouponnière d’agents d’influence »

Il était important d’approcher la plus prestigieuse Université des États-Unis qui compte le plus de prix Nobel parmi ses élèves. Elle fut fondée par Joseph Pulitzer en 1912 et remet le prix du même nom chaque année. Elle publie également un journal : « Le Columbia Journalism Review. »

« Son école de journalisme est l’une des écoles supérieures professionnelles de Columbia. Elle est la seule école de journalisme faisant partie de ‘’’Ivy League’’ qui regroupe les huit universités les plus prestigieuses des États-Unis » (page 280).

Les liens entre Soros et Columbia existent depuis 1987 ; en voici quelques éléments importants :

« Le milliardaire Georges Soros a de solides liens financiers, honorifiques et personnels avec Columbia. Les fondations Open Society de Soros ont donné 9 708 486 dollars à l’Université Columbia depuis 2000. 1 250 000 dollars de cet argent ont été versés directement à son journal, la « Columbia journalism Review ».

Les aides de Soros vont essentiellement aux organisations libérales en lien avec Parti démocrate pour promouvoir le mariage gay, la légalisation des drogues et les stratégies de lutte contre la peine de mort.

* « George Soros et le Pape François solidaires pour le grand remplacement ? »

Sans entrer dans les détails, des révélations ont montré comment Soros exerce une influence sur l’Église catholique, avec l’appui de certaines autorités, dont peut-être le pape lui-même12. Soros a ainsi versé, nous dit Plaquevent, 650 000 dollars afin d’influencer la visite du Pape François aux USA en 2015. L’objectif de cet investissement incluait :

L’adhésion individuelle d’évêques qui puissent exprimer publiquement des messages de justice économique et raciale afin de commencer à créer une masse critique d’évêques alignés avec le Pape.

Selon ce même rapport,

les fonds ont été accordés à deux entités américaines qui se sont engagées dans un projet à long terme afin de « changer les priorités de l’Église catholique américaine. » Les bénéficiaires étaient PICO, un groupe communautaire confessionnel et Faith in Public Life (FPL), un groupe progressiste travaillant avec les médias. 13»

En fait, il s’agissait pour Soros de s’appuyer sur une Église ouverte aux changements sociétaux, acceptant l’avortement, l’euthanasie, le « genre » et le mariage homosexuel, c’est-à-dire, la destruction de la famille.

« Parmi les courriels inquiétants, on y trouve la preuve d’un programme libéral visant à saper la foi catholique. Et le milliardaire Georges Soros finance une grande partie de ce programme. » (Page 192)

Bien sûr, Soros peut s’appuyer sur des mouvements comme « Catholics for a free choice » qui viole la doctrine de l’Église.

Ajoutons que Soros

« aurait versé 4 538 812 dollars à des groupes catholiques libéraux. Parmi ceux-ci le « Catholic Legal Immigration Network » (CLIN), réseau catholique pour l’immigration légale. Le CLIN : groupe catholique que Soros a le plus financé, justement parce que c’est le groupe le plus investi dans l’activisme migratoire ». (Page 195)

Et également,

« Parmi les courriels inquiétants, on y trouve la preuve d’un programme libéral visant à saper la foi catholique. Et le milliardaire George Soros finance une grande partie de ce programme. Sandy Newman, président de Voices for Progress, et John Podesta, alors président du Center for American progress financé par Soros, ont discuté de la promotion de la contraception comme moyen de créer une ’’révolution’’ et de saper la ‘’dictature du Moyen-Âge’’ de l’Église dans un échange d’emails de 2012. » (Page 192)

* Soros et l’immigration massive.

D’après Plaquement,

« Le but de Georges Soros et de ses réseaux est d’arriver à refondre le système politique international et l’Union européenne sur les principes de la société ouverte, les leviers de l’immigration et les déplacements massifs de populations constituent les moyens les plus efficaces pour parvenir à cette fin. »

Un des points cruciaux des actions prédatrices de Soros est le financement de l’immigration de masse.

« Un exemple de la contrainte inouïe que subit l’Union européenne de la part de George Soros, nous a été donné par la crise migratoire que traversent l’UE et ses régions limitrophes depuis 2015. » Explique Pierre-Antoine Plaquevent.

Nous apprenons ainsi qu’une grande partie de la fortune de Soros est allouée à l’immigration. Du reste, il dit :

« La protection des réfugiés est la priorité et les frontières constituent un obstacle. 14»

Nous voilà donc prévenus. Et, en effet, des sommes énormes sont dévolues aux ONG qui aident les migrants à entrer en Europe. En 2016, l’OSF déclarait utiliser 20,8 millions pour l’immigration sur un budget total de 930,7 millions de dollars. En 2017 son budget avait atteint 940,7 millions et l’OSF consacrait 32,6 millions de dollars à l’immigration. Il prévoyait d’investir 500 millions de dollars de placements en actions dans des investissements qui bénéficieraient aux migrants.

* L’invasion planifiée de l’Europe : le plan Soros/EFCR15/ Merkel.

Comme tout le monde a pu le constater, c’est l’Europe qui subit la crise migratoire la plus forte. William Engdahl (analyste géopoliticien américain) raconte, dans un article d’avril 2016, comment la chancelière allemande a joué un rôle très controversé en proclamant : « J’ai un plan » […]

Ce que la chancelière allemande n’a pas dit aux téléspectateurs, c’est que son plan lui avait été fourni seulement quatre jours plus tôt, le 4 octobre, dans un document déjà intitulé Le plan Merkel, par un think tank international nouvellement créé et largement financé, appelé : l’initiative de stabilité européenne ou ISE16 (ESI en anglais). Le site internet de L’ISE indique qu’il possède des bureaux à Berlin, Bruxelles et Istanbul. L’actuel Président Gerald Knaus est membre de l’open society.

Il y a donc bien des liens entre ISE et ECFR, notamment autour de la question migratoire. Gerald Knaus a élaboré de nombreux plans concernant la crise des réfugiés, plans qui ont été présentés à travers toute l’Europe, notamment au Ministère des Affaires étrangères. Paris a accueilli Gérald Knaus pour évoquer les itinéraires empruntés par les migrants en Mer Égée et en mer Méditerranée.

LE PLAN MERKEL / ESI EN QUATRE POINTS :
— L’Allemagne accepte d’accorder l’asile à 500 000 réfugiés syriens enregistrés en Turquie au cours des 12 prochains mois ;
— L’Allemagne s’attend à ce que nombre de réfugiés arrivent chez elle. Mais pour leur éviter un périlleux voyage, à travers la mer Égée et les Balkans occidentaux, l’Allemagne devrait accepter les revendications de la Turquie et assurer un transport sécurisé aux candidats retenus ;
— En contrepartie, la Turquie devrait accepter tous les nouveaux migrants cherchant à atteindre la Grèce depuis son territoire. (Pour réduire le flot de bateaux traversant la Mer Égée).
— L’Allemagne devrait accepter d’aider la Turquie à obtenir un statut de voyage sans visa en 2016. (Page 181 du livre de Plaquevent).

« George Soros avait lui-même proposé sur son site officiel un plan à l’origine de l’initiative de Stabilité européenne, présenté ensuite par Merkel et influencé par l’ECFR… Le plan de Soros intitulé : ‘’Rebâtir le système du droit d’asile’’ donne en fait les directives à suivre pour que l’Europe ne soit plus qu’un couloir de passage ouvert à toutes les migrations venues d’Afrique et d’Orient. Le plan Soros inspire directement celui de Merkel et de l’ESI. 17»

Les points les plus importants de ce plan :

— L’union européenne devra accepter au moins 1 million de demandeurs d’asile par a an, répartis équitablement entre les pays membres ;
— L’UE devra apporter son financement au Liban, à la Jordanie, ainsi qu’à la Turquie, ayant chez eux 4 millions de réfugiés. Soit un coût total de 20 milliards d’euros. Il s’agirait également pour l’UE de contribuer à la création de zones économiques spéciales, bénéficiant d’un statut commercial privilégié dans la région, y compris en Tunisie et au Maroc, afin d’attirer l’investissement et de créer des emplois à la fois pour les locaux et les réfugiés. Il appartiendrait à l’UE de s’engager financièrement en faveur des pays frontaliers, à hauteur chaque année d’au moins 8 à 10 milliards d’euros, le reste des financements provenant des États-Unis et du reste du monde. Ceci pourrait s’ajouter au montant des obligations à long terme émises en soutien aux demandeurs d’asile en Europe ;
— L’UE doit immédiatement commencer à bâtir une agence des migrations et du droit d’asile, et plus tard un corps commun de gardes-frontières en son sein… ;
— Des couloirs humanitaires sécurisés doivent être établis afin de permettre aux migrants de passer de Grèce et d’Italie vers leur destination finale….

Clairement, Soros demande à l’UE de s’organiser pour aller quasiment chercher elle-même les migrants. » (P.184)

Commentaire

Cela donne une idée de la politique européenne qui, en réalité est manœuvrée par le biais de la CEDH par un prédateur comme Soros qui dicte sa loi aux peuples européens, par le truchement de chefs d’État complètement assujettis à son pouvoir. Nous ne devons pas oublier que ces chefs d’État se gardent bien de révéler à leurs peuples qu’ils sont, non au service de ces derniers, puisque ceux-ci ne sont jamais consultés sur des questions qui concernent leur survie, en tant que nations et civilisation, mais aux ordres de prédateurs qui ont décidé de changer le monde à leur convenance. On comprend qu’un Victor Orban dérange, car il a bien repéré les visées apocalyptiques de Soros et surtout ne souhaite pas s’y soumettre.

Ajoutons qu’Angela Merkel porte une lourde responsabilité dans le problème des migrations, notamment en Allemagne.

L’alternative für Deutschland (AFD) tirait la sonnette d’alarme : « … Par son acte inconstitutionnel et insensé d’ouverture des frontières, elle a demandé au monde entier de venir chez nous. 6,6 millions ont entendu cet appel, et ce n’est qu’un début. »

* « George Soros et la traite des réfugiés »

Avec le plan Soros/Merkel, on a constaté comment les instances dirigeantes de l’Union européenne appliquent à la lettre les visées de Soros en matière d’immigration.

« Voyons comment l’OSF s’appuie sur tout un ensemble d’organisations non gouvernementales afin d’appuyer ses vues en matière d’immigration. Il est fondamental d’appréhender les liens qui relient les ONG pro-migrants avec l’Open society Foundations car sans ce type de financement, ces ONG ne pourraient pas mener leurs activités avec autant d’efficacité. » (Page 199)

En effet, cette organisation quasi planétaire visant à détruire des nations qui se sont constituées depuis des siècles, donne le vertige. Les peuples, en général, s’ils assistent impuissants au « grand remplacement » tout en étant de plus en plus inquiets, ne savent pas que quelques individus à la puissance financière phénoménale, et armés d’une volonté de destruction inouïe, sont les commanditaires de cette ruée vers l’Europe.

Le cofondateur du site d’investigation « Soros Connection » Thibault Kerlirzin, explique :

« Cette ‘’crise’’ (des migrants) voit intervenir de nombreuses ONG, sans l’appui desquelles l’arrivée des migrants en Europe serait incertaine. Au cœur de ce vaste réseau, une figure émerge, une fois de plus : George Soros et son Open society. […] Au bout du compte se dessine un système complet, coordonné, complémentaire et organisé qui assure le passage et l’implantation des migrants. »18

Cette situation a terriblement impacté des pays comme la Grèce, l’Italie, l’Allemagne, l’Autriche et la France. Seuls les pays de l’Europe centrale, la Hongrie en tête ont résisté à l’invasion.

« Une situation de plus en plus délétère qui a conduit certains magistrats du Sud de l’Italie à enquêter sur les activités des organisations non gouvernementales (ONG) qui interviennent au large de la Libye pour, officiellement, secourir les migrants. Leur enquête les amenant à accuser certaines de ces ONG de favoriser l’immigration clandestine et d’être liées aux réseaux des passeurs » (page 202).

« La Hongrie, fer de lance contre Soros. »

On a traité Victor Orban d’antisémite parce qu’il n’entre pas dans le jeu de Soros. C’est un coup classique. Dès que vous n’êtes pas d’accord avec une politique on vous qualifie d’extrême droite, de fasciste ou d’antisémite. PA Plaquevent cite le Monde (page 293) :

« Le Monde du jeudi 30 mars 2017, écrivait : Le gouvernement hongrois dirigé par l’ultra-conservateur (NDA, pourquoi pas ‘’hyperconservateur’’ ? ) Victor Orban a présenté mardi 28 mars, un projet de loi qui pourrait entraîner la fermeture de l’une des institutions universitaires les plus emblématiques du pays, l’Université d’Europe centrale (CEU en Anglais). »

Il faut savoir que l’Université d’Europe centrale est l’un des principaux organes d’influence de George Soros en Europe orientale selon le Monde :

« L’université située au cœur de Budapest, a accueilli, depuis 1991, 14 000 étudiants du monde entier, triés sur le volet, pour étudier – en anglais – dans des conditions exceptionnelles, souvent jalousées par la communauté universitaire locale. De statut privé, elle fonctionne grâce à une dotation d’une valeur de 550 millions d’euros du financier américain, qui permet notamment d’attribuer des bourses à une grande majorité d’étudiants. En vingt-cinq ans, la CUE19 a formé une génération d’élite, actuellement au pouvoir un peu partout en Europe centrale, y compris au sein du gouvernement de M. Orban. »

Or cet outil « d’ingérence » comme le dit l’auteur (P.294) fait l’objet d’une loi que Victor Orban voudrait faire voter afin « de clarifier le cadre juridique des institutions internationales présentes en Hongrie. »

Et le Monde poursuit :

« La CUE estime que le texte, s’il était adopté, ‘’rendrait impossible’’ une continuation de ses activités dans le pays, parce qu’il annulerait l’accord entre l’État de New York et la Hongrie, qui lui permet de délivrer des diplômes reconnus par les deux systèmes […] Des proches du promoteur de la démocratie non libérale avaient aussi critiqué le rôle de la CUE dans le pays accusé d’être ‘’le bras armé de Soros en Europe‘’ pour promouvoir un agenda ‘’libéral’’ et de s’accaparer les fonds européens au détriment des universités locales. »

Les craintes de Victor Orban sont fondées car G. Soros essaie de déstabiliser la Hongrie, comme il l’a fait dans d’autres pays d’Europe centrale, Roumanie, Ukraine, Biélorussie, notamment.

On peut dire que Soros connaît, avec Victor Orban, un frein exemplaire à sa volonté de s’ingérer partout, notamment là où les nations ne veulent pas obtempérer à ses rêves de société ouverte. Le patriotisme est-européen doit montrer la voie aux autres pays de l’UE. En ce sens, la Hongrie d’Orban est un exemple à suivre.

Et précisément, c’est pourquoi G. Soros voue une haine sans merci au dirigeant de la Hongrie. Dans une Tribune du Nouvel Observateur, il critique violemment Angela Merkel pour avoir « capitulé face à l’extorsion hongroise et polonaise ».20

« Le régime kleptocratique du Premier ministre Orban en Hongrie et, dans une moindre mesure, le gouvernement illibéral Droit et Justice (PiS) en Pologne, défient effrontément les valeurs sur lesquelles l’Union européenne a été construite. Traiter leur défi comme une position politique légitime, qui mérite de trouver un compromis, ne fera qu’aggraver – massivement – les risques auxquels l’UE est aujourd’hui confrontée. »

En fait, ce que ne supporte pas G. Soros, c’est de voir la Hongrie et la Pologne résister aux diktats de l’EU. Comme si ces États n’étaient pas souverains.

Or, G. Soros accuse le premier ministre hongrois d’avoir

« volé et détourné de vastes sommes au cours de sa décennie au pouvoir, y compris des fonds européens, qui auraient dû profiter au peuple hongrois. Il ne peut pas se permettre d’imposer une limite concrète à sa corruption personnelle et politique, car ces produits illicites sont la graisse qui permet aux rouages de son régime de tourner en douceur et ses fidèles de se tenir à carreau. »

On ne manquera pas de constater la violence de ces propos qui restent par ailleurs totalement vagues !

Soros et la France

Dans un article de Michel Janva : « Burkini : l’association Alliance Citoyenne a reçu 80 000 dollars de la fondation George Soros. »21 L’auteur explique que Soros travaille à l’islamisation de la France, notamment en soutenant le port du Burkini. »

Le 23 juin, un groupe de sept femmes du collectif ‘’Rosa Parks musulmanes’’, comme elles se baptisent, se baignait en burkini à la piscine Jan Bron de Grenoble. Une action visant à revendiquer le droit de se baigner avec ce maillot de bain couvrant interdit dans l’établissement. Elles étaient entourées de sympathisants et de membres de l’association alliance citoyenne, qui apparaît dans la liste des bénéficiaires de la généreuse Open Society Foundations… l’association est une « organisation nationale avec une visibilité nationale » dans le cadre de « campagnes anti-discrimination ».

Alliance citoyenne est une association qui lutte contre les inégalités sociales qui se réclame de Saul Alinsky (USA) théoricien politique de la gauche radicale américaine. (Il fut l’inspirateur idéologique d’Hillary Clinton). (P.381)

Les comités Adama Traoré se réfèrent également aux Black Live Matter22 actifs aux USA et financés par l’Open Society.

« Le collectif Adama Traoré avait entre autres tenté de se greffer aux gilets jaunes afin de communautariser et de gauchiser les revendications des gilets jaunes. Lors de la ‘’manif pour tous’’ ce furent les interventions des femens qui étaient venues exacerber les tensions et échauffer les esprits à dessein. »

Autre ingérence humanitaire des globalistes contre la France : La dernière déclaration de Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch depuis 1993, qui a commenté la gestion de la crise du Covid 19 par le gouvernement de Macron de la manière suivante sur le réseau social Twitter :

« L’islamophobie peut-elle être plus évidente ? Le gouvernement français recommande les masques mais interdit encore la burqa23. »

La comparaison entre le masque Covid et le port de la burqa prêterait à rire s’il n’y avait en arrière-plan, la volonté d’imposer le vêtement islamique, contraire à la laïcité. On peut donc constater que ces ingérences humanitaires visent à créer un état de tensions propres à ébranler la paix sociale.

« Plus grave encore, les liens revendiqués entre le Syndicat de la Magistrature (SM)24et l’open Society. Le SM est le premier syndicat de magistrats à avoir vu le jour en France juste après mai 68, il défend depuis sa fondation des positions sociétales d’extrême gauche. En juillet 2019, le syndicat de la magistrature participait à une table ronde à New York organisée par l’Open Society et le Rapporteur spécial des Nations Unies sur l’indépendance des juges et des avocats.25 » (P.385)

On pourrait évoquer également, le personnel politique français impliqué dans les réseaux Soros en France. Chaque personnalité ou député étant chargé d’être des relais fiables de l’Open Society au parlement européen. Selon Plaquevent, ils seraient 226 sur 751 députés. (P.386)

Enfin, le centre européen pour le droit et la justice (ECLJ)26 publiait il y a un an le 20 février 2020 un rapport, non contesté, et qui a provoqué de nombreuses réactions médiatiques et politiques. Ce rapport est intitulé : « Les ONG et les juges de la CEDH ». Il révèle :

« un problème grave de conflits d’intérêts au sein de la CEDH, entre certains juges et ONG… Il a en effet démontré qu’au moins 22 des 100 juges permanents de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui ont siégé entre 2009 et 2019 sont d’anciens fondateurs, collaborateurs ou dirigeants de sept ONG actives devant cette même Cour, comme requérantes, représentantes ou tiers intervenantes. 12 de ces juges sont étroitement liés à l’Open Society de George Soros, six en furent même des responsables nationaux et internationaux. L’Open Society finance en outre les six autres organisations identifiées dans ce rapport. »

Conclusion

Nous sommes loin d’avoir abordé tous les aspects de la nocivité des activités de G. Soros dans le but de détruire la société « fermée ». La classe moyenne est appelée à disparaître puisqu’elle est créatrice de richesses, et qu’elle est encore éduquée.

Il faut dire que Georges Soros n’est pas seul à vouloir créer un monde nouveau et faire le bonheur de l’humanité, selon son bon vouloir. Les Bill Gates et autres Gafa vont dans le même sens et il ne faut pas oublier Klaus Schwab27 qui expose sa vision du nouveau monde dans un livre : « Covid-19 : La grande réinitialisation. » Selon lui, la pandémie du covid doit nécessairement déboucher sur un changement drastique de notre monde : rien ne sera plus jamais comme avant, nous dit-il… On se demande bien pourquoi et cela d’autant qu’il ajoute :

« Toutefois, au niveau mondial, si l’on considère le pourcentage de la population mondiale touchée, la crise du coronavirus est (jusqu’à présent) l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2 000 dernières années. Selon toute vraisemblance, à moins que la pandémie n’évolue de manière imprévue, les conséquences de la Covid 19 en termes de santé et de mortalité seront légères par rapport aux pandémies précédentes… »

Ce qui l’amène à faire une comparaison avec la Grippe espagnole qui a tué 2,7 % de la population mondiale alors que la Covid n’a tué que 0,006 % de la population mondiale.

Alors on est en droit de se demander : pourquoi en faire tout un plat et se lancer dans un projet de « réinitialisation du monde » ? Là aussi, comme Soros, K. Schwab veut tout effacer et recommencer à zéro. C’est vraiment très étrange. Cet homme a de grandes espérances pour nous : ne veut-il pas « redéfinir notre humanité » ? Mais surtout, il veut tout réinitialiser : notre économie, notre vie sociétale, la géopolitique, notre environnement, la technologie, l’industrie, notre santé mentale et notre bien être…

Méfions-nous de ceux qui veulent notre bonheur, malgré nous !

Évelyne Tschirhart

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